Chapitre 12 et 13
Le premier client de Véronique
Le lendemain matin, 10h
Il fait un temps splendide et j’ai passé la nuit dans le lit de Mireille et Régis qui m’a pénétrée plusieurs fois et mon anus me fait mal mais je commence à m’habituer…
Je suis alanguie toute nue sur un transat au bord de la piscine, au soleil. Je pétris l’un de mes gros seins de ma main gauche et de la main droite je tire doucement sur le gros anneau qui traverse mon clitoris, mmm, c’est délicieux… J’entends vaguement un bruit de diesel qui s’arrête, une portière qui claque, une conversation, la porte de la maison qui s’ouvre et je suis sortie brutalement de ma torpeur par la voix de Mireille qui me paraît aussi désagréable que celle de ma mère.
« Tu te lèves, paresseuse, j’ai un client pour toi !
« Comment cela, un client ?
« Tu ne penses tout de même pas que tu vas être nourrie à l’œil pendant tout ton séjour ?!
« Mais…
Elle est vêtue d’un body et d’un micro-short et je remarque qu’elle tient une grosse enveloppe..
« Il faut que je m’habille ?
« Mais non, sotte !
Je me lève à regret, toujours nue et elle m’entraîne vers le vestibule. Un homme attend, d’un physique banal, plutôt un peu âgé, chauve, ventripotent, en tenue décontractée, chemise et pantalon. Par la porte ouverte, je vois une grosse Mercedes. Elle me pousse vers lui et pose l’enveloppe sur la petite table de l’entrée.
« Monsieur Muller, voici notre jeune amie Véronique. Elle va vous conduire dans sa chambre ! Véronique, voici Monsieur Muller, notre premier maire-adjoint. Je compte sur toi pour lui donner beaucoup de plaisir ! Un détail, Monsieur Muller : le préservatif est exigé. Si vous n’en avez pas, nous vous en fournissons, nous en avons prévu sur la table de nuit. Elle peut être pénétrée par le vagin ou par l’anus. Il est dix heures quinze, elle est à vous jusqu’à douze heures quinze !
Le regard de l’homme s’allume et il détaille du regard mes seins, mon ventre, ma fente épilée, mon gros clitoris, mes cuisses galbées.
« Très belle jeune fille ! Une simple question, Mireille : j’espère qu’elle est majeure ?
Et je remarque un fort accent méridional.
« Oui, elle a eu dix-huit ans il y a quinze jours !
« Ce n’est pas que je n’aie pas confiance en vous, Mireille mais je voudrais voir la carte d’identité de la jeune fille !
« OK, Véronique, peux-tu montrer ce qu’il demande à Monsieur Muller ?
« Il faut que j’aille la chercher dans ma chambre…
« Alors bouge un peu !
Je monte dans ma chambre et je redescends dans l’entrée munie du document demandé. Je tends la carte d’identité au maire-adjoint.
« Voilà…
Il la regarde attentivement et me la tend.
« Parfait.
Mireille me prend à part.
« Il y a du lubrifiant sur la table de nuit. Tu te lubrifies toi-même. Tu peux l’embrasser et lui faire une fellation. Tu peux le laver avant. Enfin tu te débrouilles. Tu m’appelles s’il y a vraiment un problème mais cela devrait bien se passer.
« Vous venez, Monsieur Muller ?
Je lui montre le chemin, montant l’escalier en roulant mes grosses fesses. Nous nous retrouvons dans ma chambre. Comme dans un rêve mais assez mal à l’aise et anxieuse, je me retrouve dans un rôle que je n’avais pas prévu mais qui allait être le mien pendant de très longues années…
« Je vous déshabille ? Je vous demanderai de passer sous la douche et de faire une toilette intime, s’il vous plaît, Mireille a prévu tout le nécessaire…
—————————————————————————————
Véronique pénétrée nue par son client
Il est déjà 11h30… En levrette, je subis pour la deuxième fois les assauts de mon client, amant infatigable. Mon vagin fraîchement défloré me fait horriblement mal, le maire-adjoint ayant achevé de déchirer l’hymen que je voulais faire enlever par ma gynéco de Vaucresson et le premier préservatif était maculé de sang. Ses mains s’attardent sur mes hanches, mes flancs, mes seins qui pendent par en-dessous et je tente une caresse des testicules.
Sans avoir joui, il se retire avec l’intention manifeste de me prendre par l’anus.
« Je veux bien que vous changiez le préservatif, Monsieur Muller…
Le préservatif est jeté et comme l’érection faiblit, je prend le sexe dans ma bouche et j’essaie avec un certain succès une stimulation du dessous du gland. Je place un nouveau préservatif que j’enduis de lubrifiant puis j’enduis mon anus. Je me couche à plat ventre et j’écarte mes fesses.
« Allez-y…
Avec une compétence qu’il faut lui reconnaître, il rentre doucement dans mon anus et j’ai mal lorsque le gland gonflé franchit mon sphincter mais moins qu’hier. Les assauts recommencent mais dans mon rectum cette fois.
« Essayez de me faire jouir, Monsieur Muller…
« Je ne fais que cela, Véronique…
J’éprouve un début d’orgasme. Il sort, enlève le préservatif et éjacule sur mon dos et mes fesses. Il le fait un baiser sur les cuisses et se rhabille. Je m’essuie tant bien que mal. Il sort un portefeuille de sa poche et me tend deux billets de 50 euros en souriant.
« C’était vraiment très bien, jeune fille, c’est un petit supplément.
Je lui fais un bisou sur la joue.
« Merci, Monsieur Muller, vous êtes assez en forme pour votre âge…
« Et vous, Véronique, non seulement vous êtes très belle mais vous semblez avoir beaucoup d’expérience. Il y a longtemps que vous faites ce métier ?
Je ne veux pas lui dire qu’il est mon premier client, j’ai l’impression que je le décevrais et même que je passerais pour une cruche…
« Moins que vous ne l’imaginez, Monsieur Muller…
« Vous pouvez m’appeler Albert et nous pouvons nous tutoyer, d’autant plus que nous allons nous revoir…
Nous descendons et Mireille vient nous rejoindre.
« Je veux bien revoir Véronique, disons deux fois par semaine…
« D’accord, Monsieur Muller, à jeudi à la même heure ? Je vous ferai une petite réduction si vous venez régulièrement.
« OK.
Il sort et monte dans sa Mercedes.
« Il avait l’air content. Tiens, voici ta part : 180 euros.
A suivre
Ajouter un commentaire