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Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 24 et 25

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Chapitre 24 et 25

 

Table des matières

La canne

 

Le lendemain

 

Je suis maintenue solidement en travers du lit, toute nue, à plat ventre, par Mireille et Catherine, nues, qui tirent sur mes bras en me tenant les poignets et par Régis et Alain, nus également et en érection qui maintiennent solidement mes chevilles. Albert assiste à la scène en se mordant les lèvres et en se masturbant.

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« Allez-y, Valérie ! Vingt-quatre coups de canne sur les fesses de cette petite pute ! Véronique, j’espère que tu comprendras bien que pendant une séance tu ne dois ni vomir ni faire pipi sur toi ! Compte !

 

Le bruit du premier coup est violent, sourd et il faut quelques fractions de seconde pour que la douleur, intense, insupportable, parvienne à mon cerveau. Je hurle.

 

« Un !

 

Valérie attend quelques instants et frappe à nouveau. Je hurle à nouveau, je pleure et je crie à travers mes larmes :

 

Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 24 et 25
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« Deux !

 

« Valérie, ce sont des caresses ! Beaucoup plus fort !!

 

« Mais, Madame, elle ne va pas le supporter ! Je vais faire éclater la chair !

 

« Plus fort, je vous dis ! Sinon, vous prenez sa place et ce seront cinquante coups !

 

« Bien, Madame !

 

Elle obéit et en fait je ne vois pas bien la différence tellement la douleur est vive. Chaque fois j’attends le coup suivant avec appréhension et la souffrance traverse mon corps, des orteils au cerveau. Je devrais compter mais je n’en suis plus capable et j’entends la voix de Valérie, monotone, treize, quatorze et, comme hier, je fais pipi sur moi et j’ai envie de vomir. Heureusement les coups s’interrompent et on me lâche. Valérie caresse mes cheveux collés par la sueur et m’essuie le visage. Elle fait un baiser sur mes lèvres gonflées et sèches. Elle m’apporte un verre d’eau et me soulève à demi pour m’aider à boire.

 

« Tu as très mal ?

 

« Un peu, oui… Que fait Albert ici ?

 

« Il a payé pour assister à ta punition et te pénétrer après.

 

Valérie écarte mes fesses dont la chair est à vif : il n’y a plus un centimètre carré de peau intacte. Je passe mes mains et je sens de profonds sillons. Je regarde : elles sont pleines de sang.

 

Je crie de douleur lorsqu’on m’écarte les fesses. Je sens le froid du lubrifiant sur mon anus, ce qui annonce que je vais être pénétrée.

 

« A vous l’honneur, Albert !

 

Albert monte sur mon corps et rentre sa verge en érection entre mes fesses torturées. Le gland passe dans le sphincter désormais desserré en permanence puis parcourt mon rectum jusqu’au fond et, très excité, jouit tout de suite et je sens le liquide gluant et tiède. Il se retire, remplacé aussitôt par Alain dont le sexe glisse dans mon anus lubrifié par le sperme de mon prédécesseur. Puis Régis me pénètre à son tour. Je ne vois plus Albert : il doit être parti.

 

« Tu seras à nouveau punie pour avoir fait pipi sur toi : tu dois te retenir pendant la canne !

 

Valérie passe du désinfectant : un nouveau supplice et je hurle. Puis elle me fait un pansement.

 

« Tu en as pour deux mois, je pense. Enlève le pansement quand tu seras pénétrée par un client et refais-le après : je vais te donner ce qu’il faut. Je te le referai ce soir.

 

Je me lève et un mélange de sang et de sperme coule le long de mes cuisses.

 

« Aujourd’hui je ne te fais pas sortir, ce sera pour demain. En attendant tu as plusieurs clients cet après-midi. Ceux-là, ce sera avec préservatif ! Les traces sur les fesses, ce n’est pas grave : ils adorent ! Sois aimable avec eux ! Le sourire, s’il te plaît !

 

Elle fait un geste comme pour écarter sa bouche :

 

« On sourit, pauvre petite pute ! Tu es payée pour cela ! Arrête de pleurer comme une gamine ! Si je suis contente de toi, demain, tu iras chez Albert ! Il est fou de toi !

 

Le client

 

Cette punition, aussi cruelle qu’absurde et qui faisait suite à la première, m’a fait souffrir pendant des jours d’autant plus qu’elle s’était appliquée sur la partie de mon corps qui me servait pour ce qui était désormais mon travail, Mireille me présentant aux clients comme une spécialiste de l’anale. L’après-midi qui a suivi la deuxième punition, six clients sont montés dans ma chambre et je devais être aimable et recevoir leur verge entre mes fesses torturées. Les profondes traces horizontales les excitaient énormément et j’ai remarqué qu’ils jouissaient très vite.

 

C’est curieux, c’est à partir de cette journée que j’ai pris la décision d’exercer le métier de prostituée ou plus exactement d’escort mais pour mon compte car mes « vacances » chez Mireille prendraient bien fin dans quelques semaines et je reviendrais chez ma mère, enfin chez ma mère et son amant… Je me faisais exploiter par Mireille mais je gagnais beaucoup plus d’argent que je n’en gagnerais jamais dans une hypothétique situation d’ingénieure après avoir étudié comme une bagnarde… Et une autre idée m’est venue : me faire épouser par Albert, non pas le faire divorcer car j’aimais bien la pauvre Laura mais elle mourrait sans doute prématurément et il me suffirait d’attendre… Il faudra que je fasse la navette entre Luxeuil et Collioure. Ou que je m’établisse à Collioure mais j’aimerais bien ne plus entendre parler de Mireille…

 

C’est le dernier client de l’après-midi. Il vient de jouir en moi. Il lâche mes seins et se retire et enlève le préservatif puis le noue et le jette dans la corbeille à papier. C’est un homme d’une quarantaine d’années sans doute.

 

Je me retourne.

 

« Qu’est-ce qu’on t’a fait aux fesses ?

 

Je ris.

 

« Vous êtes bien curieux… Je suis tombée ! Non, sans rire, j’ai été punie par Mireille. Pour être plus exacte, elle m’a fait punir par sa servante que vous avez dû apercevoir, Valérie.

 

« Tu as dû avoir mal.

 

Je me lève et je me retourne pour montrer mes grosses fesses ravagées tandis qu’il se rhabille (il a tout intérêt à cacher sa nudité…).

 

« Mais non, pensez-vous… Cela fait partie de mon métier !

 

« C’est très excitant… Tu as crié ?

 

« Un peu, oui… J’ai même pleuré et supplié, si vous voulez savoir ! En tout cas je suis contente de voir que cela donne du plaisir à certains !

 

« Tu as l’air jeune. Tu vas faire cela combien de temps ?

 

« Vous allez me faire la morale ? Et vous, dans quoi travaillez-vous ?

 

« Dans une agence immobilière. Nous travaillons beaucoup : il y a beaucoup de résidences secondaires dans notre région !

 

« Oh, ce doit être passionnant…

 

Il sourit.

 

« Tu te moques de moi…

 

« Non, pas du tout mais j’étais en train de penser que je gagnais beaucoup d’argent que vous…

 

« Tu n’es pas la première fille que je fréquente ici.

 

« Ah oui ?

 

« Tu n’es pas comme les autres…

 

« J’espère vous revoir bientôt, vous verrez cela avec Mireille…

 

 

A suivre

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