Cloé 20 ans vit avec son papa Lucien. Il s’occupe d’elle comme d’une mère Poule.
Un jour qu’elle prenait un bain de soleil sur un transat. Cloé, se fait interpeller par son voisin Paul, il la connait depuis qu’elle est toute petite. Elle a pour lui beaucoup d’affection. lui dragueur né, profite à chaque occasion de la draguer. Un jour, il parvient à la séduire et à l’entrainer dans son chalet de jardin, les deux font l’amour comme des bêtes. Depuis ce jour, Cloé se donne à lui très souvent, elle pétille de bonheur en le voyant. Cet homme la fascine par son charisme fou. Rapidement, elle devient accroc au sexe.
Sa femme Lucie, n’a aucun doute sur se que fait son mari avec Cloé, elle les a même épiée, lorsque qu’ils se donnaient l’un à l’autre dans le chalet de jardin, Pour l’instant, elle ferme les yeux, mais attend sa vengeance.
Dans le chalet, Cloé subit avec violence les assauts de son vieil amant, cet homme aux tempes grisonnantes est un amant redoutable. Cloé est fascinée par l’expérience de cet homme qui pourrait être son père. Elle geint, râle à chaque coups de boutoir que lui assène son amant. le bougre sait la faire monter aux rideaux. Sa verge voyage dans la gaine qui se lubrifie naturellement, en prenant de la vitesse. Cloé s’accroche à lui comme une pieuvre à son rocher, en geignant de plaisir :
-Oui Paul défonce-moi comme une pute, vas-y, vas-y, oh comme c’est bon, n’arrête pas, encore, encore !
Paul la défonce comme elle le demande, il lui pilonne la chatte férocement, jusqu’à ce qu’elle explose de jouissance. Mais un jour, son père, de son balcon les voit s’embrasser, par la porte entrouverte du chalet. Il sursaute, et se rendre compte que Cloé n’est plus la petite file qu’il faisait sauter sur ses genoux il y a peu de temps, et qu’elle est devenue un femme. Depuis ce jour Lucien la regarde d’un autre œil.
Lorsqu’elle passe devant lui, il porte beaucoup plus d’attentions sur ses formes. Il se surprend même à l’épier. Lorsque qu’elle descend en nuisette pour prendre son petit déjeuner, il la dévore des yeux. Un soir lorsqu’elle sort de la salle de bain, prête pour la nuit, elle se rend au salon pour embrasser son papa. Il lui prend la main et l’attire vers lui. Elle tombe assise sur ses genoux, il l’enlace et la serre contre lui. Cloé instinctivement, le prend par le cou et lui donne plein de petits baisers sur le visage.
Il reste un long moment sans se dire un mot tout en se regardant dans les yeux, avant que Cloé monte dans sa chambre. Les yeux de Lucien ne quittent pas le déhanché souple de sa fille, qui balance son bassin comme un félin. En se pinçant les lèvres, il se demande ce qu’a Paul pour que sa fille s’intéresse à lui. Il est aussi âgé que lui, et physiquement, il est quelconque. Une raison lui traverse l’esprit, le sexe. Et si sa fille était une nymphomane et qu’il lui faut du sexe fréquemment. Il ravale sa salive, son imagination fertile, lui fait miroiter tout genre de scénarios, il se voit entrain de lui faire plein de chose que la morale réprouve.
Sa verge se met à prendre du volume, et pour calmer sa pulsion, il doit se masturber. Il extirpe de son pantalon sa verge, la saisit ferment, et l’agite énergiquement. Il grimace, se fait violence en serrant les dents. Mais une chose à la quelle il ne s’attendait pas, sa fille qui prise d’une soif soudaine apparait. Elle reste sans voix, ses yeux ne quittent pas la verge fortement veinée que son papa branle férocement. Lucien en voyant sa fille, sursaute. Il cesse de se masturber, et la regarde un peu abasourdit. Elle s’avance doucement de lui, s’assied à coté de lui sur le canapé, regarde l’engin que son papa cramponne. Puis le saisit d’une main, et commence à l’agiter. Lucien surprit se cambre, mais ne repousse pas sa fille. Toujours sans dire un mot, Cloé branle le membre avec de plus en plus de détermination. Son papa grince des dents, ils s’agrippe au canapé, puis en poussant un râle de bête blessée, envie dans les airs sa semence. Elle retombe lourdement en partie, sur les doigts de sa fille et sur son pantalon. Cloé sans ouvrir la bouche, se lève va se nettoyer à la salle de bain, boit un verre d’eau, et disparait dans sa chambre.
Lucien reste baba, il met beaucoup de temps à comprendre, ce qui vient de se passer. Il sort son mouchoir, et essuie sa verge gluante. Il va prendre sa douche, et monte rejoindre sa chambre. Il se jette en pyjama sur son lit, et rêveur, regarde le plafond, il n’en revient toujours pas. Sa nuit fut agitée. le lendemain matin, il regarde sa fille descendre l’escalier en balançant son bassin. Au travers de la nuisette transparente, il peut voir les grandes lèvres, cernées par une fine toison se frotter à chacun de ses pas. Ses yeux se mettent à briller. Les mamelons larges, entourés d’auréoles brunes, appuient fortement sur le tissu, le troublent énormément.
Lucien déglutie bruyamment sans quitter des yeux le corps de sa fille. Il l’embrasse et prend place à table pour prendre son petit déjeuner. les deux n’échangent pas un mot, juste quelques regards très appuyés. le petit déjeuner se passe anormalement sans dire un mot. A la fin du petit déjeuner, Cloé débarrasse la table et porte la vaisselle à l’évier. Lucien se lève et lui emboite le pas. Il se place derrière elle, l’enlace, et la serre dans ses bras. Cloé se raidit en poussant un grand soupir, et s’agrippe à l’évier. Son papa lui donne plein de baisers sur la nuque et sur le cou. Il la sent frissonner. Il commence à onduler du bassin contre les rondeurs fessières de sa fille. Elle se penche légèrement en avant légèrement pour offrir sa croupe aux ondulations incessantes du bassin audacieux. elle subit quelques minutes les frottements, puis se retourne habilement. Elle regarde son papa en le toison de haut, et s’enfuit à la salle de bain.
Lucien reste pantois, il ravale salive et sort dans le jardin prendre l’air. Une fois prête, Cloé discrètement se dirige vers le chalet de son vieil amant, qui l’attend impatiemment. Dès qu’elle entre, il ne prend même pas la peine de fermer la porte qu’il l’enlace et lui caresse le corps. Il passe sa main sous ma jupe, comme Paul le lui a conseillé, la coquine ne porte pas de culotte. Il lui retrousse la jupe et lui caresse la vulve. Lucien de son observatoire voit tout ce qui se passe à l’intérieur du chalet. Pour mieux voir, il s’avance doucement et écarte avec précaution le feuillage de la haie. Sa fille agite son bassin sou les caresses de Paul, elle pousse de nombreux soupirs, avant de se laisser tomber à genoux face à son amant.
Une bosse monstrueuse déforme son pantalon. Cloé habilement dégrafe la ceinture de son amant et baisse le pantalon en entrainant avec, le slip. La verge jaillit comme un ressort qui se détend. Rapidement la coquine la saisit d’une main, et l’agite énergiquement. Paul serre les dents en geignant. Soudain, elle cesse le branlage, décalotte le gland et le gobe. Lucien sursaute, il voit la bouche de sa fille s’activer sur le gland de son voisin et ami Paul, qui geint de plus en plus fort. Les aspirations sont bruyantes, Lucien les entend. La fellation ne dure pas longtemps, Cloé reçoit dans sa bouche une formidable giclée de sperme. Paul en envoyant la giclée marmonne :
-Tiens salope gaves-toi, tu aimes ça, alors profites-en ?
Les yeux de Cloé pétillent, elle repousse l’éjaculateur et en le regardant, avale la semence épaisse. Elle ouvre la bouche pour montrer à son amant qu’elle a tout avalée. Lucien défaille, sa verge durcit dans son pantalon. Paul la penche en avant, lui retrousse la jupe sur les reins. Cloé prend appuie sur une brouette en écartant les jambes. Paul lui saisit les hanches et sans fioritures, lui plante sa bite dans le ventre. La coquine affection ma levrette, elle geint à chaque coup de reins. La verge entre et ressort du temple en prenant de la vitesse. Les coups violents, deviennent dévastateurs. Paul tire sur les hanches de sa jeune amante pour l’empaler totalement. la bite coulisse aisément, dans la gaine qu’elle à dilatée.
Cloé se cabre, et explose en poussant un cri qu’elle ne peut contenir. Lucien manque de tomber à la reverse par le cri qu’a poussée sa fille. Sa bite est douloureuse, il la presse plusieurs fois pour ralentir la montée de sperme dans la hampe. Un grognement terrible le fait sursauter, Paul vient d’envoyer dans le ventre de Cloé, un flot de sperme brûlant. Il retire sa queue du ventre et veux prendre sa jeune amante par le cul. Cloé le repousse et dit :
-Je t’ai déjà dit, que je ne veux pas de sodomie !
Paul déçu, doit y renoncer. mais, il n’en a pas finit avec elle, il la bascule sur le plancher du chalet lui dévore la chatte comme un vorace, il aspire le jus, fouille la gaine profondément lui tète le clito férocement. Cloé lui appuie sur la tête en répétant :
-Oui, oui, vieux salaud, bouffe la chatte de ta salope, oh putain comme c’est bon !
Paul est un dévoreur de minou, comme il n’y en à pas deux. Cloé explose de jouissance plusieurs fois avant de demander grâce. Lucien est complétement défait. Il sort de son observatoire et rentre chez lui. Il se laisse tomber sur le canapé complétement détruit. Il ferme les yeux et revoit sa fille sucer la verge de Paul, et sa bite lui forer le ventre. Il ne peut retenir un flot de sperme giclé dans son slip.
Fébrilement il sort de son pantalon sa verge gluante, il la regarde en faisant la moue. C’est à ce moment la que sa fille fait son apparition. Cela fait la deuxième fois, qu’elle voit son papa la queue hors de son pantalon. Elle s’avance, le regarde , le pauvre est dans un état pitoyable, ses yeux sont vitreux, il semble dans les vapes. Elle s’assoit à côté de lui et lui demande tendrement :
-Mais qu’est-ce qui se passe papa ?
Il la regarde avec un air de chien battu, et répond faiblement :
-J’ai honte de le dire, mais c’est à cause de toi ma chérie, je sais que tu couches avec Paul, mais aujourd’hui je vous ai vu faire l’amour dans le chalet, et je n’en peux plus !
Ses yeux s’emplissent de larmes, il l’enlace et la colle contre lui il lui dit en reniflant fortement :
-Je suis jaloux de Paul, je rage de savoir qu’il couche avec toi, j’ai besoin de toi, moi aussi ma chérie !
Cloé fronce les sourcils et répond avec tendresse :
-j’aime le sexe, je ne peux plus m’en passer. Mais tu es mon papa, hier je t’ai rendu service, et je ne sais si je peux en faire plus avec toi !
Lucien répond avec des trémolos dans le voix:
-Papa, ou pas, j’aimerai avoir les mêmes faveurs que Paul, tu hantes mes nuits !
Cloé reste un instant sans voix puis saisir la verge gluante et l’agite. Elle regarde le visage de son papa qui change d’expression, au fur et à mesure de la masturbation. Il se tend comme un arc et dit :
-Oui ma chérie, continue, c’est trop bo, comme ta main est douce, oui, oui branle bien papa ma princesse !
la verge de Lucien, devient dure comme du béton. Cloé l’agite avec vigueur, elle dit en regardant son papa :
-Je vais te faire gicler comme un geyser mon petit papa !
Elle ne peut même as finir sa phrase, que son papa explose, elle reçoit sur ses doigts son remerciement. Cloé sourit, elle dit :
-Ouah comme tu gicles bien papa !
Dans la foulée, elle retrousse sa jupe et montre sa chatte dégoulinante d’excitation, à son papa.
Je ne sais pas si un compliment est nécessaire, il suffit de voir la signature du récit pour savoir à l’avance que ce récit, va me faire juter à fond et que qu’il sera tellement bandant qu’on va attendre la suite la bite dans la main.
Bisous ma belle Linsee et vivement la suite