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Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 28 et 29

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Chapitre 28 et 29

 

Mariette

 

Chez Albert le lendemain dans la matinée

 

Albert est parti à la mairie.

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« Mariette, pourriez-vous aller me chercher un téléphone jetable ? Cela doit se trouver dans un bureau de poste ou une boutique de tabac, je ne sais pas, en fait je n’en ai jamais acheté…

 

Je lui tends un billet de 50 euros.

 

La gouvernante, cheveux gris noués, tenue sévère, me considère d’un air méprisant et hostile.

 

« Vous devriez vous habiller, Mademoiselle Véronique. Que diriez-vous si je me promenais toute nue dans la maison ?

 

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« Je ne voudrais pas être désagréable, Mariette, d’autant plus que vous êtes peut-être encore très belle, qui sait, vous devriez essayer…

 

« Je suis gouvernante, mon petit, je ne suis pas une pute, je suis une femme honnête, moi, je ne vends pas mon cul !

 

Je suis sur le point de lui dire qu’heureusement car elle ne mangerait pas tous les jours mais je me ravise : j’ai besoin d’elle…

 

« J’étais une jeune servante alors que le grand-père et la grand-mère de Monsieur Albert étaient toujours là, paix à leur âme !

 

Et elle se signe.

 

« OK, vous allez me le chercher, ce p… de téléphone, oui ou non ?

 

Et je lui tends à nouveau le billet.

 

« Inutile, Mademoiselle Véronique, Monsieur Albert m’a dit de vous obéir et d’utiliser l’argent de la maison si vous vouliez quelque chose…

 

« J’insiste, Mariette. C’est de l’argent gagné honnêtement à vendre mon cul, comme vous dites !

 

Elle prend le billet.

 

« Et pourquoi n’allez-vous pas faire cet achat vous-même ? Vous n’êtes pas en prison ici !

 

« Parce que je risque d’être surveillée. Vous voyez, le métier de pute n’a pas que des avantages… Vous avez compris ce qu’il faut acheter ?

 

« Je vous rapporte cela, Mademoiselle Véronique et je sais ce qu’est un téléphone jetable, ne me prenez pas pour une idiote ! Au fait, que vous êtes-vous fait aux fesses et au dos ? Vous êtes complètement lacérée…

 

Elle se rapproche et passe doucement la main sur ma peau.

 

« Je suis tombée, Mariette… Et merci d’avance !

 

« Allez donc tenir compagnie à Madame Laura, elle est dans le petit jardin…

 

Elle sort et j’entends le démarrage du diesel de la camionnette qu’elle utilise pour les courses. Je sors de la maison moi aussi et je suis accueillie par les parfums de la nature. L’air est en train de se réchauffer. Laura, dans sa chaise roulante, respire les senteurs du jardin, les yeux fermés.

Mes petits pieds nus sur les graviers, je grimace. Elle sourit.

 

« Vous êtes bien jolie, chérie et vous avez un bien beau corps. Albert a toujours eu beaucoup de goût… Savez-vous que je n’étais pas mal, moi non plus, avant ma maladie et que j’étais même un bon coup au lit ? Difficile à croire, n’est-ce pas ? L’air sent bon, vous ne trouvez pas ? Avant, il y avait une odeur de sulfate. C’est moi qui ai conseillé à Albert de passer au bio, avez-vous goûté nos vins ? Non ? On en servira à midi… Retournez-vous. Que vous a-t-on fait ? C’est Mireille, n’est-ce pas ? C’est une mafieuse et une détraquée. Voulez-vous que je vous en débarrasse ? Je n’ai qu’un mot à dire depuis ma chaise roulante : mon ami le divisionnaire Gerber cherche à la coincer depuis des années. Seulement il faudra accepter de témoigner !

 

Je m’installe sur un petit transat en face d’elle et je croise sensuellement mes longues cuisses nues.

 

« Je vais y réfléchir, Laura, merci…

 

Le téléphone jetable

 

Mariette sort du séjour et se dirige vers nous. Elle me tend un petit sac.

 

« Voici votre téléphone, Mademoiselle Véronique. Il a une carte SIM et un numéro de téléphone. Il coûte 19 euros et je vous ai pris une recharge de 10 euros. Vous avez deux fois 30 minutes de communication. Votre monnaie est dans le sachet. Je suis allée au centre commercial dans la boutique SFR… La batterie est pleine et il a un petit chargeur. Il sait uniquement téléphoner, bien sûr…

 

Je me lève, je prends le sac et je l’embrasse sur les deux joues et la femme se laisse faire de mauvaise grâce.

 

« Merci, Mariette, vous êtes adorable !

 

« Oui… Attention, avec ce genre de téléphone on n’a pas le temps de bavarder !

 

« J’avais compris, Mariette et encore merci !

 

« Ne vous promenez pas nue au milieu des ouvriers qui travaillent dans les vignes, Mademoiselle Véronique !! Oh et puis zut…

 

Je m’éloigne un peu dans les vignes, pieds nus sur des cailloux pointus qui doivent être brûlants dans la journée. Il n’y a personne.

 

« Mamie ?

 

« C’est toi, chérie ? J’ai failli ne pas décrocher, qu’est-ce que c’est que ce numéro ?

 

« On n’a pas le temps de bavarder, ma petite Mamie, je suis sur un téléphone prépayé parce que je pense que mon téléphone normal est surveillé. Pour faire court : Mireille et Régis sont des proxénètes et ils me prostituent et je reçois des punitions corporelles. En ce moment je suis chez mon amant ou mon client Albert Muller et sa femme Laura connaît un certain divisionnaire Gerber, tu retiens ?

 

« Oui, je retiens, je ne suis pas encore gâteuse, ma poupée, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!

 

« Ce n’est pas une plaisanterie, Mamie ! Tu peux le dire à Maman mais elle ne comprend jamais rien.

 

« Ta maman est en vacances dans la mer Égée…

 

« Ah, super… Voilà, tu me tires de là, Mamie, s’il te plaît !

 

« Entendu, j’ai compris, fais tout comme d’habitude, surtout !

 

« Je raccroche, Mamie !

 

Je reviens vers Laura et je vois Albert et, sans plus me préoccuper de sa femme, je me colle à lui et je lui tends ma langue dont il s’empare tout en caressant mes seins et mes fesses.

 

« Vous êtes mignons tous les deux… Albert avant le déjeuner, tu devrais faire visiter le chais à Véronique et lui faire goûter nos vins. Véronique, allez mettre un short et un body…

 

« Le vin t’intéresse, Véronique ?

 

« Oui, bien sûr ! Beaucoup ! Surtout le tien !

 

 

A suivre

 

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