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Histoire érotique Un couple libertin se rend chez le médecin Chapitre 2

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Histoire érotique De retour dans sa ferme-auberge, elle évita bien sur de tout révéler ni à son mari, ni à sa fille Camille 20 ans, pourtant les deux femmes du foyer sont très complices entre elles.

Les jours qui suivirent furent pour Fabienne une longue attente, entre son travail et sa vie de famille elle n’avait pas beaucoup de temps pour elle. Cependant elle n’arrêtait pas de penser à Philippe et souvent elle quittait son travail pour aller se masturber, en repensant à l’aventure qu’elle avait eue dans la salle d’attente.

Elle se posa même la question :

« Est-ce que le médecin m’aurait baisé comme avec Brigitte, si je ne suis pas partie…. Je comprends maintenant pourquoi mes amies m’ont dit qu’il y a une longue attente, et aussi pourquoi il ne prend que deux patientes le matin et deux l’après-midi si ce ne sont que des femmes, car ils les obligent à avoir une relation sexuelle ».

Fabienne patienta et elle savait que d’ici 15 jours l’auberge sera fermée pendant 15 jours pour congé annuel. Son mari devait partir avec ses copains à la pêche en Irlande elle sera seule avec Camille sa fille, elle trouvera bien un jour où Camille rejoindra ses copains et copines, pour rendre visite à Brigitte et Philippe.
Ces 15 jours durèrent une éternité, cela la perturbait, alors à chaque moment de liberté elle se rendait soit dans les toilettes soit dans les vestiaires voir à l’extérieur pour se donner du plaisir en se masturbant.
Pour avoir plus vite accès à sa chatte elle décida de ne plus porter de culotte, ce qu’elle a toujours refusé lorsque son mari lui demandait. Elle a trouvé cela excitant de sentir l’air frais frôler sa chatte et aussi l’aveu de Philippe que Brigitte n’en porte jamais. Mes robes devenaient de plus en plus courtes voir mini. Cette nouvelle façon de m’habiller choqua Camille, même si elle n’osait rien dire à sa mère l’interrogeait malgré tout.
Pendant la période de froid comme c’est le cas actuellement je quittais le collant, pour le retour soit du porte-jarretelles avec des bas ou des bas autofixant, ce qui me rendait très sexy.

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Deux jours avant le départ de mon mari pour la pêche en Irlande pendant la mise en place du service de midi, une envie de me masturber me prit soudainement. Comme j’avais pris de l’avance et que le personnel de service n’était pas encore arrivé, j’en ai profité pour me rendre dans la buanderie sous prétexte d’aller voir si les serviettes sont sèches au cas où mon mari me demande, en passant par le vestiaire j’ai pris la revue que Philippe m’avait offerte et arrivée à la buanderie je me suis troussée et je me suis masturbée pendant un quart d’heure, en regardant les grosses queues de ces hommes comparables à la queue de Philippe. J’étais à mon second orgasme lorsque j’entendis le téléphone sonner et Camille ne sachant pas ou je suis elle m’appela.

J’accourais avec mes doigts gluants pleins de cyprine laissant la revue sur place dans l’espoir de retourner car l’envie de continuer me chatouillait. À la fin de la conversation téléphonique je regagnais la buanderie pour terminer mon travail entamé avant le coup de fil. Mais en arrivant je trouvais Camille à ma place en train de feuilleter la revue elle trouva aussi la ou j’étais assise des traces de mes sécrétions vaginales. Je me trouvais dans une situation qui me rendait muette, je n’osais même plus la regarder tellement j’avais honte, je voulais ressortir lorsqu’elle m’interpella en me demandant des explications.

« Maman vient assied toi j’ai à te parler »

« Oui qui a-t-il ma fille ? »

« Maman ces derniers temps je te trouve bizarre, tu n’es plus comme avant…. Ta façon de t’habiller tu ressors les minijupes que tu portais quand tu avais mon âge, tu disparais plusieurs fois par jour sans dire ou tu vas tu reviens tu as l’air fatiguée, tu ne parles pas beaucoup juste ce qu’il faut. Quand j’ai fait la lessive début de semaine je n’ai trouvé aucune de tes culottes dans le panier à linge juste un soutien-gorge et des bas, et le comble c’est qu’en arrivant ici je trouve cette revue cochonne ouverte sur cette grosse queue….. Maman je te demande des explications car tu m’inquiètes de plus en plus…. Je t’écoute »

Étant dans l’embarras et ne pouvant plus mentir je me suis expliqué franchement en espérant que Camille comprend sa mère.

« Voilà Camille, tu as déjà dû remarquer que l’entente entre ton père et moi n’est pas au beau fixe …. J’avais rendez-vous chez le médecin pour un problème d’estomac et dans la salle d’attente j’ai fait connaissance avec un homme dont sa femme était dans le cabinet en consultation. Voilà, j’ai fait l’amour avec ce Monsieur dans la salle d’attente, pendant que le médecin auscultait sa femme. »

« Maman, mais tu n’y penses pas faire l’amour dans un endroit public et en plus avec la femme de cet homme dans la pièce à côté ».

Je lui ai raconté de A à Z le déroulé de cette baise et que finalement je ne suis pas resté chez le médecin.

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« En plus c’est un couple libertin et ils m’ont invité à venir pour faire plus ample connaissance sur le plan sexuel comme amical ».

« Et tu as accepté ?

« Oui bien sûr, j’irai le voir la semaine prochaine lorsque ton père sera parti….quand à la façon de m’habiller, je veux être vêtue comme Brigitte, elle ne porte que des minijupes et ne porte jamais de culotte….si je m’absente ce n’est ue pour me masturber en pensant à Philippe et à sa queue qui ressemble à celle de la revue que tu as découverte ».

« Maman tu veux quitter Papa ? »

« Non Camille, je l’aime malgré tout ; mais comme il ne me satisfait plus j’ai décidé de prendre un amant, et pourquoi pas une amante comme Brigitte me l’a demandée ».

« Maman, tu n’as jamais eu de relation avec une autre femme ? »

« Non, pourquoi ? »

«  Comme ça, et tu aimerais ? »

« Je ne sais pas….j’aimerais bien essayer mais avec qui ? »
« Avec moi, Maman ! »

« Avec toi ?…. Mais tu n’y penses pas tu es ma fille c’est de l’inceste ! »

« Je t’en prie, Maman ! Et alors personne ne le saura, ce ne sera qu’entre toi et moi, nous ne le dirons même pas à Papa ».

«Camille tu n’es pourtant pas une lesbienne à ce que je sais ? »

« Non maman mais je suis une bi ! »

« Si tu le dis Camille, mais pas maintenant il va falloir se mettre au travail »

« Merci Maman, je t’aime »

Un baiser appuyé sur la bouche de sa mère, Camille retira sa culotte sous sa jupe courte imitant sa mère, elles se sont rendues en salle pour terminer la mise en place. De temps à autre une main baladeuse se posa sur une fesse de Fabienne, comme si sa fille voulait s’assurer qu’elle n’avait pas remis une culotte.

« Arrête Camille, pas ici ton père n’est pas loin »

« Après le service de midi nous trouverons bien un instant pour être ensemble »

Malheureusement, l’auberge étant complet elles n’avaient pas le temps de passer aux loisirs sexuels hors des baisers langoureux et quelques attouchements.

Camille proposa alors à se mère de l’accompagner chez Brigitte et Philippe , mais Fabienne refusa en promettant à sa fille de tout lui raconter.

La nuit du dimanche à lundi, Fabienne attendait que son mari soit plongé dans un sommeil profond pour se lever et aller rejoindre Camille dans sa chambre. Fabienne pénétrait la chambre discrètement sans faire de bruit retira sa nuisette et se glissa dans le lit à côté de sa fille endormie.

Fabienne hésita longtemps avant de glisser sa main sur le corps de Camille en commençant par les seins puis en descendant sur son bas-ventre. C’est en touchant la chatte que Camille réagissait et lentement se réveilla. La mère et la fille s’enlacèrent, s’embrassèrent, et elles ont fini par faire l’amour une bonne partie de la nuit. Elles eurent plusieurs orgasmes d’affilée.

« Maman chérie, dis-moi tu as aimé ? »

« Oh, oui chérie…..c’est merveilleux et nous allons recommencer, mais maintenant il est grand temps que je retrouve ma chambre. Après un long baiser langoureux, Fabienne regagnait ensuite sa chambre avant que son mari se rende compte de l’absence de son épouse.

Le lundi matin le mari de Fabienne partait avec ses copains pour un périple qui les amenaient en Irlande pour une campagne de pêche.
Dès que le mari confirma son arrivée à destination, Fabienne prit rendez-vous avec Philippe…. Ce dernier lui avait demandé de se vêtir comme la dernière fois chez le médecin. Elle lui signifiait qu’elle sera chez lui dans environ une heure trente.

Fabienne se retrouvait alors dans sa chambre en compagnie de Camille qui la regardait revêtir ses habits en ajoutant un porte-jarretelles des bas, et comme Philippe il aime les femmes sans culotte, Fabienne a omis de la sortir de son tiroir.

Une heure plus tard elle arriva devant sa maison cossue située au fond d’un jardin arboré parfaitement entretenu. Philippe l’attendait sur le perron et la fit entrer ; il avait fier allure, vêtu d’une robe de chambre de soie japonaise. Fabienne était émue et Philippe dut la soutenir en la prenant dans ses bras. Ils se faisaient face, serrés l’un contre l’autre, sous le regard de Brigitte qui venait de rentrée dans le salon entièrement nu. Brigitte s’approcha alors de Fabienne pour l’embrasser pleine bouche, avant qu’elle la laisse de nouveau dans les bras de Philippe. Après un vrai baiser amoureux, ils commencèrent à se caresser.

« Mais Philippe tu n’as rien en dessous ? »

« Tu as raison, glisse ta main sous mon peignoir… »

Brigitte allait jouer la spectatrice assise dans le fauteuil, les cuisses écartées, une main pelotait ses seins et l’autre main posée sur sa chatte se doigtait ?

« Tu bandes déjà »

« Comme jamais chérie depuis que je t’attends…….oui caresse la… Je retrousse ta robe pour voir tes fesses ! »

« Oui…..Ouiiiiiii »

« Oh Fabienne tu n’as pas de culotte, hummmm…… ouahhhhhhhh la surprise j’adore les femmes en porte-jarretelles, très sexy hummmm ».

« Je savais que tu aimes les femmes sans culotte alors je n’en ai pas mis, et pour tout te dire je me sens mieux sans ».

Il posa sa main sur me vulve.

« Mais tu es toute mouillée »

« C’est toi qui es le fautif »

« Prends ma verge dans ta main et glisse-la entre tes cuisses »

« Comme ça, debout ? »

« Oui tu sens mon sexe sur ta vulve ? »

« Ce n’est rien de le dire…..il se vautre entre mes petites lèvres »

« Branle-toi, bouge ton ventre »

« Comme ça….juste une caresse ? »

« Laisse faire les choses….prends du plaisir…c’est toi qui décides ! »

Brigitte mise assise mise allongée dans le fauteuil avait préparé différents objets dont de fruits et légumes dans une boîte à côté  du canapé. Je me rends compte maintenant qu’elle vient de prendre un godemiché anal qu’elle est en train de faire pénétrer dans son petit trou et d’un concombre lequel elle va s’en servir pour se goder.

« Baise-moi Philippe »

« Attends je plie un peu mes jambes….tu sens ma verge qui se redresse….continue de bouger….tu vois la différence ? »

« Oui Philippe c’est ton gland que je sens maintenant et qui ravage ma vulve »

«Tu le sens qui passe sur ton vagin ? »

« Oui….ouiiiii….à chaque va-et-vient »

« Essaie de le capter »

« Avec mon vagin ?…..je crois que j’y suis »

« À toi de jouer maintenant, excite-toi…excite-moi….oui…tu es en place….je le sens, bouge ! »

Toujours assise dans le fauteuil Brigitte hurle de plaisir en se godant avec cette fois-ci un concombre elle doit être à son second orgasme.

Fabienne quant à elle se mit à bouger doucement d’abord mais de toute la longueur du sexe de son partenaire. Quand leurs ventres s’épousaient, quand la toison de Philippe, sorte de tablier de forgeron venait caresser son clito, c’était délicieusement jouissif et quand en reculant elle sentait son gland au bord de ses lèvres avant de le faire replonger son vagin s’ouvrait en corolle pour mieux l’engager dans sa chatte.
Philippe était bien, cela se voyait, elle scrutait son visage, il perdait pied lui aussi, alors elle augmenta la cadence en serrant sa queue quand elle lui échappait. Elle lui fit perdre son calme, il devint comme fou, il se mit à la dépoitrailler en l’embrassant dans le cou, en lui bouffant ses seins nus, il la prit par les fesses et pour la première fois il lui glissa un doigt dans son anus.

Brigitte quant à elle arrêta avec le concombre et son gode anal, se leva chercha un plug qu’elle remit dans l’anus et sorti d’une boîte des boules de geisha qu’elle inséra dans sa chatte. Puis elle nous avisa qu’elle allait faire le ménage et faire la lessive.
À la vue et au dire de Brigitte, Fabienne et Philippe étaient de plus en plus excités.

Fabienne allait faire jouir, elle remuait les fesses comme une forcenée, pour le rejoindre, claquant son ventre contre le sien, elle serrait ses cuisses, contractait sa chatte sur la hampe de Philippe.

« Fabienne…je vais jouir….ahhhh…c’est bon….ma bite dans ta chatte »

« Traite-moi de salope….de cochonne, ça m’excite….

En fait c’est Fabienne qui explosa la première, elle perdit toute notion d’espace et de temps en temps son plaisir était grand, tout en continuant de se masturber sur le sexe de Philippe, elle l’inonda souillant ses couilles, son ventre, ses cuisses et c’est en serrant son vagin sur le sexe de son amant, qu’elle sentit qu’il éjaculait au plus profond de son ventre, cela la révulsa et elle plongea avec lui, ensemble dans un abîme de plaisir.
Elle jouissait encore quand il lui demanda se s’agenouiller devant lui son visage, sa bouche, entre ses cuisses ouvertes.

« Viens me sucer la bite…viens réparer les dégâts sur mes couilles….nettoie-les avec ta langue…lèche-les…..cochonne….salope….aspire-les dans ta bouche….oui….ouiiii….prends l’autre….gobe-la….tu aimes ça hein….agite ta langue sur mes couilles, prends mon sexe dans ta bouche….allez régale toi…tu es une sacrée suceuse de bite….tu voulais jouir dans des positions invraisemblables….tu vas être servie…..

Pendant qu’ils soufflaient un peu, Brigitte le plumeau à la main faisait tranquillement les poussières en gémissant, les boules de geisha dans son vagin et son plug anal lui procuraient des jouissances à répétition.

Avec une force qu’on ne lui soupçonnait pas Philippe, en douceur, comme il avait l’habitude de faire ce geste, manipula Fabienne qui comprenant la manœuvre la facilita. Ils se retrouvèrent face à face, l’un contre l’autre mais à l’envers, elle ses cuisses en l’air ceinturant son cou le visage de Philippe entre ses fesses écartelées, sa bouche à deux doigts de sa chatte inondée, offerte et elle la tête en bas bien placée pour le sucer. Comme Fabienne ne portait pas de culotte la tâche était facilité.

« Je vais te sucer la chatte…Tu sens ma langue ? »

« Oui et toi tu sens la mienne qui lèche tes couilles, ma bouche qui te pompe le dard…tu la sens dis ? »

Brigitte s’effondrait tellement elle a eu d’orgasme d’affilée elle retourna s’asseoir dans le fauteuil tout en laissant ses jouets en place. Elle s’endormit même.

Fabienne allait de découverte en découverte, caressée par un visage qui se vautrait entre les fesses, une bouche un nez, des lèvres, une langue qui branlait son vagin et son clitoris, elle fit en sorte de rendre à Philippe le plaisir, celui de tous ses fantasmes et qui se réalisait enfin et quand ils se retrouvèrent debout côte à côte après ce moment exceptionnel, ils s’embrassèrent chastement et ce fut le meilleur des moments.

Ils décidèrent de faire une pause repas, ne s’étant même pas aperçu que Brigitte dormait dans le fauteuil les cuisses écartées, la petite ficelle des boules de geisha dépassant de son sexe, Fabienne fit un signe à Philippe en mettant un doigt devant sa bouche de la laisser faire.
Elle se mit en levrette entre les jambes de Brigitte et délicatement elle essaya de retirer les boules de geisha de son vagin, elle s’arrêta plusieurs fois car Brigitte eue de légers mouvements qui cessèrent une fois les boules sorties.
Fabienne approcha alors sa tête du sexe trempé de Brigitte elle se mit à lécher la vulve et pénétra sa langue la fouillant, buvant sa cyprine et pour finir elle prit entre ses lèvres le clitoris le mordilla, tirant dessus et le relâchant. Brigitte sortie alors de son coma et eu un orgasme alors que Fabienne se masturbait.

Pendant ce temps Philippe avait préparé un petit repas raffiné qu’ils dégustèrent enlacés…finis les cochonnes, les salopes ; injures désirées destinées à s’exciter mais des mots tendres, des mercis à leur rencontre.

« Tu sais ce que tu m’as promis »

« Oui Fabienne tu voulais connaître la sodomie….tu le désires toujours ? »
« Plus que jamais avec toi si expérimenté, je n’ai pas peur, fais-moi ce cadeau »

Seule Fabienne peut décrire ce qu’elle a ressenti cette toute première fois.

« Je suis à genoux en position de levrette, Philippe est derrière moi, sa queue glisse entre mes fesses, je les écarte autour d’elle, les resserre, ses mains les pétrissent, les malaxent, son sexe est massé par mes fesses.
Je me colle contre lui, je pousse mon bassin en arrière, me cambre, offre mon petit cul, il mouille sa main à la fontaine qui coule plus bas, fait glisser sa main entre mes fesses pour lubrifier mon petit trou ? Je sens alors un doigt entrer en moi, douce pression, lente, déterminée, que c’est bon… Je gémis tout doucement….je suis attentive, figée, il avance, s’immobilise, avance imperceptiblement…je tourne mon bassin, à peine je sens son doigt serré en moi ; je me contracte autour de lui, puis relâche…. »

Le doigt ressort lentement de mon anus, descends s’enduire de ma cyprine, remonte, entre tout entier, glisse lentement en moi, c’est tellement doux…je sens qu’il appuie sur les côtés, je sens des frissons légers comme des plumes courir sur ma peau, sous ma peau, je n’ai jamais ressenti une sensation aussi douce….je sens ses deux mains s’insinuer entre mes fesses, les écartés, je halète…

« Tu vas prendre ma bite et tu vas la faire pénétrer dans ton cul…. Doucement , et lubrifie la d’abord avec ta cyprine….aller va, y, Fabienne ! »

Je fais glisser son sexe entre mes lèvres de ma chatte, brûlante, trempées, quel plaisir c’est comme une délivrance. Philippe guide son sexe, je le sens se coller contre mon petit trou, alors je tourne j’appuie, c’est doux et violent à la fois…Philippe me guide à peine, me laisse l’enfoncer en moi, me laisse l’avaler, me laisse sentir, émerveillée, incrédule…. La douceur est telle que je ne sais pas si je peux continuer…je tremble un peu….
Il sort, lentement, je suis une poupée désarticulée entre ses mains, je suis à genoux, la tête dans les oreillers, appuyée sur mes coudes, ses mains agrippées à mes hanches.

Philippe se dégagea de mon anus et demanda à Fabienne de reculer au bord du lit afin qu’il puisse me sodomiser en étant debout. Puis il se rapprocha et s’introduit entièrement en moi, il s’arrêta et fit signe à Brigitte de venir se mettre couché devant Fabienne, sa chatte à la hauteur de la tête de cette dernière. Brigitte s’exécuta et avant de reprendre la sodomie il s’adressa à Fabienne…..

« Pendant que je t’encule tu vas lécher la chatte de Brigitte »

« Oh oui Philippe, hummm j’aime ça »

Fabienne passa ses deux bras de chaque côté de ses cuisses, plongea sa tête entre les cuisses et sa bouche rentrait en contact avec la vulve de Brigitte. Commençant alors un cunnilingus, alors que Philippe commençait à limer le cul de Fabienne. Le va-et-vient fait naître des ondes pleines, je sens ses testicules se presser contre mon clitoris, la douceur s’embrase, il vient de plus en plus vite, son bassin claque contre mes fesses, il respire si fort…. Je crie alors que je lèche le minou de Brigitte, je crie tellement c’est doux, mon corps jouit de mille endroits à la fois, soudainement je sens quelque chose me remplir, les spasmes du sexe de Philippe au fond de moi, je m’écroule morte la bouche sur la chatte ma langue titillant le clitoris de Brigitte qui me tient ma tête de ses deux mains et qui obtient son énième orgasme.

Enculer… Comment peut-on appeler ce que je viens de vivre avec ce mot affreux, en parler comme si c’était une punition, quelque chose de rabaissé… Je suis à plat ventre ; les cuisses écartées, les fesses ouvertes, le sexe de Philippe encore à moitié enfoncé en moi, dans mon petit cul tout ouvert et ma bouche plaquée sur la chatte de Brigitte, son clitoris entre mes lèvres.
Je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi doux, d’aussi loin que je me souvienne…Je me dis que je suis née pour qu’on me fasse tout ce qu’il me fait, tout ce qu’il me fait sentir, je me dis que j’en veux encore…. Je veux la sentir encore….je me tortille encore, je veux qu’il vienne encore…..

Brigitte demanda à changer de position, elle va se mettre en position dite le 69 ainsi elles pourront se lécher mutuellement pendant que Philippe…La sodomise une seconde fois. Une fois installée dans la bonne position tête bêche Philippe s’excitait en nous voyant œuvrer.
Brigitte alors de ses deux mains écarta les fesses de Fabienne pour que Philippe puisse mieux entreprendre la pénétration anale. Il me sodomisa pendant un long moment pendant que Brigitte et moi nous avons eu plusieurs orgasmes. Philippe déchargea sa semence dans mon cul.

Je viens de franchir le pas de la plus belle façon, celle de la sodomie, et une autre ma première relation avec une femme.

Après avoir pris une douche bien méritée je me rhabillais aidé par Brigitte qui me ceintura du porte-jarretelles autour de ma taille puis m’aida à enfiler les bas. Elle voulut me mettre le soutien-gorge, mais Philippe me demanda de ne plus en porter tout comme la culotte. J’enfilais ma robe et nous avons mis au point de nouvelles rencontre tout en buvant un café.

Brigitte me proposa une rencontre entre elle et moi. Ce que j’acceptais bien entendu. Alors je leur ai parlé de ma fille Camille et je leur ai expliqué que j’avais une relation incestueuse avec elle avant de venir ici.

Brigitte m’avoua alors qu’eux aussi ont souvent des rapports entre toute la famille que ce soit avec le fils, la fille, la belle-mère de mon fils et avec son épouse,
Philippe, voyait déjà se profiler une méga partouze dans les prochains temps.

Puis avant que je m’en aille, Philippe me tendit un cadeau en disant :

« Tiens Fabienne prend ce petit cadeau tu l’ouvriras chez toi et lorsque nous nous reverrons tu me diras ce que tu en penses ».

Brigitte m’enlaça et me roula longuement une pelle qui durait pour Philippe une éternité. Puis ce fut à son tour de m’embrasser, tout en me pelotant mes seins et mes fesses en passant sa main sous ma robe pour s’assurer que je n’ai pas mis de soutien-gorge, ni de culotte.
Brigitte et Philippe me raccompagnaient sur le perron nu et me regardèrent traverser le jardin.

Quand je suis arrivée chez moi, ma fille Camille m’attendait, m’embrassait langoureusement, Camille curieuse de savoir comment c’est passer cette journée, ne disant rien je l’ai emmené dans le salon ou j’ai ouvert le cadeau découvrant un sex-toy, une clé USB et un petit mot :

« Reçois ce sex-toy de la part de Brigitte et Philippe en signe de nos futures relations ainsi que la clé USB prise au médecin. Sur cette clé tu trouveras en premier la baise de Brigitte avec le médecin, en second notre étreinte dans la salle d’attente et enfin notre journée ».

Trop fatiguée par cette journée, j’ai décidé de la visionner demain avec Camille. Ce sera une journée sexe entre la mère et fille.

Fin.
(Rédigé par Julie avec l’autorisation de Fabienne et les conseils de Véronique)

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