CHAP 6
Ce soir Karim décide de l’emmener dans un hôtel restaurant assez chic de la région. Il choisit lui même sa tenue : Jupe courte qui ne cache presque pas le joli porte-jarretelles en dentelle noire et les bas résilles, chemisier en voile transparent qui laisse apparaître ses beaux seins qu’un soutien-gorge à balconnets a du mal à contenir. Pour terminer la tenue, une paire de bottes à talons hauts qui lui arrivent aux genoux et mettent en valeur mes cuisses.
Arrivés sur place, ils s’installent à la table qu’il a réservée et ils commencent la soirée. Un quart d’heure plus tard, un homme d’une quarantaine d’années, séduisant, sportif d’allure et bien habillé arrive seul et prend place à la table voisine. Au passage, il regarde longuement Elsa et lui adresse un léger sourire. Elle constate rapidement que son physique ne lui est pas indifférent ; lorsqu’il la regarde, un certain trouble l’envahit. Elle en fait part à Karim, qui lui répond de lui sourire aussi, et même de prendre les devants en l’allumant un max. Elsa ce prend au jeu de la séduction pour faire plaisir a son amant. Elle déboutonne un peu plus son chemisier et écarte largement les cuisses, de manière qu’il puisse entrevoir son intimité. Le jeu dure tout le temps du repas, arrivé au dessert,
Karim lui suggère, vu son état d’excitation, de se diriger vers les toilettes afin de voir si l’inconnu l’y suit. Elle ce fait un peu prier pour s’exécuter.
Une fois descendue elle n’attend pas longtemps pour voir arriver son admirateur. Il s’approche d’elle, il la prend dans ses bras et l’embrasse fougueusement, profitant de ce baiser il prend une de ses mains pour la passer sur son pantalon où elle découvre un magnifique relief à un certain endroit. Lui, de son côté, n’est pas resté inactif. Il a déjà découvert sa grotte humide et chaleureuse, et il embrasse ses seins bien gonflés et offerts. Le bruit de la porte d’entrée les oblige à stopper là leur ébats. Ils regagnent la salle de restaurant, Elsa est toute retournée de cette assaut impromptu, Karim l’invite à leur table en ce présentant.
Il s’appelle Habib. Après avoir fait plus ample connaissance, le moment de se quitter arrive. A cet instant, Karim lui annonce qu’il a loué une chambre pour la nuit et invite Habib à la partager avec eux, à la surprise de Elsa. Dans la chambre, Karim lui enlève rapidement son chemisier et sa jupe, lui laissant ses bottes et ses sous-vêtements.
Il pousse Elsa vers Habib pour l’aider à finir de se dévêtir. Lorsqu’elle lui ôte son slip, son impression de tout à l’heure se confirme, elle découvre un sexe d’une grosseur impressionnante. Elle n’a jamais vu une bite aussi grosse. Elsa est toute chose, prête à tout accepter. Son ventre et sa chatte ont envie de dévorer ces deux belles queues énormes.

— Suce ce beau sucre d’orge comme je t’ai appris ma chérie !!
Ne pouvant résister à la vue de ce bel engin, elle se mets à genoux et l’engloutis, dans sa bouche. Durant plus de deux heures, c’est pour tous les trois jouissance sur jouissance. Elsa n’a jamais connu pareille ivresse, son corps vibre sans cesse sous les caresses, cunnilingus, fellation. Ils la baisent à tour de rôle dans diverses positions. A la demande de Karim, ils se mettent chaque côté de Elsa à genoux, et ils se branlent au-dessus de ses seins, pendant qu’elle ce branle la chatte, encore toute chaude de leur semence, comme une salope docile. Elle sent soudain leur sperme gicler sur elle, ce qui lui provoque un orgasme fantastique. Revenue à elle, elle va pour s’essuyer, mais Karim lui dit :
— Non ! Attends, ce n’est pas fini.
Il prend le téléphone et commande du champagne. On frappe à la porte, il lui ordonne d’aller ouvrir dans cette tenue. Le garçon d’étage la dévisage, laissant presque tomber le plateau. Elle sent son regard la parcourir, s’arrêtant tout particulièrement sur ses seins recouverts de sperme et son puits d’amour ruisselant de plaisir. Karim lui demande de poser le plateau sur la table et ajoute :
— Ça te plaît, hein ? Toi aussi, ça te plairait de la baiser aussi ?
Le garçon sort de la chambre très perturbé.
Excitée par cet interlude, Karim lui ordonne de remettre en forme les deux belles queues qui lui sont offertes. Parvenue à ses fins et décidée à subir l’assaut final pour un maximum de plaisir, elle s’empale sur le sexe de Karim qui est couché sur le dos, pendant qu’elle continue à lécher Habib.
Puis, prenant son énorme sexe dans sa main, Habib l’amène au bord de mon puits d’amour déjà occupé.
Elsa sent alors un doigt se présenter sur son anus. Habib commence à enfoncer son doigt, d’abord une phalange puis deux. Son doigt me semble interminable et chaque centimètre est pour elle une sensation nouvelle, étant vierge de cet orifice. Il a, à présent, son doigt tout entier dans son cul et ce n’est pas si désagréable, mais c’est surtout la pression dans son vagin en train de se faire pénétrer qui lui fait de l’effet. Elsa pousse de léger gémissement, il doit prendre cela pour un acquiescement car il retire son doigt et présente son gland à l’entrée de sa petite porte de derrière.
— Ah non, je veux bien tout mais pas ça ! Pas ce soir !!!!
Mais il continue sa poussée malgré ses sphincters serrés à fond.
— NON je ne te veux pas là ! N’importe où mais pas dans le cul ! Alors Karim intervient, et dit :
— Par contre tu peux la prendre dans la chatte… elle a dit : N’importe où ??
— Oui, sauf que c’est occupé ! Répond Elsa.
— Et alors, quand il y en a pour un, il y en a pour deux, n’ai pas peur ??
— Sérieux ? Dit Habib. Tu veux qu’on lui fasse une double vaginale ??
— Heu, je crois pas que ce soit une bonne idée… Dit elle avant d’être interrompue par Karim.
— je suis sur qu’elle va adorer…
Habib la plaque contre son amant pour qu’elle lève un peu plus les fesses et présente son gland contre l’autre bite. Il commence à s’enfoncer en elle, et elle sent ses chairs s’étirer comme lorsqu’elle a accouchée.

Habib continue sa progression tandis qu’elle a les yeux écarquillés, bouche grande ouverte, incapable de sortir un son, tant la sensation de déchirure lui coupe le souffle. Puis le plaisir à fait place à la douleur et, durant ces longues secondes d’intromission, elle est convaincue que son puits d’amour restera ouvert à vie. Finalement, Habib arrive à l’enfiler à fond et commence, en même temps que Karim en dessous, à aller et venir. Leurs sexe collés l’un à l’autre dans un même trou ne les dérangent pas. Elsa les sent durs comme du bois. D’abord synchronisés, leurs sexes vont et viennent à des vitesses différentes, l’un accélérant pendant que l’autre se calme et vice versa. Cette double pénétration magistrale excite et refait mouiller Elsa et cet afflux de cyprine rend le tout de moins en moins douloureux, de plus en plus jouissif.
En dessous d’Elsa, Karim la regarde en souriant, il continue de la limer. Le double pilonnage reprend avec ardeur, elle est concentrée sur ce qui se passe dans son vagin. Les deux sexes dans son puits d’amour déformé se chevauchent, se croisent… Quand un se met en retrait, l’autre la prend à fond si bien qu’elle n’a aucun répit. Elsa hurle plus de plaisir que de douleur, elle sent, une nouvelle fois un orgasme venir.
Elle n’en revient pas… Elle ce dit qu’elle est la pire des épouses et probablement la plus grosse salope qu’on puisse faire… Elle va jouir avec deux énormes sexes dans son vagin.
Elle sent que l’explosion approche alors que son orgasme monte et que ses deux amants dans son ventre accélèrent de plus en plus. Habib dit alors à son comparse :
— On la rempli ensemble ?
— Ouais !!! On y va, je suis pas loin !
Ils la pilonnent encore quelques coups puis elle sent les premiers jets de sperme jaillir et l’inonder. Cette formidable sensation déclenche son énième orgasme et leurs cris de jouissance se mêlent aux siens.
-Haaaaaa putain ! Je te remplis pouffiasse !
— OH MON DIEUUUUU !!!! Je jouis !!! Hurle Elsa, elle crie comme une folle, les encourageant, par un langage grossier, à la traiter comme une pute ou une salope qu’elle est. C’est tellement bon de se faire prendre par tous les deux dans son puits d’amour !! Elsa jouit presque à s’évanouir, puis elle s’endort, heureuse, au milieu d’eux, après les avoir remerciés pour tout le plaisir qu’ils lui ont donné.
Pendant le petit déjeuner, Karim lui avoue avoir tout organisé, afin de lui faire ce cadeau inoubliable. C’est vraiment réussi !! Que voulez-vous Karim l’a rendu avide de sexe.
Chap 6
En quittant le restaurant après le petit déjeuner ils ce dirigent vers une voiture noire qui est stationnée à l’angle de la rue.
— Monte comme il n’y a personne chez toi, je t’en mène chez moi.
Elsa s’installe, heureuse. Il ne parle pas, il roule, Elsa ne réfléchit même pas au fait qu’il lui a fait faire l’amour avec un autre homme, elle se contente de l’observer. C’est un bel homme, son visage est parfaitement serein, elle l’admire, elle est amoureuse.
Ils sont arrêtés sur un parking extérieur, rien de vraiment glauque. Puis il déboutonne son pantalon et en sortit son sexe.
Elsa ne bouge pas. Il empoigne doucement mais fermement ses cheveux, il abaisse sa tête vers sa bite, honteuse elle sent une bouffée de chaleur dans son bas ventre. Elle laisse glisser de sa salive sur son sexe, ouvre la bouche, il lui maintient toujours la tête avec son autre main, il enfouit son énorme bite entre ses lèvres. Elsa hoquette, elle s’étouffe, mais il appuie de plus en plus fort et elle ne résiste pas, mais bientôt il lui faut de l’air, il le comprend, il sort sa queue de sa bouche en lui tapotant les lèvres.
— C’est bien soit docile, soit sage c’est bien. Lui dit il.
Étrangement ces simples paroles l’excitent, d’elle même elle reprend son sexe dans sa bouche, elle lui lèche, elle lui suce le gland. Elle commence à sentir une chaleur agréable entre ses cuisses. Elle le suce tranquillement en ce livrant à ses pensées plaisantes, quand il la surprend désagréablement, il saisit brutalement sa tête de ses deux mains, il tente d’enfoncer sa bite au fond de sa gorge avec de violents coups de rein en lui ordonnant de ce laisser faire, Elsa veut crier mais son sexe obstrue sa bouche, une violente envie de vomir la prend chaque fois qu’elle sent sa queue s’enfoncer très profondément, elle est au supplice, il n’a jamais été aussi violent, quand elle sent son liquide chaud envahit sa bouche. Elle l’entend gémir encore et encore, il éjacule puissamment dans sa gorge ! En criant :
— Putain !! Avale putain !! Avale !!!
Quand il a finit, il libère sa tête, elle a des larmes plein les joues à cause de tous ses hauts de cœur, Elsa n’ose rien dire, elle ne regrette pas ce qui c’est passé, surtout que son string est trempé. Il essuie les larmes de ses joues, la laisse reprendre son souffle, il lui sourit. Puis il soulève avec douceur et assurance sa jupe, il laisse apparaître sa grotte humide, il ne la touche même pas.
— Ôtes moi ça, je le ferai bien moi même, mais les sièges avant d’une auto ne correspondent pas au lieu idéal pour se déshabiller mutuellement.
Elsa obéit, observant que lui n’enlève rien.
— Maintenant, enfonces ta chatte sur le levier de vitesse.
— Pardon ??
— Si tu veux me prouver que tu es prête a m’obéir, il faut que tu commences par ça… Appliques toi et ne te disperse pas. Si tu n’obéis pas mieux que ça je te jette comme une salope bonne à rien. —OOH!! Non ?? J’ai juste peur d’être vue…
— Tu n’as pas à avoir peur. Tu n’es qu’une pute et tu es traitée comme telle. Contente toi d’obéir et fait ce que je te dis.
Choquée, Elle obéit quand même, elle se met a califourchon au dessus du levier, elle a honte, elle ce sent ridicule, mais l’énorme claque qu’il lui envoi sur le cul l’a convint. Elle appuie d’abord tout doucement sa grotte sur le levier, faisant rouler son clitoris sur le pommeau. Les lèvres de sa vulve s’écartent et ce colle sur le pommeau, elle sent sa mouille couler sur ses cuisses et sur le levier, s’en est trop, elle enfonce d’un coup sa grotte d’amour sur le levier, le faisant rentrer jusqu’au bout en poussant un cri de plaisir.
Karim lui empoigne le cul, il lui fait faire des allées venues brusques sur le pommeau, Elle gémit de plus en plus fort, elle regarde la bite de son amant et ce demande pourquoi est ce qu’elle s’apprête a jouir de cette façon alors qu’une si belle queue repose à côté d’elle. Puis elle ne s’en occupe plus, ses gémissements deviennent des cris, elle sent sa mouille inonder le levier de vitesse, son orgasme éclate de mille feux.
Karim a tiré ses fesses vers le levier de frein à main relevé. En retombant sur le levier de vitesse, Elsa s’empale l’anus en même temps sur le levier de frein à main. — La !! La !… Vas-y salope, vas-y salope… Tu n’es qu’une grosse putain… Fait le cocu ton mari vas-y salope…
— HHHAAGGG !!! OUIIIIII !! OUIIIIII…………
Elsa crie, pleure, hurle, tellement la violence de l’orgasme est intense, impensable, incroyable… Sa chatte gicle sa mouille dans un orgasme puissant et délirant.
Karim lâche son cul, c’est fini, Elsa est là affalée sur ses cuisses qui reposent de chaque coté de la console, une bonne partie du levier du frein à main est dans son cul, il est rentré tout seul pendant qu’elle jouissait. Il lui faut un bon quart d’heure pour ce remettre. Alors elle ce désaccouple du levier de vitesse et du frein à main, elle se rassoit sur le siège passager exténuée. Soulagée par ce nouvel orgasme, Elle rit de bonheur et lui dit :
— Tu exagères quand même non ? — Maintenant écarte tes cuisses… Tu sera une bonne putain…
— Oui mon chéri…
— Lâche toi… Redit moi encore baise moi…
— Baise moi… Tu as raison… Tu connais la femme… Dresse là ????
— Fais en ce que tu sais faire… Tu es un salaud… Tu as raison, ta maîtresse devient pute et tu sais lui faire aimer cocufier son mari… Salaud… Tu es un salaud… Baise moi… Baise moi… Baise moi
Elle répond favorablement, n’ayant aucune autre alternative que de le satisfaire pour le mériter.
Elle est en phase avec lui, elle c’est mise à vouloir ce qu’il veut d’elle, même si elle ne sait pas où il va la conduire.
— Il te faut du gros, comme ça tu pourras bien humilier ton mari quand il verra ta chatte dans cet état… Écarte bien tes lèvres en salope que tu dis être, pour recevoir ce nouveau membre coca-cola…
Il se met à rire… Il l’humilie mais elle s’exécute…
Il lubrifie copieusement ses lèvres avec du gel qu’il tient aussi dans sa boîte à gants. Ils se regardent, ses caresses sont douces, elle sent de l’amour dans sa demande, elle fond, elle écarte, pour lui faciliter la pénétration qu’elle désire au plus fort, trois de ses doigts et trois des siens se synchronisent pour lui ouvrir sa grotte, de lentes pénétrations la dilatent, elle copie le mouvements de ses doigts pour faire ouvrir son puits d’amour, elle tremble de tout son squelette.
Il enlève ses doigts de sa grotte béante, il ouvre la boîte à gants en face d’elle pour en extraire une canette de cola-cola vide en verre, de celle qui font un renflement entre le goulot et le culot. Malgré sa mouille abondante, il salive le goulot qu’il pose à l’entrée de son puits d’amour.
— Offres toi ma jolie pute… Vient… Empale toi ma belle… Continue de te masturber…
Appliques toi… Tu peux y aller… Soit une chienne… Une bonne putain… Soit mienne.
— OUI !! Mon chéri……..
— Tu vas obéir avec application… bien soumise à Ton MAC ?
Elle commence à comprendre, à accepter sa condition. Oui elle est ce qu’il dit, elle veut qu’il l’y conduise pour Lui… Qu’elle soit sa soumise l’excite depuis le début mais là cela lui renvoi bien qu’elle est une salope et qu’il a bien raison d’en profiter.
— OUI !! Mon Karim !! Je vais essayer… Pardon… Je vais faire tout mon possible pour que tu sois fier de moi.
Passé la surprise du contact froid du goulot de la canette et de la nature insolite de l’objet, Elle écarte et avance son bassin vers une pénétration en butée avec le renflement de la bouteille qu’il pousse à intervalle régulier pour élargir encore son col. Cette dilatation inconnue pour elle conjugue à la fois de la douleur et du plaisir.
Elle doit se dépasser pour donner satisfaction à sa volonté de l’élargir et de l’enfoncer presque de force cette bouteille.
Il la regarde, lui laisse prendre sa respiration, attend de détecter son relâchement, de voir son acceptation, puis il l’enfonce plus fort, jusqu’à la douleur maîtrisée, jusqu’à ce qu’il sente une limite imaginaire qu’elle ne pourra dépasser.
— Parfait Elsa… Tu es vraiment une bonne salope… Ta chatte est un enchantement… Tu vas te la faire baiser comme une chienne… Bien ouverte… Bien pleine… Lâche toi… Empale toi… Exprime toi…
Elle ce lâche subitement.
— Oui Karim… Je t’aime… Tu sais y faire salaud… Tu me rends folle… Je brûle… Je m’ouvre à toi sans aucune morale… Possède moi… Je t’obéirai… Soit Mon Mac.
Le désir l’envahit avec les images d’être prise sur ce parking, abusée, possédée comme une prostituée sur un parking à routiers…
En lui obéissant, Elle se découvre capable de tout si telle est sa volonté. Elle est aux limites d’une jouissance dont elle a été privée et qui lui semblait devenue inaccessible. Les poussées ont peu à peu ouvert sa grotte comme jamais, elle sait pertinemment que son but est de la pénétrer entièrement avec sa bouteille, ce qu’elle partage avec lui dans une complicité ou le travail sur sa dilatation s’apparente à un accouchement à l’envers.
Elle est ivre de jouissance, son amour pour cet homme et son désir qu’il la possède lui fait le laisser la forcer… Ses poussées en opposition aux siennes forcent son col, les font complice…
Elle veut lui faire ce plaisir… Elle veut qu’il puisse satisfaire son désir…
A chaque souffrance de ses tissus tendus au bord du déchirement il arrête sa poussée, ils se regardent, ils attendent ensemble que sa grotte accepte, qu’elle se dilate encore, millimètre par millimètre, que la douleur s’estompe, alors il la retire à peine et lui pistonne le vagin avec la partie qu’elle peut recevoir sans mal, lui suscitant à nouveau des montées d’envies qu’il poursuive son travail dans son puits d’amour…
— Masturbes toi Elsa… Vas-y… Branle toi fort le clito… Tu y es… On y arrive…………
— OUI !! OUIII !! OUIIII ! Vas-y… Vas-y… Baise moi… Baise moi salaud… Ordure… Défonce moi !
Ses yeux plantés dans les siens, la masturbant avec frénésie, elle sent venir son orgasme de loin, très loin, comme une vague submergeante, un raz de marée, écartelée, ouverte au plus fort de ce qu’elle peut offrir…
— OUIIIIIII !!! OUIIIIIIII………OUIIIIIIIIII….Ça vient……..Ça vient !!!!
Cette fois elle sent qu’elle peut la recevoir, qu’il peut la forcer et qu’elle ne reculera pas.
Il a poussé avec la force juste suffisante et régulière pour que sa grotte finisse de s’ouvrir, elle est entré en elle, libérant brutalement la tension de ses tissus qui prennent le diamètre inférieur de la canette avec soulagement et avec la délectation de sentir entre ses lèvres cette présence imposante mais supportable et plus encore enfin pleine de la partie la plus épaisse qui occupe à l’extase son vagin qui se contracte avec délicatesse comme pour palper son occupant…
C’est un soulagement, une émerveillement, une récompense, une fierté d’avoir pu lui donner ce qu’il voulait et un relâchement total de son corps juste attentif à cette imposante pénétration remplissant amoureusement son ampoule vaginale en tenant bien ouvertes les lèvres distendues.
Elsa c’est empalée avec un plaisir immense sur son nouvel occupant, elle frictionne son clitoris pour amener son orgasme si proche à la submerger, à déferler puissamment son puits d’amour et sur la main de son amant, expulsant son jet sous ses encouragements.
— Vas-y… Lâche toi Elsa… Jaillit… C’est un ordre… Obéit à Ton MAC, à ton amant, jouit comme une salope, lâche tout… OUIIIIIIII !!!
— OUIIIIIII !! AAARGGGGGG……….OUIIIIII…….OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII………….OUIIIIIIIIIIIII !!!!
Elsa expulse de longs jets de ma chatte, des ondes traversent son corps tout entier lui provoquant des secousses en spasmes, elle s’arc-boute sur son siège, cuisses écartelées, ongles plantés dans le siège, empalée et dilatée par l’instrument de son amant, en amour infini pour celui qui en est l’auteur et en prime la honte de cette éjaculation qu’elle croyait être de l’urine.
Il pousse un peu plus fort le culot qui disparaît dans son puits d’amour complètement
Reprenant doucement ses esprits c’est avec horreur qu’elle voit qu’ils sont sur un parking poids lourds avec des camions. Prise de panique elle baisse sa jupe. Elle est incommodée par la situation dans laquelle elle ce trouve mais rassurée par la présence de son amant et surtout attentive à ce qu’il va lui dire.
— Tu es merveilleuse… Tu es une femme sensuelle, avec une féminité à fleur de peau… Ta chatte te contrôle totalement… Tu es une chienne, une truie en mal d’être dressée, une putain en manque de Mac… Il m’a suffit de te voir pour deviner la salope qui se cache en toi… Tes seins si pleins, tes cuisses et tes fesses si rondes, ta chatte si sensible, si mouillante, et si puissante qu’il suffit d’en avoir le contrôle pour te soumettre sans limite… Tu aimes ça salope et maintenant que j’ai découvert la femelle qui se cache en toi je vais pouvoir faire de toi ce que j’ai envie…
Tu vas bien sur tenter de refuser mais tu ne peux résister pour venir implorer Ton MAC de te baiser comme une chienne… J’ai bien dit ???? Te faire me demander de te baiser comme une chienne…
— Tu veux dormir chez moi ce soir ?
— Oh oui !!! OUIIII…
— Alors resserre tes cuisses, tu va garder cette canette jusqu’à la maison.
Elle ce sent honteuse d’être si dépendante de cet homme.
Chap 7
Ils ont roulé peut-être un quart d’heure, avant de s’arrêter devant un grand bâtiment, assez chic. Ils sont montés, ils ont bu quelques verres d’alcool, ils ont plaisanté et ri. Elle ne c’est pas encore débarrassée de la canette. Il n’est pas loin de minuit quand elle entend l’interphone sonné, Elsa commence à somnoler, abruti par l’alcool… Elle se renfonce dans le canapé, en ce demandant qui cela pouvait bien être. Et surtout sa venue contrarie ses plans, l’alcool l’a excité davantage et elle ce voyait déjà enfourcher la bite de Karim.
Ce dernier va ouvrir, elle entend des éclats de rire et il réapparaît dans le salon accompagné d’un homme de trente ans environ, le teint plus foncé.
— Voici Alix, il travaille pour moi, je sais qu’il est minuit mais nous avons quelques petites choses à régler lui et moi, alors si tu veux bien patienter quelques instants…
Elle acquiesce et ils s’enferment dans la pièce voisine.
L’alcool l’invite à s’endormir, mais elle se sent frustrée… Elle pense au sexe imposant de Karim, à son torse puissant, à ce qui s’est passé dans la voiture. Elle en veut à cet Alix de lui l’avoir volé. Une douce chaleur envahit ses membres, elle glisse sa main son puits d’amour déjà toute humide, elle commence par ce masser doucement la vulve, puis elle se caresse plus vivement le clitoris. Elle ne ce contrôle plus, que lui arrive t’ elle ??? Puis repensant a la semence de Karim qui lui a inonder la gorge, à sa chatte s’empalant frénétiquement sur le levier de vitesse, et à cette canette qui est toujours entièrement dans son vagin.
Elle sent son excitation grandir elle introduit son majeur dans son délicieux puits d’amour, puis deux doigts, trois doigts… La canette commence a ressortir. Ses doigts sur le culot pousse la canette dans son puits d’amour. Elle effectue un va et vient rapide, elle mouille tellement qu’elle peut entendre sa grotte clapoter. Elle étouffe ses gémissements en mordant dans un coussin du canapé, elle sent le plaisir monter, monter quand elle atteint l’orgasme, une grande fatigue s’empare d’elle et elle s’endort ivre jouissance.
Elle se réveille doucement, elle n’a du dormir qu’une vingtaine de minutes. Elle n’ouvre pas les yeux de suite, mais elle distingue une lumière allumée et quelqu’un bouger devant ses paupières. Elle n’est plus dans le canapé, mais allongée sur le ventre dans un lit, certainement dans une chambre de l’appartement.
Toujours somnolente elle sent deux mains lui écarter brusquement les cuisses, une bite s’introduit d’un coup dans sa grotte toujours trempée, elle est entrée si vite et si fort que les couilles ont claquées contre son clitoris. Elle hurle de surprise, de plaisir, mais les deux mains de l’homme ont saisit fermement son cul, sa bite lui laboure son puits d’amour. Elsa a maintenant les yeux grands ouverts, elle découvre Karim devant, elle comprend rapidement que c’est Alix qui la baise.
— Que faites vous ?? Je dormais, vous n’avez pas honte !! leur crie Elsa, tant bien que mal,
malmenée par les coups de rein de Alix. Karim lui sourit.
— Écoutes, tu dormais dans mon canapé, les mains sur ton coquillage, la canette de coca entre tes cuisses. Je t’ai porté jusqu’au lit, tu mouillais tellement que Alix a pu te pénétrer d’un seul coup de rein !!! — Oses me dire que tu ne veux pas que l’on te défonce !
Il a raison, elle veut qu’il la défonce, mais lui pas son employé ! Mais Alix la besogne tellement bien, s’agrippant à son cul, ses boules cognent toujours contre son clitoris, qu’elle n’a bientôt plus aucun scrupule, elle ce met à gémir.
— Tais toi !! Lui intime Karim en lui administrant une claque sur la joue.
Mais c’est le moment que choisit Alix pour lui enfoncer un doigt dans le cul ?? Elle crie pourtant habituée à ce genre de traitement.
— Je sais ce qui va te faire taire. Dit Karim que ses cris agacent visiblement.
Ses paroles brusques décuplent son plaisir, Alix continue à lui fourrer ses doigts dans le cul avec frénésie. Karim a ouvert son pantalon, il sort son bel engin, le voyant elle mouille davantage. Il lui agrippe ses cheveux, crache sur sa bite, il enfonce son gland dur dans sa bouche. Tout en pompant elle le caresse doucement de sa langue.
Elle a beau être encore habillée, elle a tout les trous bien emplis, ça, cela la rend folle.
Elle essaye de se concentrer sur la bite de Karim, mais elle entend Alix gémir de plus en plus fort, il lui défonce son nid d’amour avec de plus en plus de violence. Il a abandonné son trou du cul mais lui administre de fortes claques sur les fesses depuis plusieurs minutes, elle a la croupe en feu.
Quand elle sent qu’un liquide chaude inonde son vagin. Il jouit en poussant de grands cris rauques.
Voyant cela, Karim lui empoigne la tête plus fort, il tente d’enfoncer profondément sa queue dans sa gorge, mais ses nausées la reprennent de plus belle, elle a tant peur de vomir qu’elle fait tout son possible pour dégager sa tête de l’emprise de ses mains sans pour autant lui asséner un coup de dent.
Karim finit par lâcher Elsa, il crie à Alix de dégager. Celui ci, soumis à son patron, récupère ses vêtements et s’en va sans un regard pour la femme.
Un moment après, elle est lovée dans ses bras, jambes repliées sur le canapé où ils sont assis pour reprendre des forces et boire un verre, il lui explique de sa voix chaude ce qu’il attend de elle. On devrait dire qu’il lui confirme de ce qu’ils ce sont déjà dit dans la voiture. Il la veut docile, soumise à son bon plaisir dans les limites qu’il lui fixera.
C’est avec surprise qu’elle l’entend lui dire qu’une pute comme elle se baise partout. Qu’elle ce doit d’être habillée en salope pour son plaisir. Tout en lui parlant, ses mains parcourent ses formes, elle se sent bien, elle est en confiance. La voyant lutter contre la fatigue qui l’envahit, il l’autorise à aller se coucher. Elsa se lève, quitte à regret ses bras protecteurs, elle passe machinalement ses mains sur ses hanches pour remettre en place la serviette de bain. Elle lui demande s’il n’a besoin de rien.
Il repose son verre sur la table basse. Posément, il se défait de son caleçon. Son sexe se dresse d’un coup.
— Suce moi ordonne t il, c’est ce que tu fais de mieux car côté cul tu es trop serrée pour moi, mais on
remédiera à cela rapidement. Elle pousse un soupir de résignation et se laisse tomber à genoux, dévoilant ses cuisses jusqu’au triangle de son intimité. Les lèvres humides, elle dépose un baiser sur le gland violacé qui oscille devant ses yeux. Elle prends son sexe dans sa main et lui imprime un lent mouvement de va-et-vient pour en augmenter encore le volume. Puis elle le penche, bouche entre ouverte. Il ferme les yeux et soupire quand ses lèvres chaudes et humides engloutissent autour de son sexe.
Elle réussit à l’avaler presque entièrement malgré sa longueur. La pointe de son sexe bute au fond de sa gorge. Sa langue s’enroule autour de lui. Elle attrape ses couilles tièdes nichées entre ses cuisses et les malaxe doucement sans cesser de l’engloutir. Il lui remplit la bouche. Son autre main c’est glissée sous ses fesses pour caresser d’un doigt son anus, elle y rentre une phalange qui s’active de plus en plus vite. Il pousse un rugissement de plaisir et tout son corps s’arque. Il fuse dans sa bouche. Elle le boit en amoureuse qu’elle est puis elle attend qu’il reprenne son souffle pour se relever et aller se coucher.
Karim lui montre le lit et elle se glisse à l’intérieur. Il l’a rejoint et la prend dans ses bras. Elle s’endort sous ses caresses. Elsa oublie tout, son mari, ses enfants, sa petite vie de femme au foyer, elle est amoureuse comme une collégienne. Elle est totalement soumise a son amant. Elle sait qu’il l’emmène dans une vie de débauche. Son amant a fait participé a leurs ébats sexuel plusieurs fois un homme différent. Elle a aimée être prise par deux hommes ensembles, mais ce qu’elle redoute le plus, c’est qu’il la livre a d’autres hommes comme une pute. Elle sait au fond d’elle même qu’elle ce donnera pour l’amour de Karim, qui lui la donnera pour de l’argent.
LE lendemain après midi Karim entraîne Elsa vers sa voiture. Ils sont sortis de la ville, Karim a pris la national puis a roulé un petit moment.
Il a quitté la national pour rentrer dans un bois par un chemin forestier. — On est arrivé !! — Allez suis moi. Il y avait là une voiture avec une femme a l’intérieur. Elsa est restée a l’écart pendant qu’il parlait à la femme ?? Tout un tas de questions ce bousculent dans la tête d’Elsa. Elle n’est pas sur de vouloir le début d’un commencement de réponse ??
Karim est venu lui prendre la main pour l’entraîner au travers de la barrière de végétation qui borde la route. Au terme d’un petit sentier ils parviennent aux abords d’une petite clairière. Ils ce rapproche d’un arbre. — Ici tu va être bien ? Colle toi le ventre contre l’arbre ! Le cœur d’Elsa s’envole dans de frénétiques battements. Karim passe derrière l’arbre, attrape les main d’Elsa, les réunis en les tenant d’une seule main, de l’autre il sort une paire de menotte de sa poche qu’il passe aux poignets d’Elsa. — N’ai pas peur !! Tu vas me prouvé à quel point tu m’aime, nôtre relation est incomplète jusqu’à présentations, prend ça comme un aboutissement de ta soumission a ton maître.
Karim c’est assis sur un arbre couché. Ils sont la tout les deux un bon moment sans prononcé le moindre mot. Le cœur d’Elsa bas vite gorgé d’adrénaline ?? Soudain la femme de la voiture apparaît avec un homme a la sortie du sentier. Ils s’approchent d’Elsa.
La femme qui est habillée comme une pute, il faut le dire, prend le menton d’Elsa pour lui tourner le visage vers l’homme qui l’accompagne. – Regarde ? Elle est pour toi ! Va y baise la !! L’homme regarde Elsa avec envie puis ce tourne vers Karim. La femme lui dit : – T’occupe pas de lui, c’est son nouveau, il est lui pour voir si tout ce passe bien. – Karim !?? Pas comme ça !!! Karim ??? Supplie Elsa en regardant son maquereau d’amant.
La femme passe ses mains devant Elsa, elle lui déboutonne sa robe ?? Il faut vous dire que Karim en mac avisé, ce matin il la prié de s’habille d’une robe qui s’ouvre sur le devant sans rien en dessous. Une fois la robe ouverte la femme la remonte entièrement pour la passé pardessus la tête d’Elsa qui ce retrouve avec la robe chiffonnée sur ses avant bras. — Regarde comme elle est gaulée, ça te donne pas envie ?? — OOOOH !! SI !!! — Alors dépêche toi de l’enfiler avec ta grosse bite, mon lapin !!
La femme se baisse sort la bite du visiteur, elle la suce le temps de lui donner une érection convenable. Puis elle écarte les fesses d’Elsa. – Tu es prêt, mets la lui maintenant !! Elsa sent le gland contre l’entrée de son puits d’amour ???? – Karim !! Je t’en prie ??? Pas ça !! Le gland s’introduit entre ses lèvres intimes. – Ça ???? Ça rentre comme dans du beurre ??? – C’est pars-que tu l’excite mon lapin !! Elle aime les grosses bites bien dure !!! – Alors je vais lui montrer que bite dure rime avec ça dure !!! – Allez !! Donne ton cul !! Remue le ???
A chaque coup de reins de l’homme, les seins d’Elsa viennent ce râpés sur l’écorce de l’arbre ainsi que son ventre. Donc Elsa recule son corps de l’arbre. — C’est ça !! Vient t’empaler sur ma queue, OUAIIS !!! Ta chatte bouffe ma queue !!! — OOOOH !!! AAARRGG !! Râle Elsa……. Sans pudeur, comme une chienne en chaleur, Elsa frotte ses fesse contre le bas ventre de son baiseur. Sa bite dure et chaude bouge dans son puits d’amour au rythme du mouvement pendulaire de sa croupe…. Dénuée de tout sentiment de honte, Elsa jouit…. — OOOOH !!! C’est bon !! Ton cul bouge comme une vague …..Je vais tout te larguer dans le cul !!!
Elsa terrassée par l’orgasme ne réalise pas que l’homme n’a pas mis de préservatif. La femme s’agenouille rapidement a coté des deux amants. D’une main elle pousse l’homme qui ce désaccouple d’Elsa. — Vient là toi !!! Elle prend en bouche la bite qui tressaute de suite dans sa gorge en larguant son jus. — AAAAHHH !!! vous êtes bonne toute les deux ….HUMMMM !!! C’est très bon !!! Karim congédie l’homme qui par sans demander son reste. Il ce place derrière Elsa la queue raide. — Je suis sur que ta chatte de putain est toute trempée ???
Lui aussi rentre dans le puits d’amour d’Elsa, ce puits qui ne sert plus qu’a faire l’amour malgré la jouissance de son propriétaire, il sert a la baise rémunéré. — OUAIS…. Qu’est ce que je te disais !! C’est pas désolant ?? Une si gentille mère de famille……. — Alors dis le moi maintenant ?? Je suis ta putain !!! Allez !! Je suis une putain, ta putain !!!!
Le ventre d’Elsa s’enflamme une nouvelle fois sous les coups de butoir de son amants. — Je…. Je suis une pu… Tain….. Ta PUUUUU….TAIINN….PUUUUUUTAINININ !!!!!! La femme que est toujours a ses cotés, prend le visage d’Elsa entre ses deux mains pour plaquée ses lèvres sur la bouche d’Elsa qui dans sa jouissance ouvre ses lèvres pour recevoir son baiser. La femme avec sa langue vide le sperme, de l’inconnu, mélangé a sa salive dans la bouche de nôtre Elsa.
Elles restent ainsi le temps qu’Elsa ai ingurgitée tout le mélange. Pendant que son amant inonde sa grotte du son de mélange. — Ton cul es une vrai merveille, c’est un vrai cul de putain !!!!!
Karim retire les menottes d’Elsa pendant qu’elle ce rajuste la femme s’éloigne discrètement. Il oblige Elsa à conserver sa semence entre dans son puits d’amour. Sur le chemin du retour ils n’échange pas un mot. De toute façon Elsa n’a pas envie de parler…. Elle doit admettre que le cours de se vie a pris un autre tournant décisif. Ce qu’elle redoutait vient d’arrivé, Karim vient de lui faire prendre comme une putain. Son esprit en ébullition ne peut ou n’ose en imaginer les conséquences, le pire dans tout ça pour elle, c’est qu ’elle y a pris du plaisir.
Elsa attend Karim dans son salon. Il lui a dit que ce soir, il reçoit son cousin et sa femme, il leur doit beaucoup d’argents. Il prévient aussi Elsa que Rachid est un tombeur et qu’il n’hésitera sûrement pas de la courtiser. Il ne faudra pas qu’elle ce dérobe a ses avances, elle doit être gentille avec son cousin.
Soudain elle se tourne vers la porte d’entrée qui s’ouvre sur son amant souriant. Il est suivi du dénommé Rachid. Puis une jeune femme apparaît. Elle est très belle et habillée sexy.
Karim prend Elsa dans ses bras et l’embrasse tendrement. Il la repousse, se retourne vers les deux autres arrivants. Le visage d’Elsa s’assombrit. Elle n’apprécie pas leur compagnie, le montre sans se cacher. Mais Rachid s’approche d’elle, la saisit aux épaules, puis sans hésiter l’embrasse pleine bouche à son tour. Elle ne se dérobe pas ! Elle semble apprécier ce baiser. Les deux autres regardent avec un sourire amusé, l’air de dire : Elle ne peut pas lui résister.
D’un regard vers son amant, Elsa passe ses bras autour du cou de son cousin pour appuyer son baiser. Au bout de plusieurs minutes, ils se séparent, Rachid radieux présente à Elsa sa femme Amina. Elsa lui fait carrément la gueule, mais Karim et Rachid semblent s’arranger pour détendre l’atmosphère.
Contre toute attente, la raison de ce baiser appuyé, elle voulait rendre jalouse la jeune femme !
Lentement la nuit tombe. Ils s’installent pour prendre l’apéritif. Les conversations vont bon train.
— Ma femme Amina est assistante de rédaction dans une revue locale, elle évolue dans l’écriture et la rédaction d’articles, pourrais tu lui donné quelques conseils.
— Oui et quels conseils ? Il y a des écoles pour ça ! Répond Elsa sans d’enthousiasme.
Karim voit que la soirée risque de tourner vinaigre. Il se lève, s’approche de la chaîne hi fi, il met de la musique. Le comble, il invite Amina à danser laissant Elsa folle de rage dans son fauteuil. C’est bien sûr Rachid qui s’empresse de venir l’inviter.
Les deux couples dansent langoureusement sur une musique lente tournant sur place. Amina se love carrément sur son cavalier, tandis que Rachid presse Elsa contre lui, les mains collées sur ses fesses qui ne fait rien pour s’échapper.
Soudain il soulève sa jupe, il découvre qu’elle ne porte pas de culotte. Il glisse un doigt entre les deux globes. Puis il presse son doigt entre ses fesses pour lui doigter le cul. Elsa se cabre, déplace ses fesses pour échapper à l’enculage. Mais ce salaud insiste, il la plaque contre lui. Elsa rouspète, elle essaie de fuir.
Elle se contorsionne pour se dégager de ce viol de son cul.
— Arrête, je n’aime pas ça !
— Comment tu n’aimes pas, hier pourtant Karim m’a dit tu aimes bien ça, non ? Laisse toi faire, je vais te faire reluire.
Ces mots vulgaires, ne sont pas pour lui déplaire, là elle s’abandonne à cette soirée comme une pute
Elle a l’air d’aimer danser avec Rachid mais c’est à contre cœur pour rendre jaloux Karim et Amina En même temps, ce salaud essaie de lui voler un baiser qu’elle refuse également. Le couple se déplace, tourne sur lui même, Karim et Amina assistent en ricanant. Hilare, cette dernière à l’air de bien aimer voir traiter Elsa en salope.
Mais Elsa finit par se dégager et voit comment la soirée dérape.
Elle va se servir un second whisky. Bien tassé. Elle qui est très sensible à la prise d’alcool fort. Pendant qu’elle sirote son verre, elle s’aperçoit que Rachid a rejoint l’autre couple et pelote aussi Amina.
Quand le trio se sépare. Tout le monde regagne les fauteuils. C’est Rachid qui remplit le verre d’Elsa, elle ne remarque pas, qu’il y va de bon cœur. D’ailleurs, Elsa commence à avoir des signes d’excès d’alcool. Elle rit très facilement et regarde les gens droit dans les yeux, comme pour les provoquer, les braver. Ses joues son rouges, ses paroles un peu décousues.
— Tu veux voir mes fesses ?
Elle s’adresse à Rachid, qui reluque entre ses jambes depuis tout à l’heure.
— Oui, bien sûr, elles sont si belles et douces au toucher. Alors, le regard droit, elle se lève, elle titube légèrement, se met au milieu du salon, après avoir posé son verre, elle se tourne dos vers eux et lentement, elle relève le bas de sa jupe dévoilant ses fesses. Puis dans un mouvement langoureux elle fait onduler ses hanches donnant à sa croupe une sensualité torride.
Autour, ils matent le souffle coupé.
Alors, c’est Karim qui se lève, il vient la prendre dans ses bras. Il se colle contre son ventre, à son tour, il lui malaxe les deux globes sans ménagements. Cette fois Elsa à l’air d’apprécier, elle se laisse aller contre son amant. Il plaque une main entre ses lobes, il glisse un doigt dans la raie en direction de son petit trou. Elsa ne bouge pas. Simplement un petit mouvement qui doit être provoqué par le doigt qui vient de l’enculer.
Puis on voit nettement le doigt entreprendre des va et vient s’activant à lui branler le cul. Elle se laisse faire. Elle montre même des signes de plaisir. Puis sans douceur, il la pousse contre le dossier d’un fauteuil, la retourne et lui fait mettre les mains devant elle sur le dossier pour exposer sa croupe nue. Il relève très haut la jupe, il exhibe aux deux autres son cul nu.
Elsa tient la position tandis que Karim lui doigte le cul de plus en plus vite et de plus en plus profond.
— Tu aimes ça hein salope ! Quand c’est moi qui t’encule hein ? Dis-le.
— ???????
— Dis-le salope où j’arrête. Regardez-moi cette truie comme elle aime mon doigt dans son cul. Plus il dit des mots crus et plus Elsa remue son cul pour l’aider dans son œuvre. Il sait y faire le salaud car elle prend de plus en plus de plaisir à se donner en spectacle devant ces gens. A ce moment l’alcool aidant, elle ne ce rend plus compte de rien, elle abandonne toute dignité.
Karim jubile en montrant son doigt à Rachid qui ricane. C’est à ce moment qu’il lui fait un petit geste de venir. Il se lève sans hésiter et s’approche.
— Alors salope, tu veux dire que tu l’aimes mon doigt dans ton cul.
— ??????
— Alors ?
Il arrête son mouvement, ressort son doigt tout souillé.
— Alors ?
— Oui.
— Oui quoi ?
— Je t’en supplie mon chéri continue.
— OK !
Mais c’est le doigt de Rachid qui s’introduit cette fois dans son anus maintenant bien dilaté, sans qu’elle s’en rende compte. Derrière, Amina jubile. Elle a relevé le bas de sa robe, elle se branle, les yeux braqués sur la scène. Elle voit tout. Le cul dressé, le doigt de son mari qui entre et sort. On entend les gémissements d’Elsa abandonnée aux plaisirs de se faire enculer.
Petit à petit Rachid enfonce son doigt de plus en plus profond.
C’est alors qu’Amina entre en scène. Elle se lève, prend le verre d’Elsa, le remplit, elle lui fait boire entre deux secousses. Elsa boit, boit perdant de plus en plus pied.
Soudain, elle s’affaisse sur le fauteuil, comme inconsciente. Lentement, Rachid enlève son pantalon, sort sa queue raide, la présente entre les fesses offertes. Karim prend Elsa pour l’a relevée, croupe en haut. Dans cette position, la queue de Rachid se présente sans difficulté devant le trou foncé, assez dilaté pour la recevoir, après le traitement qu’il vient de subir.
La bite assez énorme de Rachid n’a aucun mal à perforer les sphincters dilatés de la femme. Surprise elle sursaute, elle se retourne pour se rendre compte, le regard voilé par l’alcool, que son enculeur n’est autre que Rachid Mais elle semble résignée, car elle se laisse pilonner par la bite raide et bien dure. Devant cette abandon, Rachid accélère son mouvement.
— Alors salope, cette fois tu l’aimes ma bite dans ton cul, hein ? Elle te fait reluire. Allez, donne toi ma salope, aide moi à t’enculer.
On peut voir Elsa remuer son bassin pour donner du plaisir à cet homme qui l’encule.
Elsa ce donne en spectacle, jouissant sous les coups de bite de Rachid, encouragé par son amant. Soudain, l’enculeur se raidit, tourne sa tête au plafond et se met à crier.
— Merde, qu’elle est trop bonne cette pute, je lui remplis les intestins. AAARRHH !!!!
— MMMUMMOUIII !!! Crie aussi Elsa se délivrant de toute retenue.
Elle jouit alors que la queue qui lui perfore le cul se vide en elle de son sperme chaud et gluant.
Tous les deux repus, fatigués, ils se laissent tomber sur le fauteuil. Rachid s’écarte, il laisse voir le sperme s’écouler lentement des entrailles de la femme enculée et souillée. Amina qui s’approche.
— Dis-moi chienne lubrique !!! Il y a aussi des écoles pour apprendre à bien se tenir en société !
Dans la pièce, Elsa est affalée sur le fauteuil où elle vient de livrer son cul à Rachid. Sa jupe est relevée découvrant ses cuisses gainées de bas noirs. Sa grotte est toute mouillée de cyprine. Elle a bien joui comme une salope. Ses yeux sont clos, elle est épuisée de fatigue.
Amina est encore près d’elle. Elle lui caresse lentement les cheveux, puis les seins sur son chemisier sans que Elsa réagisse. C’est Karim qui rompt le silence.
— Dis moi Amina, tu ne serais pas un peu gouine ?
Après quelques secondes de silence, la jeune femme répond.
— Ta pute est très attirante. J’ai bien envie de me la soumettre à mon tour.
— Ne te gêne pas, dans l’état où elle se trouve elle ne peut rien te refuser.
Il éclate de rire accompagné par Rachid qui semble bien d’accord.
A ce moment précis, dans cet état complètement dépravée, elle est prête à se soumettre. Elle est réduite à une chienne soumise à son amant.
— Allez Amina, montre nous ce que cette chienne peut faire.
Elsa, redresse la tête et regarde tour à tour Karim et Amina.
— Allez ma chérie, laisse toi faire, montre toi bien compréhensive avec cette femme.
Amina la prend par le cou et l’oblige à se lever. Elle se plante devant elle, lui saisit la tête et écrase ses lèvres sur celles d’Elsa qui sursaute, tente de la repousser mais se résigne. Collées l’une à l’autre, leurs bouches s’ouvrent, c’est la langue d’Amina qui force les lèvres d’Elsa. Elle résiste un instant puis lui rend son baiser.
Une main d’Amina se glisse entre les deux corps, soulève la jupe, elle se met à lui doigter la chatte. Elsa se cabre, refuse, tente de s’écarter mais Amina la maintient fermement contre elle. Les deux filles respirent de plus en plus fort.
Soudain c’est Elsa qui prend l’initiative de déshabiller Amina. En deux temps deux mouvements, elle sont à poil, elles ce retrouvent toutes les deux nues. Elsa a gardé ses chaussures, Amina entièrement nue est plus petite.
Les deux femmes se collent l’une à l’autre, elles collent à nouveau leurs lèvres dans un baiser chaud. Leurs poitrines sont écrasées entres elles.
Puis, Amina prend Elsa par les cheveux, elle la force à se mettre à genoux devant elle.
— Tu vas me bouffer la chatte salope. Tu vas montrer à ces mecs ce que tu es capable de faire tellement tu es une loque, une pute.
Ces mots, ces insultes ne font pas réagir Elsa. Au contraire, elle s’exécute, passe ses deux mains sur les fesses nues d’Amina pour l’attirer à elle et se mettre à lui lécher le minou.
Amina la tient fermement par la tête appuyée contre son ventre. Elle lui secoue la tête pour mieux se faire frotter le clitoris.
— Branle-toi la chatte, salope pendant que tu me lèches.
Elsa obéit. Elle abandonne une fesse, elle passe sa main entre ses propres cuisses pour s’introduire un doigt dans la chatte.
Les deux filles sont alors au bord de la jouissance. Elles se trémoussent au beau milieu de la pièce devant les deux mâles qui ne manquent rien du spectacle.
Soudain elles explosent toutes les deux, une giclée de cyprine s’échapper du sexe d’Amina, qu’Elsa reçoit en plein visage.
— Bois, salope, bois ma liqueur dit-elle et pressant le visage contre les poils de son mont de Vénus, se frottant de plus belle.
Elles jouissent de concert. Il faut attendre plusieurs minutes avant qu’elles ne recouvrent leur souffle. Repues, elles s’affalent sur le canapé dans les bras l’une de l’autre, les yeux fermés.
Karim se lève, s’approche d ’Elsa, il la fait s’allonger sur la moquette aux pieds d’Amina qui semble sommeiller.
Il la réveille, la fait se lever pour se mettre à quatre pattes au dessus du corps allongé d’Elsa épouse. Il la positionne tête bêche, en position de soixante neuf. Spontanément Amina écrase son sexe sur le visage d’Elsa qui ne peut se refuser. A nouveau elle frotte sa vulve contre le visage.
Timidement Elsa maintient les fesses d’Amina juste au dessus d’elle et accompagne les mouvements du bassin de la femme. En même temps Amina écarte les cuisses sous elle et enfonce brutalement sa langue dans la chatte toute brillante d’Elsa. Rapidement, au mouvement que font les deux femmes, on comprend très bien le plaisir qu’elles recherchent à nouveau dans ce soixante neuf.
Karim est à genoux derrière Amina. Il a sa bite à la main, dressée, raide juste au dessus des yeux de sa pute, toute appliquée à lécher le berlingot de son amante du moment. Elle s’écarte un instant juste pour voir la queue de son amant pénétrer la chatte que sa langue vient d’ouvrir.
— Tu vas voir comme je baise ma Chérie. Regarde comme je vais faire jouir cette pouffe.
Amina se cambre pour mieux s’offrir au mandrin qui la baise. Sans douceur, il accélère ses va et vient.
— Branle lui le clito ma belle, donne lui plaisir pendant que je la baise.
Elsa soumise à son amant s’exécute une fois encore.
— Amina !! lèche lui bien la moule, à cette gouine qui s’ignore !
Amina veule sous les coups de queue. Rachid s’est approché du trio, il lui donne sa bite à sucer. Elsa amoureusement caresse les couilles de Karim qui se balancent au dessus de sa tête.
Soudain, Karim se cabre, se plante au fond du ventre d’Amina qu’il remplit de son sperme. Rachid jouit à son tour dans la bouche que l’accueille.
Une fois vidé, Karim reste planté un instant puis lentement ressort en ramollissant de la vulve remplie de sa semence. Les lèvres distendues laissent apparaître le sperme en excès. Karim ouvre la moule de ses deux doigts, il appuie sur les reins d’Amina pour plaquer sa vulve sur la bouche d’Elsa en dessous, l’obligeant à lécher et avaler le sperme mélangé à sa cyprine.
Une fois tous comblés, ils se rhabillent en buvant gaiement un dernier verre.
Seule Elsa reste nue. Souriante, elle s’adresse à Karim.
— Mon amour, Ils peuvent rester dormir ici ?
— Pas possible. Ils préfère rentrer même tard.
Il est presque une heure du matin quand ils quittent la maison laissant Elsa nue, saoule, désemparée.
En passant devant elle, Amina lui prend le menton, en signe de mépris, elle lui lèche le visage.
— Au revoir la pute !! Tu as bien remboursée les intérêts de ton Karim !!!! AH !! AH AH !!
CHAP 8
Au cours de son séjour chez Karim, il dit a Elsa qu’il veut la voir faire l’amour avec ses deux ouvriers. C’est deux hommes qui sont venus faire des travaux au début de son séjour, Karim ne les a pas décommandés lors de sa venue, il a eu beaucoup trop de mal à trouver des artisans pour ses travaux.
— Je te présenterais Omar et son ouvrier, je veux que tu fasses l’amour avec eux, ils ne cessent de me parler de toi !
Le lendemain pendant le déjeuner, Karim lui annonce :
— Fais-toi belle, Omar et son gars nous rendent visite ce soir !!
Son sourire lui fait comprendre ses intentions, elle a compris qu’elle doit faire la pute, mais subjuguée par l’amour qu’elle lui porte, Elsa ne le contredit pas au contraire elle ce sent émoustillée.
Karim s’occupe bien d’elle. Il la frotte sous la douche, il lui fait l’amour. Comme il choisit ses vêtements : jupe ouverte sur le côté, chemisier transparent, bas et porte-jarretelles noirs, pas de sous-vêtements. On sonne, Elsa va ouvrir la porte sur Omar, la cinquantaine, cheveux grisonnants, un bel homme pour son âge, Samir, son ouvrier, plus petit, plus râblé, les cheveux crépus. Ils s’installent au salon devant un verre, les deux nouveaux arrivant lorgnent indécemment Elsa.
Vu l’état de leur pantalon, elle en déduit qu’elle leur plaît. Rouge de gêne, elle ne sait plus où se mettre. Cette situation la met mal à l’aise. Devant sa gêne, Karim prend les choses en main, il lui ordonne de s’asseoir face à eux. Elsa se sent malgré elle toute excitée d’être ainsi désirée, quand Karim et Omar se retirent à la cuisine, Samir ne tarde pas à la complimenter.
Joignant le geste à la parole, il entreprend un examen complet. Elsa ce retrouve seins à l’air, jupe relevée à la taille. Il défait son pantalon qu’il quitte rapidement. Elsa est comme hypnotisée devant sa bite longue, d’une grosseur hors du commun, elle ne peut croire qu’une telle chose soit aussi grosse. Plus d’une trentaine de centimètres pour sa longueur et plus de six à sept centimètres pour son épaisseur ! Elsa curieuse s’avance, elle empoigne à pleine main la verge pendante, tire sur le prépuce pour mettre à jour une superbe tête écarlate, un gland aussi gros qu’un œuf de poule ! Il l’allonge sur le canapé, après lui avoir sucé les seins qui durcissent au premier coup de langue, il goûte à sa grotte d’amour qui commence à s’humidifier sérieusement ! Elsa avance la main, attrape son membre, elle le tâte, caresse, compresse si bien qu’elle sent le sang venir cogner dans les veines la tige gonfle !
En moins d’une minute elle sent le membre se raidir pour devenir une énorme bite ! Presque monstrueuse avec ses veines protubérantes et sa grosseur terrifiante !
La bite c’est redressée pour venir, comme un arc bandé, frapper contre le ventre de Samir
Le gland est passé de l’œuf de poule à l’œuf de canne ! Et il dépasse largement le nombril, pire qu’un âne ! Cette queue à présent bien dressée laissant apparaître en dessous l’énorme paire de testicules bien gonflée !
Elle peut donc les soupeser, les triturer de ses doigts habiles, puis osant, la hampe prise à deux mains, elle peut, non sans mal, engloutir l’énorme gland dans sa bouche distendue, mais pas facile !
Elle a du mal descendre plus bas elle se contente de lécher cette massue comme un enfant le ferait avec une grosse glace à la framboise, ce gland a la même couleur !
Passant du rose pâle au vermillon en moins d’un quart d’heure…
Elsa n’en peut plus, son sexe est bel et bien en feu malgré toute la mouille qu’il contient.
C’est avec une folle excitation, que Samir prend d’une main sa grosse pine pour mettre en contact leurs corps avides de sensation.
Il fait coulisser son gland le long de la fente, de bas en haut, de haut en bas avec un mouvement lent mais appuyé qui étale bien la cyprine sécrétée abondamment !
Il a bien du mal à y loger son engin, malgré que Elsa ai fait l’amour avec Karim quelques heures auparavant, l’entrée de sa grotte reste serrée !
Une fois la tête bien trempée, il force de plus en plus pour loger la moitie du gland, le sexe est distendu à craquer, il recule donc pour mieux replonger avec un coup de rein bien plus violent.
La tête est à présent bien logée, à l’étroit certes, mais rentrée tout de même !
Elsa crie de douleur, d’un son aigu ! Pensant qu’une deuxième fois son pucelage est perdu !
Le gland passe, la hampe suit, dans un va et vient appuyé, tout entier entre le monstre ! Enfin presque car sa longueur exorbitante laisse un quart dehors !
Les cris de douleur d’Elsa se transforment très vite par des gloussements de plaisir !
La verge coulisse maintenant dans le fourreau bien ouvert et martèle presque jusqu’au fond de ses entrailles en touchant bien le fond !
Ses grosses couilles tapotent sur son petit trou dans un mouvement régulier. Elles lui paraissent bien pleines, gorgées de foutre, prometteuses d’une belle éjaculation.
Après un bon quart d’heure de défonçage elle sent le gros gland gonfler encore plus dans son puits d’amour, soudain, tel un geyser, Samir se contracte, il explose tel un canon !
Avec une violence inouïe, le jet de sperme vient frapper l’utérus. Elle sent la chaleur de la lave et le flot qui coule bien au fond d’elle ce qui lui procure un orgasme fantastique.!
Samir continue a pistonner la grotte d’amour, une écume se forme autour de son bâton, puis il retire son doux et gros objet du nid douillé d’Elsa, l’effluve du liquide séminal sort abondamment du sexe ravagé !
Revenue de ses émotions, Elsa constate que Karim et Omar, la bite à la main, ont suivi leur coït en se masturbant.
Karim invite Omar à posséder sa maîtresse à son tour, d’ailleurs ils sont venus pour ça. Sa queue est presque aussi grosse que celle de son ouvrier.
Il veut prendre Elsa en levrette, mais elle hésite à se mettre à quatre pattes, de peur qu’il ne l’encule. Elle n’est pas contre, mais l’engin est d’une taille ?? Elle serre les fesses quand il promène son gland de son bouton à son anus, à travers le pont qui sépare son cul de sa grotte. Lorsqu’il la prend par la voie normal heureusement, Omar coulisse a merveille dans son puits d’amour imprégner du jus de son précédent visiteur. Bien avant que Elsa atteigne la jouissance, il ensemence la femelle mise a sa disposition.
Karim, à son tour, voulut prendre sa maîtresse, mais en voyant sa grotte d’amour béante, débordante de sperme, il préfère pénétrer la voie de ses reins plus serrée, leur montrant ainsi qu’on peut aussi sodomiser sa putain. Il l’emmène retrouvé l’orgasme interrompu qu’elle ne ce prive pas d’exprimée quand son amants ce libère dans ses entrailles surchauffées.
Elsa épuisée se tient la croupe toujours en l’air !
Samir excité avec son membre en érection profite de sa posture et de sa faiblesse pour enfoncer sa grosse bite dans la porte de ses reins entrouverte !
Lubrifié par le sperme de son amant, il se retrouve bien enfoncé dans son anus !
Elle est surprise pour la seconde fois, elle crie à nouveau, mais ne pouvant se dégager, car Omar lui tient la tête écrasée sur la canapé. Elle est bien contrainte de subir les assauts de l’ouvrier !
Il tient ses fesses écartés pour mieux s’enfoncer, après trois va et vient, toute la grosse bite est entrée Elsa a ainsi l’anus écartelé, son étoile est devenue pleine lune sous la pression du forcené
Sans ménagement le monstre s’enfonce jusqu’à la garde. Samir continue de lui démonter la porte de ses reins pendant un bon quart d’heure. Il y a un long moment que Omar a lâché la tête d’Elsa. Depuis qu’il a vu que la belle enculer lance sa croupe à la rencontre de la monstruosité qui lui ravage le postérieur. Dans un concert de cris de plaisir, Samir, déverse, mélange son sperme avec celui de son amant dans ses entrailles !
Il se retire doucement, l’énorme phallus laisse son trou béant d’où s’écoulent le top plein de sperme, rejeter par les contactions spasmodique de son anus.
Elsa s’écroule d’épuisement après cette chevauchée infernale !
A son tour, Omar entre dans ses reins, à son grand regret, elle doit accepter la totalité. Sa grotte d’amour, maintenant le gouffre de ses reins, défoncés par ces grosses queues ne semblent plus faire qu’un. Ils la défoncent ainsi jusqu’au petit jour. Karim, est fier et heureux de l’avoir fait baiser une fois de plus.
Il est décidé à les inviter de nouveau lors du prochain séjour d’Elsa chez lui. Mais Elsa est hésitante ?? Elle ne souhaite plus être prise en sandwich entre Omar et Samir, car après la séance, elle est contrainte de faire un bain de siège car a le cul en compote, elle pense qu’il ne ce refermera plus.
Aujourd’hui les deux amants sont au lit, étroitement enlacés, il lui fait l’amour…
Elsa est sur le dos avec ses jambes sont sur les épaules de son amant. Il l’encule tendrement en l’embrassant, ses mains lui caressent les seins et le sexe…
Il lui parle à voix basse :
— J’adore faire l’amour avec toi, je prends vraiment mon pied à te baiser. Tu es une vraie petite salope, une bonne petite pute, ma pute ! Ses mots crus la rendent dingue !!
Quand il sent qu’elle est bien chaude, il se penche vers elle et lui glisse doucement à l’oreille :
— Je veux que tu restes encore avec moi ce soir. J’ai organisé une petite soirée avec quelques amis demain. Ils ont besoin d’une petite femelle docile et obéissante et je veux que tu sois là !… — Tu seras ma petite pute obéissante. J’ai envie de te voir vider les couilles de mes amis. Personne ne pourra les satisfaire mieux que toi… Reste encore une journée, si tu tiens à moi ???
Elsa vacille, ses paroles sont saccadés, comme si elle souffrait…
— Tout ce que tu veux, je baiserai avec qui tu veux pour toi, mais c’est toi que j’aime, tu comprends ? Les autres je veux bien mais il faut que tu m’aimes.
Elsa sent son souffle dans son cou, cette queue qu’elle aime tant aller et venir entre ses reins et elle est tellement excitée qu’elle accepte sans hésiter. Karim est ravi, un large sourire illumine son visage qu’il blottit dans son cou tout en accélérant ses coups de reins. Elle le sent souffler de plus en plus fort, puis gémir, il lui glisse à l’oreille un : — Je t’aime ma Belle Pute !! Tout en inondant son rectum de sa semence brûlante… Ce je t’aime qu’il vient de lui dire la première fois la submerge de bonheur, elle fera tout ce qu’il veut car elle l’aime aussi un peu plus fort que tout à l’heure. Que l’importe qu’il vienne de sortir de son anus. Elle vénère ce membre. Ah, si son mari pouvait lui procurer cette jouissance, elle n’en serait peut être pas là aujourd’hui.
Ce qu’elle n’a pas pu prévoir, c’est qu’elle avait perdu une bonne partie de ses sensibilités vaginale après son dernier accouchement. Mais depuis que Samir lui a ravagé son puits d’amour avec sa queue hors normes. Elle a retrouvée toutes ses sensations perdues, et même plus. Elle a retrouvée le goût de ce faire tringler, elle veut rattraper le temps perdu. Maintenant elle a le feu au cul comme on dit.
Le soir elle s’endort en se promettant de faire tout ce qu’il faut pour ne pas perdre un homme tel que lui. Jamais elle n’a eu d’homme avec une telle vigueur. Cela la change de son mari. Au fil de leur relation, elle éprouve une douce félicité avec lui. Elle se sent bien, protégée. Elle se sent femme. Elle a découvre avec fierté son côté femelle. Il a su la révéler, lui donner du plaisir, ce plaisir qu’elle a cherché toute ma vie. Il lui fait faire l’amour avec des inconnus, elle a l’impression de faire la pute, mais qu’importe !! Elle a des orgasmes qu’elle n’aurait jamais éprouvée autrement, et surtout pas avec son mari.
Le lendemain en fin d’après-midi, Karim l’appelle dans la chambre. Il est assis sur le coin du lit et lui demande de s’habiller dans une tenue sexy. Elsa se déshabille et enfile une paire de bas noirs et un porte-jarretelles. Karim la regarde faire, elle voit sa braguette faire une jolie bosse. Il se lève, l’embrasse sur le coin des lèvres et lui dit :
— Ça me fait toujours autant d’effet de te voir dans cette tenue, il faut que tu fasses quelque chose pour me soulager.
En disant ces mots, il appuie ses mains sur ses épaules et l’oblige à s’agenouiller devant lui. Elsa déboutonne son pantalon, sors son sexe gonflé de désir, après l’avoir léché de haut en bas, elle le fait glisser entre ses lèvres humides. Lorsqu’elle sent ses couilles contre son menton, elle passe une main entre ses cuisses, lui caresse doucement l’anus et commence un long va et vient le long de sa queue.
Au bout de quelques minutes, son amant lui saisit la tête et se met à faire onduler son bassin d’avant en arrière pour lui baiser la bouche. Lorsqu’il fait cela, Elsa sait qu’il est sur le point de craquer. Sa langue s’active davantage, elle introduit un doigt dans son petit cul serré. Le résultat ne se fait pas attendre : elle sent bientôt sa queue trembler dans sa bouche puis un puissant jet crémeux lui fouette le palais. Elle avale avec délice le sperme dont il lui fait l’offrande, lui léchant le gland pour ne rien perdre de son sirop d’amour.
On sonne à la porte, Karim se retire de sa bouche et se rajuste. Il sort de sa poche un foulard qu’il noue autour des yeux de sa maîtresse et lui ordonne de rester à genoux pendant qu’il va ouvrir.
Un peu angoissée elle entend bientôt plusieurs voix d’hommes dans le salon…
Karim revient dans la chambre, l’attrape par les cheveux et la guide à genoux jusqu’au salon. Les voix se taisent Elsa n’entend plus que des murmures… Elle devine que plusieurs personnes sont assis dans le canapé et les fauteuils…
Son amant l’arrête devant petite la table du salon, il lui écarte les jambes et les attache aux pieds de la table. Il fait de même avec ses poignets… Elle est à présent ficelée à plat ventre sur la table, soumise et ainsi offerte au premier venu…
Elsa entend des hommes se lever, s’approcher, des braguettes s’ouvrir, des pantalons se baisser…
Une main attrape ses cheveux, lui redresse brutalement la tête. Elle sent l’odeur d’une bite, un gland vient heurter ses lèvres. Elle ouvre la bouche pour laisser glisser contre sa langue cette queue gonflée… Quelqu’un écarte ses fesses nues, elle l’entend cracher dans ses doigts pour lui enduire l’anus de salive.. Il appuie son sexe contre sa corolle qui se dilate doucement puis, une fois son gland introduit dans le vestibule de ses reins, il l’encule entièrement d’un seul coup de reins. Sa queue lui paraît énorme, la douleur lui brûle le ventre… Mais elle ne peut pas crier…
Personne ne parle. Seuls ses gémissements de douleur puis de plaisir se mêlent au souffle de ses amants d’un soir et au bruit de leur sexe dans ses orifices humides…
Elsa se fait limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et onctueux lui inonde le fondement puis la bouche…
Les couilles vidées, ses baiseurs se retirent sans ménagement… Karim s’approche de sa maîtresse lui murmurer des mots doux à l’oreille, puis il lui demande d’ouvrir la bouche, de tendre sa croupe en arrière et d’offrir ses fesses… Ainsi d’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en elle, lui baisant sans retenue la bouche, le vagin et le cul…
Les bites s’enchaînent les unes après les autres… Elle suce sans relâche et se fait prendre à la chaîne. Sa mâchoire lui fait mal et ses orifices ouverts absorbent maintenant les sexes dressés sans problème… Nôtre pauvre Elsa n’est plus qu’une machine à faire jouir, une poupée gonflable qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager… Bientôt le sperme lui coule entre les fesses, le long des cuisses, sur le menton et dans le cou… Elle ne peut rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes en s’abandonnant au plaisir qu’ils lui procurent…
L’un après l’autre, pendant près de deux heures, cinq mâles la baisent sans retenue ce soir-là… Certains d’entre eux la prendront même plusieurs fois… Elsa apprendra plus tard qu’ils ont tous payé pour cette soirée et visiblement ils en veulent pour leur argent avant de repartir… Les derniers lui éjaculent sur le visage, les cheveux et dans les fesses…
Karim raccompagne ses invités à la porte et revient dans le salon. Il se penche près de son amante et lui dit qu’elle a été parfaite comme il l’espérait, aussi que ses amis ont vraiment apprécié. Il s’allonge sur elle, elle sent sa queue tendue glisser entre ses fesses vers son anus poisseux. L’a-t ’il déjà baisé pendant la soirée ?… Elle l’ignore mais il a l’air très en forme… Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de ses reins, son sexe s’enfonce sans difficulté, elle s’offre encore une fois pour l’homme qu’elle aime est qui lui procure tant de plaisir…
– Alors ça t’a plu ma petite pute ?? – Avec tes amis ?? Oui bien sur !! Tes amis à toi autant que tu veux. Je ferai tout ce que tu veux… Tout, tout mais dit moi encore que tu m’aime et embrasse-moi. – Tu dois être dépendante de moi, tu dois être obéissante. Il crache dans sa main trois fois. – Mange-moi dans la main ma pute…
Il tend la main et elle y enfouit sa bouche. Elle avale ce qui s’y trouve. Cela ressemble à un maître qui récompense son chien. C’est sans doute l’image qu’il veut lui imposer.
Karim sait maintenant qu’il a à sa disposition une pute docile et soumise, prête à tout pour le satisfaire ?? Oui a satisfaire ses moindres désirs… Karim l’a transformée en objet de plaisir, en pute soumise.
Elsa s’est présence de son amant qui l’a le plus troublée, le fait qu’il l’a offerte comme une vulgaire prostituée tout en observant avec plaisir les moindres détails des accouplements.
Comment expliquer le plaisir ressenti, vous êtes à ce moment là et plus que jamais le centre d’intérêt de vos partenaires, ils vous convoitent et ne pensent qu’a vous, ils valorisent votre corps plus que vous le faite vous-même et plus rien n’existe autour de vous.
Votre esprit se concentre sur la moindre sensation qui est amplifié puissance dix, une simple caresse devient extraordinaire de volupté, les regards magnétiques vous déshabillent et sondent votre esprit, vous ne pouvez ou n’avez pas envie de réagir, de stopper les ondes de plaisirs qui submergent progressivement la moindre parcelle de votre chair délicieusement offerte.
Petit à petit vous anticipez les moindres gestes, devinant l’étape suivante qu’ils vont vous faire subir, mais le pire c’est que vous prenez un malsain plaisir à tous les outrages libérant tous vos tabous sexuels, plus rien n’est interdit à qui veut l’obtenir et c’est en toute consciente que vous vous offrez corps et âme.
Tous ces délices lui sont faits sans aucune violence, malgré ma soumission et la contrainte consentie, Elsa se sent en totale sécurité avec le sentiment de pouvoir tout stopper, à tout moment.
Son amant a abattu toutes ses défenses, sexuellement il a obtenu d’elle ce que son mari n’avait peut être même jamais espéré, en très peu de temps il a transformé une femme mariée, fidèle et réservé en véritable nymphomane.
CHAP 9
Elsa se réveille avec du brouillard devant les yeux en compagnie de Karim.
Ils prennent une douche ensemble et le petit déjeuner. Elle décide de retourner dans sa maison pour changer de vêtements. — HUM, Ouais !! Mais alors, tient ce qu’il y a dans ce paquet, c’est ce que tu porteras aujourd’hui ! Sans rien en dessous !!!
Curieuse de voir où tout ça va la mener, Elsa accepte l’offre de Karim. Une fois arrivée chez elle. Elsa attrape le colis, se précipite dans la salle de bain, ouvre le paquet.
Elle y découvre une paire d’escarpins blancs à talons, et une petite robe. Elle prend la courte robe en stretch blanc offert par Karim. La belle tente de faire rentrer ses formes voluptueuses dans la petite robe.
Une fois le vêtement ajustés, elle s’observe dans le grand miroir. Elle est à la fois sous le charme et toute excitée devant l’indécence de cette courte robe en stretch blanc. Le tissu très doux moule parfaitement ses courbes, et sa finesse laisse apparaître en transparence les lobes de ses fesses et les mamelons gonflés de ses seins. La partie basse, couvre tout juste son joli cul rebondi.
A l’avant, elle observe les deux pans qui divisent la robe en deux au dessus du nombril, puis remontent couvrir ses seins. Ils sont peine assez larges pour bien les couvrir, les bouts de tissu s’amincissent au dessus de ses derniers pour se résumer en ficelle passant derrière sa nuque pour tenir le tout d’un simple nœud.
Un anneau doré entre les seins contraint les deux pans à se rapprocher, un autre plus gros entre la poitrine et le nombril fait de même donnant la sensation que la robe est beaucoup trop petite pour les formes généreuses de la femme. Derrière, le dos est entièrement dénudé jusqu’à la naissance de la raie des fesses. Pour rajouter à l’indécence de la robe, les hanches sont nues et l’avant et l’arrière de la robe sont reliés par trois anneaux dorés. Ainsi, on voit clairement que la femme a obéit à son amant, elle ne porte aucun sous-vêtement.
Elsa complète alors son accoutrement avec des escarpins à talons. Elsa se baisse pour refermer la petite bride sur ses chevilles. Accroupie devant son reflet, elle aperçoit la fente de sa grotte déjà entrouverte. Curieuse, elle passe son majeur le long de sa vulve. — Mais, c’est pas possible, je suis déjà en train de mouiller !! Il fait de moi une salope.
— BZZZZZ, BZZZZZ !!! Son téléphone vibre, c’est Karim qui s’impatiente dans sa voiture. Elle se relève, remet sa robe en place pour couvrir son berlingot exposé, sort son kit de maquillage et se pomponne de son mieux. Une fois sa mise en beauté terminée, elle s’admire de nouveau dans le grand miroir. Quelle transformation, elle se trouve diablement belle, moins âgée aussi, ce maquillage, cette tenue osée lui donne quelques années de moins.
La robe est parfaitement ajustée elle laisse entrevoir ses formes les plus intimes, seins généreux et fiers que l’on devine totalement libres sous le mince tissu, des hanches voluptueuse sur lesquelles tout homme aurait aimé poser ses mains et des fesses rebondies très appétissantes captant encore tous les regards. La femme adultère a laissé la place à une belle pute en toute beauté.
Ses cheveux bouclés, tombent négligemment sur ses épaules, encadrent son visage, au regard profond. Le mascara noir surcharge ses longs cils, l’eye-liner noir arrondit légèrement ses yeux. Ses paupières fardées de couleurs sombres lui donnent une intensité folle dans le regard. Malgré l’absence de fond de teint, son teint naturel est parfait, le gloss carmin mettent parfaitement en valeur ses lèvres charnues. Une bouche à pipes ! Comme dit Karim. Avec sa docilité d’amoureuse, Elsa se sent plus femme que jamais, tels un joli bijou que l’on va exposer aux regards pleins de convoitise. La nouvelle image qu’elle retourne la chauffe bien, les papillons dans son ventre se réveillent, elle a encore envie de faire l’amour au plus vite.
Elle traverse le couloir pour rejoindre son bel amour, elle peut désormais l’appeler comme ça. Encore un peu intimidée par cette robe trop courte a son goût, elle attrape la petite veste offerte elle aussi par son amants, l’enfile négligemment sans la boutonner. De toute façon pense t elle, je ne la garderais pas bien longtemps. Puis saisissant machinalement son sac, elle y enfourne le nécessaire, son portable, ses clefs. Elsa sort de chez elle, cherche encore un peu ses marques en descendant l’escalier, il ne lui faut pas trop longtemps pour marcher normalement. Elle sent bien ces seins dandiner de haut en bas au rythme de ses pas.
Karim qui commence à s’impatienter derrière son volant, est bien content d’avoir attendu lorsqu’il voit sa maîtresse enfin pointer son cul. Malgré la petite veste, hypnotisé par le mouvement de cette poitrine à peine soutenu par le tissu très léger de la robe, il l’observe tordre roulée des hanches alors qu’elle s’approche de sa voiture. Il sent son gros dard gonfler dans son pantalon, il en a presque mal, tellement sa bite est comprimée. Il pourrait lui demander une pipe maintenant, mais préfère se la réserver pour plus tard, surtout avec ce qu’il a prévu pour cette femme qu’il a bien en main.
Karim l’attend à coté d’une grosse limousine aux vitre teintées. Il lui prend la main et la fait tourner sur elle-même, sifflant d’admiration :
— C’est encore plus beau que ce que j’espérais, tu est magnifique et vraiment bandante.
— Nous sommes près, c’est le moment d’y aller.
Mais il lui ouvre la porte arrière, malgré sa surprise son esprit ne peut plus réfléchir et s’est en s’installant qu’elle ressent une autre présence masculine qui dit aussitôt :
— Très, très, belle vous avez raison mon ami elle est magnifique.
Sans cette amour qu’elle a pour Karim, elle se serait révolté, mais là aucune réaction consciente incapable du moindre raisonnement.
La portière, coté conducteur claqua à son tour, il se tourne vers l’arrière pour dire à son passager :
— Ne vous avais-je point promis une belle prise, monsieur.
— Effectivement, c’est une délicate attention, je les aime belles et dociles, celle-ci me semble, comment dite vous déjà ? Prometteuse, c’est bien le terme, prometteuse.
Tout en glissant sans vergogne sa main entre les cuisses d’Elsa, il remonte rapidement vers son sexe et avec deux doigts il écarte ses lèvres intimes pour vérifier la qualité de sa liqueur.
— Elle est vraiment à point, c’est son état normal ?
— Oui, monsieur, je pense que si nous savons y faire elle ne nous refusera rien.
— Toutes les mêmes ces femmes mariées, trop sérieuses et prudes et pourtant si facile à convaincre, le temps et l’abstinence travaillent pour nous mon chers Karim, difficile à croire que les maris n’en ai pas conscience, ils en tireraient bien profits, mais c’est mieux ainsi.
— J’espère que vous ne l’avez pas encore prostituée ?
— Non, ! Monsieur, j’en ai abusé mais elle est encore vierge de toute autres pénétrations sauf celles de son époux, il va de soit.
Elsa est là, parfaitement consciente de leur discourt pervers mais toujours incapable de réagir sauf à éprouver ce plaisir malsain de la soumise consentante.
Elle sent sa chatte dégouliner sur les doigts qui la fouillent, sa mouille gluante facilite la pénétration jusqu’à la paume de la main.
Il force le passage avec un va et vient rapide de l’avant bras qui libère des bruits caractéristiques de clapotis.
— Il me semble qu’elle aime ça, elle a déjà du être bien ramonée car elle s’ouvre vite et plutôt facilement.
Le salaud sait appuyé là ou ça fait mal, en une phrase il l’a transformé en petite pute soumise, il est bien plus pervers que son amant et sait y faire.
Il lui tapote la fesse pour qu’elle avance son bassin jusqu’au bord du siège, là il passe une de ses jambes par-dessus la sienne ce qui ouvre plus que largement ses cuisses et toute son intimité est totalement exhibée aux yeux de Karim qui ne perd aucune miette de la scène.
Malgré son impossibilité à réagir moralement, son corps lui est parfaitement réactif au plaisir, les yeux mi-clos et bouche entre ouverte Elsa respire de plus en plus vite, savourant chaque coup de poing dans son con gluant, espérant même qu’il puisse enfin transgresser le passage encore trop étroit pour une totale pénétration.
— Cette salope m’excite vraiment, elle est trop réactive je sens quelle va me bouffer le bras.
Son bassin suit le rythme des vas et vient, appuyant à chaque fois pour qu’il enfonce un peut plus sa main, sa grotte est en feu, dégoulinante de cyprine qui petit à petit lui facilite le passage.
Jamais de sa vie elle n’avait ressentie une telle dilatation, sauf lors des accouchements, et de l’autre nuit chez Karim. Mais là il y a ce plaisir outrageant, mélange subtil de douleur et d’envie irrésistible, elle n’est plus une femme mais une simple femelle, ouverte au maximum pour être remplie par n’importe quoi et n’importe qui.
— A la pute… Mon poing est entré, regardez comme elle se trémousse.
Il a réussi à entrer sa main toute entière dans le puits d’amour d’Elsa, elle regarde son poignet planté là dans sa grotte béante, c’est vraiment incroyable tout son corps tremblait de plaisir.
Avec tout çà, elle n’a même pas remarqué que la voiture roule, Karim suit la scène avec délectation dans le rétroviseur intérieur, ce qui décuple son plaisir.
Son amant offrant son corps à qui le veut, rien que çà l’aurai déjà fait jouir il y a quelques jours, mais là avec le bras d’un parfait inconnu lui fouillant la moule, elle ne nous dit pas, l’extase.
— Elle est plus longue à jouir que celle de la semaine passée, vous ne trouvez pas ?
— Oui, monsieur, celle là est exceptionnelle vous allez l’adopter pour un moment.
Ils parlaient d’elle comme d’une banale marchandise, c’est humiliant et tellement jouissif.
— Karim, passez moi le gode.
Il sort le godemiché (coca cola) qui l’avait fait si bien jouir l’autre jour dans la voiture et le passe vers l’arrière.
Son ami retire sa main de sa grotte lui laissant un énorme vide dans tous les sens du terme, Elsa a soudain comme un manque, une vrai frustration, elle veut qu’il l’enfourne encore et encore.
L’homme soulève Elsa, écarte les pans de sa jolie robe et la pose sur ses cuisses déjà nues, elle ressent immédiatement son sexe durci contre ses reins.
Il lui écarte les cuisses de part et d’autre de ses jambes dévoilant de nouveau sa grotte d’amour encore toute gluante.
D’une main il écarte ses lèvres dégoulinantes et de l’autre il la pénètre d’un seul coup avec le gode, directement jusqu’à la garde et sans ménagement, d’un coup, environ trente centimètres lui pourfende le ventre, la canette est grosse mais rien à comparer au bras entier qu’elle a avalé sans rechigner juste avant.
Quelques va et vient pour loger confortablement la canette en elle, les bruits de sucions et clapotis liquoreux prouvent la bonne lubrification de l’affaire, elle est aux anges les cuisses largement ouvertes tout en se délectant de plaisir.
Ses deux salauds savent vraiment y faire, en très peut de temps ils l’ont transformé en véritable petite salope, jamais Elsa n’aurait pu l’imaginer, ni même dans ses fantasmes les plus fous.
Ensuite il descend sa robe de son cou, libérant immédiatement ses seins aux bouts tendus, de sa main libre il les palpe à tout de rôle, les soupesant et malaxant tel un fruit mur.
— Même ses seins sont des merveilles, Karim vous me gâter vraiment
— Merci, monsieur, c’est un honneur pour moi
La canette toujours planter dans son puits d’amour, il la soulève des deux mains, puis avec ses doigts il étale son jus le long de sa raie, la quantité est là, ça dégouline de partout puis il glisse un doigt sur sa rosette de soumise.
Elsa devine qu’il va lui fouiller le cul et peut être même encore plus, c’est pas nouveau pour elle jamais elle n’avait accepté cette pénétration de son mari. Mais son amant l’a initiée à se plaisir dont elle ne ce prive pas. Elle sent sa corolle s’entrouvrir lentement sous la pression du doigt inquisiteur.
Il entre très facilement, appelant les autres doigts qui se présentent déjà à la porte, deux puis trois doigts dans le cul avec le gode planté dans la grotte, vous verriez la scène.
Mais il ne va pas se contenter de lui mettre ses doigts, qu’il retire déjà après avoir ouvert le passage, présente son membre dur et abondamment lubrifier du jus de la moule d’Elsa, il appuie sur ses épaules pour entrouvrir la porte de ses reins, elle sent son membre l’empaler centimètre part centimètre, sans aucune douleur il l’encule jusqu’aux couilles.
Marquant un temps d’arrêt pour savourer cette victoire, il lui saisit les seins et dit à l’oreille :
— T’aime ça salope… T’aime que je t’encule… Je le sens que t’aime ça…
Ho… Que oui, qu’elle aime ça, elle aime tout ce qu’il lui fait, elle aime qu’il l’avilisse, qu’il lui salisse le corps et l’âme, Elsa aime être sa pute, leur pute à ses deux pervers.
Elsa couine comme une catin, prenant chaque coup de bite pour une récompense, ondulant son corps au rythme de la saillie et appuyant a chaque fois de tout son poids pour mieux sentir cette grosse bite lui labourer le trou du cul.
Devant tant de plaisir, elle saisit à deux mains le gode improvisé toujours en elle et pendant qu’il l’encule de plus belle, elle se laboure la chatte comme une damnée.
Malgré son expérience, son enculeur ne peut se retenir très longtemps, il explose dans son fondement en criant, déversant tout son jus dans ses entrailles, Elsa ressent chaque saccade et contraction de la bite qui la défonce, sentant le sperme chaud couler à flots.
Elsa ne peut retenir sa jouissance dévastatrice, l’onde de plaisir la submerge des pieds à la tête, étourdissant tous ses sens, elle sue par tous ses pores et sent le sexe à plein nez.
Ils sont restés ainsi planté l’un dans l’autre un bon moment, parcourus de quelques soubresauts de plaisir, Karim la fixe dans le rétro et semble admiratif de ses exploits.
A quoi s’attendait-il ? Il a mis la dose pour la pervertir et là il semble surpris de la facilité avec laquelle un inconnu peut enculer sa soumise.
Le sexe ramolli est sorti doucement du fourreau d’Elsa et toujours en lui palpant les seins il a attiré son visage vers l’arrière pour lui rouler une pelle magistrale, sa langue humide lu a carrément fouillé la bouche la faisant boire sa salive en lui laissant à peine le temps de respirer.
— Je n’en ai pas fini avec toi ma salope, maintenant tu m’appartiens.
Ils l’ont ramené à sa maison, reprenant doucement ses esprits elle les ai vu partir toujours sans savoir qui était ce nouvel inconnu qui l’a si bien baisé. Elle ne sut que bien plus tard que le Monsieur est un député influant et protecteur de Karim.
Ce soir là, son mari qui n’est rentré que pour une nuit, l’a trouvé plutôt fatiguée et pensive, le pauvre s’il savait, Elsa a les trous encore dilatés et douloureux.
Mais tout cela l’a trop excitée et elle a encore envie de se faire prendre par une bonne bite, justement là elle en a une bonne devant elle.
Cela lui fait bizarre de faire du rentre dedans à son marie, chaude comme la braise, elle a fait tombé sa robe devant lui tout en le dévisageant d’un regard gourmand.
— Waouh !!! Tu es nue… Comment ça ce fait ?
Avec tout çà, Elsa a complètement oublié qu’elle était toute nue sous sa robe, elle aurait pu remettre des sous vêtements avant de rentrer mais elle n’a pas pensé que son mari serait de retour.
— Je vois que cela te fait de l’effet…
— Je n’ai pas l’habitude, c’est plutôt excitant.
— Je savais que tu ne résisterais pas.
Il sait approché de sa femme et la prise dans ses bras, en l’embrassant goulûment il lui a caressé les hanches puis les reins pour descendre doucement jusque aux fesses.
Ils sont encore dans l’entrée face au grand miroir, il l’a retourné d’un seul coup plaçant Elsa face à son reflet, restant collé contre ses fesses il continue à lui caresser les seins et le ventre.
L’image dans le miroir est très sexy, Elsa nue, jambes écartés, seins dressés et fiers d’être soupesés par des mains puissantes, avec ce mâle qui l’embrasse dans le coup et la nuque tout en lui mordillant le lobe des oreilles, tout ce qui faut pour attiser encore plus son désir.
Quant à son mari il se frotte de plus en plus contre ses fesses, elle ressent son membre durcir rapidement, ne pouvant l’empêcher de vouloir comparer sa taille à celle de ses amants, elle a glissé sa main entre les corps, ouvert sa braguette et glisser sa main dans le caleçon pour saisir son membre bandé.
Elle est bien dure et chaude et son état d’excitation ne lui permet pas d’établir un score entre les mâles, elle n’a plus qu’une envie, qu’il la baise à son tour.
Tels des voyeurs, ils regardent les détails de la scène dans le miroir.
Il continue ses caresses en descendant jusqu’à son sexe, ses doigts ont glissé entre ses lèvres entre-ouvertes, effleurant au passage son clitoris déjà très réactif.
Poursuivant sa fouille, il a plongé ses doigts dans sa grotte dégoulinante déclenchant les clapotis si excitants.
— Non de dieu, mais tu es toute trempée.
— Hum… Oui… J’ai très envie.
— Çà, ce n’est pas que de l’envie… Tu n’as jamais mouillée autant.
S’il savait le pourquoi de Son état, qu’elle est devenue une vraie petite salope obéissante avec le feu au cul, il ne réagirait sûrement pas aussi bien.
Elsa ondule ses hanches comme une petite allumeuse, frottant ses fesses contre son membre pour le rendre encore plus dur et encore plus gros.
— Mais qu’est ce qui t’arrive… Tu n’as jamais été dans un tel état, tu as bu ?
— Tu n’aime pas ?
— Si, bien sur que si, mais… C’est surprenant, tu n’a jamais…
— Allez vient, regarde dans quel état nous sommes, nous devrions passer aux choses sérieuses, tu ne crois pas ?
Il est comme fou, son comportement de fille facile porte ses fruits, il l’embrasse partout et la pelote sans vergogne, ses doigts la fouillent de plus belle la portant presque au bord de la jouissance.
Elsa s’est penché alors vers l’avant en écartant encore plus ses jambes, puis prenant appuis sur le miroir elle a glissé une main entre ses cuisses pour saisir le membre convoité.
Elle frotte sa bite entre ses muqueuses pour la lubrifier abondement, elle a ensuite positionné le gland gorgé de sang juste à l’entrée de son puits d’amour espérant qu’il donne enfin le coup de reins libérateur.
Croyiez le, il ne sait pas fait attendre, il a posé ses mains sur ses hanches et tout en tirant ses fesses vers lui il lui a violemment défoncé la chatte, la pénétrant très profond.
Elsa est enfin remplie et satisfaite, ondulant le cul au rythme des vas et vient de cette bonne queue qui maintenant la pilonne en cadence.
C’est son mari mais cela aurait pu être n’importe qui d’autre, à ce moment là seul le plaisir compte, elle est concentré sur la colonne de chair qui la pénètre, à chaque coup de reins il but bien au fond puis il ressort de nouveau à l’air libre pour pouvoir replonger encore plus fort dans son ventre.
Tout en la pilonnant il lui caresse délicieusement le clitoris pendant qu’elle lui soupèse et malaxe les couilles de sa main libre, la tension est au summum, Elsa sent la jouissance monter en elle alimenté par chaque nouveau coup de queue.
Lui il commence aussi à craquer car il transpire comme un bœuf, redoublant d’efforts pour lui claquer les fesses toujours plus fort et plus vite tout en criant :
— Han… Han… Han…
Soudain, elle lâche sa jouissance trop retenue, contractant son vagin pour mieux ressentir la bite qui la laboure encore et tremblant de tout son corps, elle jouit.
— HAARRF… Oui… Oui… OUIIII…
Elsa sent ses bourses durcir sous ses doigts, il s’est enfoncé en elle, à bloqué ses hanches avec ses puissantes mains, son corps se raidit, et…
— HOUUAAAA….
Des flots de jus bien chaud se sont déversés dans le puits d’amour d’Elsa, par saccades il s’est complètement vidé.
Ils sont tout deux anéantis, affaiblis par la jouissance tenant à peine sur leurs jambes et recherchent appuis sur les meubles.
Il l’a prend contre lui en la serrant tendrement et pose un baisé sur ses lèvres.
— Tu à été merveilleuse, je ne m’attendais pas à tel comportement de ta part.
— Quel comportement ?
— Tu sais bien ce que je veux dire, jamais tu n’as été aussi… Comment dire ?
— sexy ?
— Non… Plutôt… Participative, entreprenante, oui c’est ça entreprenante.
— Et alors, tu as aimé ?
— Aimé, non… J’ai adoré, j’en rêvais sans oser te le dire, sans oser te le demander, j’avais sûrement trop peur de te choquer ou que tu me prennes pour un pervers.
— Mais là tu m’a complètement scotché, je ne m’y attendais vraiment pas, cela faisait longtemps que nous n’avions pas fait l’amour avec autant de passion.
— C’est vrai et je le regrette, la vie est ainsi faite, l’important sait d’aller de l’avant, quant pense tu ?
— Tu as raison mais j’aimerai savoir pourquoi ce changement soudain ?
— Je te le dirais, mais pas ce soir, là tu vois nous sommes fatigués, avons besoin d’une douche et d’une bonne nuit de sommeil.
Ils se sont embrassés et ont été sous la douche l’un contre l’autre.
Au petit matin, Elsa est déjà dans la cuisine à préparer le petit déjeuné. Elle repense aux aventures de la veille, encore toute retournée d’avoir autant joui dans les bras de ses amants et pour finir avec son mari.
Ne serai-je pas allé trop loin et trop vite, son comportement a vraiment surpris son mari et maintenant elle craint qu’il ne découvre son secret.
De toutes les façons, dans l’état de manque qu’elle était, elle ne pouvait pas se contrôler, ces découvertes sexuelles la rendent folle.
Maintenant il lui faut gérer les choses avec tact, elle n’imagine pas comment il pourrait réagir en apprenant tout cela et elle n’a vraiment pas envie de le perdre, c’est sa sécurité.
Elsa est néanmoins convaincue qu’elle arrivera à lui présenter la chose à son avantage, ou plutôt à leur avantage, il pourrait accepter la situation et en retirer beaucoup de plaisir.
C’est avec cette conviction qu’elle fait couler le café.
— Bonjour mon amour.
— Déjà levé, vient boire un bon café.
Il la prend par les hanches et l’assoie sur ses genoux
— Vient là ma belle, hier tu as vraiment été merveilleuse, c’est quant qu’on recommence ?
— Ho là, doucement… Tu deviens trop gourmand, tu vois c’est peut être pour ça que j’évite la chose, car vous les hommes plus on vous en donne et plus vous en voulez.
— Les hommes ? C’est de moi qu’il s’agit, les autres je m’en fous et d’ailleurs que sait tu des hommes, tu n’a connu que moi.
— Oui… Mais nous les femmes on sait bien comment vous êtes, tous les mêmes, vous ne pensez qu’a ça.
— Tu écoute trop tes copines, nous ne sommes pas tous pareils, moi je suis exceptionnel, non ?
Elsa est assez contente d’elle, il ne se doute de rien et tout ce passe pour le mieux.
CHAP 9
Karim est garé dans la cour avec sa BM, une belle M3, la lunette et les vitres arrières teintées, un gros aileron sport et les jantes larges, une vraie caisse de caïd.
Elsa monte dans le véhicule. Les places à l’avant sont plutôt spacieuses, Elsa s’y sent presque bien, par contre, les grandes vitres avant, le pare brise, non teintés l’exposent totalement. Dans sa position assise, le tissu élastique de sa robe remonte sans peine sur le haut de ses cuisses, dévoilant directement son pubis. Elle s’apprête à le couvrir quand Karim la retient.
— Non non, à partir de maintenant, je t’interdis de toucher à tes fringues. Et vire-moi cette veste, ce serait dommage de cacher les attributs d’une pouffiasse de ton calibre.
Elsa s’exécute, et dépose la veste sur la banquette arrière. Elle essaye de resserrer ses cuisses, mais leur galbe ne peut empêcher sa fente d’être visible.
— Mais putain, tu piges que dalle ou quoi, garde les jambes écartées !
Il démarre, soudain Elsa sent l’air frais de la climatisation se propager sur tout le haut de son corps. Le salaud, pense t elle !! Je suis sûr qu’il l’a fait exprès ! Karim est très content de son coup, il a réglé la clim au plus froid, il a dirigé les buses en direction du siège passager. L’effet est immédiat, la chair de poule gagne tout le corps quasiment dénudé d’Elsa, ses tétons ne tardent pas à durcir et à tendre encore plus les deux petits triangles de tissu qui les couvrent à peine.
Résultat, Karim peut admirer le pourtour des aréoles qui apparaissent de part et d’autre du stretch blanc. Avant d’enclencher la première, Karim attire la belle à lui et lui claque un baiser langoureux sur ses belles lèvres maquillées. Il en profite pour pincer, tordre ses beaux mamelons pour bien les faire durcir, puis démarre en direction du centre ville. — En attendant, moi, j’ai les crocs, alors on va d’abord s’arrêter prendre à bouffer…
Il regarde Elsa avec gourmandise et lui lance un défi.
— Vu comme t’es bandante, c’est toi qui va aller chercher la bouffe.
— OK j’irais !
A l’approche de la grande place, la foule se densifie, les badauds sont de plus en plus nombreux, Karim ouvre en grand la fenêtre d’Elsa et roule aussi lentement qu’il le peut pour faire admirer son trophée à un maximum de monde. Il anticipe un maximum de feux rouges pour exposer la belle et ses atours naturels. Les commentaires ne tardent pas : — Eh mec on peut toucher ? Deux gros blacks en tenue de peintre interpellent Karim.
— Ouais vous gêner pas, c’est un vrai garage à bite !
Elsa ne sait pas quoi faire, comment est-ce que ce salaud peut la lâcher en pâture à ces deux mecs qu’il ne connaît même pas ? Son premier réflexe est de croiser les bras sur sa poitrine, comme si elle pouvait se protéger de ces deux colosses. D’un autre côté, elle se sent flattée d’attiser la convoitise de ces mâles, elle se résigne à jouer son rôle de chienne en chaleur, se détend, ouvre les cuisses pour exposer son petit berlingot. Elle tourne enfin légèrement son torse en signe d’invitation.
Le premier saisit cette opportunité, il attrape le sein droit d’Elsa et joue avec son mamelon qu’il pince, roule entre ses deux gros doigts. Ne sachant pas combien de temps le feu va rester rouge, il écarte rapidement le fin tissu, s’accroupit à hauteur de la portière, penche sa tête par la fenêtre ouverte et aspire le téton durci entre ses grosses lèvres. — Vas-y mec dégage ! Le second pousse son pote qui a juste le temps de recouvrir le sein d’Elsa.
Le deuxième black passe son bras, commence à caresser la peau douce de la cuisse musclée de la femme. Sans autre forme de procès, il remonte directement à sa vulve entrouverte par l’excitation, y insère un de ses énormes doigts. Elsa étouffe un petit cri, se pince la lèvre inférieure lorsqu’il s’introduit d’un seul mouvement entre les lèvres de son vagin déjà humide. — Merde elle mouille en permanence ou quoi cette pute ? Il retire son doigt trempé et le colle entre les lèvres de la chienne. — Nettoie-moi ça la pute !!
Le feu passe au vert, les deux peintres s’écartent de la voiture, mais avant de démarrer Karim leur tend une carte de visite.
— On va chercher un truc à emporter au fast food. Venez nous rejoindre à cette adresse dans une demi-heure, demandez Karim OK ?
Mais qu’est-ce qu’il raconte ce con ? Pense Elsa qui commence à paniquer, elle sent bien qu’il va encore la faire baiser par d’autres hommes. Il va quand même pas inviter tous ceux qu’il croise à venir me sauter quand même ? En même temps elle sait très bien qu’elle a trop envie d’une bonne queue, si ces mecs sont aussi bien montés que Karim, elle va surement prendre son pied.
Par réflexe, elle tente de remettre le bas de sa robe en place. Il lui claque le haut de la main comme on punit un enfant qui veut chiper un gâteau.
— Mais t’es bornée ou quoi, je t’ai dit de plus toucher tes fringues !
Il repère une place, s’y gare, sort de la voiture, joue les galants, se précipite pour ouvrir la porte à sa maîtresse.
CHAP 10
La portière grande ouverte, Elsa tente de sortir sur le trottoir pour accompagner son amant. La rue où ils sont garés est un des axes principaux menant au centre ville. A cette heure-ci, les trottoirs sont bondés de monde allant se restaurer sur la grande place. Elsa sort donc du véhicule, les jambes en premier, perchées sur ses talons, la hauteur du trottoir s’ajoutant, elle se retrouve avec les genoux plus haut que son bassin, exposant du coup sa vulve imberbe, entrouverte à tous les passants alentours.
Karim lui tend la main afin de l’aider à se dresser, notre Elsa se retrouve au milieu de la foule des passants. Les regards se tournent sur elles, les commentaires, les insultes forment un léger brouhaha autour de la femme. Elle peut craquer et tout annuler pour retourner chez elle, même si pour se faire elle doit sûrement se débrouiller toute seule. Ou alors elle peut assumer ce nouveau rôle de salope pour lequel elle semble être naturellement douée.
Forte de son expérience de la veille, elle se décide pour la seconde solution, reprend de l’assurance, redresse le torse, mettant ainsi en avant ses seins aux tétons toujours bien durs contre le tissu élastique qui les couvre tout juste, en tortillant nonchalamment du cul, les seins bondissant en rythme avec ses pas, elle suit Karim au restaurant, comme la bonne pute qu’elle est devenue.
N’ayant toujours pas le droit d’ajuster correctement sa petite robe, Elsa sent l’élastique à la base de son cul remonter à chacun de ses pas. Le joli pli fessier et la base de sa fente vaginale sont maintenant à fleur et visible à quiconque se pencherait en présence de la belle. Elle repère le restaurant, et comme par hasard, il est de l’autre côté de la place.
Heureusement, Karim l’accompagne dans ce périple, elle doit donc pouvoir atteindre sa destination sans trop de problèmes. Mais soudain Elsa est prise de panique, Karim a disparu. BZZZZZ !! BZZZZZ !!! Elle sent son smartphone vibrer dans son sac. C’est un message de Karim — Vas-y continue devant ! Suis pas loin. Et n’oublie pas tu touches pas tes fringues !! L’enfoiré la laisse comme ça quasiment à poil au milieu de la foule.
Elsa essaye de couper au plus droit pour mettre fin à son calvaire au plus vite, mais un nouveau message. — Non, fait le tour !! La voilà contrainte de naviguer au milieu de tout le monde par le chemin le plus long. Salaud !! Il fait chié ce salaud !! C’est pas lui qui expose son cul à tout le monde !! De nouveau le bruit sourd des commentaires autour d’elle. Elle est un peu mal à l’aise dans la foule, mais son excitation est plus forte, maintenant, plus question de reculer. Elle décide de tortiller encore plus du cul et d’accentuer ainsi l’oscillation de ses seins.
Un groupe de jeunes du lycée l’a repérée, il marche maintenant à ses côtés. — Alors la bourge, t’as chaud au cul on dirait !! Vas-y fait voir ce que tu caches ! Tu veux nos belles queues, hein pouffiasse ? Des mains commencent à lui caresser le dos, les reins. D’autres remontent le long de ses cuisses. Mais étonnamment, aucunes ne s’aventurent vraiment très loin, mais les attouchements de ces mains inconnues commencent à l’émoustiller. Elle prend alors les choses en main, se tourne vers un des jeunes, le plus grand, le plus gros du groupe, lui attrape l’entrejambe au travers de son short.
— Alors mon gros, qu’est-ce que t’as à me proposer ?
Le gros, un peu décontenancé, écarquille les yeux d’étonnement. Mais sa surprise est de courte durée, il ordonne à ses potes de faire barrage, attrape la petite par le bras, le groupe l’entraine dans l’ombre d’une des petites ruelles partant en perpendiculaire
— Tu vois ma salope, ce qui est génial dans ce centre-ville c’est que toutes ces petites rues forment un vrai dédale et je suis sûr qu’on va se trouver un petit coin bien tranquille.
Une, deux, trois ils tournent dans différentes rues toutes plus étroites les unes que les autres, se planquent dans une porte cochère à l’abri de la foule. Les cinq potes sont bien plus grands, bien plus imposants que la belle. Même avec ses talons, ils font tous une tête de plus qu’elle.
— Tu voulais voir ce qu’on a pour toi ? Allez les gars, on dirait vraiment qu’elle aime la queue bourge !
Les quatre copains l’entourent ; sortent leur bite à tour de rôle. Ils sont beaucoup moins impressionnants que Karim ou que Samir, mais Elsa a envie de belles queues, et celles-ci feront bien l’affaire. Elle s’accroupit sur ses talons, écarte les cuisses, dévoilant bien sa grotte ouverte, et aspire une première bite, en branle deux autres. Pendant plusieurs minutes, elle suce les différentes queues, les aspire, les lubrifie de sa bave. Toute affairée qu’elle est sur ses mandrins, ils en profitent pour lui dégager les seins, massent, sucent ses tétons à tour de rôle.
L’un d’entre eux lui enfourne enfin la chatte de ses doigts. Un peu maladroit, il la branle profondément dans un FLOC ! FLOC ! FLOC ! bien humide. Ca ne la fait pas jouir mais ça la soulage, atténue un peu le feu qui bouillonne en elle depuis que le peintre lui a fourrer la vulve de son énorme doigt.
— Bon allez ça suffit retourne toi vielle pute !
Le gros balaise la soulève comme un fétu de paille, la retourne, lui plaque les mains contre la vieille porte en bois massif. Il la plie en deux, lui casse les reins pour bien lui cambrer le cul, ses seins aux tétons durcis pendent négligemment sous son torse. Il écarte les jambes d’Elsa, soulève le léger tissu qui lui couvre tout juste la croupe, présente sa queue bien dure à l’orée de son puits d’amour offert, à bonne hauteur perchée ainsi sur ses talons.
D’un grand coup de reins, il se cale au fond du vagin bien lubrifié de nôtre Elsa et la besogne sans vergogne. — AH ! AH !! AH !! AH !! OUI !! Vas-y baise salaud ! Elsa, est aux anges de sentir cette queue aller et venir en elle. Ses seins sont malmenées dans tous les sens tant le gros la travaille avec force.
Sur le point d’exploser après juste quelques allers et retours, il se retire pour encore profiter un peu de la belle. Un de ses potes prend sa place, après une petite baise en règle, il se retire lui aussi mais pour une toute autre raison. Il lui écarte encore un peu plus les jambes pour la forcer à descendre encore le bassin, il appuie sur le creux de ses reins pour l’ouvrir encore un peu plus. Puis là sans aucune préparation, la bite à peine lubrifiée par la cyprine, il encule Elsa bien à fond en un seul coup de queue.
— AAAAAAARRRRGGUUUUU !!!! Salaud, tu me déchires le cul, putain !!!
Il lui bâillonne la bouche de sa main, lui susurre à l’oreille.
— Ta gueule la bourge, encaisse comme une bonne salope et tout se passera bien !
Le bâillon toujours en place, de sa main libre il lui attrape un sein, s’y accroche comme si sa vie en dépendait, il sodomise Elsa comme une brute. Les pénétrations sont d’abord douloureuses, mais ses muqueuses s’adaptent assez rapidement à la bite qui la sodomise avec ardeur. — NNGGFF !! MMMPH !! NNNFF !! Elle commence presque à supporter ce calibre qui lui bourre le cul, quand tout à coup la grande brute se crispe au fond de ses reins, il y déverse la première salve de sperme. Relâchant le sein qu’il tient fermement, il lui balance une énorme fessée, laisse une belle empreinte rouge sur la peau satinée de son cul.
Il se retire, la queue ramollissant déjà, pour être aussitôt remplacé par une autre brute. Le troisième larron l’encule directement sans même lubrifier sa bite. D’un plus petit calibre, Elsa l’encaisse sans trop de problèmes mais une larme coule tout de même sur sa joue.
Après quelques coups de queues, lui aussi éjacule dans le cul bien chaud, accueillant de la femme. Le quatrième compère lui redresse le torse, la tourne pour lui faire face et l’attrape derrière les genoux, la soulève, les jambes bien écartées pendant de chaque côté de ses bras musclés.
Il empale le puits d’amour encore lubrifiée sur sa queue bien dure, il la saute comme ça à la verticale secouant les seins à chaque coup de rein. Dans cette nouvelle position, elle sent les mains de son amant glisser sous ses fesses, il en écarter les lobes. Le premier gars du petit groupe présente alors sa bite contre sa petite porte déjà en train de se refermer.
Elsa ne va pas se faire avoir cette fois, elle pousse un peu, ouvrant ainsi ses sphincters, elle peut apprécier son nouvel enculeur s’installer confortablement au fond de son cul. — ARR ! NNAH !! HANN !! Oui Oui !! Baisez moi à fond bande de puceaux !! Une bite dans chaque trou, Elsa aime se faire sauter une nouvelle fois en sandwich. Mais ses amants sont un peu trop jeunes, ils n’ont pas l’habitude de farcir une traînée du calibre d’Elsa, il ne mettent donc pas très longtemps à se vider dans les trous de la nouvelle pute de Karim.
Les quatre potes se reculottent vite fait bien fait, en abandonnent la belle, le cul et les seins à l’air. CLAP CLAP CLAP !! Elsa n’a pas le temps de se remettre quand elle se retourne, surprise par le bruit.
Elle aperçoit Karim approcher applaudissant sa performance.
— Eh bien dis-moi ma salope, ça fait à peine deux minutes que t’as le cul à l’air que tu te le fais déjà défoncer. Heureusement que j’ai rien loupé de la scène.
Il dégaine son smartphone pour lui montre la vidéo montrant la femme en train de se faire prendre en double pénétration par les deux malabars.
— Je suis sûr que t’as le cul bien rempli de foutre ! On voudrait pas que ça se perde !
Il attrape le sac d’Elsa, fouille à l’intérieur. Quelle n’est pas la surprise d’Elsa lorsque ce dernier en sort un plug orné d’une sorte de bijou bleu scintillant.
— Mais comment… ????
— HE !! HE !! Tu sais pas !!! J’ai vite repéré le genre de chienne à qui j’ai à faire. Je l’ai tout à l’heure fourrer dans ton sac, c’est un objet qu’une salope comme toi pourrait avoir besoin quotidiennement.
Il attrape Elsa, la plaque de nouveau les mains à plat sur la porte en bois, il lui cambre bien les reins. Écartant sa petite porte encore ouverte, prête à dégouliner ses trois doses de sperme, il y insère le plug et bloque le petit trou comme on rebouche une bouteille. Elsa sent le contact froid de la pointe de métal contre ses sphincters, puis la pression de ce nouvel objet à la forme si particulière. Malgré les coups de bite qu’elle vient de recevoir, son anus a un peu de mal à accepter la tête du rosebud. Mais une fois le plus gros diamètre de la tête passé, sa pastille se referme sans problèmes sur la base de l’objet ne laissant plus apparaître que le bijou brillant.
Il redresse alors sa belle pouliche, remet un peu sa robe en place, mais ne manque pas de jouer un peu avec les beaux seins à l’air. Il les attrape à pleine main, en titille les tétons entre ses dents, les aspire goulûment l’un après l’autre. — OOOHH !! MMMM !! Tu sais y faire avec mes seins !! Elsa adore le traitement que son amant lui fait subir. Elle veut sa belle grosse queue, mais il ne la lui donne toujours pas. Au contraire le salaud range les seins dans leur petit carcan élastique, il redescend les pans de la robe juste au niveau du pubis et à peine en dessous du bijou sortant de son cul.
— Voilà, tu es de nouveau bien bandante ! Fais voir ta face ? Non c’est bon ces petites bites ne t’ont pas ravager suffisamment pour faire couler ton maquillage.
Réjouit de voir sa belle à nouveau présentable, il l’attrape par la taille et la guide à la sortie du dédale de rues. Ils se retrouvent de nouveau autour de la place, ils prennent la direction du restaurant. A les voir marcher ainsi, on pourrait presque croire à un couple, ce n’est qu’un mac de la cité et sa pute. C’est ce que se dit Elsa lorsqu’elle observe leur reflet dans une des nombreuses vitrines encadrant le centre-ville.
Elle sait bien qu’elle a l’air d’une vraie pute dans cet accoutrement, mais elle aime voir l’envie dans le regard de son amant et de tous les hommes qu’ils croisent. Ce jeu de séduction extrême l’excite, désormais elle aime faire baver les mecs qui la mate. Elle aime rendre leurs femmes jalouses. Elle veut qu’ils aient envie d’elle, s’ils savaient que sous cette robe dérisoire, la belle se fait titiller la pastille avec un plug anal alors qu’elle tord du cul dans sa démarche comme une pute. Ça l’émoustille encore plus.
Elle a son puits d’amour qui la démange encore, elle veut sentir la grosse queue de Karim au fond de sa gorge, elle aimerait le sentir lui fouiller les entrailles. Et si lui ne le fait pas, elle est prête à se donner au premier vicieux qui voudra bien lui défoncer sa grotte ou son vestibule.
C’est le plug planté dans le cul, perchée sur ses talons, la petite robe dévoilant ses formes généreuses, qu’Elsa arrive enfin, au bras de Karim, devant le comptoir où ils font la queue pour prendre leur commande. L’arrière de la petite robe presque au ras des fesses, Elsa a l’impression que son cul est complètement exposé. Perdue dans ses pensées lubriques, elle entend à peine Karim passer sa commande, lorsque c’est son tour, elle choisit une simple salade mixte.
Le couple ressort de l’établissement, traverse de nouveau la place en direction de la BM de Karim. Elsa sent bien que son amant s’impatiente, il lui glisse de temps en temps la main au cul, elle remarque bien la bosse qui grossit dans le jean tendu. Galamment son maquereau d’amant ouvre la portière à Elsa, qui a bien du mal à prendre place dans le bolide abaissé.
Karim aime voir sa femelle s’asseoir dans sa voiture, il la voit vainement tortiller du cul pour entrer dans le véhicule sans dévoiler son intimité à la foule qui passe autour d’eux. Il se ravi de voir son berlingot bien lisse, en s’imaginant le défoncer, il sent sa queue gonfler.
Le visage de sa belle salope est juste au niveau de son sexe, il n’a qu’une envie, déballer sa grosse queue, de la fourrer entre les lèvres pulpeuses de cette salope. Mais non, il tient bon, encore un peu de patience, il va bientôt la défoncer comme il se doit.
En s’asseyant dans le bolide, Elsa doit de nouveau exposer sa vulve à la vue de tous ces passants, qui ne manquent pas de la reluquer avec envie. Maintenant assise, elle sent le plug prendre place un peu plus profondément dans son petit trou. Des papillons dans le ventre, elle a la moule aux abois, elle a envie de bonne queue de Karim, elle voudrait se soulager, même se branler pourrait l’aider à éteindre le feu qui brûle dans son ventre. Mais elle tient le coup, elle veut se faire sauter comme une femme amoureuse de son amant.
Karim démarre en trombe et couvre la distance jusqu’à sa garçonnière en très peu de temps. Il se gare dans la cour arrière du bâtiment, sort, ouvre la portière de la belle. Elsa se démène pour s’extirper au mieux de la voiture, le jeune homme l’entraîne dans la pièce où il a l’habitude de prendre du repos.
Le cul encore plein, mal à l’aise sur ses talons, la femme a bien du mal à le suivre. Ils entrent dans une petite pièce simple mais bien chargée. Une table, quelques chaises, un fauteuil en face d’un écran plat.
Ne lâchant toujours pas la main d’Elsa, il se dirige vers la télé, y branche son smartphone, puis va s’asseoir sur le fauteuil à côté de la table, il force Elsa a se mettre à genou entre ses cuisses. Télécommande à la main, il se dégrafe le pantalon, en sort sa grosse queue déjà bien dure.
— Allez ma pute, fait ton office pendant que je mâte tes exploits.
Enfin ! Elsa ne se fait pas prier elle peut finalement avaler la belle bite de son Karim. Elle commence par le caresser de ses doigts fins, puis s’attaque à son gland bien gonflé, le titillant du bout de la langue. Formant un anneau de ses doigts autour du frein, elle aspire son gland dans un bruit de succion.
La bouche déjà bien humide de salive, elle l’avale d’un trait jusqu’à la garde. Les poils pubiens lui chatouillent le nez, elle desserre le doux étau de ses doigts pour lui masser les couilles. Elle aime sentir ses boules se contracter sous ses attouchements, jouer avec pour qu’elles produisent une belle quantité de foutre.
La femme, la queue bien ancrée au fond de la gorge, commence à pomper le vît de chair bien gros bien dur. Elle ferme les yeux, de sa main libre astique le manche, bien lubrifié de salive, en rythme avec son mouvement de tête. Elle adore les « SLURP » bien baveux qui accompagnent chacune de ses pipes.
C’est alors qu’elle entend la vidéo démarrer dans son dos. Elle devine le bruit d’un véhicule en mouvement, comme en écho à la fellation qu’elle prodigue à son amant, elle devine les SLURPS d’une gorge profonde.
— Tu aime vraiment ça chienne. Moi qui te prenait pour une honnête femme fidèle !! Merde !!! Elsa se rend compte que Karim mate la vidéo qu’il a filmée dans la ruelle.
— Eh ben dis moi ma pute, t’es vachement photogénique une bite dans la bouche.
Karim se lève, la queue toujours bien au fond de la gorge de sa pute, tout en maintenant Elsa à genou, la force à soulever la tête. Il lui attrape les poignets, les attachent dans le dos, forçant ainsi la femme à bomber son torse et à pointer ses seins vers l’extérieur. Il lui coince la tête entre ses mains il commence à lui pilonner la gorge dans un SLURK ! SLURK ! UMLFF !! Bien baveux et bien bruyant.
Est-ce que c’est de voir cette femme amoureuse en prise avec ses jeunes à l’écran, le jeune homme s’en donne à cœur joie dans la bouche à pipe d’Elsa. Au bout de quelques minutes à lui ravager la gorge, Karim retire sa grosse bite de la belle bouche pulpeuse, un gros filet de bave dégouline de son membre bien gonflé.
Il attrape Elsa par les poignets, fermement attachés dans son dos, la force à se relever. Aïe ! Les jointures des épaules d’Elsa lui font atrocement mal. Elle se relève, mais son amant la dirige comme il le souhaite grâce à sa clé de bras. Une fois debout, il la retourne, la force à se plier en deux les jambes tendues et bien écartées.
Dans cette position, Elsa sent l’arrière de sa robe se relever pour exposer son cul toujours flanqué de son plug. Karim n’en peut plus, il s’astique la queue bien lubrifiée de bave, la dirige à l’orée du puits d’amour d’Elsa bien ouverte. — HAN ! Ça y est, dans un grand râle de soulagement, il peut enfin se farcir sa pute de maîtresse.
— Oh Oui ! AARRGGUU !!! Vas-y ! Mon chéri !! Baise ta pute, elle en avez envie !!!
Elsa sent la grosse bite lui déformer la vulve lorsqu’il la pénètre violemment. De sa main gauche, il lui tient toujours les deux bras croisés, attachés dans le dos. De sa main droite, il tire sur le nœud qui maintient les deux pans de sa robe. Les seins ainsi libérés de la femme pendent dorénavant sous elle, libres de leur mouvement.
— OUUAIE !! Son amant d’amour vient de lui attraper les cheveux, exagérant encore plus la cambrure de sa pute. Il est prêt, dans cette position, il va pouvoir la tringler comme bon lui semble.
— Tu vas déguster ma vieille !
Comme un étalon en rut, il besogne la femme comme jamais. Elsa sent cette grosse queue entrer et sortir de son puits d’amour avec un rythme et une violence incroyable. Lui, commence à bien transpirer dans cette petite pièce sans climatisation. Les odeurs de sueur et de chatte trempée commence à inonder l’atmosphère.
Il sent qu’il va bientôt exploser à besogner cette salope comme il le fait. Il se dégage alors de la vulve bien élargie par ses coups de bite. En sueur, tout essoufflé, il contraint la femme à s’accroupir sur ses talons. Il attrape l’assiette de salade et l’installe sous le cul écarter d’Elsa.
— Bon il est temps d’assaisonner cette belle salade, tu crois pas ?
Elsa ne comprend pas trop où il veut en venir, mais dans sa position, elle ne peut que subir ce que son amant a prévu pour elle. Ce dernier attrape alors le bijou terminant le rosebud, commence à tirer sur le petit bijou. — OUAAHH !! Elsa n’est pas tout à fait prête lorsqu’il tire dessus, mais elle se ressaisit et commence à pousser d’elle même afin d’ouvrir au mieux sa petite porte.
Dans un petit souffle, l’anus bien ouvert, l’éjaculât se déverse de son cul directement sur la salade. Karim porte alors le plug métallique à la bouche de sa soumise, il le lui fait nettoyer. Elsa, amoureuse et entièrement esclave de sa libido, ne se fait pas prier et avale goulûment la tête du plug. Elle le nettoie, aspire les traces de sperme qui couvre encore l’objet.
— C’est bien ma chienne, régale toi bien de ce foutre ! Le jeu ne fait que commencer.
Il récupère l’assiette contenant la salade maintenant couverte d’une belle dose de sperme, la dépose de nouveau sur la table. Il repositionne Elsa, pliée en deux, les seins pendant dans le vide, il lui cambre de nouveau les reins pour exposer et écarter son cul.
Il présente son gros gland gonflé de sang à l’entrée de sa petite porte dilatée. De sa main droite il lui attrape les cheveux, pose sa main gauche dans le creux de ses reins, pour bien lui cambrer la croupe. Il pousse alors très lentement pour bien profiter du petit trou pourtant bien ouvert. Elsa se régale de sentir cette grosse bite pénétrer son intimité, le conduit est bien lubrifié par les résidus de sperme des trois lycéens.
Karim se délecte, la progression est lente mais tellement agréable. Il profite de cette magnifique pute et lui fait bien sentir sa grosse bite centimètre par centimètre jusqu’à la garde. Cette salope sait y faire, elle lui a ouvert ses sphincters bien lubrifiés. Mais, même si c’est très agréable, elle ne va pas s’en tirer à si bon compte. Une grosse chienne comme elle mérite qu’on lui éclate le cul. Enfin arrivé à la garde, il se penche à son oreille.
— Alors ma pute, ça te plaît de te faire enculer, hein ?
— HUM oui, vas-y comme ça, c’est bon ! HUUUNNNN !
Il n’en faut pas plus pour convaincre, il se retire alors presque entièrement et repart violemment à l’assaut du cul de cette femme.
— HAN ! Tiens salope, prends ça ! HUN HUN HUN
— AARRGGUU !! OOH! MMFFF ! Oui prends moi comme une salope !
Elsa n’en revient pas d’encore jouir sous les coups de bite de son amant. Comment est-ce possible ? Il lui pilonne le cul comme une brute, elle est en train de prendre son pied. Elle resserre un peu sa petite porte pour bien le sentir en elle. — Salope, je vais pas tenir longtemps à ce train là !! La contraction de l’anus autour de sa queue, est une torture pour le jeune homme qui est sur le point d’exploser. Il la bourre d’encore quelques coups de queue, quand la porte s’ouvre sur deux nouveaux arrivants.
Dans sa jouissance, Elsa aperçoit tout juste les deux peintres rencontrés un peu plus tôt. Elle est morte de honte. Mais cette exhibition forcée, alors qu’elle se fait enculer en profondeur par la grosse queue de son amant, décuple sa libido. Elle se sent complètement esclave de son corps, elle voudrait partir en courant, mais ses désirs pervers la retiennent. Son corps lui réclame que ces deux inconnus la voient jouir, qu’ils entendent ses cris de plaisir alors qu’elle se fait défoncer la turbine a chocolat.
Elle hurle son plaisir sous les coups de queue de Karim. Ce dernier lâche ses cheveux, l’attrape à deux mains. Il redouble de violence dans ses coups de rein, il la perfore comme si il pouvait aller encore plus profondément en elle.
Tout à coup il se retire, ne pouvant plus se retenir. Libérée de cette étreinte, les mains toujours attachées dans le dos, haletante, trempée de sueur, Elsa s’accroupit sur ses talons et ouvre la bouche pour recevoir la dose de sperme. Karim répond à l’invitation de sa belle, il lui fait sucer sa bite, couverte de cyprine et du sperme des jeunes lycéens.
— Putain elle est vraiment bonne ta chienne mec ??
— Ouais encore mieux que dans ta tire ! Elle encaisse bien dis donc !!!
Les deux balaises profitent du spectacle. Ils retirent leurs bleus de travail tâchés, ils se retrouvent vite à poil, à astiquer leurs belles queues déjà bien dures. Ils entourent rapidement le duo et descendent à hauteur de la belle accroupie. L’un d’eux commence à jouer avec les seins d’Elsa, alors que son collègue se concentre déjà sur ces puits a jouir bien ouverts. Il lui insère son majeur dans sa grotte et après quelques allers et retours, lui plante le pouce dans le cul.
Alors que les deux nouveaux arrivants s’occupent des seins et des deux puits d’amour d’Elsa, Karim baise sa belle bouche de coups de bite violents, avant de ressortir sa queue et de se masturber au-dessus de l’assiette de salade mixte.
La bite sous le nez, Elsa raffole de cette odeur de bave mélangée au foutre qui s’en dégage. Elle tend la langue pour lui titiller la base du gland, Karim en apprécie la douceur. C’est dans un grand râle de plaisir qu’il éjacule de bonnes doses de sperme frais qui viennent zébrer la surface de la salade.
— Putain mec, tu assaisonnes la salade avec ton sperme ?
Encore haletant, Karim lui confirme que c’est déjà la quatrième dose de nappage. Les deux peintres sont impressionnés des capacités apparentes de la femme. Ils se redressent tous les deux, lui offrent sans plus attendre leur queue. Elsa ne se fait pas prier, toujours accroupie, les jambes bien écartées, les bras toujours attachés dans le dos, la poitrine bien bombée, elle les suce alternativement.
Ils libèrent Elsa de ses liens, la débarrasse de sa robe. Elle se retrouve alors entièrement nue, branlant, suçant ces belles queues, les seins ballants. Leurs bites sont un peu plus grosses que celle de Karim, mais elle arrive tout de même à les avaler chacun en gorge profonde.
Elsa s’applique à leur prodiguer chacun une bonne pipe bruyante et bien baveuse, mais les malabars n’ont pas beaucoup de temps ils veulent rentrer dans le vif du sujet au plus vite. Ils écartent, à regret, leur bite de cette bouche bien chaude. L’un d’eux aide Elsa à se relever, il lui plaque les mains sur la table, alors qu’il la plie en deux pour exposer ses puits encore béants de gourmandise.
Il s’installe derrière elle, la sodomise sans attendre. Sa queue, bien lubrifiée de bave, n’a pas trop de mal à pénétrer par la petite porte toujours bien ouverte de nôtre Elsa.
— OUF ! OOOH !…AAARR….AARGUUU …. Oui REMPLIS MOI… AAH… OOOH !!!
Une fois planté bien au fond de son cul tout chaud, le géant redresse Elsa en l’attrapant par les cheveux. La violence du geste fait rebondir les seins de la femme. Son pote attrape les tétons, les maltraite violemment pour les faire durcir entre ses doigts. L’enculeur relâche les cheveux de la femme, il est toujours bien planté en elle, l’attrape derrière les genoux. Écartant bien les cuisses d’Elsa, il présente sa grotte aux délices bien ouverte à son pote.
Elsa sent son amant la soulever, dans un même mouvement, elle se fait d’éculer. Elle s’attend à ce que celui qui lui maltraite les seins plante sa grosse queue dans son puits d’amour encore peu utilisé. Mais elle est prise de panique lorsque le gros gland s’approche de son anus déjà plein au lieu de sa vulve détrempée.
Elsa est complètement tétanisée, elle est complètement bloquée entre les deux monstres qui s’apprêtent à l’embrocher en cœur dans une double pénétration anale. Le deuxième larron relâche un de ses seins, il attrape sa queue pour la coller à celle de son pote. Ensemble, ils présentent leurs glands démesurément gonflés à l’anus déjà dilaté d’Elsa.
— Non ! NON !! Karim !! Pas ça !!! Dit leur !! Ils sont trop gros ! NON !! ils vont me DEEEERRR !! Sa phrase se perd dans un râle de douleur. — NOONNNN !!!!!
Sans aucun remords, les deux compères pénètrent sans fléchir dans ses reins par la petite porte de derrière. Les cris d’Elsa n’y font rien, la femme est défoncée par ses deux boudins bien durs. Une fois le gland passé, ils laissent la pesanteur jouer son rôle, Elsa, qui essaye de se détendre un maximum, s’empale seule dans une plainte lancinante sur l’effroyable double pieu.
Elsa sent son cul la brûler, tellement il se dilate sous la pression des deux grosses queues. Elle pleure, elle est en nage, elle essaye de se dégager, mais sa position ne lui permet pas de se relever. Elle est obligée de s’empaler sur ses deux enculeurs de gros calibre.
Les deux peintres sentent les chaires de la femme ce dilater autour de leurs sexes. Ils sont aux anges, peu de femmes ont fait les frais d’un tel calibre en pénétration anale. Mais ils ont l’habitude, ils la laissent descendre sous son propre poids. Ça y est, elle est complètement empalée, ils vont pouvoir la limer comme il se doit. Les putes du calibre d’Elsa ne méritent pas mieux qu’une bonne double sodomie.
Elsa ne peut pas descendre plus bas, elle est au taquet. Le mec de derrière laisse son pote lui attraper les jambes, ainsi il peut enfin s’amuser avec ses seins. C’est l’enculeur de devant qui donne la mesure. Il écarte bien les belles cuisses d’Elsa, il commence à limer le rectum bien dilaté. C’est une torture pour la femme qui a l’impression qu’on lui déchire le cul. Elle cri, elle sanglote, son maquillage coule le long de ses joues. Elle regard son maquereau d’amant d’un regard de suppliciée.
Elsa tente de prendre appui sur l’enculeur de devant en s’accrochant à son cou. Elle pousse un peu plus, détend ses sphincters au maximum, ce qui soulage un peu sa douleur. Elle commence à mieux encaisser ce duo de bites dans son cul. Les deux phénomènes commence à la tringler avec plus d’aisance, Elsa commence même à apprécier le traitement qu’elle subit.
— AARRGGHHFF… OOOH… AIE… C’est gros !! OOH… OUIIII… GROOOS… OUIII !!!!!
Karim se régale de ce spectacle, il observe sa pute commencer à s’adapter aux gros calibres qui lui transpercent l’anus. C’est de bonne augure pour la suite qu’il lui réserve.
Elle commence à aimer se faire défoncer, elle a l’impression de se prendre la grosse bite de Samir dans l’anus. Karim de son côté ne manque pas une miette de la scène qu’il filme sous plusieurs angles. Il glisse une main vers le pubis imberbe de sa salope de maîtresse, il lui masse le clito. La soumise réagit immédiatement en se mordant la lèvre inférieure.
Il aventure un doigt, puis deux, dans la grotte humide. — OH OUIIIII !!!! Elsa hurle de plaisir, ça y est elle peut se lâcher, ses deux puits sont de nouveau pleins, elle penche la tête en arrière, prend appui sur son amant de derrière dans son extase. Les deux brutes accélèrent le mouvement, ils lui défoncent bien l’anus. Ce traitement dure plusieurs minutes, de vrais instants de plaisir aussi bien pour Elsa que pour ses deux amants d’un instant. En quelques va-et-vient ils trouvent la bonne cadence, délicieusement coincée entre ses deux amants elle n’a aucuns efforts à produire
Des bruits inconvenants sont crées par l’air absorbé puis refoulé par les cylindres de chair, la femme pousse de feulements de bête.
A bout, les deux colosses ce libèrent dans son ventre, il ne lui en faut pas plus pour décoller, les orgasmes se succèdent puis, ils déposent Elsa épuisée à genou sur le sol.
Elsa est de nouveau esclave de ses sens, elle toise ses deux tortionnaires, traie leurs bites ramollissantes pour en extraire les dernières gouttes de foutre. A genou, les reins bien cambrés pour faire ressortir sa belle croupe et ses seins, elle attise le feu, d’un regard coquin vers Karim, elle l’invite à filmer son cul dont elle écarte bien les lobes.
Karim fait un mouvement de scrolling, passe du regard pervers, dégoulinant de coulures de mascara de la femme à son cul. Il peut constater l’étendu des dégâts, la petite porte est complètement dégondées, elle était bien fermée au début de la séance, elle forme maintenant une entrée béante. Elsa y insère son majeur comme tester la profondeur de l’ouverture.
Elle retire son majeur de son cul et le nettoie lançant un regard gourmand à la caméra, comme pour signaler qu’elle n’en a pas encore eu assez. — Elle est devenu une vraie accro au cul, putain ! S’écrit Karim
Devant ce spectacle, les deux enculeurs et Karim dont les bites sont encore bien lubrifiées, reprennent de la vigueur, se masturbent devant la pute de complaisance. Il ne leur faut pas très longtemps pour jouir de nouveau trois petites éjaculations supplémentaires qui terminent directement dans le gosier d’Elsa.
Repue, brisée, couverte de sueur, le cul en feu, le ventre plein de foutre, elle avale ce dernier flot de sperme bien gluant et bien chaud. Enfin, elle regarde ses deux enculeurs se rhabiller et prendre congé de leur hôte, mimant une petite moue déçue, un doigt sur la bouche et un autre tortillant une mèche de cheveux. D’une certaine manière, Elsa est déçue de voir partir ses enculeurs. Elle n’a jamais encaissé un tel calibre dans son cul qui la brûle terriblement tellement ils l’ont dilaté. Mais, une fois bien adaptée à leur taille, elle a adorée sentir leurs queues en elle.
Son mari rentre demain, elle doit rentrée à la maison a son grand regret, Karim raccompagne sa maîtresse dans sa voiture de luxe.
Chap 11
A peine a-t il arrêté la voiture devant la porte du sous-sol de la maison, que reprenant ses esprits elle remet de l’ordre dans sa tenue, elle s’empresse de se réajuster. Durant le court trajet, Karim n’a pas arrêté de la tripoter. Elle lui demande d’être discret, elle craint que les voisins les aperçoivent. Les joies de la vie à la campagne, chacun épie l’autre.
Elsa ne veut plus qu’il y ai d’autre hommes dans leur relation charnel. C’est vrai qu’elle a eu d’énormes orgasmes inoubliables, quand il y a eu Samir et Omar. Elle n’éprouve pas de remords à s’être donner aussi bestialement à tous ses hommes. Mais elle met plus d’une semaine a s’en remettre physiquement. Elle a pour la première fois de refuser de faire son devoir conjugal.
À chaque rencontre, elle lui rappelle, qu’elle ne veut que lui, qu’elle aime faire l’amour qu’avec lui, elle se dit, c’est la dernière fois, mais à chaque fois qu’il lui donne rendez-vous, elle accoure.
Son mari ne peut pas comprendre pourquoi elle a autant changée, il ne sait pas qu’elle est sous l’influence dominante de Karim. Elle s’habille sans rien sous ses jupes plus courtes qu’avant.
Elle domine son mari a la maison mais elle est soumise à un autre.
Elle voudrait cesser tout relation avec son amant mais une fois de plus, il l’appelle et malgré son désir de rompre elle répond.
— Allô !! Ma belle tu vient ce soir devant le petit bistrot à la pipe d’or à dix huit heures !
— Tu mettras la rouge, avec tes hauts talons rouges, OK !
— Oui, mon chéri je t’attendrais là bas, OK !
Karim est intransigeant sur ses tenues, elle doit ressembler à ce qu’il aime dit-il, une salope, une pute. Sa tenue doit être courte pour voir ses bas, son porte jarretelle et aussi voir que sa chatte lisse est bien nue.
Une fois de plus elle obéit à son amant, elle part a ce bistrot ou il l’a déjà fait déjà venir, c’est un coin glauque avec des mecs bizarres. Elsa n’aime pas aller dans ce coin, Karim le sait en plus avec la jupe et les talons elle est parfaite pour passer pour une pute.
Quand Elsa arrive à dix huit heures précis, Karim n’est pas là, pas rassurée elle se recule dans un coin pour l’attendre, la nuit commence à tomber. Des hommes qui viennent au bistrot l’accostent, ils pensent qu’elle est une prostituée. Elle se fait insulter quand elle leur dit qu’elle attend quelqu’un. Certain la touche, elle prend des mains au cul, d’autre veulent soulever sa jupe. Et ce Karim qui ne vient pas ?? Ça fait trente minutes qu’elle lutte, mais les hommes sont de plus en plus insistants. Pour eux il n’y a pas de doute, elle est une pute et ils ne comprennent pas son refus.
Merde son amant exagère à la faire poireauté ainsi, mais elle lui obéit comme toujours, elle garde sa position. Deux mecs la tripotent quand il y en a un qui passe la main sous ma jupe et qu’il sent qu’elle n’attend que ça la pute. Elsa a déjà des doigts dans sa grotte et dans son anus, elle se débat un peu, mais ils ont raison, elle aime ça, ils l’ont excitée avec leur tripotage, sans vraiment s’en rendre contre, un peu contre son agrément, elle se retrouve empaler contre le mur sur la bite d’un inconnu. Karim a raison, elle n’ai qu’une pute, c’est sûrement pour ça qu’elle ce retrouve toujours avec une pine en elle.
Elsa sent un orgasme monter au grand galop, elle va jouir de ce viol consenti, le mec jouit dans son ventre, elle aime ça, son orgasme éclate. Elle est dans les lymphes de son orgasme quand !! Il la repose à terre. L’autre la prend, la retourne, ses mains s’agrippent dans les joints de pierre du mur. Il lui enduit le cul du sperme qui lui coule entre les cuisses, il l’encule comme ça d’un coup. Encore dans les lymphes de son orgasme, elle crie : — OH !! Oui, vas-y, défonce-moi !! Il l’insulte, elle sent qu’elle devient une vraie pute, mais elle n’y peut rien, elle découvre qu’elle aime ça. Il fait complètement nuit, juste la lueur d’un réverbère lointain éclaire. Elsa ne peut même pas distinguer le visage des hommes, mais elle voit qu’il n’y en a plus deux mais cinq ou six ou plus. Ils assistent à son enculage et elle !!!
Nôtre Elsa jouit comme une chienne au milieu de la meute. Quel bonheur. Elsa aime cette brutalité, elle se plie à ses pulsions. Finalement, plus d’une dizaine de mecs la baisent par tous les trous, ils la prennent même a deux en sandwich plusieurs fois. Voyant que plus elle en prend des coups de bites, plus elle en redemande, ils ameutent les types dans le bistrot, tous ceux qui veulent vider leurs couilles profitant de la situation. C’est fini, assommée par le plaisir qu’il lui faut un bon quart d’heures pour récupérer. Quand elle quitte les lieux, elle marche comme une femme ivre. Le jus des hommes s’écoule le long de ses fesses et de ses cuisses. Jamais elle ne c’est fait autant baisée en si peu de temps. Elle se demande si elle ne va pas se réveiller.
Elsa c’est fait défoncer pendant plus de deux heures, quand a Karim il n’est jamais venu mais elle a appris plus tard qu’un complice à lui a filmée l’intégralité de ses ébats.
Elsa rentre à la maison vers vingt deux heures trente, elle se fait couler un bain et se frotte partout. elle se rince avec la douche car le bain est plein de sperme. Ça ne se dilue pas dans l’eau le sperme et sa colle à la peau. Elle a racontée une histoire à son mari. Elle ne lui a pas dit que plus de vingt hommes ont profité de sont corps en lui faisant prendre un pied d’enfer.
Le lendemain Karim l’appelle, il lui envoie un extrait de l’enregistrement sur son ordinateur. Bien que l’endroit soit sombre, son visage apparaît très bien. Il lui donne un site où elle peut ce voir en lui disant que pour le moment, son copain Jude a diffusé que des scènes ou son visage ne se voit pas, mais que si elle désobéit, prochainement il diffusera des séances biens nets ou l’on voit bien sa gueule de pute comme il l’appelle.
Elsa a eu une bonne leçon au coin du bistrot à la pipe d’or, Karim son salaud d’amant l’a bien pigée sans même venir. Il a fait d’elle une prostituée ce jour la, il a réussi a lui prouvée qu’elle peut être une vraie petite pute.
Depuis qu’il ce connaisse, il lui dit presque ça, qu’il veut faire d’elle sa petite pute. Pour lui faire plaisir Elsa joue à la bourgeoise offusquée qui ne veut pas, qui refuse mais qui est forcée par un amant pervers. Elle lui dit qu’elle est une femme mariée et non une pute comme il veut qu’elle soit, mais en vérité elle jubile chaque fois que Karim la traite comme une pute et elle en redemande, elle joue ce rôle avec grand plaisir.
Quand Karim la rappelle son cœur bat très fort, avec un peu moins d’amour mais un peu encore. Avec lui c’est une drôle d’histoire d’amour, un amour bien cochon ou se mélange peur, humiliation, soumission, orgies, jouissance, orgasme de très gros orgasme. Elle vit des choses qu’elle n’aurait jamais imaginées, elle se fourvoie dans la luxure, et la débauche. Karim la domine et il profite de son amour comme prétexte pour la déculpabiliser de sa conduite lamentable.
Elsa ce persuade que ça vient que de son amant, qu’elle subit sa perversité, sa domination, il est plus facile de dire que c’est son amant qui la force, plutôt que d’avouer qu’elle aime se faire baiser comme une pute. Cette situation lui convient bien, elle a trouvée une bonne excuse avec Karim pour ne pas reconnaître qu’au fond elle est une vraie salope.
Les scénarios organisés par Karim ou il la transforme en pute lui plaisent malgré ce qu’elle peut dire Mais depuis le coup du bistrot, un nouvel intervenant vient de rentrer dans le jeu. C’est ce type qui a tout filmé, ce dénommé Jude, maître chanteur qui la menace de diffuser en intégralité cette vidéo où elle se fait prendre par tous ces mecs au coin du bistrot.
Karim lui l’a mis dans les pattes et l’a avertie qu’il est terrible et redoutable, qu’il est capable de tout et qu’il fait ce qu’il dit. Son maquereau d’amant lui a vendu tous les renseignements sur Elsa, adresse, mail, tel situation familiale, habitude, etc. Enfin il sait tout de Elsa mais elle, elle ne sait rien de lui, même pas quelle tête il a, c’est un fantôme qui lui fait peur. Il lui écrit des insultes, des menaces, il lui fait comprendre qu’elle est dorénavant à sa merci, elle se demande toujours s’il n’est pas derrière elle, mais comme elle ne l’a jamais, vu elle a encore plus peur. Il lui a dit qu’il va venir bientôt chez elle pour la baiser dans son lit conjugal. Il lui a dit aussi qu’après ça il viendra avec des copains un soir quand mon mari sera là et qu’ils vont la violer ainsi que sa lopette de mari.
Elsa supplie Karim pour qu’il arrête ce fou furieux, mais son amant lui a répondu qu’il ne peut rien faire. Un matin elle reçoit un appel qui dit :
Bonjour Elsa, c’est Jude ! Prépare-toi salope, j’arrive ! Je veux que tu ressembles à une pute. Maquillage, Talon, Bas, porte jarretelle et nuisette courte et transparente, tu m’ouvrira la porte comme ça, je suis chez toi dans trente minutes t’as intérêt à être prête salope !
Il raccroche sans attendre sa réponse, de toute façon, elle est incapable de répondre. Elsa laisse tomber le ménage et monte se parer conformément à demande de cet homme qu’elle ne connaît même pas. Elle a bien compris qu’elle doit obéir, que c’est un ordre, sa voix est ferme, autoritaire, elle l’impressionne. La situation est bizarre, elle a peur mais elle est aussi très excitée, ce faire baiser chez elle, dans son lit par un type qu’elle n’a jamais vu et qui la considère comme une pute ce n’est pas banale.
La sonnette retentit, la peur au ventre Elsa ouvre la porte et découvre le macho dans toute sa splendeur. Il la regarde de haut en bas et lui dit, très bien, tu es bien obéissante, Karim me l’a dit que tu es une bonne pute bien soumise. Il rentre dans la maison, se dirige au salon où il s’installe dans le canapé. Elsa reste là debout comme une statue habillée en putain planté au milieu la pièce. A travers sa nuisette il peut voir sa nudité, ses beaux seins, il lui dit d’approcher et de tourner pour qu’il puisse bien voir. La peur c’est dissipée, elle n’a plus que le désir de bien jouer son rôle de putain et de le satisfaire. Il lui ordonne d’un ton ferme de lui donner à boire, elle lui propose diverses boissons puis elle le sert.
Pendant qu’il sirote son verre il lui dit de marcher, des allées et retours dans le salon. — Stop !! Tu ressembles bien a une pute, mais tu n’as pas la démarche, croise un peu plus les pieds, roule du cul, tu dois te perfectionner et marcher comme les tapineuses. Elsa écoute ces paroles et s’applique à marcher comme il le veut. — Voilà, c’est bien !!! Je veux que tu t’habituer à marcher comme ça, continue. Elle déambule devant lui, gauche droite, roulé du cul une main sur la hanche, lui s’est resservi un verre.
— Allez, c’est bien !! Désormais force toi à adopter cette démarche tu as compris ? Elle doit devenir plus naturelle ! Tu dois te forcer pour le moment, mais tu verras ce déhanché deviendra naturel.
— Mais pour le moment montre-moi ta chambre de pute !! Ce ton autoritaire et ses mots la font frissonner, elle trouve Jude encore plus dominateur que Karim, elle se sent totalement soumise.
C’est la première fois qu’elle accepte un autre homme que son amant à venir dans sa chambre conjugale, mais avec Jude, elle sent qu’elle ne doit pas discuter et obéir. Elsa lui montre le chemin en s’appliquant à rouler du cul devant lui comme il le veut.
Cet homme la fait mouiller rein que quand il lui parle, mais en plus, il est beau et fort. Il est aussi bien membré et puissant, il sait s’occuper d’une femme, il sait comment bien utiliser sa queue pour la garder en érection, il l’a fait jouir plusieurs fois à la suite.
C’est un spécialiste du sexe ce type, il l’a laissé morte de plaisir sur son lit, elle a eu des orgasmes comme elle n’a jamais eu avec Karim, ou avec son mari. — Tu sais que je t’ai filmée près du bistrot !! — Avec ce film, je suis le propriétaire de ton corps, de ta chatte, de ton cul, de tes seins ! Tu me comprends bien ?
— On doit pouvoir te baiser par tous les trous ! Maintenant tu vas apprendre à bien sucer, Une pute doit bien savoir sucer, je veux que tu deviennes une bonne et dévouée pute pour moi, d’accord ?
— Oui Monsieur Jude, je le veux bien ! Répond hâtivement Elsa.
— En premier lieu, tu dois malaxer les couilles du mâle d’une main pour le faire bander encore plus fort… bien lui lustrer le gland, sucer les couilles en y mettant de la salive et y aller petit à petit… Ensuite tu le suces longtemps et bien fort pour qu’il rentre bien dans ta bouche, tu dois le prendre entièrement dans ta gorge goulûment… et tu baves bien sur sa bite pour encore la lustrer…
— Et s’il te bloque la tête, tu auras mal, c’est normal, tu es son jouet, mais cela veut aussi dire qu’il veut jouir au fond de ton gosier, laisse le venir, ouvre ta bouche, le plus grand possible… qu’il puisse venir gicler au fond, de ta gorge.
– Lorsqu’il a joui, tu dois finir de bien lui nettoyer la queue et avaler tout le sperme pour ne pas laisser de gouttes… nettoie lui bien le gland et avale tout, cela excite énormément un homme après s’être fait sucer de voir sa partenaire boire tout son sperme comme une salope… – Une pute doit savoir sucer une queue bien à fond, les hommes aiment éjaculer directement dans l’estomac de leur suceuse. – Ça c’est la première leçon, il y en aura d’autres.
Nôtre Elsa n’a jamais eu de flirt depuis son mariage, son premier amant est Karim, il lui a fait découvrir ce qu’est la baise à un ou à plusieurs et avoir de l’orgasme presque à chaque fois, mais cette fois elle fait le grand saut dans la soumission poussée par son amant. Jude vient de lui dire et dans la situation ou elle ce trouve, qu’elle soit consentante ou non, elle doit s’y soumettre car l’homme ne voit pas d’autres solutions pour elle.
Avant de partir, il lui a dit qu’il va s’occuper d’elle pour affiner sa formation de pute soumise, il lui a dit que Karim lui a demandé de la prendre en main !! Nôtre pauvre Elsa n’a rien compris sur le coup. Elle ne sait pas que Karim l’a vendu a Jude pour plusieurs mois.
Chap 12
Ding-Dong.
— Oui j’arrive, juste un instant.
Elsa va ouvrir la porte pensant à une livraison quelconque, mais quelle n’est pas sa surprise, Jude est là devant elle, toujours aussi beau au point que ses jambes se sont mises à trembloter.
C’est la gorge sèche qu’elle réussit à balbutier :
— Bon… bonjour, tu… Vous êtes là ?
— Cela ne te fait pas plaisir de me voir ?
— Si, bien sur mais… Je croyais que…
— Et bien tu me laisse entrer ?
— Oui, vous voulez un petit café ?
— Non merci ! Il lui colle une main aux fesses pour la pousser vers l’intérieur, sans se soucier si quelqu’un aurait pu les voir, il referme la porte et l’a plaqué contre le mur pour l’embrasser à pleine bouche.
Ses mains ne restent pas inactives car elles parcourent déjà son corps en passant sous sa robe qu’il a relevé très facilement.
— C’est bien, je vois que tu es toujours bien disposée.
Elsa n’ose rien dire, trop heureuse de sa présence, elle savoure le moment.
Sa main passe doucement sur son ventre en lui procurant d’agréables frisons, puis il la glisse plus bas, et encore plus bas pour venir lui caresser la vulve.
Il semble surpris et lui chuchote à l’oreille.
— Hum… Je constate que tu cherche à me satisfaire.
— Vous aimez ?
— Qui n’aimerait pas ? Personne ne peut rester insensible à tes charmes.
Elsa est de nouveau en transe, telle ces gamines qui rencontrent leur premier amour, son cœur battait fort et sa respiration s’accélère.
Elle a déjà oublié qu’il l’a fait languir. Le salaud il sait y faire avec les femmes car là c’est elle qui n’en peut plus, lui est comme d’habitude, sur de lui et fier de sa conquête, de sa possession.
Il a maintenant la garantie qu’elle lui appartient corps et âme, qu’il peut partir et revenir à sa guise et qu’elle sera toujours là pour son bon plaisir.
Son bassin ondule sous sa caresse cherchant à approfondir le contact de sa main sur son sexe, elle tortille pour espérer un doigt dans sa fente qui bave déjà.
Comme si il avait entendu son supplice, d’un doigt agile il écarte ses lèvres et s’y glisse pour lui malaxer le bouton, déclenchant ces fameuses petites décharges électriques dont raffoles les femmes.
— Tu aime çà ?
— Alors… J’ai rien entendu ?
— Oui… J’aime… Ne t’arrête pas s’il te plaît.
Mais le salaud a fait tout le contraire, il stoppe sa caresse pour venir lui saisir la gorge tout en lui pelotant les fesses de son autre main, il approche son visage du sien et lui dit :
— Tout dépend de toi et de ton obéissance.
— Tu obtient déjà tout de moi, que veux tu de plus ?
Comme pour l’amadouer, il repose sa main sur sa chatte et fait vibrer ses doigts sur son clito lui provoquant des vagues de plaisir, elle avance aussitôt son bassin en écartant au maximum ses cuisses pour se frotter contre sa main.
— Doucement, tu es trop pressé, l’impatience est un vilain défaut, si tu continue comme cela il va falloir que je te punisse.
Sa main posé sur sa fesse se décolle et la claque assez durement, puis elle recommence encore plus fort propageant le bruit dans toute la maison.
— Aïe ?? Çà fait mal, je t’en prie.
Pour toute réponse il la pénètre brutalement avec deux doigts tout en appuyant fortement son pouce sur son clitoris, lui serre fort la fesse pour lui asséner de nouveau une tape très intense qu’il a répétée plusieurs fois pendant qu’il la lime avec ses doigts et lui branle le clito.
— Et comme ça, vous tu supporte mieux la douleur ?
Il lui prodigue un savant mélange de douleur et de plaisir ce qui rend la fessée plus que supportable voir même agréable, c’est avec les yeux clos qu’elle laisse la jouissance monter en elle.
— Hum… Oui… T’arrête pas… Oui… Plus fort.
— C’est bon, hein… Tu aime ça les fessées ?
— Oui… Oh oui… C’est bon
C’est vrai que c’est bon, mais c’est plus cérébral que physique, le plaisir concentré sur le vagin est constant et monte très rapidement alors que la douleur sur les fesses est ponctuelle et vient refroidir la monté du plaisir, tout cela permet d’atteindre un plaisir très intense et de le faire duré indéfiniment.
Sans la douleur Elsa aurait déjà joui depuis longtemps, mais là non, elle a l’impression de jouir en permanence entre chaque fessée la jouissance repart de plus belle à lui en faire trembler les jambes et juste avant l’explosion fatale il lui assène une nouvelle claque brutale qui fait retomber l’extase.
Elsa est en transe et lui continue à l’envoûter de mots crus.
— Tu es trempé comme une petite pute, on dirait que tu aime çà…
— Tu veut que j’arrête ?
— Non… Hum… Oui continue, je t’en prie
— Alors tu va être très, très obéissante, n’est-ce pas ?
— Hum… Oui… Tout ce que Tu veux ? Oui…
— Alors, tu vas nous invitez chez toi, Karim et moi, pour nous présenter ton mari.
A-telle bien compris, l’esprit embrumé par les vagues de plaisir elle n’a pas saisie du premier coût.
— Hein… Oui… Tu veux quoi ?
— Tu a bien compris ce que je veux.
En même temps qu’il lui parle ses mains redoublent dans le labeur pour ne pas ralentir la cadence, il la maintient au bord de la jouissance.
Mais une mince lueur de lucidité permet à Elsa de dire timidement :
— Hum… Non… Ce n’est pas bien… Hum… Je ne peux pas…
— Ne discute pas, tu dois obéir un point c’est tout.
— Non…Pas ici ?? Pas avec mon mari… Jude ! Je t’en prie…
Il redouble d’efforts pour la faire jouir, il enfile maintenant plusieurs doigts dans sa grotte avec de rapides vas et vient qui la font couiner comme une pucelle.
— Alors je n’ai rien entendu ?
— hum, oui… Oui… Tout ce que Tu veux mon amour…
— Quoi ?
— Oui… A la maison… Avec mon mari… Oui…
Soudain la main qui claque s’arrête net et il la glisse entre ses fesses jusqu’à poser ses doigts sur sa rosette toute chaude, il glisse encore plus bas pour récupérer de la mouille baveuse et lubrifier la petite porte de son ventre qui s’ouvre déjà.
Tout en la branlant il appuie fermement un doigt sur la corolle impudique, sans avoir à trop forcer la cavité s’est ouverte pour engouffrer un, puis deux doigts qui cadencent aussitôt un vas et vient sur ceux qui la pénètrent devant.
Sensation exquise que cette pénétration simultanée de ses deux orifices, les doigts coulissent facilement dans chaque trou tellement ils sont lubrifiés.
— Alors que vas tu faire ?
— Hum… Vous invitez… A !! AA !! La maison… Pour mon… Mon mari
— Voilà, c’est bien on y arrive.
Il accélère la cadence de part et d’autre avec maintenant quatre doigts qui lui pourfendent la moule et trois autres qui l’enculent brutalement.
Elsa ne tient presque plus sur ses jambes tellement c’est bon, écartant le plus possible ses cuisses pour lui faciliter la tache, elle se sent écartelée et fouillée de toute parts, elle a même cherché son visage pour lui sucer la langue.
Il a répondu à son baissé baveux, langue contre langue ils mélangent leur salives comme deux affamés.
— OUIII… C’est bon… Tu me rend… folle !!
— C’est bon de se faire mettre comme une pute ?
—OOH! Oui… Oui, c’est trop bon… Faite moi jouir… Je t’en prie.
— Ok pour cette fois, mais si tu me contrarie encore…
— Non, je… Ferais… Plus… Hum…
— Alors tient ma belle régale toi.
Soudain il coordonne les mouvements de ses deux mains pour que les pénétrations soient simultanés dans les deux cavités, les doigts pénètrent et ressortent en même temps de chaque coté lui élargissant les chairs plus que nature.
Les sensations ce sont décuplé, douleur intense et vive que masque immédiatement les vagues de plaisir dévastatrices, il force la cadence et tape de plus en plus fort contre ses organes libérant des flots de cyprine à chaque nouvelle pénétration.
Elsa entend les bruits avilissants de sa mouille qui trahissent son état, ce qui rend la scène encore plus perverse et participe largement à la monter de sa jouissance.
Tout en l’embrassant et lui pilonnant les parties intimes, il lui dit :
— Ne te retient pas, jouis ma salope, ma pute.
Ses jambes flageolent sous les vagues de plaisir, Elsa a perdue toute notion du temps et de la réalité pour ce concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir.
Elle est venue cette putain de jouissance, puissante et dévastatrice, elle jouit du cul et de la moule en même temps, inondée par des flots de vibrations qui l’ont presque fait perdre connaissance, elle a joui intensément pendant plusieurs minutes c’est physiquement épuisant.
— Et bien, heureusement que j’étais là pour te retenir, tu ne fait pas semblant.
Cherchant à reprendre son souffle et ses esprits, elle se suis blottie contre lui en le tenant par le coup.
— Avec ce que tu me fait subir, tu es cruel avec moi.
— Si c’est cela la cruauté il me semble que tu aime çà, non ?
— Suis-je normale de jouir autant et si facilement ?
— Je te rassure toute à fait normale, mais tu n’a encore rien vu car je compte bien utiliser tout ton potentiel et crois moi, il y en a.
Reprenant doucement ses esprits, Elsa prend consciente de leur discussion pendant qu’il la fait jouir, son cœur s’est mit à battre plus fort et d’une voix presque timide elle lui demande :
— Tout a l’heure tu étais sérieux… Pour la maison et mon mari ?
— Tu doute de moi, bien sur que c’est sérieux, pervers mais sérieux.
— Mais je ne peux pas, comprend moi ?? C’est difficile, comment ?
— Le comment ne m’importe pas, c’est à toi de faire ce qu’il faut, je gérerais le reste.
Je te donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière.
Elsa est encore nue lorsque il a ouvert la porte pour repartir sans ce soucié si quelqu’un dans la rue peut la voir, un claquement de portière et elle entend sa voiture s’éloigner.
Elsa est restée là, seule pensant à comment elle va bien pouvoir ce sortir de cette situation, inviter ses deux amants ici chez elle et leur présenter son mari, mais ils sont vraiment fous, c’est tout simplement impensable.
Et puis qu’est-que cela peut bien leur apporter, où veulent ils en venir, connaître son mari pour quoi faire ?
Maintenant qu’elle n’est plus sous l’emprise du plaisir sa conscience reprend sa lucidité naturelle et elle est capable de mesurer les dangers d’une telle soirée il lui est donc impossible d’accepter leur volonté, il faut bien qu’ils le comprennent.
C’est avec cette idée rassurante qu’elle vaque à ses occupations ménagères, déterminé à leur faire entendre raison, le plaisir oui mais pas avec des risques inconsidérés.
Elsa a une semaine pour annoncer à Jude son refus, mais à la fin de l’après midi elle est de nouveau en manque.
D’un autre coté si elle lui annonce trop vite son refus, il se mettra peut être en colère et il lui semble que sur ce point elle ne veut pas courir ce risque.
Il faut qu’elle trouve une excuse valable afin qu’il comprenne que sa demande est déraisonnable et impossible à tenir.
Sam Botte
La fin mercredi prochain
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