Chapitre 4 et 5
Le corps de Mireille
Elle me donne sa grosse langue agile à sucer en faisant des mouvements qui me comblent de volupté et elle la fourre dans ma bouche et je m’en empare avec délice tandis que je serre de toutes mes forces l’une de ses grosses cuisses de femme mûre entre les miennes et je frotte ma minuscule verge en érection et son gros gland contre la chair ferme et l’anneau bouge en m’offrant de vives sensations. Je prends dans mes mains la chair molle de ses gros seins.
La jouissance monte irrésistiblement et des contractions très fortes, d’abord espacées, partent de mon bas-ventre et parcourent mon corps jusqu’au cerveau. J’interromps le baiser et, blottie contre elle, je pousse des cris de plaisir. L’orgasme est interminable, s’apaise, remonte…
Je retombe sur elle. Elle rit gentiment :
« Eh bien, ma choute, pour une débutante, tu fais les choses en grand !
Je descends, couvrant de baisers les seins qui ont dégringolé sur ses flancs, les aréoles larges, le ventre flétri, le pubis épilé et j’écarte les cuisses. Je fais rentrer ma langue dans sa fente humide, odorante et glissante de femme à l’hygiène impeccable et je fais tourner la pointe dure autour d’un clitoris beaucoup moins gros que le mien mais très sensible. Je suis fière de moi : le beau corps est parcouru de spasmes, les cuisses se resserrent vivement et elle jouit en respirant très fort, sans un cri.
Elle se dégage et me met à plat ventre.
« Est-ce qu’une femme s’est déjà occupée de ton anus, chérie ?
Je hausse les épaules et, sans attendre la réponse, elle écarte de ses mains mes grosses fesses parcourues de cellulite malgré mon jeune âge et je sens sa langue titillant la rondelle sensible, mon Dieu, que ça fait plaisir… Le bout dur, chaud et humide rentre et le sphincter se referme vivement de plaisir. Je l’aide à maintenir mes fesses écartées avec mes mains. Elle n’a pas le temps de continuer : l’anus se contracte rythmiquement pour un nouvel orgasme. Cette fois, je rugis longuement de plaisir.
« Tu as le même anus que ta mère et la même manière de jouir qu’elle…
« Super. On pourrait parler d’autre chose que Maman, s’il te plaît ?…
« Excuse-moi…
Me retournant, elle prend mon gros clitoris dans sa bouche pour un cunni qui ressemble davantage à une fellation et le plaisir monte à nouveau. J’écarte sa tête.
« Arrête, chérie, c’est délicieux mais mon corps en a assez pour l’instant… Tu viens, il y a une piscine, on va en profiter !
Je me lève, je prends ma nouvelle amante par la main et nous plongeons toutes nues dans l’eau toutes les deux. A l’endroit où on a pied, nous nous enlaçons, mêlant nos seins et nos cuisses et nous échangeons à nouveau un interminable baiser et nos langues se mêlent.
A ce moment, j’entends vaguement un bruit de moteur puis le portail qui s’ouvre et se referme et une voiture qui s’arrête. Puis une portière qui claque et une voix masculine au ton ironique :
« Quel charmant spectacle !! Mireille, tu me présentes ?
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Philippe
Au bord de la piscine, fin de l’après-midi
L’homme de rêve ! Grand, brun, athlétique, le ventre plat et musclé, intégralement épilé…
Ils vont bien ensemble, ils sont nus tous les deux et, tandis que, toujours nue moi aussi, j’achève de m’essuyer, Mireille se dresse sur la pointe des pieds et renverse la tête (elle est plus petite que lui) et le couple s’étreint très fort, brièvement et échange un baiser avec la langue. Il prend les seins lourds et mous et elle masturbe une magnifique verge dressée vers le haut. Ils ont l’air très complices, c’est sympa, j’adore…
« Voici Véronique dont je t’ai parlé. C’est la fille de mon amie Virginie. Elle passera les vacances avec nous ! Véronique, voici Régis, mon mari !
Il sourit :
« Enchanté, Véronique, effectivement vous ressemblez à votre maman ! Splendide fille ! Quel corps et quels seins !
« Merci, Régis! Elle est bien, votre maison, merci de m’accueillir, Mireille m’a donné une belle chambre ! Pour mes seins, ils sont très sensibles, je peux jouir rien qu’en les pétrissant mais ils me font un mal de dos pas possible ! Maman en est jalouse et voulait me les faire enlever, c’est son fantasme, enfin réduire mais je ne veux pas : je deviendrais une nana comme les autres !
« Je ne suis pas une femme et je ne peux pas vraiment juger mais je vous soutiens, Véronique et Mireille est certainement du même avis que moi !
Je lui fais un baiser sur les deux joues.
« Elle est très douée pour faire plaisir à une femme et j’espère qu’elle te montrera ses talents hétéro cachés, n’est-ce pas, Véronique ?
« Pas de problème…
« Elle est vierge et elle compte sur toi, n’est pas, vous deux ? Je veux y assister, surtout !
Il rit :
« Je ne suis pas spécialiste, contrairement à ce que ma femme a l’air de penser mais je vais faire mon possible ! Avec une aussi belle jeune fille et avec l’amie de Mireille, ce sera un plaisir !
« Je veux bien, si vous savez le faire… Ce que je ne veux pas, c’est faire cela avec un mec de mon âge, ce serait une vraie boucherie ! Au départ je voulais me faire enlever l’hymen par la gynéco…
« Vous allez me faire le plaisir de vous tutoyer, tous les deux ! Je vais vous laisser un instant, je vais surveiller Mireille pour le dîner !
Elle rentre dans la maison en balançant ses grosses fesses qui tremblotent. Je saisis la verge en érection et les testicules lourds et épilés de Régis et je l’entraîne.
« On se met sur un transat ? On sera mieux, je mouille comme une malade ! Pour la pénétration on fera cela plutôt après le dîner dans un lit en présence de Mireille, elle a l’air d’y tenir…
« Oui, tout-à fait…
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