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Histoire érotique L’exhibition ferroviaire de Fabienne

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Je me prénomme Fabienne, 48 ans mariée à Grégory restaurateur, maman d’une fille Camille 20 ans. Je suis certaine que vous avez déjà entendu parler de nous à travers les récits de Julie et Manon qui étaient employées chez nous pendant quelques années ainsi que de la famille, Brigitte, Philippe, Damien, Muriel et Marie-Claude.

Il y a quelques semaines, je me rendais en train à Paris pour assister à un salon dédié à la gastronomie ; précédé par des rendez-vous professionnels

La gare d’arrivée approchait et comme tout le monde, je me lève pour me rendre près des portes de sorties, dans cette sorte de petit palier après les portes coulissantes.

J’étais vêtue d’un pull moulant mes formes et d’une jupe courte, chaussée de bottillons. Mes dessous, un soutien-gorge blanc, un porte-jarretelles assorti des bas couleur chair et un string. J’enfile mon long manteau, et me dirige vers la sortie.

Il y a beaucoup de monde, et comme tout le monde pense que l’arrêt est proche, on se sert de plus en plus dans ce palier étroit, collés les uns aux autres.

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Je me retrouve malgré moi collé contre un homme qui est appuyé dos au mur dans un coin.

– Je m’excuse !

Il me répond amusé :

– Au contraire… !

C’est que je fais un bon 105C qui s’écrase contre lui… C’est un bel homme, d’environ 35 ans, et l’air coquin.

Je sens que derrière moi la personne collée dans mon dos bouge et plaque son ventre contre mes fesses. Nous sommes serrés à mort.

C’est un homme derrière moi d’après la voix qui dit à celui devant moi :

– Bien la première fois que je vais regretter que ça ne dure pas longtemps !

Je tourne un peu la tête, et je vois un beau gars jeune, brun, très grand.

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Ils rigolent, j’ai compris l’allusion. Je ne sais pas s’ils se connaissent mais ils échangent des regards complices. Je suis un peu gênée mais en même temps… je me sens bien au chaud…

C’est alors qu’une fée a dû entendre le vœu de ce Monsieur, car le train se met à ralentir, et une voix dans le haut-parleur annonce :

– Mesdames Messieurs, un incident sur la voie ferrée nous obligent à nous arrêter durant quelques minutes…etc.…

En effet le train s’immobilise au milieu de la voie. Tout le monde râle, impossible de retourner à nos places, dans les allées il y a plein de monde avec des bagages. Nous ne bougeons plus.

Mon voisin derrière moi dit :

– Hummm, ce ne serait pas un signe du destin, ça ?

Le Monsieur devant moi le regarde amusé puis me regarde intensément dans les yeux, puis mon décolleté, tandis que je sens au niveau des fesses mon voisin de dos avoir une érection d’enfer…

Il presse son sexe et son ventre encore plus contre moi ce qui m’oblige à presser mon ventre contre celui qui est devant moi…

Il est en érection lui aussi et à son regard encore plus intense, je vois qu’il croit que je me presse contre lui exprès. Je commence à être de plus en plus gênée, mais aussi de plus en plus excitée…

Il jette un coup d’œil à celui derrière, je suis sûre qu’ils conviennent de quelque chose et je sens une main qui me caresse les fesses doucement tandis que celui derrière moi me susurre à l’’oreille :

– Vraiment vous êtes très belles madame, très sexy, c’est un bonheur d’être coincé comme ça contre vous. N’est ce pas ? Demande-t-il à celui qui devant moi qui répond :

– Oh oui… Il y a des incidents de voie heureux !…

Alors je sens que celui devant moi caresse mes cuisses (mon manteau est ouvert et ma jupe est courte) doucement par effleurement. Il se rend compte que je porte des bas et un porte-jarretelles il me susurre à l’oreille :

– Hummm j’aime les femmes en porte-jarretelles et des bas, c’est rare à notre époque, vous êtes très sexy !

L’homme derrière passe sa main par l’ouverture de mon manteau dans mon dos, et me caresse les fesses.

À gauche de nous, la personne a le dos tourné, à droite c’est la porte. Personne ne peut rien voir.

Je commence à être excitée, si je pouvais je me dégagerai mais… Le côté forcé ne me déplaît pas… Et je me dis que ça n’ira pas plus loin bien que nous sommes à l’abri des regards, il y a plein de monde quand même.

Erreur ! C’était sans compter sur leur culot !

La main derrière moi remonte ma jupe pour caresser mes fesses nues puisque je porte un string…

La main devant moi caresse mes cuisses couvertes de bas, remonte, s’attarde sur l’attache des bas du porte-jarretelles. En atteignant le haut de mes cuisses, instinctivement je serre les cuisses en disant tout bas :

– Arrêtez voyons !

Mais il remarque que je suis troublée.

Il avance ses jambes entre les miennes, me forçant à les ouvrir, et sa main reprend son exploration… Il caresse mon entrejambe, effleure mon sexe par-dessus mon string…

Pendant ce temps, mon voisin derrière connaît mes fesses par cœur, commence à baisser doucement mon string avec difficulté car la place manque pour manœuvrer.

C’est hyperexcitant de le sentir doucement… Et je me retrouve le sexe à l’air dans un train, les jambes écartées que je ne peux plus serrer, entre deux inconnus bien décidés à passer le temps agréablement…

Mon voisin de devant a aidé à la descente de mon string, et glisse maintenant des doigts experts sur ma chatte trempée… Je suis offerte à ces deux hommes et je ne peux pas m’échapper.

Il sourit en constatant l’état de mon sexe :

– Hummm, ça ne te déplaît pas du tout hein ?

Celui de derrière a glissé un doigt dans ma chatte humide, tout doucement, le retire pour masser mon anus…

Celui devant fait glisser tous ses doigts sur mon sexe, titille un peu mon clitoris…

Ma respiration s’accélère… Et celui derrière enfonce son doigt dans mon anus qu’il a réussi à dilater avec beaucoup de savoir faire…

Je rage de sentir mon corps réagir malgré moi, mais c’est si bon.

Je me retiens de crier de plaisir et celui qui est devant se penche par-dessus mon épaule pour parler tout bas à l’autre :

– Je vais la lécher. Tiens la par la taille ?

Je dis tout bas :

– Non, non vous êtes fou !

Mais je suis tenue solidement par la taille tandis que celui devant disparaît entre mes jambes. S’il n’y avait pas tant de monde il serait de toute façon caché par mon manteau.

Celui derrière, continue son va-et-vient dans mon anus qui s’ouvre de plus en plus, il l’humidifie sûrement avec de la salive. Il arrive maintenant à mettre deux doigts ? C’est terriblement bon, il le fait trop bien…

– T’aime ça hein ? Hummm qu’est-ce que j’aimerais être là-dedans…

Celui de devant est accroupi entre mes jambes, écarte mes grandes lèvres pour prendre tout mon sexe dans la bouche.

Il pénètre de deux doigts ma chatte liquéfiée et cette double pénétration de doigts me rend folle. Malgré tant de monde autour de nous j’arrive à me contenir.

Il est expert en cunnilingus, sa langue me fouille, me donne des petits coups sur mon clitoris qui est devenu hypersensible, roulant sa langue autour, en le titillant du bout de la langue, en le suçant tandis que mes deux orifices sont fouillés de plus en plus fort.

J’ai à peine fait attention que je n’ai plus senti le bras autour de ma taille pendant un petit moment et celui de derrière, présente son sexe au bord de mon anus. Il me montre un emballage vide et me dit :

– J’ai mis un préservatif, ne t’inquiète pas.

Il s’enfonce tout doucement… Et murmure à mon oreille :

– Oh, qu’il est bon ton trou du cul !

Je suis dans un état d’excitation, de trouble et de honte indescriptible. Il va et vient vraiment doucement, nous sommes trop serrés pour qu’il fasse autrement.

L’autre continu de me lécher comme un affamé, je ne peux m’empêcher de remuer le bassin, parce que je sens que je vais jouir. Le comprenant il s’arrête tout en restant à sa place, et j’imagine qu’il contemple ma chatte, tout en caressant mon entrecuisse, il écarte un peu mes lèvres, semble tout explorer, dépose des bisous sur mes cuisses et mon sexe. Il fouille mon vagin, masse mon point G.

C’est à ce moment-là que le train s’ébranla nous secouant et faisant faire un va-et-vient brutal à celui de derrière. Je pousse à la fois un cri de plaisir et de douleur, mais comme tout le monde est surpris, ça passe heureusement inaperçu.

L’annonce nous dit que l’incident est terminé et que nous entrons en gare dans quelques minutes…

Celui de devant se relève, s’essuie la bouche et murmure à mon oreille :

– Tu as la chatte la plus délicieuse du monde…

Celui de derrière, qui s’est retiré, et qui a entendu me dit :

– Tu as le trou du cul le plus délicieux du monde…

Nous riions, ils me remettent mon string et rabattent ma jupe. Je suis dans un état d’excitation et celui de devant le remarque, il demande à l’autre :

– Tu as le temps ? L’autre répond : Oui

Il me demande alors :

– Nous n’allons pas nous arrêter là, n’est ce pas ? Ça serait dommage… On trouve un endroit tranquille pour nous trois ? Un hôtel ?

Je n’arrive pas à croire que c’est moi qui réponds :

– D’accord.

Le train rentre en gare et… Il guide ma main jusqu’à son sexe par-dessus son pantalon : il est dur comme fer, je ne peux pas.

Le train s’arrête et nous descendons du train. Sur le quai ils se présentèrent :

– Je m’appelle Hervé me dit celui qui était devant moi.

– Moi c’est Francis.

– Et moi Fabienne.

– Enchantés Fabienne.

Nous, nous dirigeons vers la sortie, Hervé dit :

– Vous ne trouvez pas dommage de poursuivre bêtement dans un hôtel une aventure qui a si bien commencé de façon insolite ?

– Oui tu as raison dit Francis. Mais allez où ?

– Puisque nous avons commencé dans un train, continuons dans un train. Qu’en penses-tu Fabienne ?

La folle dingue que je suis devenue en 30 minutes et qui ne se soucie plus du tout de ses rendez-vous. Elle répond :

– D’accord pourquoi pas ?

Nous repérons le premier train à partir et Francis court nous acheter des billets.

Nous montons, et à nouveau la petite fée du sexe est à notre côté : c’est un wagon à compartiments.

Nous trouvons un vide, de suite nous tirons les rideaux et attendons quelques minutes après le départ pour être sûr que personne ne rentre…

Mais mes amants voyageurs ont commencé à me caresser par-dessus mes vêtements…

Je me lève pour enlever mon manteau, je suis au milieu d’eux, ils sont assis l’un en face de l’autre. À nouveau, je les retrouve un derrière un devant. La proximité des banquettes leur permet de rester assis tout en s’occupant de moi. Ils soulèvent ma jupe, me retirent complètement mon string et reprennent les choses là où ils les ont laissées.

Le train roule, les saccades ne font qu’augmenter la tension, et se trouver cul nu au milieu de deux hommes dans un endroit où d’habitude on ne fait que lire, dormir ou s’ennuyer est très excitant…

Je lève mes bras et m’accroche au porte-bagages au-dessus de moi. Les jambes écartées je suis à nouveau offerte à leur savoir-faire. Hervé écarte mes lèvres et donne juste des petits coups de langue… Francis écarte mes fesses et lèche l’anus…

Des personnes circulent dans le couloir en parlant, je vois leur ombre passer à travers les rideaux… Quelle excitation de me dire qu’ils pourraient ouvrir la porte et nous surprendre.

La langue d’Hervé devient plus presssante, sa bouche aspire mon sexe, le retient pendant qu’il remue sa tête de droite à gauche ce qui me fait gémir de plaisir…

Francis enfonce un doigt dans mon anus puis un deuxième ; et un autre dans ma chatte suivie d’un second. Je plane complètement.

Le train a des secousses qui en s’ajoutant aux mouvements de ses doigts me font gémir de plus en plus fort.

Hervé ne s’occupe plus que de mon clitoris qu’il titille du bout de sa langue qu’il rend pointue et dure, je finis par jouir et tombe sur les genoux de Francis.

– Ah, ma belle, c’était bon hein ?

– Oh, oui… Trop.

– Bien maintenant il faut que tu t’occupes de nous.

– Enlève ton pull, que l’on voit tes seins.

Je retire mon pull et dégrafe mon soutien-gorge puis le retire, ma jupe suit le même chemin. Il ne me reste plus que le porte-jarretelles et mes bas.

– Oh quelle poitrine !

Chacun s’occupe d’un sein, le caresse, le mordille, suce le téton, tandis qu’ils ont chacun une main qui fouille ma chatte…

– Allez viens.

Ils se sont assis et ont baissé leurs pantalons, slips et ont sorti leur sexe. Ils sont bien membrés tous les deux, j’ai décidément de la chance.

Des personnes s’arrêtent devant la porte pour discuter pendant que je les suce activement l’un après l’autre. Je suis à genoux devant eux, en porte-jarretelles, bas. C’est une situation folle, qui m’excite terriblement.

Francis se lève et tandis que je continue de m’occuper  de Hervé, il me soulève les fesses et me prend par-derrière, me caresse les seins, me pince les tétons.

Le train s’arrête dans une gare, mes gens passent et repassent dans le couloir, sans savoir ce qui se passe dans ce compartiment.

Je m’attends à tout moment à ce que quelqu’un ouvre la porte, puis le train repart, ce qui nous a failli perdre l’équilibre en ajoutant encore un côté dément de la scène…

Hervé et Francis changent de place. C’est Hervé qui à présent s’occupe de mon anus, le lubrifie de sa salive… Je m’attends à ce qu’il me sodomise, non il me demande de m’asseoir sur Francis face à lui. Je m’empale sur le sexe de Francis, tandis qu’Hervé positionne son sexe contre mon anus et y pénètre facilement.

Je sens leurs va-et-vient dans mon ventre, rythmés par les saccades du train, mes seins se balancent, je gémis de plaisir, je vais avoir un orgasme.

J’entends encore des voix, à la porte, des ombres qui s’attardent… En regardant mieux, je m’aperçois que là où le rideau n’est pas bien fermé (il a dû bouger avec les secousses du train) des yeux, nous observent. Nous entendons des rires, des :

– Oh elle a l’air bonne !

Je suis horriblement gênée et en même temps excitée d’être ainsi vue prise par deux hommes. D’autres ombres, d’autres yeux viennent se coller à la vitre.

Francis et Hervé s’en aperçoivent aussi et leur font des signes, satisfaits.

Nous entendons :

– On peut venir aussi ?

– Non elle est à nous ! Mais regardez si vous voulez !

– Vous n’êtes pas sympas, montrez-nous au moins comment elle est, nous ne voyons rien !

– Après vous nous laissons tranquilles ?

– Promis !

Francis me dit :

– Montre leur ton cul une bonne fois et nous pourrons continuer tranquilles !

Hervé se retire et me laisse me relever !

– Oui tourne-toi vers eux !

Je n’ai jamais fait d’exhibitionnisme, mais toute cette aventure m’a tellement chamboulée que je me sens prête à tout. C’est à ce moment-là qu’une de mes jarretelles a lâché. Je m’empresse de la refixer à mon bas lorsque j’entends Francis dire :

– Hummm c’est très excitant une femme en porte-jarretelles fixant ses bas !

Je me positionne le dos à la porte.

– Ah oui, elle a un beau cul !

– Elle peut se pencher un peu que l’on voit sa chatte ?

– Ils sont pénibles dit Francis, fait le, ma chérie, que nous puissions de nouveau nous amuser !

Sous une délicieuse humiliation je me penche et tends mon arrière-train dévoilant mon intimité à ces inconnus que je ne vois pas…

– Écartez un peu ses fesses…

Francis les écarte, écarte aussi les grandes lèvres.

– Ça vous va comme ça ?

– Oh là, là ! Elle a l’air trop bonne ! Allez laisser nous venir !

– On vous a dit non, maintenant laisser nous !

– On peut au moins continuer à regarder ?

– D’accord !

Je suis dans un état de honte comme je n’en ai jamais connu, mais je ne suis plus moi-même. Nous recommençons notre séance avec nos spectateurs qui n’en perdent rien, sauf j’imagine, quand des gens passent.

Francis et Hervé jouissent avec un râle successivement, chacun dans un de mes orifices en me donnant de grands coups durant lesquels je me retiens autant que je peux de crier.

Nous entendons ;

– Ah les veinards !

Nous, nous rhabillons, et décidons de descendre à la prochaine gare et de remonter sur Paris.

Nos voyeurs sont partis. Le train s’arrête, nous descendons et nous attendons le prochain pour Paris en prenant un café.

Nous discutons presque comme de vieux amis, en tout cas comme des gens qui se comprennent.

– Ça t’a plu tout à l’heure de montrer ton cul ?

– Dans un sens oui… Surtout en sachant qu’ils n’y toucheraient pas, c’était excitant de les exciter pour rien !

– Petite coquine va ! Dit Francis.

– Et si on faisait la même chose dans le train du retour ?

– Ta jupe est déjà courte, tu la rends encore plus courte en la remontant, tu te rends aux toilettes et tu enlèves ton string et une fois dans le train tu t’exhibes au plus grand nombre de mecs, l’air de rien !

– De toute façon, dit Hervé ils verront que nous sommes là avec toi, ils ne te feront rien !

C’est une idée dingue mais c’est une journée de dingue, je réponds :

– Pourquoi pas !

Et je pars aux toilettes enlever mon string, relever ma jupe en la roulant à la ceinture, j’enfile mon manteau et je les rejoins.

– Parfait comme ça ! Tu vas tous les rendre malades !

Le train arrive, nous montons. J’enlève mon manteau, Hervé est devant moi, Francis derrière moi. Nous discutons normalement en restant debout dans l’allée après avoir laissé passer tout le monde.

Nous marchons lentement comme si nous n’étions pas pressés de s’asseoir, et lorsqu’il y a des banquettes avec uniquement des mecs, je m’appuie de dos un peu sur le côté au dossier, les fesses tournées vers eux, tout en continuant à discuter.

Francis tire doucement ma jupe très discrètement et je sens l’air froid sur mes fesses nues à la vue des deux hommes assis. Hervé les observe , me sourit, et nous repartons faire d’autres victimes.

C’est un jeu délicieux qui nous rend encore plus complices.

Après avoir fait une bonne dizaine de malheureux qui n’ont pu que regarder, nous nous asseyons enfin. À Paris nous, nous séparons, puis j’ai baissé ma jupe, sans remettre le string.

Je suis allé à mes rendez-vous ainsi qu’au salon culinaire cul nu, et au retour dans le train je me suis légèrement exhibée devant un couple en écartant légèrement mes cuisses, en le faisant passer pour une exhibition accidentelle. Malgré les multiples manœuvres, le couple resta insensible. Ou dans les toilettes j’ai dégrafé une jarretelle sur chaque jambe afin de rattacher mes bas devant des voyeurs.

Je ne suis pas allé plus loin n’ayant personne pour ma protection.

Rentrer à domicile mon mari me demande si la journée s’est bien passée. Bien entendu je ne lui ai rien dit.

Véronique

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