Histoire inceste Cloé ma fille d’amour Chapitre 2

Cloé dit en riant :

-Toi aussi, tu veux ma chatte, regarde-t-elle te plait !

Elle ouvre les cuisses e se cambre pour exposer sa chatte aux yeux de son papa. Lucien surprit que sa fille ne porte pas de culotte, mais, il regarde, émerveillé, le trésor qu’a sa fille entre ses jambes, il se retient, pour ne pas lui sauter dessus. les grandes lèvres sont encore gonflées par le pilonnage sévère de Paul, la fente laisse échapper un filet de liquide blanchâtre. Cloé ajoute en souriant :

-Ma chatte est encore pleine de jus de Paul, regarde papa elle déborde, oui je suis une grosse salope, et j’aime la queue, celle de Paul me fait vibrer !

Provocante, elle passe plusieurs fois sa main sur sa vulve gorgée de semence, elle enfonce deux doigts dans la gaine vaginale, pour en recueillir du jus visqueux. Étrangement, il est encore épais. Elle ressort ses doigts englués, et en regardant son papa les suce voracement. Lucien salive fortement, il n’ose croire que sa fille soit devenue un très grosse pute salope. Mais, lorsqu’elle l’affirme, son papa ne peut nier l’évidence.
La hampe large, luisante de coulure de sperme, reprend du volume. Cloé retire sa jupe et son top. Elle apparait nue devant son papa, qui vient de découvrir la beauté des formes de sa fille, lui qui la prenait encore pour une enfant il y a peu de temps. Là, il change d’avis, et la dévore des yeux. Il observe les mamelons plantés au centre d’aréoles brunes fortement grenelées

Malicieusement, Cloé agite son bassin, se tortille, ondule comme une danseuse orientale. Elle écarte légèrement les jambes, se penche en arrière, et écarte les grandes lèvres, pour que son papa se rince l’œil. Lucien reste sans voix, il regarde sa fille comme si c’était un extra terrestre. Elle se retourne, se penche en avant et expose son anneau ridé. Elle dit en riant :

-Paul veut toujours m’exploser le cul, il rage, car je lui refuse l’accès, et toi, papa, tu envisages de me forer le cul avec ta grosse bite, avoue que tu y penses vieux cochon ?

Lucien la regarde, il est comme hypnotisé, sa verge devient dure, quelques spasmes font suinter le gland. Elle s’approche de lui, et lui saisit la hampe. Elle l’agite férocement en disant :

-Elle est encore pleine de bon jus ta grosse queue, vieux salaud, vas-y, gicle pour la pute que tu veux défoncer !

Lucien ne reconnait plus sa fille, il se pose la question, mais que lui a fait Paul pour la rendre aussi salope. Elle est en plein délire d’excitation. Elle branle sauvagement le mât de chair. Lucien se cabre, en grognant, Cloé cesse de branler, elle attend que la tension retombe, avant de reprendre la masturbation. Plusieurs fois elle répète le mouvement. A chaque fois, que son papa est sur le point d’exploser, elle cesse le branlage. Son papa a un regard suppliant, mais la coquine, est seule à décider lorsqu’il doit jouir. La torture dure de longues minutes. Soudain, Cloé secoue la verge pour la faire exploser. Rapidement, elle gobe le gland et le suce voracement, elle reçoit une violente décharge de sperme dans la bouche, son papa gicle plusieurs fois. Un filet de sperme, s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle repousse son papa et avale sans rechigner la liqueur onctueuse qui glisse dans sa gorge.

Lucien l’enlace, il la regarde dans les yeux et lui dit :

-Tu es un monstre, je vais te défoncer comme la pute que tu es. Ah tu donnes ta chatte au voisin, je vais te corriger pour cela !

Elle sourit et dit :

-Chiche, vas-y montre que tu es un vrai homme, corrige ta petite pute de fille !

Lucien, avant d’appliquer la sanction, retire ses vêtements. Il bascule sa fille sur ses genoux et commence à lui donner une bonne fessée. Cloé se tortille, grimace, ses fesses sont rapidement rouges. Enfin la punition cesse.
Lucien caresse les fesses qu’il a martyrisées, la peau est brûlante. Il se dit qu’il y a été un peu fort, mais la provocatrice, l’a bien méritée. Il glisse doucement sa main entre les cuisses et atteint la vulve trempée. Il est surpris que sa fille mouille en prenant une fessée, mais cette situation l’excite. Il lui caresse la fente, titille le clito un court instant, avant de retirer sa main. Cloé se redresse, ses yeux sont pleins de larmes, elle le foudroie du regard et lui dit :

– ça mon salaud tu vas me le payer !

Elle le pousse brutalement sur le canapé, lui saisit la verge s’une main, et la presse fortement. De sa main libre, elle lui agresse les couilles, les presse si fort que son papa grimace en geignant de douleur. Elle le regard, tout en lui écrasant les couilles, elle commence un branlage terrible. Lucien se cabre, se mélange de douleur et de caresses, le font gémir : Cloé en accélérant lui dit :

-Tu aimes ça hein, maintenant, je vais te faire connaitre le summum du plaisir !

Elle continue de le branler, et lui ,enfonce deux doigts dans l’anus. Elle lui ramone le rectum avec rage. Lucien se cambre en geignant, jamais il n’a connu un tel attouchement. Cloé ajoute un troisième visiteur. Elle lui taraude la gaine anale avec un savoir-faire inouï. Lucien pousse un grognement et gicle fortement, tout en le branlant, Cloé dit :

-Tu es comme Paul, tu aimes te faire ramoner le cul hein vieux cochon !

Lucien répète sans cesse :

-Oh putain, oh putain quel pied, jamais je n’aurais imaginé, jouir du cul !

Cloé lui aspire le gland et le suce comme une professionnelle du sexe, elle vide la hampe du restant de semence qui s’y cache encore. Sa chatte est en feu, elle regarde son papa et lui dit :

-Fais-moi jouir papa , je suis brûlante, tu me dois bien ça !

Lucien a bien trop envie d’elle, pour lui refuser ce service. Il se dit que Paul à de La chance d’avoir Cloé comme amante, c’est une vorace innée. Il lui ouvre les cuisses et plaque sa bouche sur la vulve en feu, il aspire le jus (cyprine, et restant de sperme de Paul). Lucien se gave, il enfonce sa langue profondément dans la gaine et la fouille avec rage. Il gobe le clito qui est devenu énorme, il le suce , jusque sa fille explose de jouissance. Elle appuie sur la tête de son papa, en geignant comme un animal malade.

Lucien se redresse et place sa verge contre la fente dégoulinante. Il pousse, la verge aisément s’enfonce dans la gaine détrempée. Lucien commence un va-et-vient de plus en plus brutal, il donne des coups de reins terribles comme pour punir sa fille de se donner à Paul. Sa verge coulisse dans la gaine gorgée de jus, en arrachant à Cloé des gémissements de plaisirs, elle marmonne :

-Oui papa, encore, encore, oui, c’est bon, vas-y, vas-y !

Une jouissance incontrôlable fait hurler Cloé. Son papa la défonce jusqu’à ce qu’il lui remplisse le ventre de sa semence. Il la regarde et lui dit :

-Cloé, comme tu es bonne ma princesse !

Elle répond :

-Oh toi aussi papa, tu me fais grimper aux rideaux !

Il lui caresse les fesses, insère ses doigts dans le large sillon, agace l’œillet ridé, et lentement enfonce la première phalange de son doigt dans l’anus, qui, par réflexe, lui enserre le doigt. l’anus se contracte plusieurs fois sur l’intrus, comme pour le sucer. Lucien enfonce la totalité de son majeur dans le rectum de sa file qui, se raidit en disant :

-Papa, tu es comme Paul, un gros dégueulasse, qui veut m’enculer. Je ne l’ai jamais pratiquée la sodomie, mais je veux bien que ce soit toi, qui me prenne le premier par le cul, alors soit prudent je t’en prie vas-y doucement !

Lucien n’en attendait pas moins. Il ramone doucement le conduit étroit, le fouille longuement. Enfin, il plaque se bouche sur l’œillet, le lèche, le suce du mieux qu’il peut. Cloé agite sa croupe en geignant de plaisir. Ce qu’elle ressent est indescriptible, mais ses se crispe lorsque son papa, place son gland contre son anus, et pousse doucement. l’anus cède à la poussée, et lentement s’engage dans la gaine qu’il délite en avançant lentement en elle. Cloé grimace, serre les dents, une douleur atroce lui fait faire une moue affreuse, qui déforme son visage.

La verge puissante s’enfonce dans son rectum sans faire une pause. Cloé croit mourir tellement c’est douloureux. Une fois que les couilles de son papa frappent ses fesses, il cesse tout mouvement. Ce court répit, permet à Cloé de s’habituer, petit à petit, à la verge qui lui fore le cul. Avec précaution, Lucien commence à faire, délicatement, un va-et-vient.

Cloé souffle comme un taureau, elle s’agrippe au canapé. Son papa la tient fermement par les hanches et augmente la vitesse de pénétration. Cloé se met à, geindre, elle agite doucement sa croupe, pour le papa, c’est comme un signal. Il ne se retient plus, il lâche les chevaux et bourre le cul de sa fille comme un sauvage. Cloé geint, râle, couine à chacun des assauts de son papa amant.

La verge infatigable voyage dans la gaine en arrachant des gémissements de plaisirs à Cloé, qui semble perdre les pédales :

-Oh papa, papa, mon Dieu, comme c’est bon, je sens que je vais exploser, vas-y, vas-y, bourre-moi bien !

Une jouissance anale jusque-là inconnue de Cloé la fait hurler de Plaisir. Sa chatte gicle comme un geyser. Un flot puissant de cyprine, inonde le canapé. Lucien la démonte férocement, jusqu’à ce qu’il lui remplisse le cul de sa semence épaisse. Il se retire, essoufflé, il regarde sa fille et lui dit :

– Tu es exceptionnelle ma princesse !

En béguant, Cloé répond :

-Oh papa, tu viens de le faire découvrir la jouissance anale, c’est merveilleux, Paul, à présent, va pouvoir me prendre le cul, autant de fois qu’il le voudra !

Lucien se cabre et réplique :

-Paul, Paul, toujours Paul, tu n’as que son nom en bouche !

Cloé en souriant l’enlace et lui dit :

-Mais tu es jaloux de Paul mon petit papa, je propose de vous réunir tous les deux, et de faire de moi votre machine à jouir !

Lucien reste baba en entendant les propos de sa fille, il finit par dire en béguant :

-Tu veux que, que, que, Paul et moi, te bai, bais, baisent ensemble, c’est une partouse que tu proposes ma chérie !

Cloé éclate de rire et dit :

-Eh oui, je veux avoir dans le corps les verges, des deux hommes que j’aime !