Lorsque Marc, retire son engin du corps de sa femme. Sandrine sursaute, elle écarquille les yeux en voyant le trou béant, qui, par petites contractions, rejette le surplus de semence. Elle est impressionnée par l’anneau fortement boursoufflé, qui ne cesse de s’ouvrir et de se refermer constamment. Huguette souffle comme un sprinteur en fin de course, elle regarde sa nièce et dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Oh ma chérie, c’est merveilleux, la queue de tonton est fantastique, elle me fait jouir plus que de raison, je vais bien te préparer après avoir retrouvé mon souffle !
Sandrine regarde avec insistance l’anus bien ouvert de sa tante, qui ne cesse de suinter. Elle ose approcher ses doigts de l’orifice ouvert, avec délicatesse, elle les fait tourner sur le muscle extrêmement gonflé. Au contact des visiteurs sur son anus, La tante se met à geindre doucement de bonheur. Sandrine devient plus audacieuse, un doigt s’enfonce doucement dans le volcan qui rejette sa lave. Il est vite rejoint par un second et un troisième. La tante se cabre en geignant :
-Oui, oui, ma chérie !
Sans se poser de question, mais en regardant l’anneau qu’elle fouille, la nièce ajoute un quatrième visiteur. Pour la tante c’est le summum du plaisir, elle grogne :
-Oui, oui, ma chérie, fouille-moi bien, va profond !
Sandrine commence un va-et-vient redoutable, sans quitter des yeux l’anus qui semble aspirer les doigts. Les gémissements de la tante sont ceux d’une bête en rut. Marc regarde en souriant le duo en action, il dit :
-Huguette, tu es insatiable, j’aime te savoir gourmande ma chérie, profite de tous ses instants de bonheur, je t’aime !
Sandrine se lâche, elle fouille rageusement le cul de sa tante en grimaçant. Ses longs doigts tournent dans l’antre de Sodome, en arrachant des gémissements inhumains à sa tante. Huguette agite de plus en plus sa croupe, à la recherche d’une jouissance qui s’annonce proche. Les doigts enfoncés jusqu’à la dernière phalange, tournent dans le rectum très sollicité d’Huguette, gémissante de plaisir. Enfin la libération arrive, Huguette se cabre en hurlant, une violente jouissance anale la fait geindre comme une bête malade.
Marc est toujours surpris par les jouissances fabuleuses de sa femme, il salive fortement en poussant plusieurs soupirs. Sandrine retire ses doigts, en regardant les dégâts qu’elle à fait. Elle n’en revient pas de la souplesse de l’anus qui accepte aisément autant de visiteurs en une fois. Elle se demande si sa tante n’est pas une extraterrestre pour s’ouvrir si fort et pour jouir aussi violemment. Sa tante la regarde, ses yeux sont vitreux, elle ébauche un sourire enchanteur, qui met Sandrine dans l’embarras, elle rougit de honte, par l’audace qu’elle a eu. Elle si réservée, là elle se reconnait plus. Sa respiration s’accélère, elle a des bouffées de chaleur.
Marc remarque l’émoi de sa nièce, en souriant il lui dit :
-Je suis fière de toi ma chérie, tu as formidablement bien travaillé ta tante, regarde comme elle pâme de bonheur, je ne l’ai jamais vu dans cet état !
Il enlace sa nièce, et cherche ses lèvres. Le baiser qu’ils échangent est fougueux, et pas simulé. Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler. Un flot de salive est échangé. Le baiser dure longtemps, les respirations sont bruyantes, les souffles courts. Avant que le baiser ne cesse, lentement, Marc fait glisser sa main sur le corps fébrile de sa nièce, et atteint l’entrejambe. Il constate qu’elle mouille terriblement, cela le réjouit. Il sait que cela ne peut être que bénéfique pour la suite des événements.
Enfin Huguette refait surface, elle dit entre deux souffles :
-Ma chérie, c’est à toi de profiter de la bonne queue de tonton, met toi à quatre pattes, que je puisse te préparer !
Un peu craintive, Sandrine prend la pose. Sa tante lui écarte les lobes fessiers et commence à lui lécher l’anus, l’œillet ridé, qui n’a connu que des caresses furtives de Sandrine, frémir sous les coups de langue de la vorace tata. La sensation est merveilleuse, la langue glisse de nombreuses fois sur le muscle rectal, l’humidifie abondamment, puis tente de le pénétrer.
Sandrine se cabre, la pointe de la langue après plusieurs tentatives, réussit à pénétrer de quelques centimètres la gaine étroite. Pour Sandrine c’est fantastique, elle geint de plaisir. Elle ignorait jusqu’à ce jour le plaisir lingual anal. Elle geint de plus en fort, lorsque la tante lui fouille le conduit avec rage.
Marc est aux anges, son sang bout dans ses veines, il n’attend que sa femme veuille bien lui laisser la place. Mais la vorace tante dévore comme elle le peut, l’anus que son mari va déflorer, elle veut avant sa part du gâteau. La chatte d’Huguette est une fontaine, autant que celle de sa nièce qui gémit sous ses coups de langue. Sandrine, les yeux écarquillés, se cambre et en poussant un long râle, jouit du cul. Ce qui est extraordinaire c’est que la tante jouit également. Cela fait sourire Marc, qui bande comme un cerf en rut.
Huguette se redresse, et invite son mari :
-Elle est à toi mon chéri, éclate-la comme elle le mérite, fais quand même gaffe, elle est toute neuve du cul notre petite chérie !
Marc se place derrière la nièce stressée, qui serre les dents. Il frotte son gland contre la petite ouverture ridée, puis pousse. Sandrine grimace, l’anneau oppose une résistance. Une pression plus forte, est nécessaire pour que le muscle rectal cède. L’anneau avale lentement la verge en l’enserrant fortement.
Une grimace affreuse déforme le visage de Sandrine, une douleur presque insupportable lui tenaille les entrailles. Soudain le tonton donne un coup de reins terrible, la nièce se cabre en hurlant. Ses bras se plient brusquement, sa tête tombe sur ses avants bras, sa croupe reste bien relevée.
La bite volumineuse du tonton enculeur, vient de s’enfoncer entièrement dans son rectum, la douleur est atroce. Sandrine hurle :
-Arrête, arrête tonton c’est trop douloureux, retire toi, tu vas me déchirer, mon Dieu, je vais mourir !
Huguette vient à son secours. Elle lui saisit habilement le clito et commence un branlage dont elle a le secret. Marc cramponné aux hanches de la supplicier, commence un très, très, lent va-et-vient. Les râles que pousse Sandrine ressemblent à ceux d’une bête agonisante. lentement la verge prend de la vitesse dans le conduit étroit. C’est la première fois qu’une bite visite le rectum de Sandrine, qui geint de douleur. Elle ne cesse de dire :
-Aie, aie, mon Dieu, tonton tu me tues !
Mais au fil des minutes, et du branlage intense que pratique la tante, peu à peu la douleur s’estampe. La douleur que ressent maintenant la nièce est moindre. Elle commence à agiter sa croupe, le ton de ses gémissements change, la coquine, maintenant éprouve du plaisir. Sa gaine dilatée, enserre fortement la queue du tonton. Les allers et retours du pieu qui voyage dans l’étui de chair, font geindre Sandrine comme une bête qui s’accouple à son mâle. Huguette est émerveillée, sa nièce ne rechigne plus aux assauts de Marc, au contraire, sa croupe cherche le contacte des couilles du tonton, qui souffle comme un dragon a chaque va-et-vient. La tension monte de plus en plus.
Sandrine défaille, elle marmonne :
-Tante, tante, regarde comme tonton m’éclate, oh comme je sens sa grosse queue coulisser dans mon corps, Oh oui tonton pousse bien à fond, oh putain comme c’est douloureux et bon à la fois de se faire ouvrir le cul, vas-y tonton, vas-y !
Huguette, lui martyrise le clito, pour augmenter la tension. Les gémissements de Sandrine sont presque inhumains. De sa bouche s’échappe un filet de bave, ses yeux révulsés prouvent qu’elle est hors sol. Marc ne la ménage pas il lui pilonne le cul comme un sauvage, c’est à croire qu’il aime l’entendre gémir. Une brûlure intense traverse le ventre de Sandrine, suivit d’une jouissance extraordinaire. Sa chatte expulse un flot de cyprine, comme un geyser. C’est le moment pour la tante d’écraser le clito de sa nièce pour que sa jouissance soit renouvelée. En effet, une seconde jouissance fait hurler Sandrine. Heureusement que son oncle se cramponne à elle sinon elle s’écroulerait sur le sol.
Marc la défonce, il donne des coups de reins redoutables, à chaque enfoncement du membre dans ses entrailles, Sandrine pousse un gémissement. Enfin le tonton, en grognant comme un fauve, déverse dans l’intestin de sa nièce sa semence épaisse. Les deux s’écroulent sur le sol, emboités l’un dans l’autre. Les deux amants halètent fortement. Sous le regard amusé de la tante.
Une fois désaccouplée de son oncle, Sandrine se jette dans les bras de sa tante, les dieux roulent sur le sol, elles finissent par se mettre tête bêche l’une sur l’autre et se brouter les orifices, toujours en feu, jusqu’à la jouissance.
Linsee
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