Histoire inceste Une nièce à la page Chapitre 1

Une nièce à la page 1

Sandrine, 22 ans, depuis quelques jours est en vacances chez son oncle Marc et sa tante Huguette.
Comme Sandrine venait d’enfiler son maillot de bain, et la croyant dans la petite piscine, ou entrain de se faire bronzer, les deux, se font un gros câlin.

Huguette pratique sur son mari une fellation terrible. le bougre est assit sur une chaise, pantalon et slip baissés sur ses chevilles. Il se cramponne à la chaise, en savourant les bienfaits d’une bonne pipe, grandement menée.
Huguette adore sucer, elle déguste le membre fortement veiné, de son mari en pratiquant de puissantes succions sur le gland. Elle ne peut retenir un petit gémissement à chaque aspiration. Marc défaille, caresse la longue chevelure d’Huguette, en grognant comme un animal. D’une main la coquine lui triture les couilles, en les pressant de temps en temps, pour augmenter la tension.

Marc grogne de plaisir, sa femme est une amante hors paire. Elle s’active sur le gland comme une affamée. Sa persévérance est vite récompensée, elle reçoit une puissante décharge de sperme dans la bouche.
C’est si violent, qu’elle repousse son mari pour ne pas étouffer. Ses yeux brillent, elle regarde son mari en se pinçant les lèvres, un petit filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Lentement Huguette par petites gorgées, avale la semence, jusqu’à la dernière goutte.

Elle ouvre la bouche toute grande, pour monter à Marc qu’elle a tout avaler. Elle s’essuie d’un revers de la main les lèvres, puis dit en souriant :

-Comme ta liqueur est bonne mon chéri, merci de me l’offrir si généreusement !

Marc en souriant, la saisit par le bras et lui dit :

-Ma chérie, tu auras encore l’occasion d’en avaler !

D’un geste habile, Huguette retire sa culotte, qui porte une tache humide à l’entrejambes. Marc dit en souriant largement :

-Ma chérie je remarque que tu mouilles en me suçant, cela t’excite hein salope !

Huguette répond :

-Oh oui cela me fait mouiller, j’adore sucer, je suis chaude comme un brasero, prends moi mon chéri, prends moi !

Elle fait glisser le zip de sa jupe, et en se tortillant, la fait tomber sur le sol, rejoindre sa culotte. Elle enjambe Marc, lui saisit sa verge gluante de semence, et s’empale fortement dessus en poussant un râle.

Sandrine qui avait oublié sa serviette, était là depuis un bon moment, et n’a rien loupée du spectacle. trop occupés les deux amants ne l’ont pas vu entrer. Huguette s’agite férocement sur le queue de son mari, qui grimace en grognant de plaisir. Sandrine yeux écarquillés regarde le corps de sa tante monter et descendre sur la bite puissante de son oncle.

Elle serre les cuisses, mais cela n’empêche pas sa chatte de suinter. Plusieurs fois, elle passe sa main sur sa vulve en feu. Son maillot trop ajusté, est inséré entre les grandes lèvres vaginales, en les moulant parfaitement. Ses doigts glissent sur la vulve en s’attardant sur la protubérance de chair, qui se trouve au dessus des grandes lèvres. Plus elle passe dessus, plus la boule prend du volume.

Un cri strident la ramène à la réalité, sa tante vient de jouir, elle s’agite comme une forcenée sur le pieu qui l’embroche jusqu’au couilles. Elle s’accroche au cou de Marc en geignant, elle cherche ses lèvres, et les deux amants échangent un long baiser fougueux. Enfin Marc lui remplit le ventre de sperme.
Sandrine, peur de se faire surprendre s’éclipse discrètement. Elle s’allonge sur un transat et pour calmer le feu qui la ronge, caresse au travers du fin tissu, sa vulve trempée. Son souffle saccadé est rapide, Sandrine serre les dents, elle revoit la bite vigoureuse de son oncle voyager dans le ventre de sa tante.

La tension est telle, qu’elle finit par écarter son maillot et se frotter énergiquement le clito. Elle grimace, elle agite son bassin en grognant. Il faut un peu de temps à Huguette et Marc, pour qu’ils émergent. Elle enfile sa culotte et sa robe, Marc remonte son slip et son pantalon. Et ravit d’avoir accomplis un devoir, sortent de la maison. Sandrine, à la tête tournée vers la piscine, elle ne peut les voir. La coquine s’active sur son clito en geignant comme une bête malade. Pendant un long moment, les deux voyeurs assistent à la masturbation de leur nièce. La queue de Marc redevient opérationnelle, c’est contre le mur qu’il plaque Huguette, lui retrousse la jupe, lui remonte la jambe jusqu’à sa taille et la maintien fermement. Elle écarte elle même sa culotte, pour recevoir dans son ventre le pieu de son mari.

Elle s’accroche à son cou pour ne pas chuter. Marc donne de grands coups de reins en ne quittant pas des yeux sa nièce, qui gémit de son côté. Les coups de reins de Marc sont furieux, on a l’impression qu’il veut traverser le corps de sa femme. Huguette est hors sol, une violente jouissance la fait hurler. Sandrine sursaute, et retire sa main. Elle tourne la tête d’où provient le cri, elle resserre les cuisses, en apercevant son oncle et sa tante emboités l’un dans l’autre. Marc trop excité, continue de démonter sa femme, ses coups de bélier sont dévastateurs, Huguette pousse un râle à chaque pénétration.

C’est en serrant les dents qu’ils lui remplit le ventre de sperme. Enfin il se retire. Sans prendre le temps de remballer sa verge, il s’approche de sa nièce, et dit entre deux souffles :

-Te voir te caresser, nous a tellement excités qui nous n’avions pas pu nous retenir !

Sandrine, rouge de honte, regarde le membre gluant du tonton en ravalant sa salive, elle dit en béguant :

-Moi aussi je vous ai vu dans la cuisine !

Marc en souriant répond :

-Ah c’est donc pour cela que tu te branlais, je comprends tout, mais je crois que nous t’avons dérangé, dommage que tu n’as pu conclure ma chérie !

Sandrine, rouge comme une pivoine, elle baisse la tête. C’est impensable, sa tante pose délicatement sa main sur son ventre et le caresse doucement. La nièce surprise par cette action, se contracte légèrement. La main de sa tante en faisant de petits cercles, s’approche de plus en plus dangereusement de son entrejambes. Mais au contact des mains sur son bas-ventre, Sandrine se raidit. Huguette sourit et lui dit :

-Ton maillot est trempé ma chérie, il faut toujours finir ce que l’on a commencé, je vais t’aider !

Sandrine ne répond pas, elle déglutit bruyamment. Les doigts agiles de la tante passent de nombreuses fois sur la vulve détrempée, que seul le maillot protège encore. Sandrine, bouche entrouverte, sans avoir un geste de défense, ne semble pas réagir. La tante audacieuse écarte le tissu, et découvre la toison humide. Le clito est terriblement gonflé. Huguette avec douceur, le saisit entre son pouce et son index et commence un délicat branlage. Elle dit :

-Mon Dieu ma chérie comme ta cerise est belle, si tu me le permets, je vais le gober !

Sandrine ne dit mot, elle ravale sa salive, en subissant la douce masturbation que lui, inflige sa tante. Elle gémit doucement en agitant faiblement son bassin. La tante très attentionnée, s’active sur la boule qui ne cesse de grossir. Marc bande comme poney, il regarde da nièce gémir de plaisir sous le doigté efficace d’Huguette. La tension est à son comble. Sandrine est au bord de la jouissance, elle commence à trembler. Le tonton, s’approche encore plus près, il se penche et regarde la boule épaisse que sa femme agite.

Sa verge est brandit sur son bas-ventre comme une épée. Les yeux vitreux de Sandrine, se posse sur la hampe épaisse, garnit de grosses veines fortement gonflées de sang. A son âge, la jeunette n’ai pas du en voir souvent de ce calibre. La tante accélère la masturbation, Sandrine malgré les dents serrés, ne peut retenir des gémissements qui deviennent de plus en plus rauques.

Soudain, elle se cambre fortement sur son transat, une violente jouissance la fait hurler. Elle retombe lourdement sur le transat, en haletant comme une bête blessée. Lentement, avec des gestes habiles, Huguette, retire le maillot de sa nièce qui reprend peu à peu ses esprits. Son souffle est rapide, son cœur bat la chamade. Elle ne quitte pas des yeux la verge encore gluante. La tante s’agenouille et ouvre doucement les cuisses de Sandrine qui se laisse faire sans réagir.

la langue agile lèche le sillon que forme les grandes lèvres, avant de s’enfoncer dans le conduit détrempé pour le frouiller. La nièce, décolle légèrement ses fesses du transat, en geignant. La langue fouille profondément son puits d’amour sans oublier un recoin. Mais dès que la tante gobe son clito, Sandrine se cambre encore plus, comme pour offrir à la bouche vorace de sa tante son fruit. Les succions sont terribles, est constantes. Sandrine défaille, sa chatte rejette un flot continue de cyprine.

Marc est émerveillé devant le spectacle que donnent les deux femmes devenues lesbiennes pour la circonstance. les râles de la nièce le font frémir, il secoue vigoureusement sa verge, en grimaçant. les yeux embués de Sandrine ne l’ont pas quittées d’une seconde. Une nouvelle jouissance la fait hurler, elle se raidit son corps fait le pont un instant, avant de retomber lourdement sur le transat. Huguette tire sur le soutien gorge et découvre les seins. De gros tétons plantés au centre d’aréoles brunes, font saliver le tonton voyeur. La tante les saisit, les roule entre ses doigts, les étire au maximum, en les pressant fortement.

Ce traitement digne de tortionnaire, fait grimacer Sandrine. Le membre de Marc est au bord de l’éjaculation, il cesse de se branler et presse fortement sa verge pour l’empêcher de cracher. Il l’étrangle si fort qu’elle devient violacée. Tout en agaçant les mamelons d’une main, de l’autre la tante malaxe les lobes mammaires avec fermeté. Sandrine geint de plus en plus fort, la bouche de sa tante fait de miracles.

Marc n’en peut plus, la position qu’adopte sa femme le rend fébrile. Elle agite sa croupe en tétant voracement les mamelons de sa nièce. Tendu comme un arc, il se place derrière sa femme, lui retrousse la jupe. Il est si excité, qu’il lui déchire la culotte. Il saisit fermement sa verge d’une main, le gland visqueux, laisse échapper quelques perles de semence.

En grognant comme un animal, il le frotte plusieurs fois le cèpe gascon sur la fente dégoulinante. C’est avec aisance qu’il l’enfonce dans le ventre d’Huguette, qui se cambre en poussant un gémissement sans lâcher les mamelons. Marc lui pilonne le ventre comme un marteau piqueur. il grince des dents en donnant des coups de reins puissants il tire sur les hanches de sa femme à chaque pénétration. Huguette est contrainte de lâcher sa proie, elle se cabre, et en hurlant explose de jouissance. Marc la démonte comme un soudard, ses coups de reins sont terribles. Huguette s’agrippe au transat en geignant, pour recevoir les coups violents de son mari excité.

Enfin Marc se raidit et en rugissant comme un lion, explose. Il remplit le ventre de sa femme qui se laisse tomber sur le corps de sa nièce, qui vient d’assister à une défonce torride. Sandrine est en sueur, elle tremble de tous ses membres, sa vulve est en ébullition. Enfin la tante se redresse, elle regarde sa nièce, qui halète terriblement, son ventre est secoué d’un genre de spasme continu. Huguette, regarde son mari est dit :

-Mon chéri Sandrine est bouillante, mon Dieu comme elle mouille !

Huguette s’adresse à sa nièce :

-Ma chérie, tu veux que tonton te fasse monter aux rideaux avec sa bonne queue, regarde comme elle est belle et bien grosse, tu la veux dans le ventre ma chérie !

Tout en lui parlant, la tante lui caresse le clito. Sandrine regarde la verge gluante toujours tendue, qui laisse tomber sur le sol quelques gouttes de sperme. Elle ravale bruyamment sa salive, elle se crispe lorsque sa tante lui, presse le clito et dit entre deux grognements :

-Oui !

Huguette insiste :

-Je n’ai pas entendue, crie plus fort, dis que tu veux que tonton te baise !

Sandrine en serrant les poings répond en haussant le ton :

-Oui, oui, je veux que tonton me baise !

Huguette sourit, presse la boule de chair avant de la lâcher, et dit :

-Fais toi plaisir ma chérie, suce sa bonne queue !

Marc avance son bas ventre près du visage de Sandrine, il est si près qu’elle peut sentir l’odeur de mâle que rejette la verge. Sandrine hésite un long moment avant d’approcher sa main de l’objet de tout le plaisirs. Elle le saisit timidement, ses doigts enserrent le manche englué, elle sent le sang battre dans les veines apparentes. Avant d’agiter le membre de bonne taille, elle le décalotte doucement, l’observe un moment, puis donne quelques coops de langues sur le champignon. Marc se cambre, la langue agile de sa nièce fait plusieurs fois le tour du gland, titille le frein, elle lape les perles de rosées visqueuses, qui s’échappent du méat ouvert.

La tante écarquille les yeux, elle regarde sa nièce qui commence peu à peu à s’enhardir. Elle gobe le gland et se met à le sucer. Sa bouche devient de plus en plus vorace, les succions sont bruyantes et très appuyées. Marc geint en serrant les dents, il triture les longs cheveux de Sandrine, qui s’acharne sut son gland. La coquine semble y prendre beaucoup de plaisir, elle geint en tétant le chapeau de chair. Huguette intervient :

-Avec une main ma chérie, malaxe lui les couilles il adore ça le cochon de tonton !

Sandrine saisit les bourses velues du tonton, et les triture à la limite de la douleur. Marc aime ça il geint de bonheur. Comme pour récompenser sa nièce, il lui envoie dans la bouche un flot se sperme, qui manque d’étouffer la suceuse. Sandrine repousse brusquement son oncle, pince les lèvres en grimaçant. Un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. La tante crie :

-Avale, avale, c’est si bon, ne te prives pas de ce délicieux nectar ma chérie avale !

En déglutissant plusieurs fois, Sandrine avale la totalité de la décharge.

Linsee