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Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 16 et 17

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Chapitre 16 et 17

 

La préparation

 

Le lendemain matin

 

Je me fais penser irrésistiblement à une courtisane, à une favorite de roi ou à une concubine d’un riche chinois d’autrefois…

Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 16 et 17
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Tout y est passé : un interminable lavement avec quatre remplissages, jusqu’à ce que le liquide expulsé soit parfaitement clair, une délicieuse douche sensuelle avec ma servante-amante.

 

Sur mon lit, mon gros clitoris et son piercing sont nettoyés, désinfectés. Elle m’épile à la cire brûlante puis me fait un incroyable massage avec son corps nu et des caresses sur tout le corps. Ma fente, mes orifices sont l’objet de tous ses soins et sont lubrifiés, parfumés et elle utilise des produits chers et odorants, introduisant ses doigts gainés de latex dans mon vagin et je suis secouée de spasmes puis elle me retourne, me dit d’écarter mes fesses et s’occupe de mon anus puis de mon rectum et me fait jouir.

 

Elle rit :

 

« Il va être fou de toi !

 

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A ce moment-là mon portable sonne. « Mamie ». J’attrape l’appareil.

 

« Oui, Mamie…

 

« Je ne téléphone pas trop tôt, chérie ?

 

« Non, non, Mamie…

 

« Qu’est-ce que tu fabriques, ma poupée ?

 

« Ce que je fabrique ? Eh bien j’ai déjeuné légèrement et en ce moment… Je ne fais pas de maths en tout cas…

 

Elle rit :

 

« Tu m’étonnes… Tu salueras Mireille de ma part…

 

« Si tu veux savoir, je suis toute nue à plat ventre sur mon lit et Valérie s’occupe de mon corps. Valérie c’est leur femme de chambre, elle est sympa.

 

« Ah ? Eh bien pourquoi pas…

 

« Tu ne le diras pas à Maman, n’est-ce pas ? Promis ?

 

« Tu m’inquiètes, ma poupée…

 

« Mireille m’a trouvé un riche amant. Il vient me chercher avant le déjeuner. Je resterai avec lui deux jours,

 

« Qu’est-ce que c’est que cette histoire, chérie ? Ne fais pas de bêtises, n’est-ce pas ? C’est un garçon jeune, j’espère ?

 

« Un peu plus âgé, Mamie… Un tout petit peu plus âgé… Mais il est cool et il baise bien et surtout il est pété de thune… Je vais mettre l’une des robes que j’ai achetées avec l’argent que tu m’as donné…

 

« Plus rien ne m’étonne, chérie mais tu as l’âge où on fait parler son cœur, tu ne crois pas ? Que fait ce garçon dans la vie, enfin si ce n’est pas indiscret ?

 

« C’est un industriel et un homme d’affaires de la région, si j’ai bien compris…

 

« Ah, je vois… Ne te fais pas mener en bateau ! Ce n’est pas un homme marié, j’espère ?

 

« Euh à vrai dire, je n’en sais rien et je m’en tape un peu, c’est surtout pour la baise…

 

« Tu as tort… Sois prudente, chérie… Utilise des préservatifs, n’est-ce pas ?

 

« Oui, pas de problème…

 

« Tiens-moi au courant, ma poupée.

 

« Tu ne le dis pas à Maman, n’est-ce pas ?

 

« Je n’ai pas l’habitude de trahir les secrets. Je ne le ferai que si je te sais en danger.

 

« Bisous, Mamie.

 

« Bisous.

 

Ce n’est pas fini : nous hésitons entre un chignon et les cheveux en liberté qui sont finalement la solution retenue, mes magnifiques cheveux châtain bouclés qui tombent en cascade sur mes épaules nues. Devant une petite table de toilette avec une glace, ma gorge, mes seins, mon visage sont enduits, maquillés, mes paupières, mes cils sont délicatement noircis. Du parfum pour terminer, mon parfum cher, mon parfum de pute, comme dirait Maman, acheté avec l’argent de Mamie et je m’en mets sur le cou, la gorge, les cuisses.

 

Il ne reste plus que la robe. J’hésite entre une mini-robe très courte et l’autre, noire ultra-fendue sur la cuisse et la hanche gauche, très décolletée des deux côtés, que je choisis finalement. Aucun sous-vêtement. Un sac assorti et de fines chaussures pour parfaire l’œuvre. Je descends suivie de Valérie toujours toute nue.

 

Albert vient d’arriver et j’entends le diesel discret de la Mercedes qui s’arrête. Dans le vestibule, Albert fait un baise-main surréaliste à ma proxénète puis à moi.

 

« Je t’attends demain dans la soirée, dit-elle.

 

Il me tient la porte de la luxueuse voiture et je monte. Il démarre et manœuvre.

 

« Ta tante est d’accord pour que je te garde jusqu’à demain soir, dit-il en souriant et il caresse ma cuisse gauche nue.

 

« Ce n’est pas ma tante, c’est l’ancienne amante de ma mère…

 

 

 

Le trajet

 

« Où allons-nous ?

 

« Dans une auberge sympa où nous serons tranquilles, tu verras…

 

« C’est là où tu conduis tes autres amantes ?

 

Il ne répond pas et, tandis qu’il conduit, sa main remonte très haut sur la face interne, douce et grasse, de ma cuisse.

 

« Je n’ai pas de sous-vêtements. Je n’en possède aucun (ce n’est pas tout-à-fait vrai mais peu importe). Je suis nue en-dessous…

 

J’ajoute d’une voix sensuelle :

 

« Tu me fais mouiller… Tu sais que mes deux trous sont lubrifiés ? Tu pourras y rentrer facilement autant que tu voudras, de toute façon tu as payé pour cela… Mon anus est grand ouvert depuis hier après-midi. Tu le préfères ouvert ou très serré ? Pfouou, il fait super-chaud !

 

Et, joignant le geste à la parole, j’ouvre le décolleté profond de ma robe et je libère l’un de mes gros seins.

 

« Tu les aimes ? Ils son super-lourds et me font mal au dos et ils tombent complètement mais c’est exprès, ça excite les mecs, enfin je crois…

 

Il rit :

 

« Tu vas nous faire avoir un accident !

 

« J’espère que je te fais bander ? Tu sais que hier soir Mireille m’a fait enculer par une centaine de mecs (le nombre est un peu exagéré) ? J’avais super-mal à la fin… Pour eux, je n’était que de la viande à enculer mais ils avaient payé… Ça t’excite, ce que je te dis ou tu t’en tapes complètement ?

J’ai envie d’ajouter qu’après j’ai fait l’amour avec Valérie mais je me ravise : cela ne le regarde pas…

 

Je me penche sur lui et je m’affaire sur la braguette.

 

« Elle est super-dure, dis donc ! (ce n’est pas tout-à-fait vrai)

 

Je sors laborieusement la verge du jean et l’érection est assez honorable. J’amorce un massage de la hampe en faisant coulisser la peau, dégageant le gland à chaque va-et-vient.

 

« Tes autres amantes te font cela en voiture ?

 

« C’est arrivé…

 

Tandis que la Mercedes gravit une petite route sinueuse à travers des rangées de pins calcinés, je pense à Mamie. Je devrais attendre et puis zut…

 

« Question idiote mais c’est ma grand-mère qui me l’a posée au téléphone : tu es marié ? Remarque, tu n’es pas obligé de me répondre…

 

Son sexe perd soudain de sa rigidité, zut, moi qui m’étais donné tant de mal… Il devient grave.

 

« Ta grand-mère… (il doit être sur le point de dire quelque chose du genre : elle sait que tu te prostitues mais il hésite et se ravise) ta grand-mère s’intéresse à tes relations ?

 

« Bien sûr, nous avons confiance l’une envers l’autre. Avec ma mère, un peu moins…

 

« Pour ta question, ce n’est pas une question idiote.

 

Et nous nous garons dans le parking d’une auberge rustique à l’architecture méditerranéenne, bien sûr, avec des tuiles romaines.

 

« Ce n’est pas une question idiote, répète-t-il. La réponse est oui mais je te raconterai les détails plus tard…

 

Il m’ouvre la portière et je sors en montrant mes jambes puis il ouvre le coffre et un employé en veste blanche se saisit de ma petite valise à roulettes et du sac de voyage de Albert.

 

« Bonjour, Mademoiselle. Vous avez fait un bon trajet, Monsieur Muller ?

 

« Oui, très bon, merci…

 

 

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