Chapitre 2 et 3
La villa
Chargée de mon sac à dos et encombrée d’une valise à roulettes, je descends de la rame et me trouve au milieu d’un quai encombré. Je cherche Mireille des yeux et j’aperçois une femme blonde d’allure jeune qui brandit une pancarte : « Mireille attend Véronique ». Nous tombons dans les bras l’une de l’autre.
« Tu es devenue une magnifique jeune femme !! La dernière fois que je t’ai vue, tu étais une petite fille !
Je ris :
« Tu exagères…
Elle me contemple au milieu de la foule indifférente :
« Tu as un corps magnifique, tu as raison de le montrer ! Je crois que nous allons nous entendre ! Comment va ta maman ?
« Bien, merci, elle t’embrasse…
Au parking, elle ouvre le hayon d’un gros « SUV » coréen et m’aide à y charger ma valise et mon sac à dos puis nous montons et elle démarre et manœuvre et nous nous retrouvons rapidement sur une route typiquement provençale. Tout en conduisant, elle caresse mes longues cuisses nues et épilées, longues et épaisses et je frémis de volupté à ce contact. Je me sens mouiller, zut, il va y avoir une tache sur mon mini-short…
« Tu as de très jolies cuisses et ta chair est si douce… Je ne te choque pas ? Je pourrais être ta mère, ta maman et moi nous sommes connues au lycée !
« Oui, je sais… Non…
Nous arrivons à un portail qu’elle ouvre avec un bip. Elle se gare et nous nous retrouvons dans un grand jardin avec une imposante maison de style provençal. Il fait un temps splendide…
« Régis arrivera ce soir. Je vais te montrer ta chambre puis nous bavarderons au bord de la piscine. Au fait, pas besoin de maillot de bain, nous vivons nus ici !
« Ah, c’est cool, Maman me saoule tout le temps pour que je mette un maillot…
Nous montons un escalier et nous entrons dans une magnifique chambre décorée avec des tableaux modernes. Elle ouvre la fenêtre qui donne sur la piscine…
« Je te laisse te reposer un peu si tu veux, ensuite je t’attends… J’ai des serviettes à te prêter, ne te préoccupe de rien…
« OK… Merci pour la chambre, elle est très belle...
Je me mets entièrement nue, je sors des affaires de toilette de ma valise et j’entre dans une vaste salle de bains. Tout y est, peignoir, serviettes. La baignoire, je m’en servirai plus tard, je vais prendre une douche…
« Allo, Mamie, je suis chez Mireille pour les vacances, c’est super, chez eux ! Il fait beau, ils ont une villa gigantesque, j’ai une belle chambre, il y a une piscine mieux que la nôtre, je sens que je vais y être toute la journée ! Tiens, je la vois par le balcon de ma chambre (Mireille, nue sur un transat, me sourit et me fait un geste du bras). Tu sais qu’ils vivent nus ? Je vais prendre une douche, j’ai passé des heures dans le train et je vais la rejoindre…
« Tant mieux, ma chérie, je ne savais pas, tu l’embrasseras de ma part…
Je l’entends rire.
« Elle ne t’a pas encore sauté dessus ?!
« Euh, non, pas vraiment…
« Je la connais très bien ! Tu sais que ta maman et elle ont été amantes ?
« Ah, d’accord… Cela ne m’étonne pas tellement… Eh bien non, je ne savais pas…
« Tu ressembles tellement à ta maman quand elle était toute jeune… Au fait, pour ton opération, ta nymphoplastie, j’ai de quoi, finalement mais il faudra bien réfléchir…
« Tu es très généreuse, Mamie, merci mais je ne sais pas si je peux accepter, je ne veux pas te mettre en difficulté…
« Je t’en reparlerai quand nous nous verrons, après les vacances…
« Promis, de toute façon mon chirurgien demande un délai de réflexion de la patiente.
Mireille
Au bord de la piscine, 17h30
Mireille est allongée toute nue, son corps de femme mûre tout bronzé, sur un vaste transat. Ses gros seins ridés aux larges aréoles sont répandus mollement sur les côtés.
Elle s’exclame :
« Ah, tu t’es mise nue ! Bien !! Quel corps, chérie !! Viens me montrer cela ! J’ai téléphoné à ta maman, elle a essayé de t’appeler mais tu ne répondais pas…
« Normal, j’étais sous la douche…
Je pose mon petit sac de plage et ma serviette de bain sur la table et je m’approche. Je dis bêtement pour me donner une contenance :
« J’ai apporté mon drap de bain perso…
« Approche, chérie…
Elle se redresse à demi, soulève mes seins lourds puis passe les mains sur mes fesses, mes cuisses et s’attarde sur la face interne, remontant vers le haut, ce qui me procure un vif plaisir.
« Quels seins et quelles fesses ! Quel ventre et quelles cuisses ! Une fille splendide, bien en chair, tu es magnifique, ma poupée, tout-à-fait ta maman à ton âge ! Un petit ami ? Plusieurs, ou une fille peut-être ? Avec un beau corps comme le tien, ce serait dommage !
« Bof, j’ai fait des choses mais je n’ai jamais été pénétrée si c’est ce que tu veux dire, enfin si, toute seule et avec une copine, des godes par l’anus. L’hymen, c’est chiant, je voulais me le faire enlever par la gynéco mais je n’en ai pas encore eu le temps…
« Nous allons remédier à cela, Régis et moi, enfin si tu es d’accord, bien sûr !
« Oui, je veux bien, pas de problème !
Elle prend mon gros clito dans ses doigts et commence à explorer mon sexe entièrement épilé…
« Superbe clitoris !! Il est presque aussi gros qu’un gland d’homme ! C’est presque une petite verge !
« Oui, il a des érections, je peux pratiquement me branler comme un mec !
« J’adore le piercing ! Cela a dû te faire horriblement mal ! Et il est tatoué !!
« Le tatouage, c’était le plus douloureux et contrairement au piercing, c’était très long ! Quand on tire sur l’anneau, je jouis tout de suite !
Elle tire sur l’anneau et l’orgasme monte d’autant plus vite que je suis déjà très excitée. Je gémis et mes cuisses tremblent.
« Continue…
« Mais c’est qu’elle coule, cette coquine !!
Elle tire sur mes petites lèvres trempées.
« J’adore les petites lèvres qui sortent de la fente ! Tu as les mêmes que ta maman !
« Ben moi, pas tellement, je vais me les faire retirer et le capuchon aussi, et les grandes lèvres sont trop longues et trop grosses. Maman n’était pas d’accord mais maintenant je suis majeure. Ma grand-mère veut bien m’aider pour le prix de l’opération mais il ne faudra pas le répéter !
« Surtout pas !! Reste comme tu es, ma poupée, c’est si délicieusement impudique ! Tu devrais te les faire percer et y accrocher des anneaux !
« Ah, tu trouves…
Brusquement, obéissant à un désir impérieux, je me couche sur elle et je joins mes lèvres aux siennes. Elle répond au baiser, nos langues se caressent et nos cuisses se mélangent. Elle sent bon et elle a bon goût…
A suivre
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