Bi - Gay - Lesbien Confession Intime Histoire erotique Histoires taboues Prostitution

Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 30 et 31

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Chapitre 30 et 31

 

Table des matières

Le chais

 

« Joli ventre et vous avez des jambes splendides, Véronique, elles sont peut-être encore plus belles avec ce petit short que lorsque vous êtes nue ! Retournez-vous… C’est dommage, les traces sur vos jolies fesses, elle n’y est pas allée de main morte…

 

« Ce n’est pas Mireille qui m’a donné la canne, Laura, c’est Valérie, la servante, c’est une partie de son métier, apparemment…

Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 30 et 31
Porn IA

 

« Nous y allons ?

 

Mariette pousse la chaise de Laura. L’air frais du chais me fait frissonner et nous sommes accueillis par un homme plutôt âgé vêtu d’une blouse grise et qui regarde mon ventre et mes cuisses d’un œil critique.

 

« Voici Pierre, notre maître de chais. Pierre, notre jeune amie Véronique. Elle a demandé à connaître nos vins.

 

Je lui tends la main.

 

Histoire erotique Véronique nue Initiée par un couple Chapitre 30 et 31
Nouveaux profils

« Ah, d’accord, bonjour Mademoiselle, vous connaissez déjà un peu le vin ? Qu’est-ce que vous aimez ?

 

« Je ne connais pas encore très bien mais on va dire que j’aime tout !

 

Il prend une bouteille déjà ouverte, retire le bouchon et verse un fond d’un liquide d’or pâle dans un verre. Il me le tend.

 

« Vous le sentez et vous le buvez après. Vous le gardez en bouche pour apprécier le bouquet… Il est de l’année dernière, il vient d’être mis en bouteille… C’est un assemblage de clairette, vermentino, ugni et sémillon. Oui, ce sont des cépages. C’est moi qui suis chargé des assemblages, tout-à-fait à la fin !

 

« Il faut retenir tout ça ? Il sent super bon !

 

Je le garde dans la bouche et je finis pas avaler. Il sourit.

 

« Si vous voulez goûter tout ce que j’ai à vous montrer, il va falloir recracher, Mademoiselle !

 

« Oh, quel dommage !

 

Car il en a, des vins ! Blancs, rosés, rouges se succèdent, provenant d’une foule de terroirs différents. Il m’en fait goûter une vingtaine ! Il me fait aussi visiter les installations, une salle immense remplie de tonneaux, c’est très impressionnant. Un peu partie, je l’écoute comme dans un rêve et je constate que Albert et Mariette ne sont plus là et que la chaise de Laura est restée en arrière.

 

« Il va falloir que vous me poussiez, chérie !

 

« Ce n’est pas un problème, Laura… Merci, Pierre, vous faites un métier merveilleux, je reviendrai !

 

« Je vous en prie, Mademoiselle !

 

Je me retrouve dehors avec Laura.

 

« Je suis complètement pompette !

 

Elle rit :

 

« Il fallait recracher comme il vous l’avait dit !

 

« C’est tellement dommage !

 

« Vous savez ce que je vous propose, Véronique ? Vous abandonnez votre métier actuel et vous venez chez nous ! Vous seriez chargée de l’aspect commercial et vous recevriez les clients au domaine. Vous animeriez aussi des sessions de vulgarisation sur nos vins. En anglais, vous sauriez ? Vos jolies jambes seraient très appréciées ! Oui, c’est comme ça que cela marche, une jolie fille, cela fait vendre… Il faudra accepter de suivre une formation et de passer un diplôme, vous en avez l’âge ! Vous avez tout à apprendre ! Je vous prends pour 1800 euros par mois pour commencer. En tenant compte du fait que vous habiteriez chez nous, ce n’est pas trop mal ! Vous resteriez la maîtresse de mon mari, bien sûr !

 

Je fais la moue intérieurement : rien à voir avec ce que j’ai gagné chez Mireille…

 

« Merci, Laura, c’est généreux de votre part, je vais y réfléchir…

 

« Ne réfléchissez pas trop, mon petit et faites-moi part de votre réponse cette semaine… Au fait, avez-vous pensé à ce que je vous ai dit au sujet de Mireille ? Vous avez téléphoné à quelqu’un tout à l’heure ?

 

« Oui, à ma grand-mère et je lui ai tout raconté au sujet de Mireille et je lui ai même donné le nom de votre ami.

 

« Ce n’est pas très malin, chérie, vous auriez dû me prévenir avant et la laisser en-dehors de tout cela mais enfin c’est fait…

 

« C’est d’accord et j’accepterai de témoigner.

 

« A la bonne heure !

 

« Où sont Albert et Mariette ?

 

Elle ne répond pas. C’est bientôt l’heure de déjeuner et une bonne odeur vient de la cuisine.

 

« Je reviens…

 

Je passe par la cuisine. Une employée que j’ai déjà aperçue s’occupe de préparer le repas. Je monte à l’étage. La porte de la chambre de Albert est restée entrouverte. J’entre.

 

Sir le lit, Albert, entièrement nu, est couché à plat ventre sur le corps d’une femme également nue. Il la laboure non sans brutalité, secouant la chair féminine. Je ne suis pas amoureuse de Albert, enfin pas que je sache et je sais bien qu’il ne me considère que comme ce que je suis, une prostituée et qu’il ne m’a pas juré fidélité mais, peut-être le Côtes-de-Provence aidant, j’ai un réflexe de jalousie intense et bien peu professionnelle qui me noue la gorge et me tord l’estomac.

 

Abasourdie, j’aperçois soudain les vêtements sévères de Mariette jetés sans soin sur un fauteuil et je regarde à nouveau le couple : la femme, c’est elle !! Je la reconnais à peine ! Ses cheveux gris en désordre, le visage déformé, elle grimace de plaisir ou de douleur, on ne sait pas très bien et elle gémit. A plat ventre sous son partenaire, elle écarte ses fesses de ses mains pour favoriser ce qui semble être une pénétration anale. En plus, c’est notre pratique et notre position préférées, à Albert et à moi et cette pensée accroît ma jalousie. Il y a même longtemps que je n’ai pas éprouvé une douleur aussi intense. Je pense et c’est absurde et insupportable : il me trompe avec la gouvernante !!

 

Albert jouit interminablement en elle en grognant de plaisir et se retire, abandonnant son amante. Peu appétissant quand il est nu, il faut bien le dire, le vigneron-homme d’affaires-maire-adjoint que je considérais jusqu’ici comme mon amant attitré entre dans la salle de bains en semblant ne pas me voir. Mariette se retourne, m’aperçoit et éclate de rire. Elle a un très beau corps bien que légèrement défraîchi et des seins ronds, lourds et ridés pendent sur son ventre à la chair fripée. Elle se lève, ne songeant pas un seul instant à essuyer le sperme qui coule long de ses jambes jusque sur l’antique plancher de la maison ancienne. Elle semble très à l’aise dans sa nudité mûre. La s…pe, elle cachait bien son jeu !

 

« Ne me regardez pas ainsi, Mademoiselle Véronique ! Avec votre métier, ce n’est pas la première fois que vous voyez un homme et une femme avoir un rapport sexuel, si ?

 

Plaisir sexuel

 

« Ce qui compte pour moi, c’est le plaisir de Monsieur Albert, poursuit-elle, pas pour vous ? C’est vrai, j’oubliais, pour vous, c’est l’argent ! Nous sommes devenus amants quand Monsieur Albert était tout jeune, il l’a exigé. C’est moi qui lui ai tout appris mais je n’étais qu’une jeune domestique : nous nous cachions et je n’avais qu’à me taire. Puis il a épousé Madame Laura. J’ai cru mourir de douleur ! Plus tard Madame Laura a eu sa maladie. Je ne lui ai jamais suffi et Madame Laura non plus : il a eu plein de maîtresses et il fréquentait aussi des prostituées de luxe comme vous. J’ai décidé de tout supporter d’autant plus qu’il me revenait toujours : je sais que je lui apporte beaucoup de plaisir ! C’est un homme très puissant sexuellement et il lui faut plusieurs partenaires.

 

Et, assise sur ses talons, elle caresse son sexe intégralement épilé et rentre ses doigts dans sa fente et la chair patinée de ses seins tremblote.

 

« OK, super, au moins je sais à quoi m’en tenir et Laura est au courant ?

 

« Bien sûr ! Madame Laura veut vous garder parce qu’elle pense que vous stabiliserez Monsieur Albert ! Et je le pense aussi. Vous êtes jeune et je ne suis pas éternelle et Madame Laura non plus !

 

Albert ressort de la salle de bains et, sans se préoccuper de Mariette, me retire brutalement mon short et mon body et me jette sur le lit à plat ventre. Comprenant ce qu’il veut, j’écarte mes grosses fesses.

 

« Lubrifie-la, ordonne Albert, j’ai envie d’elle et je remarque que les amants se tutoient en privé.

 

Je sens le froid du gel sur mon anus entrouvert. Elle rentre ses doigts à l’intérieur et ses seins frôlent mon dos. Elle guide elle-même la verge en érection de son amant dans mon anus. La pénétration est immédiate, le gland gonflé traverse mon sphincter et j’ai mal pendant un instant puis la verge en érection rampe dans mon rectum. Sans se préoccuper de mon plaisir, il se satisfait en quelques mouvements et ressort. Mariette s’est allongée sur le dos. Il se couche sur elle et les amants échangent un baiser profond, interminable et elle a jeté les bras autour du cou de son partenaire et elle encadre son corps avec ses cuisses.

 

Le sperme coulant de mon anus béant, je m’accoude et je les regarde. Je me sens un peu comme une c…e du haut de mes 18 ans avec mes gros seins et ma chair abondante et (relativement) ferme. Je ne fais pas le poids. J’en veux un peu à Laura de ne pas m’avoir mis au courant…

 

C’est décidé : je retournerai chez Mireille. C’est mon destin.

 

 

A suivre

 

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou