Chapitre 10 et 11
Valérie pénétrée par Alain et Régis
Mireille et Catherine ont roulé ensemble sur un canapé et s’embrassent à pleine bouche tandis que, assise comme une idiote sur l’alèse froissée et baignant dans le sperme qui commence à se liquéfier, à refroidir et à sécher, je contemple Valérie. Debout, toute nue et très professionnelle, elle lubrifie elle-même son anus avec le produit prévu pour la soirée et dont la bouteille trône à côté des sandwiches. La semence des deux hommes commence à brûler sérieusement l’intérieur de mon rectum et Valérie semble lire dans mes pensées :
« Vous devriez expulser le sperme de vos trous, Mademoiselle Véronique…
Et je demande bêtement :
« Comment fait-on ?
Elle sourit et hausse les épaules :
« Il y a du sopalin et vous pouvez aller aux toilettes. Si vous voulez, je vous aiderai après la pénétration, je ne peux pas les faire attendre…
Un peu vexée et craignant d’être prise pour une cruche, je me lève et une rivière gluante coule le long de la face interne de mes grosses cuisses et mes fesses glissent désagréablement l’une contre l’autre. Je m’empare du rouleau de sopalin et je m’essuie, les jambes écartées, avec plusieurs feuilles successives que je jette au fur et à mesure dans la corbeille à papier puis, prise d’un pressant besoin, je me précipite aux toilettes.
Quand je reviens, Valérie est à califourchon sur Régis, empalée sur lui par le vagin et échange un baiser profond avec lui. Derrière elle, Alain vient de la pénétrer par l’anus. En quelques mouvements, ils éjaculent tous deux longuement en elle en criant de plaisir. Elle se relève et s’essuie comme je viens de le faire quelques minutes auparavant et elle me fait penser à une prostituée du XIXème siècle. Cela aurait fait, je pense, un intéressant tableau pour un peintre impressionniste ou pré-impressionniste…
« On a faim, réclame Régis, s’asseyant sur le canapé, saisissant un petit sandwich et ne pensant nullement à remercier la charmante jeune femme…
« Tout de suite, Monsieur…
« Valérie garnit sa nudité du petit tablier blanc et prend le plateau sur la table basse en proposant des sandwiches aux deux femmes qui se détachent l’une de l’autre, à moi et aux deux hommes. Régis débouche une bouteille d’un délicieux Côtes de Provence blanc tandis que Valérie disparaît dans la cuisine en roulant ses jolies fesses. Je la suis. La suite du dîner embaume. Elle verse une préparation appétissante dans un grand plat creux et ses seins ronds et tombants tremblent au gré de ses mouvements.
« Cela ne te fait rien d’être traitée comme ça par eux ?
« Ils me paient pour cela, Mademoiselle Véronique. C’est une bonne place et je suis bien payée. Je tiens la maison, je fais les courses et je fais la cuisine et mon corps est à leur disposition, c’est ce qu’ils attendent de moi… Vous devriez retourner auprès d’eux, c’est votre place…
« Tu peux me tutoyer, tu sais…
« C’est gentil mais pas ici, Mademoiselle Véronique…
« Tu n’as jamais pensé à rencontrer quelqu’un ? Un garçon ou une fille ?
Elle ricane :
« C’est l’esclavage que vous me proposez ?
Valérie pousse une table à roulettes chargée du plat et, à l’étage inférieur, d’assiettes et de couverts. Une bouteille d’un bon vin rouge est ouverte. La jeune servante disparaît à nouveau. Les deux hommes me font signe de m’asseoir entre eux et, tout en faisant honneur à la cuisine provençale de Valérie, me tripotent les seins.
——————————————————————————————-
L’anus de Véronique
A plat ventre sur le canapé, j’écarte mes grosses fesses de mes mains.
« Son anus est beaucoup trop étroit et serré, déclare Alain tout en enfonçant ses doigts non sans brutalité (et je grimace de douleur), vous n’avez pas pensé à l’élargir ?!
« Je te ferai remarquer qu’elle est toute jeune et qu’elle a été déflorée par ses deux trous aujourd’hui, répond Mireille. On ne va peut-être pas tout faire à la fois !
« Je ne vois pas pourquoi on ne commencerait pas tout de suite, moi je trouve qu’il faut l’élargir, surtout si vous voulez la donner à vos invités vendredi soir !
« Qu’en penses-tu, chérie ?
Je suis soudain vaguement inquiète :
« Je veux bien être élargie… Quels invités et que se passera-t-il vendredi soir ?
« Ce sera une soirée libertine comme nous en organisons régulièrement. Tu seras prise par beaucoup d’hommes et de femmes ! Et par tous tes orifices !
« Ah ? Eh bien c’est d’accord pour m’élargir mais ne me faites pas trop mal…
« Il faut beaucoup la lubrifier, objecte Mireille. Moi je la laisserais un peu tranquille…
« Il faut l’élargir tout de suite, répète Alain et son sexe arbore une vive érection.
« Lubrifiez-la, ordonne Mireille, notre invité a envie d’elle, vous voyez bien !
« Bien, Madame… Écartez vos fesses, chérie…
J’obéis et je sens à nouveau couler le lubrifiant qui me paraît glacé, puis les doigts de Mireille qui s’enfoncent profondément puis le poids d’Alain et le gland tuméfié de désir, énorme, qui franchit à nouveau le sphincter qui, sentant l’intrusion, a le mauvais esprit de se refermer vivement et je me retiens de hurler et je vois comme dans un rêve Mireille et Catherine qui ceignent toutes les deux une ceinture avec un gode énorme, imitation parfaite et gigantesque d’un sexe d’homme avec une texture rugueuse en relief et Régis reçoit une fellation de Mireille et grogne de plaisir.
Je crie sous les coups de boutoir de mon partenaire qui s’arrête et respire très fort et la verge se gonfle au maximum et je sens à nouveau le sperme jaillit dans mon rectum. J’ai mal et puis, non, ce n’est pas si désagréable… Je n’ai pas le temps de me poser d’autres questions : il se retire et je sens les seins de Catherine sur mon dos et je suis pénétrée à nouveau mais par un faux sexe, extrêmement dur, énorme, à l’érection infatigable et qui trouve son chemin dans le trou ouvert, lubrifié par le sperme.
Elle me laboure impitoyablement et je ne sais plus si j’ai mal, je ne sens plus mon anus tellement il est douloureux et la femme jouit comme si son sexe était vraiment le sien et la situation me semble tellement érotique que des spasmes parcourent mon corps et je jouis à mon tour et je crie, de plaisir cette fois et je pense à Maman et à Rachida qui serait certainement choquée, quoi que… et Catherine ressort et est remplacée aussitôt par Mireille puis par Régis, dûment durci par la bouche de Mireille et qui éjacule en moi tout en me broyant les seins et je hurle de douleur et de volupté.
« Une vraie fille anale, commente Alain.
« Emmenez-la se laver, ordonne Mireille et ramenez-la, nous n’en avons pas fini avec elle…
« Bien, Madame…
La jeune servante, toute nue, me soulève sous les genoux et les épaules avec une force surprenante de la part d’une fille aussi frêle. Pantelante, maculée de sperme, parcourue des dernières contractions de mon orgasme finissant, mes cuisses épaisses encore tremblant de plaisir, je m’abandonne, un bras autour de son cou, la tête posée sur son épaule. Elle monte l’escalier avec son fardeau et me transporte dans ma chambre.
A suivre
Ajouter un commentaire