Histoire inceste Une nièce à la page Chapitre 2

Une nièce à la page 2

Sandrine s’essuie d’un revers de la main les lèvres, elle regarde avec envie l’engin qui vient de lui offrir sa semence. Elle ouvre les jambes en poussant un soupir. Marc regarde en souriant la chatte détrempée, Huguette impatiente dit :

-Baise-là mon chéri, baise-là !

Marc avance son corps entre les cuisses de Sandrine, sa queue appuie contre les grandes lèvres humides et pousse. Les lèvres s’écrasent, et laissent le passage au gland qui pénètre le conduit brûlant.
Sandrine serre les dents, c’est la première fois qu’elle reçoit dans son corps un membre aussi large et épais. Elle grimace en s’accrochant à son oncle qui continue de pousser. Lentement, la verge, puissante, s’enfonce centimètre par centimètre dans son conduit, pour enfin l’occuper totalement.

Investit par un membre de gros diamètre, la nièce souffle comme un dragon, elle s’agrippe à son oncle en serrant les dents. Huguette prend pitié d’elle. Elle lui saisit le clito qui est gonflé comme une grosse cerise bigarreau, et avec habileté, l’agite de plus en plus vite. Le tonton commence le va-et-vient, les yeux de Sandrine s’écarquillent. Le membre puissant commence à faire des allers et retours dans son ventre. Dilatée comme jamais, elle ne l’a été, la nièce subit les assauts de plus en plus soutenus de son tonton. Peu à peu, son corps s’habitue au mandrin vivant qui voyage dans son ventre. Elle pousse des gémissements de plus en plus rauques. Huguette très attentive :

-Vas-y, vas-y mon chéri, défonce-là bien à fond, elle n’en peut plus, vas-y, vas-y !

En effet, Sandrine gémit comme une bête blessée, elle agite son bassin en donnant elle-même des coups de reins violents. Son bassin va à la rencontre des couilles de son oncle, qui frappent sa chatte à chaque enfoncement. La tante branle le clito avec de plus en plus de hargne. Sandrine s’agite, ses yeux sont presque désorbités, sa bouche est grande ouverte. La bite vigoureuse de son oncle voyage dans son corps sans faire une pause. Soudain Sandrine se cambre et marmonne :

-Oui, oui, tonton continue, continue, mon Dieu, ça vient, ça vient !

La nièce, défoncée comme jamais, se cabre. Elle ne peut retenir un hurlement terrible de jouissance. Ses paroles sont inaudibles, elle s’accroche au tonton en grognant comme une agonisante. Huguette n’en a pas fini avec elle, elle accélère au maximum le branlage du clito, qui est méconnaissable. Soudain, elle écrase le clito fortement, l’effet est immédiat, la nièce explose une seconde fois en hurlant.
Marc continue son travail de sape, à chaque coup qu’il donne il pousse un han de bucheron. C’est en rugissant comme un fauve qu’il remplit le ventre de sa nièce avec son sperme. Il donne encore quelques estocades brutales, avant de se retirer du ventre accueillant de Sandrine.

Huguette dépose sur les lèvres de sa nièce un gros baiser bruyant, comme pour la remercier d’avoir joui aussi fort. Il est temps de passer à table, les deux femmes nues, dressent la table, Marc retire le reste de ses vêtements, sa queue visqueuse, pendouille lamentablement sur son bas ventre. Mais cela ne l’effraye pas, il allume le barbecue et s’affaire à faire cuire les saucisses et côtelettes. Les deux femmes sont radieuses, c’est en se tenant la main, qu’elles sautent dans la piscine. Les deux s’amusent comme des enfants, elles rient, s’éclaboussent. Sandrine s’accroche au bord du bassin, sa tante se colle à elle, elle lui passe une main sur le ventre et atteint rapidement la vulve enfin apaisée.

Elle lui murmure à l’oreille, tu as aimé la queue de tonton dans ton ventre ma chérie !

Sandrine en soupirant répond :

-Oh oui, elle est trop bonne, hum !

En lui donnant des baisers sur la nuque et le cou, la tante ajoute :

Pendant qu’elle interroge sa nièce, la tante, audacieuse, passe sa main sur les lobes fessiers de Sandrine qui se raidit. Ses doigts s’insèrent dans le large sillon qui sépare les fesses, et caressent doucement la petite pastille ridée, et Dit :

-Tu aimerais qu’il te prenne pas là, avec sa bonne queue ?

Sandrine sursaute, un doigt vient d’investir son anus, elle se pince les lèvres et dit :

-Je n’ai jamais subi de sodomie, cela doit être douloureux, mais qu’est- ce que tu me fais tante, oh mon Dieu !

-Huguette, sans se formaliser, de la petite frustration de sa nièce, tente de la rassurer :

-Non pas tant que cela, le conduit est très souple et peut recevoir des queues encore plus grosses que celles de ton tonton, tu sens mon doigt, ce n’est pas douloureux. Tu veux essayer la queue de tonton !

Sandrine se crispe, le doigt de sa tante commence à voyager dans son rectum. Elle dit, entre deux souffles :

-J’ai trop peur que tonton me déchire !

En enfonçant son doigt jusqu’à la dernière phalange, Huguette réplique :

-Je vais me faire prendre devant toi, tu verras ce n’est pas si compliqué que cela, alors tu veux tenter le coup !

En hésitant, Sandrine répond :

-Je veux d’abord que tu passes la première, et après je tenterai la sodomie !

En lui ramonant le cul avec son doigt, Huguette réplique :

-C’est parfait ma chérie, tu ne le regretteras pas, et mon doigt, tu l’aimes dans ton cul !

En ravalant sa salive, la nièce répond :

-Ce n’est pas désagréable, et pas douloureux, oui, j’aime ce que tu me fais tante !

Huguette lui dit en souriant :

Je vais te faire jouir du cul ma chérie, après cela serra ton tour, de me fouiller la rondelle !

La tante connait son affaire, elle fouille et ramone allégrement le conduit qui s’assouplit au fur et à mesure du va-et-vient. Sandrine se met à gémir, elle agite même sa croupe. Une violente brulure lui, travers le ventre, se cabre et explose. Elle hurle :

-Oh mon Dieu tata, c’est démentiel ce que tu m’as fait !

Huguette ne peut que répondre :

– C’est ta première jouissance anale, avoue que c’est bon ma chérie, mais avec une queue, c’est encore plus jouissif !

Maintenant, c’est à Sandrine de faire jouir sa tante du cul, les deux femmes échangent de place. Sandrine enfonce un doigt dans la gaine anale, et commence un ramonage vigoureux. Sandrine réagit :

-Mets plusieurs doigts ma chérie, vas-y, vas-y !

Sandrine enfonce trois doigts dans le rectum de sa tante qui couine :

-Oui, oui, comme ça, oh putain comme c’est bon !

Encouragée, Sandrine lui ramone le conduit sans ménagement, et arrive à ses fins, Huguette pousse un hurlement et explose de jouissance. Les deux femmes, après un petit moment de répit, sortent de la piscine. Marc en souriant dit :

Je vous ai entendu hurler, je suis certain que vous vous êtes fait un petit plaisir mes salopes, avouez !

Huguette éclate de rire et réplique :

-Un gros plaisir mon chéri, après le repas, tu auras une belle surprise !

Le diner est bien arrosé, les batteries se sont bien rechargées. Les trois naturistes occasionnels, parlent de beaucoup de choses. Marc coupe la parole aux femmes et dit :

-Alors, la surprise, qu’est-ce que c’est ?

Huguette se lève et en se penchant en avant, s’écarte fortement les fesses avec ses mains, montre son orifice anale un peu boursoufflé par les nombreuses pénétrations, et dit :

Mon chéri, tu vas m’enculer, devant Sandrine, et après elle tentera la sodomie !

Marc, fou de joie, n’en croit pas ses oreilles, et dit :

-C’est vraie Sandrine , tu vas me donner ton petit cul tout neuf, ce n’est pas une blague ma chérie !

En rougissant un peu, Sandrine le confirme. Marc pose sur l’herbe roussit par le soleil un gros coussin, il demande à sa femme de s’allonger dessus et de bien cambrer sa croupe. Huguette connait très bien la pratique, elle obtempère en souriant. Marc lui caresse l’anus avec ses doigts humectés de salive. Les nombreux passages sur son anus la fait vibrer. Elle dit :

-Enfonce trois doigts, mon chéri, ouvre-moi bien le cul comme tu sais si bien le faire, avant d’y enfoncer ton gros mandrin, ouah comme je suis excitée !

Marc enfonce ses doigts, et ramone un instant le conduit, il fait faire à ses doigts des demi-rotations pour assouplir le conduit. Huguette gémit de plaisir en agitant sa large croupe. Elle dit :

-Prends-moi mon chéri, je suis prête !

Sandrine ne loupe pas une image, elle écarquille les yeux lorsque son oncle enfonce son redoutable engin dans le rectum d’Huguette. Qui pousse un grognement de bête blessée. Elle dit :

-Oui, oui, tape fort, défonce-moi, le cul, oh putain comme c’est bon, Sandrine, regarde, regarde, comme il m’encule, c’est merveilleux, oui, oui, Marc, déglingue-moi à fond !

L’enculage est terrible, ce que souhaite Huguette, c’est une bonne défonce anale, pour cela Marc s’y emploie sans retenue. Les gémissements de la tante font tressaillir la nièce, ils sont si bruyants qu’elle se pose des questions. Ses yeux sont rivés sur le mandrin qui entre et ressort du fondement de la tante, en prenant de la vitesse. Huguette se cambre en poussant un gémissement terrible, sa jouissance est extraordinaire. Elle hurle :

-Encore, encore, mon chéri, encore !

Pendant de longues minutes, Marc brutalise le cul de sa femme demandeuse, il finit par lui remplir l’intestin de son sperme. Sandrine est estomaquée par la violence de la jouissance de sa tante. Ce spectacle inédit, la fait mouiller terriblement. Elle plaque sa main sur sa chatte, pour tenter, vainement, de stopper la fuite de cyprine.

Les deux amants restent un bon moment emboité l’un dans l’autre sont bougés. Leurs respirations sont bruyantes et saccadées. La nièce, en fonction de voyeuse, ravale plusieurs fois sa salive. Bien qu’elle craigne sa première sodomie, mais elle est si excitée, qu’elle est prête, à subir dans les entrailles, le manche énorme de son oncle.

Linsee