Chapitre 6 et 7
Valérie
Il s’allonge sur le transat et, à califourchon sur lui, je parcours le torse épilé et musclé avec mes gros seins, mes lèvres et ma langue et je descends jusqu’à la verge toujours en érection, dressée vers le haut. J’humecte le gland rouge tout gonflé de désir et j’achève de le décalotter. Je titille le dessous avec la pointe dure et humide comme je l’ai appris avec mes quelques partenaires et il gémit de plaisir.
« Continue, supplie-t-il. Tu le fais si bien…
J’enfonce le sexe dans ma gorge, l’entourant de ma langue et le gland caresse le fond, provoquant un réflexe de vomissement. Je me retire et j’empale ma bouche à nouveau, faisant des va-et-vient. Il tient ma tête dans ses mains pour me guider et je fais rouler précautionneusement les testicules dans le fond de ma main.
« Je vais jouir… Ohhhh !!!
Je sens le sexe durcir et de puissants jets remplissent ma bouche. Je les compte, douze, treize quatorze tandis qu’il crie de plaisir… En même temps, très excitée, je caresse ma fente trempée et je tire sur l’anneau qui traverse mon gros clitoris, oh, quelle volupté… Je suis aussitôt propulsée vers une intense jouissance et je suis secouée de spasmes. J’avale consciencieusement le liquide tiède, épais et âcre qui remplit ma bouche. Je déglutis plusieurs fois et, me redressant, je lui tire la langue en riant.
J’entends la voix moqueuse de Mireille :
« Je vois que vous avez fait connaissance !! Véronique, je te présente Valérie, notre employée de maison ! Valérie, voici Véronique, notre toute jeune amante !
Je sursaute. Je me sens soudain un peu cruche. Je regarde successivement Mireille toujours nue et la dénommée Valérie et, toujours à califourchon sur le corps de Régis et tenant sa verge molle et dégoulinante et ses testicules, je bafouille un :
« En… enchantée, Valérie !
Elle sourit ironiquement :
« Moi de même, Mademoiselle Véronique !
La nouvelle venue doit être un peu plus âgée que moi et je remarque un assez fort accent provençal. Très gracieuse, brune et coiffée d’une queue de cheval, elle est vêtue d’un body très court « underboob » d’où de jolis seins ronds dépassent par en-dessous et d’un short en jean très court, faussement déchiré, à taille basse, mettant en valeur des cuisses nues et galbées et un ventre plat et musclé orné d’un piercing.
D’un air vaguement coupable, je contemple le désastre : il y a du sperme partout, autour de ma bouche, sur le corps de Régis, sur mes seins, mes cuisses…
Je prononce bêtement :
« Pourtant j’en ai avalé les trois quarts.
Ce qui fait rire discrètement la jeune femme.
« Valérie, pouvez-vous nettoyer tout cela, je vous prie… Quand vous aurez terminé, nous dînerons sur la terrasse.
« Bien, Madame.
Je me lève, les mains poisseuses et Valérie revient avec un petit chariot, une boîte de lingette et de petits torchons.
« Vous avez de beaux seins, Mademoiselle Véronique, dit la jeune femme tout en se mettant en devoir de nettoyer mon visage, ma poitrine, mon ventre et mes cuisses. Vous devriez prendre une douche avant le dîner…
Et elle ajoute tout en s’attardant longuement sur mon gros clitoris percé et mes petites lèvres pendantes :
« Je peux vous aider, si vous voulez…
« Ah oui, je veux bien…
Elle me fait un rapide baiser sur la bouche puis s’attaque au corps de Régis, nettoyant le ventre, les cuisses, le sexe et les testicules puis, le plus naturellement du monde et m’en demandant la permission d’une manière surréaliste comme si j’avais un droit de propriété sur l’homme et sans toutefois attendre la réponse, elle pose son matériel sur le chariot et, le plus naturellement du monde, prend les testicules dans ses mains et enfonce dans sa bouche la verge qui a recouvré son érection, faisant de sensuels va-et-vient. Régis prend la tête de la jeune femme dans ses mains, ferme les yeux et gémit de plaisir de plus en plus fort.
L’éjaculation survient rapidement. Je me demande soudain ce que ma mère dirait de tout cela… et Rachida ?
Elle avale le sperme elle aussi, déglutissant ostensiblement plusieurs fois et achève de réparer les dégâts… Elle rit devant mon air inquiet :
« Ne vous inquiétez pas, Mademoiselle Véronique, Monsieur sera à nouveau en pleine forme pour vous tout à l’heure !
Comme joignant le geste à la parole, elle me fait un baiser qui a goût de sperme.
Elle chuchote :
« Je finis de mettre le couvert et je vous rejoins dans votre salle de bains…
La défloration de Véronique
Dans la chambre de Véronique, 18h30
« Oui, Maman… Oui, je sais, j’aurais dû t’appeler… Oui, ça se passe très bien, ils sont super avec moi, il y a la petite bonne qui est très gentille et j’ai une belle chambre… Oui, j’ai appelé Mamie…
« J’espère qu’ils vont te mettre un peu de plomb dans la cervelle et que Mireille te fera réviser tes maths, surtout si tu es prise en prépa scientifique ! C’est sérieux, cette année !
« Oui, c’est sérieux, les maths, je sais, oui, bien sûr, t’inquiète, Maman… Oui, oui, elle m’en a parlé…
« Profite aussi de leur belle maison, de leur piscine et de la plage !
« Oui, la piscine est super ! Excuse-moi mais je crois que Mireille a besoin de moi pour les maths, justement…
Valérie, Régis et Mireille viennent d’entrer entièrement nus et Régis arbore une magnifique érection. Valérie pousse un petit chariot.
« OK, je te laisse. Rachida est là, elle t’embrasse !
« Oui, je l’embrasse aussi. Bisous !
«Régis et moi avons décidé de faire ta défloration tout de suite. Tu te sens prête ?
« Oui, bien sûr, pas de problème…
« Tu es sous contraceptifs, n’est-ce pas ?
« Oui, oui…
Valérie ouvre mon lit et étale deux serviettes éponge et une alèse jetable puis, aidée de sa maîtresse, me fait glisser sur le dos jusqu’à ce que mes fesses soient au bord du matelas. Les deux femmes me font écarter et relever les cuisses Mireille me renverse la tête et me fait un baiser profond. Elle pétrit mes gros seins tandis que Valérie enfile des gants de latex et lubrifie mon sexe et mon anus.
« Elle a un hymen épais qui obture complètement l’entrée, observe Valérie, ça va être difficile et son anus est très serré et se resserre quand on le pénètre… Allez-y…
Régis se place debout sur le côté du lit et Mireille place sa verge à l’entrée.
« Vous êtes prête, Mademoiselle Véronique ? Je l’ai lubrifiée mais de toute façon elle est très mouillée… Allez-y, Monsieur, poussez !
Je ne réponds pas, occupée à sucer la grosse langue de Mireille mais je me dégage : je m’attendais à une vive douleur mais pas du tout : le gland vient de passer sans problème et Régis enfonce sa verge dure, épaisse et longue de toute sa longueur et je gémis de plaisir.
Très compétent, il me fait connaître, non pas la vive douleur à laquelle je m’attendais après tous les discours de ma mère et de certaines de mes copines mais un plaisir croissant : il appuie au bon endroit et commence des va-et vient, précautionneux au début puis plus rapides. Je ressens un plaisir intense, sans aucune commune mesure avec celui que m’offrait jusqu’à présent mon gros clitoris percé sur lequel je tire toutefois dans l’espoir de jouir encore davantage et c’est l’explosion ! De voluptueux spasmes montent de mon ventre à mon cerveau et je crie longuement. Mes cuisses tremblent et mon ventre ondule de plaisir.
Mireille garde ses mains sur mon corps tout en ralentissant ses caresses.
« Ne t’arrête pas…
Valérie rit :
« Vous pouvez jouir, Monsieur, je crois que vous l’avez bien mérité !
Il ne se le fait pas dire deux fois : il ralentit, je sens le sexe gonfler et et il respire très fort puis crie : des jets tièdes et puissants fouettent l’intérieur de mon corps et c’est très voluptueux. Il tombe sur moi puis se retire. Je me redresse : il est encore en érection et je prends dans ma main la verge poisseuse de sperme mélangé à un peu de sang. Valérie, assise sur ses talons, rentre précautionneusement deux doigts dans mon vagin, les ressort et me les montre en riant :
« Bravo, Mademoiselle Véronique, pour votre première fois, dit-elle avec son accent. Il y a un tout petit peu de sang. L’hymen a été déchiré. Le reste partira les prochaines fois !
« Comment se fait-il que je n’aie pas eu mal ?
« Je crois que vous pouvez remercier Monsieur qui est un bon amant mais cela, je le savais déjà, n’est-ce pas, Madame ?
Elle me fait goûter ses doigts.
« C’est bon… Merci, Régis,,.
Il me fait un baiser sur la face arrière de l’une de mes cuisses toujours relevées puis sur la bouche.
« Merci à toi, Véronique…
La semence de Régis coule comme une rivière. Sur l’alèse jetable, il y a une vraie inondation de sperme avec une légère trace de sang. Valérie, la tête entre mes cuisses, recueille une partie du précieux liquide dans sa bouche et fait un baiser à Mireille et les deux femmes nues s’enlacent. Régis se couche à côté de moi. Je m’empare de son sexe qui a retrouvé son érection et je la masturbe en faisant coulisser la peau sur la hampe dure.
« Nous avons invité un couple à dîner ce soir, Catherine et Alain. Nous sommes très liés tous les quatre. Ils sont un peu plus âgés que nous.
Ils veulent te connaître. J’espère que tu n’y vois pas d’inconvénient ?
« Non, pourquoi ?
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