Quelques jours après l’épisode au bar, mon chéri décide de le fermer pendant quelques jours. Il doit être hospitalisé. Nous rouvrirons quand il reviendra. Au fond de moi, je suis soulagée par cette décision.
Dans la semaine, en début d’après-midi, je suis entrain de prendre le soleil quand j’entends la sonnette de la porte d’entrée. Je regarde par le visiophone et je vois qu’il s’agit de deux de mes employés qui viennent aux nouvelles.
Je suis un peu agacée de les voir chez moi, mais machinalement je leur ai répondu. Avant de leur ouvrir, je passe en vitesse un paréo pour être plus présentable, même s’ils me connaissent intimement depuis de nombreux mois m’ayant petit à petit soumise à leurs désirs.
Le portail d’accès refermé, je m’avance à leur rencontre. Ça me fait bizarre de les voir à la maison.
Tout en leur faisant la bise, je sens leurs mains m’effleurer. Ils semblent étonnés de me voir habillée pour les recevoir. Je donne comme prétexte la vue du voisinage. Ça les fait bien rire, comme si j’en avais quelque chose à faire des voisins!
Je sens les mains de Daniel passer dans mon dos pour défaire le nœud de mon vêtement qui tombe à mes pieds. Je n’ai même pas le temps de protester que je suis nue devant eux.
Sans rien dire, je les précède jusqu’à la maison. A peine la porte passée, ils me basculent sur un petit canapé que nous avons dans l’entrée. Daniel plonge entre mes cuisses pour s’occuper de ma chatte trempée, pendant que je suce Jean.
Je suis trop bien, Daniel sort son superbe sexe qu’il introduit sans aucune précaution.
Je suis folle de plaisir, alors qu’il me martèle à grands coups de bassin, je sens ses boules taper mes fesses, c’est trop bon! Après avoir bien profité et m’avoir souillée l’un après l’autre, ils m’exposent la raison de leur présence.
Ils viennent m’annoncer que je suis conviée à une soirée organisée par eux avec la présence de plusieurs clients vendredi soir, donc deux jours plus tard. Je commence à refuser en prétextant la mauvaise santé de mon chéri. Mais ils me laissent à peine finir ma phrase en me disant que c’est pas le patron qu’ils veulent inviter à la soirée. Ils me veulent moi et si je ne suis pas contente, ils iront porter plainte pour harcèlement sexuel à leur encontre.
Elle est bien bonne celle-là, je les harcèle… J’ai beau leur dire qu’ils n’ont pas à se plaindre vu le nombre de fois où je suis offert à eux, ils restent intraitables! Je suis piégée, je n’ai pas le choix, je suis obligée d’accepter.
Je décide de ne rien dire à mon chéri, je ne veux surtout pas l’irriter dans son état.
J’ai droit à des sourires satisfaits, ils ont l’air de savourer leur victoire. Ils me donnent la consigne de m’habiller avec une tenue blanche terriblement transparente. Ils viendront me chercher à 19h00 vendredi.
Je suis dans tous mes états. Une colère terrible commence à gronder au fond de moi, mais je ne vois pas comment faire pour les coincer et m’éviter leur chantage, alors je décide de me soumettre encore une fois à leurs désirs.
Le soir venu je me prépare et m’habille légèrement comme convenu : Une micro jupe en lycra blanche en voile avec un top complètement transparent. J’affiche mes seins et mon sexe à travers la légèreté du tissu. Des cuissardes blanches avec des talons de 10cm complètent le tout.
Pour une fois, ils sont même en avance, je suis étonnée. Installée dans leur véhicule, je les sens détendus et agréables. Ça calme un peu mon appréhension, même quand ils me demandent d’écarter les jambes pour contrôler mon état d’excitation, je me laisse faire avec plaisir, ma chatte est liquide.
Ils se garent devant un restaurant où nous avons l’habitude de nous rendre avec mon chéri.
Une fois descendue, je les suis dans une grande pièce avec un bar en fond. Plusieurs personnes sont déjà là. Je reconnais principalement des clients du bar qui ont l’air enchanté de ma présence.
Je reçois pas mal de félicitations. Ils me trouvent jolie et bien habillée.
Quelques verres plus tard, l’ambiance est détendue, je les laisse plaisanter avec leur humour typiquement masculin alliant parfois le geste à la parole. Certains n’hésitent pas à me peloter. Je laisse faire, ils me disent que je suis là pour ça.
Ce qui me gêne le plus, ce sont les personnes extérieures à notre groupe qui me regardent avec étonnement. Je les connais, les ayant déjà vu avec mon homme.
Le repas se passe relativement bien, ils se contentent d’exhiber mes seins suite à la demande de l’un d’entre eux.
A la fin, alors que tout le monde est encore assis, un de mes employés se lève et prend la parole.
– Je vous remercie d’être présent pour cette soirée et je remercie beaucoup ma patronne d’être là!
Il se tourne vers moi et ajoute :
– Levez-vous s’il vous plaît! C’est très gentil de votre part d’avoir acceptée de vous mettre à notre disposition!
Quelle honte! Je suis debout devant eux, habillée comme une pute, alors qu’il vient de m’offrir à tout le monde!
L’effet de surprise passé, je les remercie de m’avoir invité en faisant un grand sourire.
Avant de partir pour la soirée, je dois satisfaire un besoin urgent, je m’éclipse au WC. Quelques minutes plus tard, je suis entrain de me regarder dans la glace quand plusieurs hommes entrent pour me retrouver.
Je suis rapidement entourée. Ils commencent à me peloter.
Je sens des doigts s’égarer, je suis de plus en plus mouillée. Les jambes écartées, la jupe relevée sur mes hanches, je sens un sexe me pénétrer avec fougue.
Au bout de quelques minutes de baise effrénée, je sens les mouvements s’accélérer et l’homme éjacule longuement dans ma chatte dégoulinante. Sitôt sorti, il est remplacé par un autre qui me dispose de manière à ce que je puisse sucer pendent qu’il me besogne. Plusieurs hommes se vident rapidement avant de m’entraîner avec eux.
Ils ont choisi de finir la soirée dans une boîte de nuit située à quelques kilomètres, tenue par des connaissances.
C’est ce que l’on appelle une boîte rétro des années 90. Je suis gênée que l’on me sorte dans des endroits connus, paradoxalement ça m’excite énormément d’être vue par des connaissances, j’ai le ventre à l’envers.
Les séries de slows alternent avec des musiques de notre jeunesse. Je trouve agréable d’écouter tant de temps après les musiques que l’on aime. Invariablement en dansant, j’entends des mots d’amour « salope, ça fait longtemps que j’attendais ça » on relève ma jupe pour me faire danser les fesses a l’air, quand ce n’est pas mes seins que l’on exhibe.
Le patron, me connaissant, vient me voir. Je m’excuse, je lui dis que je ne suis pas responsable.
Il m’avoue qu’il est au courant, on l’a prévenu. Il me dit également que je suis une sacrée coquine de sortir comme ça dans notre ville, il faut oser.
Pendent le restant de la soirée, l’alcool aidant, tout est prétexte pour m’exhiber, m’humilier. On vient me chercher pour sucer dans les box, des hommes connus ou inconnus. Je me laisse baiser dans les toilettes de la boîte. J’accompagne même à plusieurs reprises des jeunes dans leur voiture pour me faire défoncer devant l’objectif des téléphones de voyeurs présents.
Les femmes, quant à elles, ne sont pas en reste.
Je me fais traiter de pute à plusieurs reprises, elles sont même plus vindicatives que les hommes, après m’avoir entourée elles retirent mes vêtements pour m’exhiber nue devant tout le monde. Je suis dans tous mes états, je ne sais plus où donner de la tête!
Après s’être amusé une grande partie de la nuit, au petit matin, mes vêtements ayant disparu, c’est nue que l’on m’emmène pour acheter le petit déjeuner dans une boulangerie voisine de mon commerce et ouverte à la sortie des boîtes de nuit.
Ils font exprès d’aller dans des endroits où je suis connue pour m’exhiber!
De nombreuses personnes attendent leur tour en file indienne à la porte de la boulangerie. Une seule place de parking disponible juste à côté du magasin évidemment…
On me vois distinctement nue sur le siège arrière. Des jeunes se penchent pour me regarder et j’entends clairement l’un d’eux dire :
– Je la connais c’est la pute du bar d’à côté!
Un barman me dit d’écarter les cuisses en me traitant de salope. J’obéis et le sperme commence à couler de ma chatte grande ouverte. Quelle honte!
Le temps que leurs collègues reviennent avec les croissants, plusieurs personnes m’ont prise en photo. Je suis encore alcoolisée mais ça commence à me déranger, j’ai honte de moi, de mon comportement.
Cinquante mètres plus loin, on me fait descendre de la voiture pour entrer dans mon bar qui est fermé à la clientèle. Un de mes employés à la clé.
Pendant qu’ils commencent à se restaurer, ils me servent du whisky pour me remettre en condition. Après plusieurs verres, je suis à nouveau euphorique. La porte vitrée du bar est fermée, heureusement personne ne peut entrer.
Ces salauds m’assoient sur une chaise face à la rue, je suis toujours nue, les jambes écartées, avec interdiction de me lever le temps qu’ils finissent leurs verres.
Je suis complètement partie dans mon monde intérieur. Je ne vois plus rien, je mouille énormément. Je n’en peux plus, tout naturellement mes doigts descendent pour titiller mon petit bouton. Je suis à fleur de peau.
Quand ils m’entendent jouir, ils n’en reviennent pas et me traitent de tout les noms.
Je ne sais plus où je suis quand ils me laissent en début de matinée devant chez moi complètement bourrée nue sur le trottoir, je ne me rappelle même pas comment je suis rentrée dans la maison.
Quelques jours après cette soirée, mon chéri sort de l’hôpital et fait une réunion avec tous les employés.
Ceux-ci se moquent de moi et sont vraiment irrespectueux devant lui. Il décide alors de mettre l’affaire en vente, ça devient trop compliqué à vivre pour nous.
Le mois suivant, le bar est vendu. Quand je repense à cette soirée, je suis toute excitée. Le contexte et l’humiliation subie étaient vraiment énormes me laissant un souvenir impérissable.
A suivre…
Lyliane
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