Sans culotte et avec une épilation à la cire fraîche, j’ai goutté sur ma jupe toute la journée…
Je n’arrivais pas à me mettre à l’aise, alors je t’ai envoyé un texto pour savoir comment m’asseoir.
J’ai répondu : “Jambes ouvertes. C’est ce que tu m’as répondu.
N’étant pas sûre de la largeur de mes jambes, je t’ai envoyé quelques photos... Même si c’était une journée chargée pour toi et que j’étais bien placée pour le savoir…
Aussi larges que possible, salope. Tu es assez intelligente pour te débrouiller toute seule. Je t’ai dit que j’étais occupé aujourd’hui.
Oui, Monsieur… Je suis désolé, Monsieur…’
‘Pas autant que tu vas l’être. Maintenant, garde tes jambes de salope bien ouvertes et attends ta punition. Je m’occuperai de toi quand j’aurai le temps.

Je me suis exécutée, ma chatte nue et exposée dégoulinant de plus en plus au fil des heures…
Enfin, mon téléphone a sonné.
Es-tu toujours assise comme la vilaine petite salope de bureau que tu es ?
‘… oui, Monsieur…’
Montre-moi.
J’ai immédiatement obéi et je vous ai envoyé une photo en me regardant de haut, pour que vous puissiez voir à quel point mes jambes étaient écartées pour vous, avec ma courte jupe noire glissée vers mes hanches. Comme tu m’avais aussi demandé de porter un haut qui frotte contre mes tétons sans soutien-gorge, ceux-ci dépassaient visiblement de mon chemisier rouge semi-transparent. J’ai eu droit à quelques regards en me promenant dans une telle tenue.
Mmm… bonne fille. J’adore que tes tétons soient si visibles… Est-ce que tu as beaucoup d’attention aujourd’hui ?
‘…oui, Maître… tant de gens ont regardé mes seins… et ma petite jupe…’
C’est bien. Tu le mérites. Maintenant, montre-moi cette chatte qui coule. Prends une photo sous ton bureau.
Suivre vos ordres me fait toujours mouiller davantage, alors il y avait beaucoup de gouttes à voir… Les minutes ont passé si lentement pendant que j’attendais ta réponse.
‘…c’est bien, salope. Mais tu as besoin d’être punie, n’est-ce pas ?
‘…oui, Maître…’
Dis-moi pourquoi.
“…Je dois être punie pour vous avoir dérangé alors que je savais que vous étiez occupé, Monsieur…
C’est vrai. Au moins, tu es une salope intelligente.’
‘…merci, Monsieur.’
Regarder les bulles de texte pendant que vous tapez est une forme de supplice purement inutile, mais je n’ai pas pu m’en empêcher… J’étais si nerveuse à l’idée de savoir quelle serait ma punition.
Enfin, les instructions sont apparues.

Envoyez-moi une vidéo. Je veux voir comment tu étales ton jus sur ma petite chatte coquine et mes cuisses.
Ensuite, je veux que tu prennes un Sharpie – un des plus gros – et que tu le mettes à l’intérieur de cette petite chatte débraillée et désobéissante.
Baise-toi un peu avec. Une fois que tu as fait ça, tu peux arrêter la vidéo, mais le Sharpie reste jusqu’à ce que je te dise de l’enlever.
C’est compris, salope ?
J’ai gémi à haute voix en lisant le texte. Je devais m’asseoir à mon bureau, parler aux collègues qui passaient, avec un Sharpie collé à l’intérieur de moi… L’humiliation serait si intense. Mais vous me connaissez bien, et vous saviez que je serais également excitée par le fait d’être embarrassée et punie de cette façon. Tu savais que je prendrais mon pied en étant soumise à une forme de discipline aussi honteuse…
J’ai pris mon téléphone et j’ai stabilisé mes mains tremblantes. En suivant vos instructions pas à pas, il était déjà difficile de résister à l’envie de me tortiller et de gémir tandis que je déplaçais la moiteur de mes sucs pour vous. Puis est venu le temps du Sharpie. Même s’ils ne sont pas très épais, je n’ai pas l’habitude de me baiser avec quoi que ce soit lorsque je suis assise à mon bureau… Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir et de me tortiller un peu.
“Mon collègue m’a appelé de l’autre côté de la pièce.
Mortifiée, je me suis raclée la gorge et me suis redressée.
“Oui, ça va. Je m’étire, c’est tout”.
Je n’étais pas convaincue, même par moi-même. Mais elle a laissé tomber, alors j’ai continué ma punition…
Après quelques poussées supplémentaires du Sharpie, j’ai arrêté la vidéo. Le fait d’être assise là, avec le Sharpie sortant de ma chatte, était déjà très humiliant, mais je savais qu’il valait mieux ne pas défier vos ordres. Je vous ai envoyé la vidéo et j’ai fait de mon mieux pour continuer à travailler.
Finalement, mon téléphone a sonné avec ta réponse.
Hah, regarde la petite salope en chaleur que tu es… tellement excitée à l’idée de baiser un Sharpie que tu gémis et te tords à ton bureau…
‘…oui, Monsieur… je n’ai pas pu m’en empêcher, Monsieur…’
Je sais que tu n’as pas pu, salope. Et tu as failli te faire prendre à cause de ça… tsk tsk tsk…’
“…Je sais, Monsieur… Je suis désolée, Monsieur…
Pas besoin d’être désolée. C’est toi la salope qui va être complètement humiliée si ses collègues la surprennent avec un Sharpie dans sa petite chatte coquine et débraillée”.
Je vous imagine sourire à cette idée, et j’ai honte d’admettre que cela m’excite encore plus.
…. Oui, Maître…
Envoyez-moi une photo avec votre jupe relevée au maximum, pour que je puisse voir ma petite chatte humiliée, remise à sa place… et assurez-vous que vous avez l’air convenablement désolé pour ce que vous avez fait.
…. Oui, Maître…
Ecartant encore plus les jambes, j’ai remonté ma jupe autour de la taille, laissant tout à découvert… Je ne pouvais que prier pour que personne ne passe devant mon bureau. En baissant les yeux, j’ai levé les yeux vers l’appareil photo et j’ai fait de mon mieux pour avoir l’air d’avoir des remords. Ensuite, je vous ai envoyé la photo et j’ai attendu votre verdict.
Mmm… bonne fille. Quelle petite salope pénitente !
‘…oui, Monsieur… merci, Monsieur…’
De rien. Tu as de la chance que j’aie la patience de t’apprendre à bien te comporter.
Oui, Maître… je suis l’esclave le plus chanceux qui soit… Merci beaucoup, Monsieur…
Soupir… il faut bien que quelqu’un le fasse. Sinon, tu deviendrais sauvage… une petite salope en chaleur incontrôlable, qui baiserait tout ce qui bouge.
N’est-ce pas ?
Avec un souffle brusque, mes mains ont tremblé. Une partie de moi souhaitait que cela ne m’excite pas autant lorsque vous m’appeliez ainsi… une petite salope en chaleur… mais la montée de l’humidité dégoulinante entre mes jambes était indéniable.
‘…oui, Monsieur… merci de m’avoir appris à me contrôler, Monsieur.’
De rien. Maintenant, finissez votre travail. Tu peux arranger ta jupe, mais ne touche pas à ce Sharpie avant que je ne te le dise.
Si tu te comportes bien, je te laisserai peut-être baiser ta petite chatte dévergondée avec plus tard.
‘…oui, Maître… merci beaucoup…’
Sois une bonne fille maintenant.
‘Merci, Monsieur… je le ferai…’
Nous verrons…
Et sur ce, je me suis remise au travail, les jambes écartées et ma vilaine petite chatte humiliée comme il se doit…
Parfois, apprendre à bien se comporter n’est pas si mal.

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