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Histoire longue : Elle va devenir une Kahba Première partie

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Je vais vous conter la descente vertigineuse dans le fange d’une bonne mère de famille, délaissée par son mari. Nous sommes dans un temps ou il n’y a pas de problème d’infestation du H I V et autre virus sexuellement transmissible.
Elsa vient d’avoir quarante six ans, tout le monde lui dit qu’elle en fait bien dix de moins. Mais, Elsa en doute, comme elle a toujours douté d’elle. Mariée il y a vingts sept ans à Jean, de deux ans son aîné. Cadre supérieur partant tôt le matin et rentrant tard le soir, son époux, s’il ne la baise guère, lui évite de travailler. Ils ont eu deux enfants très jeunes, ils ont abandonnés le domicile familiale pour aller vivre aux États-Unis ce qui permet à Elsa de consacrer ses journées à son bon plaisir.

Cependant, elle dissimule son manque de câlin physique, ne cherchant aucunement à se fâcher avec celui qui est censé être l’homme de sa vie.
Disposant de beaucoup de temps pour réfléchir sur sa situation, Elsa en vient un jour à se dire que sa vie sexuelle pourrait être mieux que ça. Le cul soigneusement affermi et rebondi par six heures hebdomadaires de fitness, la taille fine, les seins saillants, elle se sait encore désirable et ne veut pas gâcher les dernières heures de sa jeunesse dans les étreintes de son mari qui sont très rares, expéditives et pour tout dire pathétiques. Le problème est que dans son entourage, fort bourgeois, ne comporte aucun amant potentiel.
Profitant d’un déplacement de Jean à l’étranger, Elsa s’habille légèrement. En ce lundi, vers Vingt heures, Karim sonne chez Jean et Elsa. Elle lui ouvre, elle est en robe courte.
— Bonsoir, je suis un collègue de Jean et je viens pour voir la vieille deux chevaux qu’il veut vendre. Je sais qu’il est en déplacement, mais il est au courant et il ne voit pas d’inconvénients à ce que je la regarde. Paraît qu’elle a un soucis mécanique et je pense pouvoir y remédier…
Elsa est un peu surprise, car Jean ne lui a rien dit. Mais, ils ne se voient pas trop dans la journée et il se peut qu’il a oublié de lui signaler qu’un beau mec allait venir voir la voiture.
— Bon ?? Je ne savais pas, mais suivez moi, je vais vous ouvrir le garage…

Karim profite de l’occasion pour reluquer le splendide cul de cette jolie femme… Une fois dans le garage, il se concentre sur l’engin et est heureux de constater que Elsa se tient debout, assez près de lui. Il en profite pour s’allonger, sous prétexte de bricoler le pot d’échappement, pour jeter un œil sous la robe un peu courte. Un petit bout de tissus noir confirme la présence d’une culotte ! Malin et fidèle à son plan, il se salit les mains et lorsqu’il se relève il lui dit :
— Je verrais ça avec Jean quand il rentrera, mais il se peut que je la répare, pour la lui acheter… Pourrais-je me laver les mains ?
— Bien sûr… Venez dans la salle de bain…
Tu m’étonnes, qu’il va la suivre ! Une fois dans la pièce, il se lave les mains tout en jetant un œil sur les lieux. Une nuisette indique que la femme dort en tenue légère.
Elsa doit avouer que son regard l’a troublé, profond et insistant, parcourant lentement son corps et malgré que cela n’ai duré que quelques secondes, cela a suffit à la faire rougir avec même une légère panique naissante. Elle cherche à se donner une certaine contenance, mais son esprit se concentre bien plus sur le regard que l’homme porte sur elle, de son regard appuyé sur les formes de son corps et sur sa tenue. — Vous a-t-on déjà dit que vous avez un corps magnifique ?
Elsa est estomaquée par la réflexion. Ce type est du genre direct… Elle a constaté qu’il est musclé elle le trouve tentant ! Mais elle est mariée et mère de famille !!! Elle le voit, comme dans un rêve, souriant et sûr de lui, s’approcher d’elle et lui mettre la main aux fesses. À ce moment, même elle aurait dû lui retourner une paire de gifles.
Pourquoi, est-ce qu’elle s’entend dire ?
— Merci.
Ce « merci » doit lui faire croire que tout lui est permis, car une main s’est glissée sous la robe jusqu’à venir frôler le fin tissu de sa lingerie intime, ultime rempart pouvant protéger son intimité. C’est à ce moment que le téléphone sonne :
— Je dois répondre………..
— Allô ? (C’est son mari il téléphone quelquefois le soir quand il est en déplacement)
— Bonsoir mon chéri
………
— Oui ça va bien et toi ?
…….
— Non je ne fais rien de spécial, je suis seule à la maison  !

Elle vient de se rendre compte de ce qu’elle vient de dire « seule à la maison » alors que Karim est dans la pièce derrière elle. Elle ce retourne il a sur son visage un petit sourire pervers et lui fait un clin d’œil. Elle continue de parler de tout et de rien au téléphone pendant que Karim tourne en rond dans la pièce puis il vient derrière elle, se penche pour mettre une main sur le téléphone et lui murmurer doucement à l’oreille : — Comme cela tu es toute seule à la maison ma chérie, c’est pas bien de mentir !! Il continue en l’enlaçant et l’embrasse dans le cou.

Elle essaye avec sa main libre de le repousser mais il passe sa main autour de son ventre et la serre fort contre lui. Elle sent une bosse contre ses fesses ? Ce salaud bande en l’a maintenant contre lui.
Elle ne sait pas comment réagir, elle voudrait crier mais bizarrement elle ne le fait pas et elle doit avouer qu’au fond d’elle cette situation commence à lui faire de l’effet…. Ses sentiments s’affolent, une envie de le laisser faire, de laisser le plaisir l’a submerger mais aussi peur des conséquences Elle tremble et se sent hypnotisée… Ce contact la complètement électrisée, il fait tomber les ultimes pensées raisonnables que se doit d’avoir toute femme mariée et sérieuse.
— Non, laisse moi… Je suis une honnête femme mariée… Susurre Elsa.
Karim se moque bien de son beau discourt, pas très assuré. Il sait qu’elle ne peut pas lui résister. Ses yeux lui crie.. Baise-moi ! De toutes évidences, Karim passe à l’offensive. Au fond d’elle-même, elle le sait. Il la veut, il pense qu’elle ne résistera pas trop… A t-il tort ???

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Le voilà maintenant qui recule un peu et pose ses mains sur ses fesses, il lui caresse les fesses, les malaxe avec ses grosses mains. Elle continue de parler au téléphone mais elle est troublée par le désir qui monte, ne voyant aucune réaction ni résistance de sa part il passe maintenant une main sur sa poitrine pour lui peloter les seins et l’autre main descend derrière elle sur ses jambes.
Ce salaud l’excite maintenant de plus en plus, ses bouts des seins pointent, elle sent sa moule qui réagit également, elle doit être déjà bien humide et sa petite culotte aussi.

Il arrive au bout de sa jupe et remonte maintenant sa main entre ses jambes sous la jupe, sans vraiment s’en rendre compte elle se cambre un peu et écarte presque malgré elle un peu les jambes….
La main arrive tout en haut entre ses cuisses sur sa culotte et sa chatte pendant que l’autre main lui malaxe fortement les seins. Elle gémit doucement en posant sa main sur le téléphone. — Ça va mon amour ?? Lui demande mon mari, qu’est ce qui t’arrive ?
— Hum !! C’est rien je viens de me cogner la jambe contre le coin du bureau, je me suis fait mal je vais sûrement avoir un bon bleu….
— OK !! Maintenant il faut que je te laisse je vais aller à mon rendez vous.
— D’accord, bon courage à demain…..

Tranquillement, il se penche, lui roule une pelle qu’elle accepte et partage. La main a franchit le rempart de la culotte, un doigt se glisse entre les cuisses de Elsa. Ce frottement lui électrise tous le corps, c’est dans un état second qu’elle ouvre ses jambes s’offrant impudiquement à cet homme qui la révulsait il y a peu. Quand il lui demande de faire tomber sa jupe, elle s’exécute et la culotte lui est retirée dans l’instant. La bouche de Karim continue à la rendre muette en lui roulant pelles sur pelles. Lentement, il finit de la déshabiller, une fois qu’elle est nue.
Il prend une de ses mains ; la pose de force sur son entre jambes. Docile elle ce met à le caresser et sent une bosse impressionnante se former. Elle ce dis qu’elle est folle, mais où tout cela va s’arrêter, même si elle ne risque rien, elle est en train de ce comporter comme une vraie salope.
— Toi t’as envie de ma queue, pas vrai ma mignonne ?
Incapable de répondre, elle gémit doucement.
— Mets toi à genoux de suite, dit-il en commençant à enlever sa ceinture.
— Quoi ?
— Allez te fais pas prier, ça t’excite j’en suis sur.

Le temps que ces pensées la traversent, sa non-réponse doit lui faire penser qu’elle accepte, car elle ce retrouve avec trois doigts dans sa grotte.
— J’en étais sur, tu mouilles comme une chienne ! Veut-il l’asservir pour qu’elle soit à lui corps et âme, quand-il sort sa main et qu’il monte ses doigts qu’il vient d’enlever de sa grotte en feu ?
Veut-il l’asservir lorsqu’il lui fait lécher ses propres sécrétions ? — Alors maintenant tu me suces salope !!
En employant ce mot, elle laisse s’ouvrir les vannes à toutes les luxures, ces doigts dans sa grotte la libèrent de tous ses tabous.
Il a raison, Elsa est ultra excitée, même si elle tremble de peur, elle choisit de faire comme il dit. Elsa s’accroupit, finit de dégrafer sa ceinture et son pantalon. elle descend un peu son caleçon juste pour pouvoir sortir son membre qui, oh mon dieu, est énorme ! Une matraque d’au bas mot vingt cinq centimètres, épaisse comme un salami, elle n’a jamais vu une bite aussi grande, aussi grosse, elle n’y a rien de comparable avec celle de son mari. — Regarde, ma belle pièce, elle est à toi quand tu veux, le temps que tu veux. Elsa prend sa matraque en bouche, elle a du mal à entrer, mais cela vaut bien un léger mal aux mâchoires.
— C’est bon ça, tu es une vraie bonne suceuse, t’en ai pas a ta première, espèce de salope va, tu suces mêmes les clebs, je paris pauvre salope !
Plus il l’insulte, plus elle le pompe fort, alternant le léchage de ses testicules et l’aspiration de sa grosse bite. Dès cet instant plus rien en elle ne lui appartient. Elle se sert de son autre main pour se maltraiter la vulve.

Elle insiste principalement sur le petit bouton qui a rarement réagi lorsqu’elle l’a touché, alors que là, il lui envoie des ondes qui irradient tout son bas-ventre.
— Allez, avale moi tout ça, j’ai envie de t’en mettre partout sur ta gueule de pouffiasse, pompe moi bien, lèche mes couilles aussi !
Il lui parle vraiment comme si elle était une merde, elle en a la larme aux yeux, mais elle n’a pas envie que ça s’arrête alors elle fait de son mieux pour le satisfaire, essayant de ne pas vomir lorsqu’il s’enfonce trop loin dans sa gorge. Parce que c’est-ce qu’il fait, il lui baise littéralement la bouche en lui tenant fermement la tête pour qu’elle ne puisse pas atténuer ses coups de reins. Au bout de quelques minutes il se fige au fond de sa gorge et étouffe un long râle.
— AAHHRRR !! OOUUAIIIS !!! Putain je gicle dans ta gorge ! Avale tout ! Je ne veux pas que tu recraches !! OOOHH !! C’est bon !!!

Elsa est rouge écarlate car sa queue l’empêche de respirer, elle est obligée de tout avaler, quand il daigne enfin se retirer, elle met plusieurs minutes à récupérer une respiration normale
— T’es une bonne petite pute, tu seras récompenser dans quelques minutes le temps que je me remettes ! Il va dans la cuisine se servir un verre de whisky.

Après s’être remise, elle entre dans le salon où Karim s’est installé, le verre à la main.
— T’inquiète pas, je vais vite rebander si tu m’aides un peu, je vais te faire ta fête, je vais te prendre la chatte comme ça ne t’es jamais arrivé. Puis je vais t’enculer !
L’enculer ?, Mais elle n’a jamais fait ça, elle n’en a pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien. Il doit capter dans ses yeux une lueur de terreur car il se met à rire.
— Ah ! Ah ! Ah, tu as bien entendu, je vais t’éclater le fion. Ce soir, t’es ma pute, et une pute, ça ne refuse rien si ça veut être bien payé à la fin !

Il l’attire vers lui et l’assois sur ses genoux en l’embrassant. Elle est emplie de doute et de peur, qu’a t-elle fait de faire entrer un inconnu chez elle, un homme qui, de par sa carrure imposante, pourra faire ce qu’il veut de elle par la force ? Et si elle lui demande de partir maintenant ? Après tout il ne va tout de même pas la violer ! Si ? Oh la la, sa bite, mais elle est trop grosse, même pour son vagin, elle va avoir mal pendant des jours ! Il faut qu’elle lui dise de partir !
Mais il ne lui laisse pas le temps de dire quoique ce soit, il l’allonge sur le canapé, elle se retrouve allongée devant cet homme qui la regarde avec désir.
— Écoute, cette expérience, tu ne la regretteras pas, je te promets, lâche toi, laisse moi faire. Dit-il avec assurance.

Il plonge sur ses tétons pour les embrasser, puis les lécher, les téter, les mordiller. Il l’a convaincu ! C’est si bon, elle frissonne. Il descend ensuite sur son ventre, toujours avec sa langue et ses lèvres, pour ensuite arriver sur son intimité, il commence à la lécher avec adresse.
— C’est bien, t’es épilée entièrement, j’adore ça !
Il sait y faire, il ne lui faut pas longtemps pour qu’elle gémisse de plaisir. Il joue avec son petit bouton d’amour, elle en perd la tête, c’est si bon ! Elle mouille comme une folle, lorsqu’il introduit deux doigts d’un coup dans sa grotte, un petit cri s’échappe de sa gorge. Pendant qu’il la masturbe, il en profite pour passer sa langue plus bas, entre ses fesses, sur son petit trou, ce qui a pour effet de lui filer la chair de poule comme jamais. Il s’y attarde un moment tout en remuant ses doigts dans son puits d’amour. Puis il pose son pouce contre son anus et pousse légèrement, elle ce contracte.
— Laisse toi aller, tu vas voir, tu vas adorer.

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Il enfonce son pouce… Ce n’est pas si désagréable en fait, il change ensuite de doigt et met son majeur, plus profondément, puis ensuite son index. Il lui branle la chatte d’une main, et la sodomise de l’autre, elle souffle de plaisir. Voilà ce qu’en pense Karim (Elle est vraiment à point, je pense que si je sais y faire elle me refusera rien.)
— OK !! Ça suffit, il est temps que je te baise maintenant ma salope à moi !
Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il la fait se lever avec rudesse, la retourne sur le canapé, la poitrine contre le dossier, lui écarte les cuisses et d’un coup, sans préambule, lui enfonce son mastodonte dans son puits d’amour !
— AAARRGG !!! OOOUUFF !! Mais tu es fou, tu me fais mal !!! Hurle Elsa des larmes aux yeux
— Ferme ta gueule sale pute, je t’ai dit que j’allais te baiser comme jamais, je tiens ma promesse. T’es une chienne ! Alors je te monte ! Je t’éclate la moule !!

Il sort son énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommence, encore et encore. Elsa crie sa souffrance mais après quelques minutes elle commences à ressentir des ondes de plaisirs l’envahir. Il la défonce en lui tirant les cheveux et elle en redemande.
— T’aime ça, dis le que t’aime ça ! Que tu es une pute !!! Que tu es ma putain !!
— OOOHH !! OUIII !! C’est bon, j’aime ça, va y défonce moi ! Je suis ta putain !
Une fois de plus ces mots orduriers en plus d’annihiler toutes ses défenses vont la plonger dans un monde qu’elle n’aurait jamais pu imaginer.

Il lui tire les cheveux, lui claque les fesses. Il la pousse de nouveau sur le canapé, la retourne, passe ses jambes sur ses épaules, s’enfonce de nouveau en elle, plus profondément encore. Elsa a l’impression d’être transpercé de part et d’autre de son corps. Elsa jouit pas souvent avec Jean, elle a joui quelques fois depuis son dépucelage, mais là, mais là, là là là ?????
Excusez la, elle a dû perdre connaissance quelques secondes, elle s’entend crier comme jamais elle n’a crié, elle a peur qu’on l’entende à des kilomètres de là !! Il se penche et mord un de ses seins, ce qui la fit hurler de douleur.
— Mais putain ferme ta gueule je t’ai dit !

Une claque vigoureuse s’abat sur ce même sein, jamais quelqu’un n’a osé la traiter de la sorte, pourquoi elle l’accepte de cet homme dont elle ne connaît même pas le prénom, encore moins le nom ! Ce qui la surprend le plus c’est qu’il ne jouisse pas.
Après quelques minutes de ce traitement, il se retire de sa grotte défoncée, en nage, la bite toujours fièrement dressée. Il s’assoit a coté d’elle,
Tout en lui glissant sans vergogne sa main entre les cuisses, il remonte rapidement vers son sexe et avec deux doigts il écarte ses lèvres intimes pour vérifier la quantité de sa liqueur.
Elle sent sa grotte dégouliner sur les doigts qui la fouillent, sa mouille gluante facilite la pénétration jusqu’à la paume de la main.

Il force le passage avec un va et vient rapide de l’avant bras qui libère des bruits caractéristiques de clapotis.
— Il me semble que tu aime ça, car tu t’ouvre vite et plutôt facilement.
Le salaud sait appuyé là ou sa fait mal, en une phrase il l’a transformé en petite pute soumise, il est bien pervers et savait y faire.
Il lui tapote la fesse pour qu’elle avance son bassin jusqu’au bord du canapé, là il passe une de ses jambes par-dessus la sienne ce qui ouvre plus que largement ses cuisses et toute son intimité.
Malgré tout son corps lui est parfaitement réactif au plaisir, les yeux mi-clos, la bouche entre ouverte elle respire de plus en plus vite, savourant chaque coup de poing dans son con gluant, espérant même qu’il puisse enfin transgresser le passage encore trop étroit pour une totale pénétration.
— Salope tu m’excite vraiment, tu est trop réactive je sens que tu va me bouffer le bras.

Son bassin suit le rythme des vas et vient, appuyant à chaque fois pour qu’il enfonce un peut plus sa main, sa chatte est en feu, dégoulinante de cyprine qui petit à petit lui facilite le passage.
Jamais de sa vie elle n’avait ressentie une telle dilatation, sauf lors les accouchements, mais là il y a ce plaisir outrageant, mélange subtil de douleur et d’envie irrésistible, elle n’est plus une femme mais une simple femelle, ouverte au maximum pour être remplie par n’importe quoi et n’importe qui.
— A la pute… Mon poing est entré, regarde ça comme tu te trémousse.

Il a réussi à entrer sa main toute entière dans son ventre, elle regarde son poignet planté là dans sa grotte béante, c’est vraiment incroyable tout son corps tremble de plaisir, ça décuple son plaisir.
Mais là avec le bras d’un parfait inconnu lui fouillant sa grotte, je ne vous dis pas, l’extase.
Karim attrape un désodorisant en atomiseur qui traîne là sur la petite table du salon.
Il retire sa main de son puits d’amour lui laissant un énorme vide dans tous les sens du terme, elle ressent soudain comme un manque, une vrai frustration, elle veut qu’il l’enfourne encore et encore.
L’homme la soulève, la pose sur ses cuisses nues, Elsa ressent immédiatement son sexe durci contre ses reins.

Il lui écarte les cuisses de part et d’autre de ses jambes dévoilant de nouveau sa grotte d’amour encore toute gluante.
D’une main il écarte ses lèvres dégoulinantes, de l’autre il la pénètre d’un seul coup avec l’atomiseur en guise de gode, directement jusqu’à la garde, sans ménagement, d’un coup, environ trente centimètres lui sont rentrés dans le ventre, il est gros mais rien à comparer au poignet qu’elle a avalé sans rechigner juste avant.

Quelques va et vient pour loger confortablement la chose en elle, les bruits de sucions et clapotis liquoreux prouvent la bonne lubrification de l’affaire, elle est aux anges les cuisses largement ouvertes tout en ce délectant de plaisir. En pensant (pourvu que le bouchon ne reste pas au fond de moi !!) Ce salaud sait vraiment y faire, en très peut de temps il l’a transformé en véritable petite salope, jamais elle n’aurait pu l’imaginer, ni même dans ses fantasmes les plus fous.
Ensuite de sa main libre il palpe à tout de rôle, ses seins aux bouts tendus, les soupèse, les malaxe tel des fruits murs.

Le gode improvisé toujours planter en elle, il la soulève des deux mains, puis avec ses doigts il étale son jus le long de sa raie, la quantité est là, ça dégouline de partout puis il glisse un doigt sur sa rosette insoumise.
Elle devine qu’il va lui fouiller le cul et peut être même encore plus, c’est nouveau pour elle jamais elle n’a accepté cette pénétration, son mari n’a jamais eu cette chance, mais là dépourvue de toute volonté elle sent sa corolle s’entrouvrir lentement sous la pression du doigt inquisiteur.
Il entre très facilement, appelant les autres doigts qui se présentent déjà à la porte, deux puis trois doigts dans le cul avec le gode planté dans sa grotte aux délices, vous imaginez vu la scène.

Mais il ne va pas se contenter de me mettre ses doigts, qu’il retire déjà après avoir ouvert le passage, présente son membre dur et abondamment lubrifier de son jus, il appuie sur ses épaules pour entrouvrir la petite porte de son jardin secret, elle sent son membre l’empaler centimètre part centimètre, sans aucune douleur il l’encule jusqu’aux couilles.
Marquant un temps d’arrêt pour savourer cette victoire, il lui saisie les seins et dit à l’oreille :
— Tu aime ça ma salope… T’aime que je t’encule… Je le sens que t’aime ça…
OOH… Que oui, qu’elle aime ça, elle aime tout ce qu’il lui fait, elle aime qu’il l’avilisse, qu’il lui salisse le corps et l’âme, elle aime être sa pute à ce pervers.

Elsa couine comme une catin, prenant chaque coup de bite pour une récompense, ondulant son corps au rythme de la saillie, appuyant a chaque fois de tout son poids pour mieux sentir cette grosse bite lui labourer le trou du cul.
Devant tant de plaisir, elle a saisie à deux mains l’atomiseur toujours en elle et pendant qu’il l’encule de plus belle elle ce laboure la grotte comme une damnée.
Malgré son expérience, son enculeur ne peut se retenir très longtemps, il explose dans ses reins en criant, il déverse tout son jus dans ses entrailles, elle ressent chaque saccade, chaque contraction de la bite qui la défonce, sent le sperme chaud couler à flots.

Elsa ne peut retenir sa jouissance dévastatrice, l’onde de plaisir la submerge des pieds à la tête, étourdissant tous ses sens, elle sue par tous ses pores et sent le sexe à plein nez.
Ils sont restés ainsi planté l’un dans l’autre un bon moment, parcourus de quelques soubresauts de plaisir. — Tu as une très grande souplesse anale. C’est rare et précieux. Tu fais partie de ses rares femmes qui peuvent faire des doubles anales !!!! Elle est certaine que si Jean rentrait maintenant, il lui enverrait ses avocats, car ses cris de jouissance lui ont fait prendre conscience qu’elle a fait de lui un cocu magnifique.
Ils prennent une douche commune puis reviennent dans le salon où Elsa le suce jusqu’à ce qu’il puisse l’enculer un deuxième fois avant de se finir dans ses entrailles pour la deuxième fois, un deuxième orgasme l’atteint au moment où il la remplit de son sperme. C’est à ce moment qu’elle prend conscience qu’il n’utilise pas de capote.
Le sexe ramolli sort doucement de son fourreau, toujours en lui palpant les seins il attire son visage vers l’arrière pour lui rouler une pelle magistrale, sa langue humide lui fouille la bouche en lui faisant boire sa salive lui laissant à peine le temps de respirer. — T’es une bonne pute, je reviendrais te voir pour te remettre ton compte. J’en ai pas fini avec toi ma salope, maintenant tu m’appartiens.

Puis, il se relève, va se rafraîchir dans la salle de bain pendant qu’elle s’assoie, non sans douleur sur le canapé, après avoir passée ses doigts sur sa petite porte pour jauger l’ouverture de son jardin secret et limiter son débordement avec des mouchoirs en papier. Il revient, récupère ses affaires, s’habille sous son regard interrogateur, elle pense qu’elle vient de tromper son mari pour la première fois en y prenant un immense plaisir qu’elle n’a pas connu avec lui.
— Toutes les mêmes ces femmes mariées, trop sérieuses et prudes et pourtant si facile à convaincre, le temps et l’abstinence travaillent pour nous, difficile à croire que les maris n’en ai pas conscience, ils en tireraient bien profits, mais c’est mieux ainsi.

Karim sort en claquant la porte sans un baiser, la laissant seule, humiliée mais heureuse et comblée. Quand il part, elle est devenue une femme adultère, elle ne regrette rien. Il lui a dit qu’il reviendra bientôt pour lui faire l’amour plus longuement. Ce soir là, commence la deuxième vie de Elsa…
Chap 2

Femme de caractère, elle a élevé ses enfants et entretenu sa maison seule. Elsa et son mari ont une vie sexuelle des plus banales. Elle n’a jamais refusée un rapport à son mari. Jean son mari est sans imagination, Elsa ne demandait rien d’extraordinaire ou d’irréalisable, l’amour dans la nature, en voiture par exemple, il lui refusait ce plaisir. Tout cela pour dire qu’elle n’avait pas de désirs très particuliers. Elle a mis de côté sa féminité. Au départ de ses enfants, elle c’est retrouvée bien seule.

Karim est arrivé dans sa vie, comme ça sans crier gare !! Elle redécouvre le bonheur des rapports sexuels, elle reprend goût à la vie. Elle découvre qu’elle peut encore plaire. Bref Elsa redevient une femme que l’on baise, elle a découverte une jouissance pendant l’amour qu’elle ne connaissait pas. Rentrons un instant dans les pensée d’Elsa. (Comment j’ai pu laisser cet homme faire de moi ce qu’il voulait ??? D’accord il est pas mal, mais je me suis conduite comme une gamine. Je l’ai laisser farfouiller dans mes affaires, puis je l’ai laisser me faire l’amour ?? AH !! Non ma vielle !! Il ta baiser comme ils disent, il n’y avait pas de tendresse, que du sexe et quel sexe, je dirai plutôt une grosse bite.

Ouais une bien grosse bite bien plus grosse que celle de Jean. Lui il sait s’en servir, c’est pas comme Jean !!! Au début ça ma fait mal, à force de ne plus faire l’amour avec Jean, je cois que mon vagin c’est resserré ??? Il m’a fait avaler son sperme !! Moi qui a toujours recracher celui de Jean !! J’ai joui comme pas deux avec sa main dans mon puits d’amour !! Il m’a aussi sodomiser, j’ai cru mourir de honte, je n’aurais pas cru que cela soit possible de jouir par ce coté là, mais je dois bien me l’avouer, j’ai joui du cul comme c’est pas possible. Je sais maintenant ce que veut dire « Enculé » au sens propre. Il m’a promis de revenir me baiser, on verra bien ??? Après tout je viens de faire cocu mon mari !!!

Mais ce n’est que des mots, je ne regrette rein, il n’avait qu’a me faire l’amour plus souvent et faire comme le Karim !! Me soumettre a sa volonté, car c’est son autorité qui m’a séduite, ses mot orduriers mon excitée, j’ai aimée qu’il me traite comme une pute, comme une salope qui trompe son mari pour la première fois.

Jean étant souvent en déplacement de plus en plus longtemps. Karim est revenu faire jouir plusieurs fois Elsa. Vous ne pouvez pas imaginer les trésors de patience qu’il doit déployer pour l’amener là où il le veut, où Elsa voulait aller sans ce l’avouer. Depuis ils se retrouvent régulièrement dans sa demeure plusieurs fois par semaine.
Elsa sait qu’elle ne devrait pas mais c’est plus fort qu’elle, le goût de l’interdit a réveillé sa libido et elle a littéralement « le feu au cul ». Son côté fonceur, conquérant l’a vite séduite. Il a su la révéler, il a su lui faire avouer son envie de docilité. Réticente à chaque nouvelle proposition, ses remparts sont tombés un à un. Elsa a cédée lorsqu’il lui a demandé de la photographier. Il la photographie en petite tenue, couchée, nue, même son minou débordant de son jus …… Vous seriez étonnée par le nombre de photographies faites. Elsa est devenue sa chose, sa salope, sa pute comme il se plaît a l’appeler ainsi.

Aujourd’hui il l’a rejointe vers dix heures ce matin dans la chambre conjugal. Elle l’embrasse, elle est encore en sa chemise de nuit. Lui est vêtu. Il l’appelle, ma belle pute, elle, mon amour. Il lui demande si le temps ne lui a pas paru long avec son mari. Bien sûr il lui a manqué. Il est progressivement dominant, impérieux.
— Ton mari ne te touche plus n’est-ce pas ?
— Non. Et puis s’il le voulait avec sa petite bite, je trouverais bien quelque chose comme excuse.
— Je ne veux plus qu’il te touche, c’est bien compris ou je ne viens plus.
— Si tu veux. C’est toi qui décide.
— C’est moi qui choisis avec qui tu couches n’est-ce pas ?
— Oui, mon amour.
— Tu es une gentille petite pute. Et tu n’aimes que moi n’est-ce pas ?
— Que toi, bien sûr.

La main de Karim caresse les épaules et le dos d’Elsa. Elle se laisse faire sans bouger encore. Il passe sur les fesses et s’insinue profondément dans le sillon, comme s’il caressait à la fois son cul et l’entrée de son vagin. Elle commence à défaillir et osciller sur place. Il a ramené ses mains sur les tempes d’Elsa, il la force à se baisser. Elle a compris l’ordre, elle défait la ceinture de son amant et dégage son sexe. Elle le caresse, le lèche et aspire le gland. Ses mains à lui n’ont pas quitté les tempes d’Elsa et il lui impose un mouvement de va-et-vient qu’elle suit sans résister.
Au bout d’un moment, il la relève, il lui remonte sa chemise de nuit au-dessus de ses seins, Elsa lève les bras pour qu’il enlève le vêtement. Karim remonte la chemise de nuit a hauteur des aisselles d’Elsa, passe une bonne partie du vêtement au dessus de sa tête puis s’arrête là.

Elsa ce retrouve les bras encore dans les manches du vêtement, avec le tête dans celui ci ??? — Qu’est ce que tu fait ??? Je vois rien !! Karim ??? — Laisse toi faire !!! N’ai pas peur !!! Il l’a fait mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Elle obéit sans hésiter, restant là un long moment sans qu’il s’approche. Comme elle ne voit rien, elle commence à devenir nerveuse, elle lui dit :
— Viens, s’il te plaît, vient me faire l’amour……Me baiser quoi !!!!!
Il ne bouge pas et semble l’observer. Il a sorti de sa poche un petit caméscope, il filme Elsa qui lui tourne le dos, elle ne s’en aperçoit pas.
Elle continue à réclamer qu’il la baise.
— Viens, je veux te sentir. Mon amour, viens me prendre.
— Tu veux que je te baise comment ?
— Comme tu veux, mais baise moi. Je veux que tu me prennes.
— Supplie !
— Je t’en supplie, je ferai tout ce que tu voudra, mais maintenant baise-moi.

Il s’approche enfin d’elle, passe une main entre ses cuisses pendant que son autre main tient sa queue, la première main ouvre le passage, il a fléchi les genoux pour se mettre en face de la grotte de sa soumise et d’un coup de reins il la pénètre. Elle pousse un cri rauque, animal, de femelle que l’on satisfait enfin. C’est une saillie, sa queue massive est impressionnante. Elle n’arrête plus de geindre et de crier son plaisir.
— C’est bon, c’est trop bon, va doucement, je veux te sentir bien au fond, j’aime ta queue, je te sens gros, gros…

Lui semble très calme, il passe une main sur sa grotte aux délices pour frictionner son clitoris. L’autre main caresse ses fesses, son pouce s’enfonce dans l’anus de sa soumise, sans douceur mais sans qu’elle proteste.
— Oui, branle-moi. C’est bon, c’est trop bon. Je sens ta queue qui m’éclates la grotte aux délices. — Encore, encore !!!! Baise moi fort !!!
Elsa a jouit plusieurs fois quand il se décide à lâcher son orgasme, toujours très maître de lui. Karim ce retire du puits d’amour de sa maîtresse, quelques secondes plus tard il est a nouveau occupé. — HHMMM !! Oh !! OUI… Encore mon chéri !!!

Ce que ne sait pas Elsa, ce n’est plus Karim qui lui fait l’amour. C’est un ami de Karim qui est rentré avec un autre en même temps que Karim dans la maison pendant que Elsa l’attendait dans la chambre.
— HAN !! HMMM!! Deuxième service pour ma pute !!!! — OOHHH !! OUIII !!! Tu es encore si dure ???? — C’est ma queue qui est dure, un vrai manche de pioche pour ma putain !! Dis — le Putain !! — OOOOHH !! OUIII !! Ta..ta.. Grosse bite !!! MMM!!! Ta… Putain… Pour… Putain…..

Elle constate alors qu’il n’a pas débandé car il se plante dans son vagin, complètement, profondément, à chaque coup de butoir ses couilles viennent frapper son clitoris, à nouveau il l’amène à la jouissance, pas tant par sa possession, que par sa domination, elle se sent à lui, prête à tous ses désirs. L’ami de Karim est endurant, il donne deux orgasmes à Elsa avant de lui remplir son puits d’amour pour la deuxième fois. Quand il se cabre, en éjaculant de nombreux jets de sperme, elle devient sa femelle, jouissant bruyamment, réclament pour qu’il continue à la baiser. Une fois vidé, il laisse la place au troisième protagoniste.

— HOOOOOOO !!! MMMMMM !!! Émet nôtre Elsa quand son baiseur ce retire de sa moule baveuse. Elsa a sa tête toujours recouverte de sa chemise de nuit entre ses bras toujours prisonniers de son vêtement. La tête sur le lit, les seins écrasés la croupe en l’air d’où suinte un peu de sperme du a ses contractions vaginales, le reste ce trouve au fond de sa matrice. Les jambes bien écartées, montre des lèvres vaginales bien ouverte et bien grasse du sperme de ses deux précédents visiteurs. Sur le lit, voilà le tableau que trouve l’autre ami ???? De Karim. Celui ci filme toujours. Il s’enfonce dans ce gouffre accueillant, chaud et humide.

— OOOH !!! Tu vas encore me prendre mon chéri ??? AAAH !! OUIIII !! Encore si dure ????? L’ami excité par le tableau précédent, ce met a besogner Elsa comme un damné. Elle pousse moult cris, elle jouit encore à en perdre haleine. — HHHOO !!! OUIIIII !!! TA..TA..Grosse queue !!! TA… TA… GROSSSS… BIT.. PUTAINNNN !!

Dans un bruit de clapotis infernal, le troisième hommes remplit le vagin d’Elsa qui maintenant déborde, de sa semence qui ce mélange aux autres déjà présente. Dans un énième orgasme, Elsa
s’effondre sur le lit en ce désaccouplant du troisième larron qui repart sur la pointe des pieds avec son collègue.
Karim qui rebande maintenant, lui relève sa croupe. Il la maintient par les hanches, il enduit son petit trou de sperme s’écoulant de sa chatte, son gland vient frotter l’anneau, il a décidé de la soumettre et cela fait partie de son plan car petit à petit, il pousse sa queue dans le conduit qui malgré la douleur s’ouvre pour accepter le mandrin ; quand il a pris totalement possession de son cul, il s’arrête avant de commencer à la pilonner sans ménagement, il la sodomise, à sa façon, montrant ainsi sa puissance et sa détermination de l’avoir complètement à lui.
Sa queue la perfore profondément, son bassin vient percuter ses fesses d’autant plus qu’elle éprouve du plaisir anal, ses gémissements puis ses encouragements pour qu’il la prenne plus fort lui prouve que son plaisir est total, elle est lui entièrement soumise à ses envies. — Tu aimes que je te baise, que je te saillie comme une petite pute ? Une claque s’abat sur ses fesses — Répond !!
—OOH… Oui j’aime que tu me prennes, que tu me fasses jouir !!!
— Tu es à moi, je te baiserais quand je le voudrais, je te ferais jouir car tu es une putain.
— Oui fais de moi ce que tu veux, baise moi encore, j’ai envie de ta queue, de ton sperme, que tu me prennes…… Je suis ta putain !!!
Il continue à la prendre, toujours raide, lui dilatant le cul, comme jamais il ne l’avait été, elle jouit en continu, affalée sur le lit, écartant ses fesses pour qu’il la possède plus profond, en fin ses jets la remplissent, l’amenant à une bruyante et profonde jouissance.
Le plaisir retombé, Elsa avachit sur le lit, Karim ce retire de son fondement, il glisse son caméscope, dans sa veste, car il a filmé toute la scène. Elsa ce défait sa chemise de nuit ; Elle se relève d’un coup et attrape sa main, la tire vers elle pour le retenir et l’embrasser. Cela dure longtemps. Elle le complimente pour ses performances, répète des dizaines de fois qu’elle l’aime. Il lui dit qu’elle est belle quand elle baise. Un dialogue idiot d’amoureux après l’amour.
CHAP 3

Leurs rapports sont très ponctuels. Mais de jour en jour le dialogue est plus dur, lui plus autoritaire elle un peu plus soumise. Il adore l’humiliée, la traite de pute, de salope. Il est de plus en plus brutal dans ses saillies, saillies est le mot. Il ne cache même plus son caméscope, il lui fait répéter en gros plan : — J’aime sucer ta queue, j’aime quand tu me baise. Je suis une chienne en chaleur, une putain. Baise-moi, s’il te plaît, éclate-moi la chatte !!! Il aime particulièrement la faire attendre et sentir qu’elle devient folle d’envie et de frustration. Elle est alors capable de dire les mots les plus crus et de promettre les caresses les plus dégradantes.
Ça fait plus de six mois que nôtre Elsa a rencontrée Karim, c’est un amant exigeant a qui elle doit obéir. Il l’a transformée aussi bien moralement que physiquement. Avant elle était une bourgeoise une bonne mère de famille. Karim l’a transformée en objet de plaisir, en pute soumise.
En six mois de transformations il l’a modelée suivant son désir, il a fait d’elle ce qu’elle est devenue aujourd’hui. Jean son mari a bien vu cette transformation opérée sur sa femme de jour en jour, Il a mis ça sur le retour d’age de son épouse, la crise de la quarantaine c’est il dit.

Karim revendique être un homme a femme, être un grand baiseur. Elsa au début ne l’aimait pas, c’était que pour le sexe, il la faisait jouir comme aucun autre homme qu’elle a connu. Puis de rendez vous en séance de baise, elle est tombée amoureuse de son amant. Il a su lui parler avec une telle assurance et persuasion que maintenant elle l’aime d’amour.
Pourtant il l’a immédiatement mise au parfum. C’est pour le sexe qu’il est devenu son amant. Il lui a fait ravalée sa fierté de bourgeoise, il ne faut pas jouer la femme honnête quand on trompe son mari trop occupé pour bien s’occuper d’elle.

— Tu trompe ton mari lui a-t-il dit, alors pas de cinéma avec moi, t’es une salope, une pute qui veut de la bite, moi j’ai que de la bite a te donner, t’as compris. Tes yeux de vicieuse en disent long, ta grande bouche semble avoir été faite pour avaler de la bite et tu vas en avaler. Tu veux de la bite, tu vas en avoir plus que t’en voudrais dans tes trous.
Quand il lui dit ça elle veut qu’il sorte de sa vie, de sa chambre. Mais comme ils viennent de faire l’amour, après un énième orgasmes, elle ne se voit pas le congédier.

Il recommence a l’embrasser, a la caresser, elle avoue qu’elle aime ça, elle ne peut dire pourquoi, si c’est le fait du changement, de l’adultère qui est une première pour elle, mais sa bouche et sa langue sont bonne, ses caresses la réconcilie, c’est vrai qu’il est doué pour s’occuper d’une femme le salaud. Elle est devenue son otage, il s’en fout, ce qui lui plaît c’est qu’il dispose d’elle comme il l’entend. Elsa a peur aussi de tomber dans un piège ou elle serait contrainte de satisfaire des amis à lui… il en a déjà fait allusion. Elle la déjà fait, mais ça elle ne le sait pas, elle croit encore que c’était une performance exceptionnelle de Karim.

Par ailleurs, il lui a fait découvrir une nature qui était en elle et qu’elle refoulait.
Quand il vient, elle s’applique à le sucer comme il lui a enseigné si on peut dire, elle qui ne le pratiquait que très rarement et avec dégoût à son homme, voilà qu’elle en est devenue une experte, qu’en plus elle se délecte de ce nectar lorsqu’il s’épanche dans sa gorge. La sodomie même en rêve elle ne l’avait pas imaginé, cela a volé en éclat depuis qu’ils couchent ensemble, lorsqu’il la pénètre, que son sexe s’active en elle, elle est prête à tout, il l’emporte dans une mer de jouissance avant de déverser son plaisir au fond de son ventre où de ses reins, sur le plan cul, à peine il est là qu’elle fond.

Son mari est en déplacement. Elsa est de sortie avec quelques amis, dans un bar ils rencontrent comme par hasard, Karim avec son cousin Lucien dit Lulu. Elle les présente comme des amis de travail de son mari. Après quelques verres, ils décident tous d’aller au restaurant chinois. Le repas chinois se déroule dans une ambiance joyeuse favorisée par les verres de saké que les serveurs remplissent dès qu’ils les vident. Les garçons, auxquels on a donné des verres laissant apparaître des femmes nues, lorsqu’ils sont vides, font des réflexions plus ou moins graveleuses, cherchant des ressemblances entre les convives féminins de ce dîner. Karim et Lulu la citent abondamment en regardant les fonds de verre des autres garçons. A la fin du repas, Lulu propose de continuer la soirée en boite ; ils sont que cinq à accepter, un couple, Karim, Lucien et Elsa, les autres prétextant devoir se lever tôt le lendemain à cause de leurs enfants. Elsa, peut faire la grasse matinée !

En ce levant, elle a un peu de mal à garder son équilibre et à marcher droit vers la sortie. Sans s’en rendre compte, elle a du boire un peu trop de saké. Elle monte avec Karim dans la voiture de Lulu, alors que le couple prend sa propre voiture. Ils leur faut moins d’un quart d’heure pour rejoindre la boite de nuit située sur une route de campagne.
La fraîcheur de l’air dégrise un peu Elsa, c’est d’une démarche assurée qu’elle pénètre à l’intérieur. Pendant l’heure qui suivit, Karim et Lulu la font danser à tour de rôle ; elle s’amuse follement, alternant rocks et slows, avec Lulu et Karim. Le couple vient leur dire au revoir. Ils restent tous trois, au milieu de la foule du samedi. Ils ont un petit coup de mou et vont s’installer sur une
banquette au fond de la salle afin de ce désaltérer avec des vodkas orange.

Elsa remarque bien que Karim et Lulu, qui sont assis de chaque côté d’elle, se serrent d’un peu près, leurs mains frôlent ses cuisses à chacun de leurs mouvements, mais elle n’en fait pas cas. Un nouveau slow débute et Karim l’invite ; elle se rend compte tout de suite que quelque chose a changé : il la serre de beaucoup plus près, ses mains descendent beaucoup plus bas sur ses reins et sa bouche vient effleurer son cou. Au slow suivant, Lulu prend le relais, et se comporte comme Karim ; elle doit se rendre à l’évidence que leur intentions sont plus qu’amicales. Mais, quelque chose en elle, sans doute favorisé par le saké et la vodka, fait qu’elle se laisse faire, curieuse de
savoir jusqu’où ils vont aller. Toute la série de slows, ils se relayent : leurs mains se font de plus en plus précises, n’hésitant pas à faire glisser la fermeture éclair de sa jupe et à glisser une main dans la fente ainsi créée, leurs bouches mordillent son cou et cherchent sa bouche, leurs ventres se collent au sien, lui faisant sentir leur désir.

Elsa regarde souvent Karim qui d’un signe de tête semble lui dire de ce laisser faire. Lorsque la série de slows s’arrête, ils rejoignent sur la banquette. Karim qui les attend. Sans avoir semblé se concerter, ils deviennent plus entreprenants ; elle tente de résister à leurs mains qui remontent le long de ses cuisses, mais lorsque Karim, une main sur sa nuque pour lui bloquer la tête, colle sa bouche à la sienne, ses défenses tombent brutalement : sa bouche s’ouvre pour accueillir sa langue, ses mains ne luttent plus, son corps se détend, ses cuisses s’écartent.

Elle répond au baiser de son amant, tandis que leurs mains remontent le long de ses cuisses et se glissent sous son slip et que Lulu, ayant défait un à un les boutons de son chemisier, plonge son visage entre ses seins. Elle ne peut retenir un gémissement lorsqu’un doigt atteint son clitoris. Un reste de lucidité lui fait penser à la folie de la situation, mais il est bien vite étouffé par
la bouche de Lulu qui prend la suite de Karim, alors que celui-ci, sortant un de ses seins de son soutien-gorge, se met à le téter. Les minutes suivantes voient son soutien-gorge être dégrafé et enlevé et son slip être descendu le long de ses cuisses et de ses jambes jusqu’à ses pieds.

Elle se retrouve chemisier entièrement ouvert, jupe relevée jusqu’à la taille. Il n’y a plus d’obstacle à leurs yeux, à leurs mains, à leurs bouches. Ils la caressent, l’embrassent, la pénètrent de
leurs doigts jusqu’à la faire jouir brutalement, ses gémissements étouffés par la bouche de Karim collée à la sienne.
— Mon chéri ?? Il y a ton cousin Lulu ??
— T’inquiète ??? quand y en a pour un, y en a pour deux, laisse faire. Il lui reprend la bouche et elle s’abandonne soumise a son amant.

C’est pour eux le signal : ils se lèvent, la prenant par les mains, l’entraînent à l’extérieur, abandonnant sur place son slip et son soutien-gorge. Karim monte à l’arrière de la voiture avec Elsa, tandis que Lulu prend le volant. Karim ouvre son pantalon, baisse son slip, laisse apparaître son sexe bandé, puis, sans plus attendre, l’attrape par les hanches, il l’empale dos contre lui. Elle en a le souffle coupé car elle ne s’attendait pas à ça. Son sexe l’emplit sans difficulté, tant l’orgasme qu’elle a eu quelques instants avant a préparé son ventre. Il lui retire son chemisier et fait passer sa jupe par-dessus de sa tête. La situation lui parait d’un érotisme phénoménal !

Elle se retrouve nue, appuyée sur le dossier du siège avant, empalée sur le sexe de son amant. C’est la première fois qu’un sexe la pénètre en présence d’un autre homme. Elle n’a pas le temps de culpabiliser car le plaisir monte dans son ventre, elle se met à se trémousser d’avant en arrière, de droite à gauche. Karim malaxe ses seins, Lulu, de sa main droite, tente de toucher ses seins et ses cuisses. Il s’arrête bientôt sur un parking, il vient les rejoindre à l’arrière. Elsa s’abandonne totalement à leurs désirs ; Lulu l’embrasse avec ardeur tandis que ses mains vagabondent sur ses seins, son ventre alors que le sexe de son amant au fond de son puits d’amour la fait haleter de plaisir.

Karim jouit en inondant de sperme son puits d’amour en longues giclées chaudes, Lulu prend la suite en l’arrachant du sexe de son amant, il l’allonge la tête sur les cuisses de Karim, se glisse
aisément dans son vagin d’où s’écoule abondamment du sperme, il la laboure violemment tandis que son amant, saisit sa tête à pleines mains, lui entre son sexe luisant de jouissance dans sa bouche.
Pas une parcelle de sa peau n’échappe à leurs explorations.

Le résultat de ce traitement est dingue. Elsa jouit sans interruption pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que Lulu jouisse à son tour en lui remplissant son puits d’amour ce qui lui déclenche un violent orgasme qui la secoue et la laisse inconsciente. Elle se retrouve allongée sur la banquette arrière, Lulu a repris le volant, Karim a lui aussi repris ses explorations, investissant sans vergogne sa petite porte arrière avec ses doigts. Elsa reput de jouissance pense en avoir terminé, mais elle doit se rendre à l’évidence que Karim et son cousin ne sont pas du même avis. Les doigts de Karim glissent sans difficulté, tant qu’ils sont lubrifiés de leur plaisirs. De ses reins monte un nouveau désir, elle non plus n’est pas rassasiée. Ils arrêtent bientôt : Karim abandonne son anus pour la faire sortir de la voiture.

Les deux hommes l’entraînent nue vers l’entrée d’un petit immeuble résidentiel, Karim la tient par le cul, Lulu la pelote sans vergogne. Ils grimpent ainsi trois étages, Lulu les font entrer dans ce qu’il dit être son appartement. C’est fou ! Elsa ce comporte comme une pute ! Heureusement qu’il est tard car n’importe qui aurait pu la voir nue entre les deux hommes.

A peine entrés, Lulu se déshabille et vient se coller contre Elsa, est toujours fouillée par les doigts de son amant. Il l’entraîne avec lui, faisant sortir les doigts de Karim de son anus, Ils s’écroulent sur le lit, Elsa sur Lulu. Il fait entrer son sexe dans son puits d’amour, la tenant fermement par les hanches, il la fait aller et venir sur lui. Le ventre d’Elsa s’enflamme encore une fois, elle se met elle même à remuer sa croupe. C’est alors qu’elle sent Karim dans son dos appuyer son sexe à l’entrée de son anus. Lulu stoppe ses mouvements, la bloque fermement de ses mains, tandis que la verge de son amant fore doucement la petite porte de son jardin secret. Ces deux-là n’en sont certainement pas à leur coup d’essai !

Ils sont trop synchrone ! Une fois le gland passé, Karim n’a plus aucun mal pour enfoncer le reste de son sexe dans son rectum. C’est donc ça, un sandwich ! Elsa n’a pas le temps d’y réfléchir plus longtemps, car les deux mâles, se mettent à la pilonner en rythme, le plaisir explose dans son ventre et dans ses reins. Elle ne peut se retenir d’exprimer bruyamment son plaisir, tout l’immeuble doit être au courant de leur ébats. Bien calées dans ses deux puits d’amour, les deux bites vont et viennent, se frottant l’une contre l’autre, entraînant orgasme sur orgasme. C’est divin ! Lorsque Lulu jouit dans son ventre suivi de peu par Karim bien au fond dans ses reins, le plaisir est tel qu’elle perd conscience une nouvelle fois.

Ils n’en ont pas fini avec Elsa. Elle est sortie des vapes par le sexe de Lulu qui force sa bouche. Les deux salauds l’utilisent encore plus d’une heure, prenant plusieurs photos de leurs exploits, la faisant jouir comme jamais puis la laisse enfin épuisée à même le lit.
En s’éveillant, Elsa met plusieurs secondes à comprendre où elle se trouve. Elle se lève pleine de courbatures, laissant ses deux amants d’un soir dormir sur le lit, elle trouve la salle de bain ; Elle se glisse dans la douche, laisse l’eau couler sur son corps.

Lorsqu’elle sort de la salle de bain couverte d’une serviette, ses deux amants sont réveillés, elle lit dans leurs yeux qu’elle n’en a pas encore fini ? Ils ne lui laissent pas le temps de dire non. La serviette lui est arrachée, elle se retrouve écrasée entre leurs deux corps. Elle sent leurs sexes durcir contre son ventre et contre ses fesses. Karim, qui est face à elle, la soulève, la tenant par les cuisses, il fait descendre lentement Elsa, son sexe la pénètre bien jusqu’au fond. Dans son dos, Lulu
prépare son anus, avec un puis deux puis trois doigts avant qu’elle sente sa bite s’introduire dans son anus. Elle fait non de la tête, ses yeux plantés dans ceux de son amant. Celui ci unit leur lèvres dans un baiser torride, elle n’a pas le temps de rééditer son refus que le pubis de Lulu écrase ses fesses.

Ils baisent Elsa comme ça debout pendant de longues minutes, elle jouit encore sous leurs assauts. Karim se lâche le premier, mais Lulu la pilonne encore quatre à six minutes avant d’éjaculer. Ils ne lui laissent pas le temps de repasser par la salle de bain. Karim, la prend par la main, l’entraîne entièrement nue, du sperme coulant à l’intérieur de ses cuisses. Ils sortent de l’appartement, descendent les trois étages sans heureusement rencontrer quelqu’un, ils sortent dehors et rejoignent la voiture sous le regard incrédule d’un brave SDF avec son chien.

Dans la voiture, elle récupère sa jupe, son chemisier qu’elle enfile tant bien que mal. Son amant la dépose à deux cents mètres de chez elle. Elsa rejoint sa maison, en prenant garde de marcher à petits pas de peur que son ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme.
Elsa c’est retrouvée toute seule, mais ça elle en a l’habitude. Elle prend une longue douche bien chaude puis se contemple nue devant la glace de la salle de bain. Son corps porte les stigmates de ses excès. Sa vulve béante a doublé de volume, ses fesses et ses seins sont rouges, son anus est boursouflé.
Pendant dix jours Karim ne ce manifeste pas, Elsa ne fait rien pour le contacter, un peu vexer qu’il l’est partager avec son cousin Lulu. Elle ce rend bien compte que malgré elle, elle est en manque ?? Elle le désir, elle veut encore qu’il lui fasse l’amour et tant pis s’il y a un autre homme avec lui. Elle a envie de faire l’amour peut importe s’il sont deux, elle ce donnera sans complexe.

CHAP 4

Puis voilà qu’il commence par lui envoyer des SMS. Ils lui disent qu’il ne peut pas l’oublier. Qu’il veut la revoir, juste pour parler.
Mais. Quand il lui dit qu’il l’attendrait devant chez elle. Elsa panique de peur qu’on le voie, qu’on le dise à son mari. Alors elle lui répond de ne pas l’approcher. Karim l’a menace de le faire quand même, car il l’aime (soit disant ???). Il sait qu’Elsa est accroc sa bite, à sa manière de la baiser, même si elle n’apprécie guère le bonhomme. Serait-elle à nouveau tentée ? Elle fini par accepter de prendre un verre avec lui, mais hors de la ville. Elsa ne veut surtout pas qu’on les voie ensemble. Pourtant elle connaît bien ses faiblesses, quand il s’agit de s’abandonner à la luxure. Elle est capable de toutes les imprudences et toutes les impudeurs.

Au café, il a été très correct au début. Elsa ne lui cache pas qu’elle ne veut pas aller plus loin que de boire un verre et qu’après il ne devra plus chercher à lui parler. C’est alors que Karim a changé de ton. Il s’est penché au dessus de la table l’a saisie à la nuque, l’a attirée à lui et a voulu l’embrasser ?? Elsa a voulu esquiver mais il lui a maintenue fermement la tête. Il a réussi à lui donner un coup de langue sur les lèvres. C’est ça qui a troublée Elsa. Ça été plus fort que tout, comme un coup de foudre dans tout son corps. Elle c’est sentie fondre, partagée entre excitation et fureur. Karim avec sa langue a alors forcé ses lèvres, Elsa a fini par ouvrir sa bouche et lui rendre son baiser. Elle a fermé les yeux, vaincue. Cela a duré quelques secondes mais très vite elle s’est mise à mouiller. Elle sait que si il continuait, elle allait s’abandonner. Le salaud l’a aussi bien compris.

Apparemment, elle est retombée dans le piège tendu très adroitement par Karim.
Quand elle rouvre les yeux pour regarder alentour si on les regarde. A une table voisine, deux mecs sont arrêtés de parler, ils les matent en les fixant. Karim aussi les a remarqués. Alors ce salaud a plongé sa main dans le décolleté de sa robe pour en faire jaillir un sein qu’il s’est mis à caresser tout en exhibant bien le téton. Ça lui est d’autant plus facile qu’il maintient Elsa penchée au dessus de la table. Elsa croit bien que la conjonction de la langue de Karim dans sa bouche, le regard des deux mecs et sa main qui lui touche le sein, va la faire jouir au milieu du café. Elsa découvre qu’elle aime être exhibée, provoquer par cette situation, elle en profite pour à assouvir cette faiblesse.

Elsa sent sa mouille lui couler le long des cuisses tellement elle est excitée. Karim finit par relâcher la prise sur sa nuque. En reprenant sa place sur la chaise, elle a chaud, ses joues lui brûlent tellement qu’elle en a honte. Elle ne réalise pas de suite que son sein est encore sorti de sa robe, Karim s’est bien gardé de le lui dire, trop heureux de l’exhiber comme sa chose. Elsa est follement excitée, elle met quelques instants à se rajuster simplement pour pas que les deux gars matent son sein. Mais elle croit que s’il l’avait voulu, Elsa se serait laissée baiser sur la table du café.

Karim l’a regardé droit dans les yeux avec un sourire triomphant. Il la tient à nouveau, il le fait savoir sans attendre.
— Tu es une vraie salope, ma chérie. Tu ne peux pas me résister. Tu vois les deux gars à côtés, si je leur demande de te baiser, tu ne saurais résister et refuser.
Elsa est morte de honte, en même temps de colère. Elle s’en veut de lui avoir cédé, elle sait qu’il a raison. Petit à petit elle reprend ses esprits, aussitôt elle pense à son mari. Le salaud a dû lire dans ses pensées car il lui dit :
— Je sais que tu ne diras rien. Tu as trop envie de moi.

Cette arrogance l’a dégoûte. Il parle avec une assurance qu’elle ne lui connaissait pas. Elle voudrait tant lui échapper, le fuir, mais cette force qui la retient, elle sait trop bien qu’elle est la plus forte. Elsa est toute humide dans sa petite culotte, ses tempes bourdonnent, ses jambes tremblent. Si bien qu’elle n’ose pas ce lever pour partir. Elle porte une robe légère mais très sage. Elle c’était douté du piège.

Elsa sent sa mouille glisser entre ses cuisses, elle s’imagine que sa robe doit être tachée. Si elle se lève pour partir, toute la salle pourra s’apercevoir de son trouble. Elsa est morte de honte.
Karim qui la regarde ce décomposer, sourit d’un air plein de mépris et de satisfaction.
— Je crois que tu peux partir. Je te ferai signe quand j’aurai envie de te sauter. Et même plus, sois rassurée, finit-il par dire en éclatant de rire, je saurais satisfaire tous tes vices, salope.
Ce type est diabolique. Elsa est complètement anéantie, sans force pour réagir. Elle finit par se lever difficilement sous le regard vicieux des deux autres types à qui Karim envoi un signe de la main qu’elle ne comprend pas sur le moment.

Elsa traverse le bar en tremblant, au bord des larmes. Ce n’est qu’une fois sur le trottoir qu’elle peut se ressaisir. Elle sait déjà qu’elle ne dira rien, par peur de tout perdre certainement, mais aussi avec l’envie qui la tenaille de s’abandonner, se soumettre à ce pervers. Il se passe plusieurs jours avant d’avoir de ses nouvelles.
Jacques doit partir pour un long déplacement, elle redoute que Karim en profite pour la contacter.
Jacques part pour l’Espagne en ce début de semaine pour ne rentrer qu’a fin de la semaine suivante. C’est arrivé le jour même de son départ. Elsa est paniquée mais en même temps déjà toute excitée.

Apparemment Karim est au courant, il l’appelle.
— Allô ?
— Oui ??? Il ne répond pas tout de suite, la faisant presque languir.
— C’est moi… Karim ……….
— Je t’envoie une adresse par SMS, je t’y attends dans 30 minutes…
Et il raccroche. Le cœur d’Elsa s’emballe de nouveau. Une petite sonnerie lui indique qu’elle vient de recevoir un message. Il y a indiqué l’adresse suivi de ces mots : En robe et sans rien dessous.

Elle frissonne en le lisant et part se changer. Elle se parfume, elle se fait la plus jolie possible en si peu de temps. Elle enfile une petite robe noire boutonnée sur le devant et une paire d’escarpins. Comme il le souhaite elle ne met rien sous la robe.
Elle prend sa voiture et file à l’adresse indiquée.
Il s’agit d’un petit immeuble devant lequel stationne quelques voitures et plutôt mal entretenu.
Elle a des nœuds dans le ventre en s’avançant vers la porte. Elle sonne et quelques instants plus tard, la porte s’ouvre. Un grand noir, lui ouvre et la jaugea des pieds à la tête. Elle a un instant de panique et reste figée sur le pas de la porte.

— Karim c’est pour toi dit il en se retournant vers l’intérieur de l’appartement. Il retourne d’où il vient et la laisse devant la porte grande ouverte. Elsa est déconfite et alors qu’elle s’apprête à prendre ses jambes à son cou, elle entend une voix l’interpeller.
— Entres et fermes la porte derrière toi !!

Karim est là. Il est vautré dans le canapé avec ses potes et ils regardent tous son smartphone. L’entrée d’Elsa est alors très remarquée. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il y ait autant de monde. Son Karim est accompagné de ses deux copains Juju et Trésor mais il y a aussi d’autres hommes qu’elle ne connaît pas. Karim se lève pour venir à sa rencontre tandis qu’elle entend des remarques plus ou moins salaces sur sa tenue. Karim leur fit signe d’être plus discret mais elle n’y prête guère attention, obnubilé par son bel amant qui s’avance vers elle. Tous les yeux sont pourtant rivés vers elle et cela aurait dû l’interpeller mais elle est déjà ailleurs, dans les bras de son homme.
Karim l’invite à venir s’asseoir sur le canapé. Sur la table, il y a plus de bouteilles d’alcool que d’invités et des joints tournent déjà.

On lui sert une vodka orange puis on lui tend un joint puis de nouveau elle boit un autre verre. En peu de temps la tête lui tourne. Les hommes rient et la musique forte couvrent leurs discussions mais malgré tout souvent elle entend mon nom. Elle ne comprend pas ce qu’ils disent, ses pensées sont embrumées par l’alcool.

Karim la prend par la main et l’aide à se relever. Elle le suit docilement, titubant quelque peu. Il pousse la porte d’une chambre très sombre et sitôt celle-ici refermée, il l’enlaça. Elle se laisse embrasser tandis que ses mains glissent dans son dos et sur ses fesses. Il la pousse sur le lit et elle sent ses mains dégrafer sa robe. Ses mains remontent le long de ses cuisses et les écartent. Elle sent alors sa bouche se poser sur son sexe et sa langue se mettre à fouiller son intimité. Elle se met à gémir sous cette caresse, glissant sa main dans ses cheveux. Elle sent son sexe se lubrifier à chaque coup de langue sur son clitoris. Il se relève alors elle l’observe du coin de l’œil se déshabiller. Il se rapproche de nouveau d’elle, elle le sent alors se positionner entre ses cuisses. Il frotte son sexe contre le sien et s’y enfonce lentement. Elle pousse un petit râle de satisfaction. Ça y est il est désormais complètement dans son puits d’amour. Il fait alors de lents vas et viens. Une douce chaleur irradie tout son bas ventre.

Elle s’agrippe alors à ses hanches et accompagne chaque mouvement. Il se met à aller et venir avec plus de force et de rythme. Elsa gémit sous ses coups de reins. Il lui fait l’amour pendant de longues minutes, la fait se retourner et s’agrippe à ses hanches pour la prendre plus fort. C’est délicieux et même si elle n’a pas trop les idées claires avec l’alcool qu’elle a dans le sang, elle ressent un orgasme monter à le sentir aller et venir en elle. Il donne un dernier coup de reins et s’immobilise, elle sent les spasmes de sa verge en elle. Il est entrain de jouir au fond de sa grotte pendant que son orgasme éclate. Il se retire et l’embrasse dans le cou.
Karim attrape une serviette de toilette qui ce trouve sous le lit. — Soulève tes fesses et met ça en dessous pour ne pas salir les draps car ce soir j’ai un énorme envie de toi ! Il reste un instant contre elle tandis qu’elle somnole. Elle le sent se relever et se rhabiller puis quitter la pièce. Elle ne réagit pas et reste allongée sur le ventre, nue.

Quelques instants plus tard, la porte se rouvre puis se referme rapidement. Elle sent ses mains se poser sur ses cuisses et remonter vers son entrejambe. Ses doigts glissent sur ses lèvres et entrent dans sa grotte poisseuse, ce qui la fait sortir de sa léthargie. Elle se cambre davantage, remonte ses fesses pour mieux accueillir la caresse. Ses doigts se mettent à fouiller son intimité. Ils glissent facilement. Il se redresse, elle l’entend se déshabiller. Il la saisit par les hanches et la tire vers lui. Elle se retrouve alors à quatre pattes sur le lit.
Il la pénètre brusquement, s’enfonçant dans son puits d’amour humide de sa dernière visite jusqu’à la garde lui arrachant un cri petit de surprise. Il se met alors à la baiser à grands coups de reins, la fait tressauter sur le lit, s’agrippe fermement à ses hanches. Elsa jouit encore, étouffant ses cris dans l’oreiller face à elle. Son sexe tape au fond de son vagin, lui procurant comme des petites décharges électriques. Elle a l’impression qu’il est plus long que tout à l’heure mais elle penses que c’est le fruit de son imagination. Il s’agite encore un moment puis soudain, elle l’entend alors étouffer un râle et elle sent les giclées chaudes de son sperme s’écraser au fond de sa grotte. Sitôt fait, elle l’entend se rhabiller et avant même qu’elle n’a eu le temps de dire ouf, elle entend la porte de la chambre se refermer. Elle s’écroule sur le lit morte de fatigue.
Dehors la nuit est tombée et la chambre est désormais plongée dans la pénombre. Alors qu’elle somnole de nouveau, la porte s’ouvre et le filet de lumière la réveille. Elle voit une ombre pénétrer dans la chambre puis la porte se referme.
— Vient mon chéri………. Lui dit elle en lui tendant la main.

Il laisse sa main glisser sur son dos jusque dans ses cheveux qu’il caresse doucement. Elle entend alors le zip de sa braguette puis le bruit de ses vêtements glissant à terre. Sa main prend la sienne et il la pose sur son sexe endormi. Elle le branle doucement, elle le sentant gonfler entre ses doigts. Elle le sent se rapprocher encore, elle ouvre naturellement sa bouche pour l’accueillir. Elle se met à le sucer avec plaisir, le sentant encore grossir dans sa bouche. Cela dure plusieurs minutes jusqu’au moment où elle sent son sperme chaud couler dans sa gorge. Il n’a pas émis un seul son et tandis qu’elle s’essuie la bouche, elle voit la porte s’ouvrir et son ombre disparaître puis revenir vers elle.
— Alors ma belle lui demande Karim… La soirée te plaît ???
—OOH!!! Oui… Tu es incroyable… Viens contre moi… Lui susurre t elle……..
— Tient ! Bois ça ! Ça va te rafraîchir…… Il lui fait boire un grand verre de vodka a l’orange.
— Attends moi !!! Je reviens dit il avec un large sourire.

Elle l’entend ressortir puis quelques secondes plus tard entrer de nouveau. Il s’allonge contre elle et l’embrasse dans le cou. Elle se retourne face à lui, les yeux fermés. Elle se sent bien dans ses bras. Il termine de retirer ses vêtements et s’empresse de lui peloter les seins, les comprimant puis les embrassant. Elle sent contre elle son sexe dur de nouveau. Elle s’en saisit. Il parait encore plus gros que tout à l’heure, elle peine à en faire le tour avec sa main. Elle embrasse son torse et descend vers son sexe. Elle ouvre la bouche et le fait glisser dedans. Il s’étouffe, elle ne le garde pas longtemps, peinant au niveau de ses mâchoires. Il se redresse alors et la fait basculer sur le lit. Elle sent tout son poids s’écraser sur elle. Elle ouvre les yeux. Il fait désormais complètement noir, elle ne devine qu’une ombre massive au dessus d’elle. Son sexe se fraye un chemin dans son puits d’amour.

Pour la troisième fois de la soirée, elle sent son sexe entrer en elle et à chaque fois les sensations sont nouvelles. Il lui fait l’amour lentement et au bout de plusieurs minutes, elle sent une sensation qu’elle connaît bien désormais, parcourir son corps et soudain c’est comme une explosion au creux de ses reins. Elle jouit une nouvelle fois sans aucune pudeur, elle crie son plaisir !!
Son amant ne s’arrête pas pour autant et continue ses vas-et-viens tandis que son corps est secoué de spasmes délicieux. Il finit par s’arrêter et attrape sa main. Elle prend de nouveau son sexe entre ses doigts, elle le branle énergiquement au dessus de son ventre. Le premier jet de sperme va s’écraser sur ses seins puis plusieurs autres coulent sur son ventre

Elle l’entend à peine gémir, simplement sa respiration s’accélère. Il se retire du lit et elle le voit quitter la pièce. Dans l’embrasure de la porte tandis que la lumière du couloir l’éblouit, elle ne reconnaît pas la silhouette de Karim. Elle a l’impression de voir quelqu’un d’autre, quelqu’un de plus costaud, comme son ami Trésor.
Elle reprend peu à peu ses esprits cherchant de quoi s’essuyer, du sperme coule sur sa peau. La porte s’ouvrit de nouveau. Karim apparaît à contre jour.
— Alors ma belle !!! Toujours d’attaque ?? Lui demanda-t-il
— Euh !! J’avoue que tu ne me laisses pas beaucoup de répit………..
— Ce n’est pas fini, j’ai pris de quoi t’honorer encore plusieurs fois, je vais te remplir les boyaux met toi en levrette j’arrive……
— OH ! Oui mon chéri je suis à toi….
La porte s’ouvre et ce referme encore rapidement, le couloir est éteint, il n’y a qu’une faible lueur qui pénètre dans la chambre.

Son Karim pense t’elle, s’est mis devant son petit trou et a commencé la pénétration anal, Elsa lui dit d’aller doucement, il lui rentre plus de vingt centimètres dans les fesses, elle ressent son membre jusqu’à la hauteur de son nombril, elle sent ses couilles sur les lèvres de sa moule qui suinte de sperme. Elsa joui sur le champs sans même un mouvement de sa part un orgasme doux qui vient du bas du ventre et qui la laisse toute chose et étonné.
Son amant toujours au fond de son conduis anal commence à la baisé pour de vrais. Ça oui qu’il a commencé, son sexe très long sort presque de son cul et revient jusqu’au fond pendant plusieurs minutes.

Et cette sensation de ce sexe qui lui perfore les intestins, l’excitation de le sentir sur toute sa longueur, là Elsa s’est mise a déliré complètement l’orgasme lui vient du tréfonds des entrailles, par le cul, le vagin, le clitoris, le ventre ça lui monte jusqu’au visage, elle est l’orgasme en entier. Elle ne sait plus ou elle, elle est sur une autre planète, elle jouit interminablement.
Elsa tremble de partout, qu’elle est en extase qu’elle n’arrête pas de dire à Karim : — Plus fort, défonce moi, encule moi, je ne sens même pas ta bite m’est la moi plus profond.
Elsa ne ressent aucune douleur, le sperme de son Karim lui coule dans son vente, elle est heureuse et elle a l’orgasme le plus incroyable de sa vie de salope.
Maintenant grâce à ce traitement de choc Elsa a l’anus très souple, elle peut se faire sodomisé pendant des heures et de plus elle peut encaisser des sexes très long, plus de vingt cm.
Et l’expérience lui confirmée que plus la pénétration anal et profonde et plus son orgasme et démesuré.

Son amant c’est retiré de son fondement, Elsa reste comme ça la croupe en l’air que son amant sort de la chambre. Elle n’a pas le temps de réalisé ce qui ce passe que la porte vient de ce s’ouvrir et ce refermer aussi vite.
Elsa dans les lymphes de son dernier orgasme met un temps a réagir. Une autre belle queue s’enfonce dans son anus déjà bien dilaté. Ça l’excite au plus point et après un court moment, elle sent en elle un autre orgasme venir. Elsa crie à son enculeur qu’elle être Karim de lui défoncé le cul plus fort. Pendant qu’il lui défonce complètement l’anus, elle se met à jouir pour la deuxième par le cul comme j’aimais, pleine de sperme incroyable plaisir le top.

Un bruit de pantalon qui ce remonte la porte s’ouvre et se referme.
Un bruit de pantalon qui tombe et un autre homme se met derrière elle et l’encule sans ménagement. Donc Karim vient dans son cul pour la troisième fois ? Là il y a un problème pense Elsa qui se rencontre cette queue qui la bourre est énorme ? Mon dieux comment celle-là elle la sent lui remplir son conduit intestinal, elle a mal et en même temps elle veut a tout pris jouir une autre fois avec ce monstre qui lui dilate le sphincter au point limite. C’est reparti pour un orgasme fulgurant à lui couper le souffle. Elle est sur maintenant que ce n’est pas Karim qui la sodomise.
Pendant son orgasme, Elsa n’a pas vu la porte de la chambre s’ouvrir une nouvelle fois.
Celui qui s’active dans son cul jouit et laisse sa place.

Il se rapproche d’elle et l’embrasse.
— Comment trouves tu cette soirée !
— Incroyable grâce à toi !! lui dit elle amoureusement…
— Pas que grâce à moi lui dit il ???
— Pourquoi tu dis ça lui demande Elsa sans trop comprendre…
— Bien !!! Après notre premier câlin,… Tu as aimé les suivants…
—OOH!!! Oui………….. C’était très bon !!!
— Bien les suivants ce n’était pas moi !!
— Quoi !!!??

Prise de panique, elle se redresse. Les effets de l’alcool ce sont estompé d’un coup. Elle se rend alors compte qu’elle a été dupée et que Karim l’a attiré ici pour que ses amis profitent d’elle. Elle comprend alors l’horreur de la situation. Elle été abusée par plus de trois autres hommes ce soir.
Karim lui dit de ce calmer mais elle se met à le taper de toutes ses forces, lui criant que c’est un salaud !! Elle tente de retrouver ses vêtements, elle n’a plus qu’une idée, fuir ce lieu. Il la rattrape avant qu’elle ne sorte de la pièce.
— Allez t’énerves pas ma belle, c’est pas comme-ci tu n’avais pas aimé !!! T’as pris ton pied, tout le monde t’a entendu !!
— T’es qu’un salaud !! vous êtes tous des salauds !!!
— Toi une sacré salope !! Tu as aimé nos queues et maintenant tu joues les saintes nitouches !!
— Vous m’avez trompé, vous avez abusé de moi !!
— Et alors ??? Lui dit il, dit pas que ça ne t’a pas plu !!! Tu as adoré te faire sauter comme une chienne !! Comme avec Juju, l’autre jour.
Ce salaud a raison, ce soir, elle a découvert des plaisirs incroyables… Mais ce n’était pas une raison, il n’a pas le droit de lui faire ça !!

Karim la serre dans ses bras. Il est derrière elle et elle sent que ce salaud bande contre ses fesses !
— Allez calmes toi… Tu as pris ton pied et nous avons a pris le notre… Avoues que c’était bon et que tu as aimé ça !
— Le problème n’est pas là… Je passe pour quoi moi maintenant !!??
— Pour ma petite pute blanche !!… T’es faite pour le sexe… Je l’ai vu dès le premier jour !!
— Non mais ça va pas ??!! je suis pas une pute !!
— Bien sûr que tu n’es pas n’importe quelle pute !! Tu es ma pute !!!
Ce salaud a encore abusé d’elle à son insu et la considère désormais comme sa pute ????

Elsa le repousse mais il continue de la tenir fermement, son sexe ne cesse de grossir contre ses fesses. Il la plaque alors contre le mur et avec ses pieds il écarte ses jambes. Son sexe trouve directement le sien et il la pénètre d’un coup. Une nouvelle vague de chaleur la submerge. Elle tente en vain de le repousser, mais il se met alors à la baiser avec force lui arrachant des gémissements de plaisir. La situation l’excite au plus profond de son être et cette soirée restera gravé à jamais dans sa mémoire.

Karim se met à la pilonner avec la régularité d’un métronome. Elle le supplie d’arrêter et l’instant d’après de continuer. Elle ne contrôle plus ses sens. Il l’attire sur le lit. Elle l’enfourche et laisse sa queue s’enfoncer en elle. Il plaque ses mains sur ses seins et les triture sans ménagement agaçant les tétons durcis.
Elle sent une nouvelle fois un orgasme monter en elle et c’est comme une délivrance lorsqu’il éclate au creux de ses reins. Avant qu’il ne jouisse à son tour, elle se retire et se précipite sur son sexe tendu. A quatre pattes sur le lit, elle se met à le sucer attendant avec impatience qu’il ne crache sa semence.

Dans l’excitation, elle n’a pas vu que la porte de la chambre s’est ouverte. Les amis de Karim sont là à contempler le spectacle. Elle sent alors les mains d’un des hommes se poser sur ses hanches et l’instant d’après son sexe la pénètre. Elle ne se retourne même pas pour voir la tête de son baiseur. La scène excite encore davantage Karim qui se met à jouir dans sa bouche en plusieurs jets épais.

C’est au tour de deux blacks superbement montés de se présenter. Ça elle ne le voit pas elle a toujours la croupe en l’air, et le ventre rempli du sperme de ses trois visiteurs.
Elsa a l’anus un peu douloureux après trois sodomies. L’un d’eux s’introduit dans le fondement d’Elsa qui gémit sous la grosseur de l’intromission. Mais le sperme déjà présent dans son cul facilite le glissement de la queue et elle peut apprécier d’avoir un tel engin dans son anus. L’enculeur l’attrape par les cuisses et en deux temps trois mouvement, Elsa ce retrouve le dos allongé se sur le torse de son sodomite. Il lui tient le genoux écartés. Quand Elsa entend le bruit d’un pantalon qui tombe au sol et qu’elle sent deux autres mains empoignées ses hanches, elle se dit qu’ils vont la prendre en sandwich.

Celui qui est devant Elsa frotte son gland sur ses lèvres intimes maculées de sperme. Puis il place son gigantesque sexe sur la rondelle de la femme et commence à pousser.
Le sphincter résiste mais en appuyant de tout son poids, le noir vainque la résistance du muscle. — Karim ! Karim ! Non pas ça ! Non ! AARGN !! Karim !!! La suppliciée hurle de douleur mais son bourreau fait pas cas de ses plaintes, il continue sa progression dans ses boyaux. Il ne s’arrête que lorsque son pubis touche les fesses d’Elsa.

Ses tourmenteurs commencent a bouger en cadence et bientôt la salope pousse des hurlements de jouissance de se faire si bien baiser. Au bout d’une dizaine de minutes les deux hommes qui s’occupent de son orifice jouir et laissent la place aux suivants. Voyant son goût pour la sodomie, ceux qui n’ont pas encore joui se mettent en file indienne et l’enculent à tour de rôle la faisant crier comme une chienne en chaleur ! Quand le dernier eut décharger, l’anus d’Elsa est béant et laisse échapper des flots de sperme. C’est alors le défilé de bites dans sa bouche et dans sa grotte trempée et dans la porte arrière de ses reins. Les six hommes la baisent une bonne partie de la nuit, se relayant pour la faire jouir. Il la prenne même à plusieurs ensemble, c’est deux puits sont comblés. Elle n’est plus qu’un objet sexuel dans leurs mains, Elle est devenu en l’espace de quelques heures la nouvelle pute de Karim comme ils aiment le lui dire.

Un homme qui a les mains deux fois plus grosses que la moyenne, veut lui fister ses deux puits d’amour. Elsa est remise en position levrette et l’homme aux battoirs prend place. il commence a introduire sa main dans le cul d’Elsa grogui par tant d’orgasmes, mais le sphincter résiste. L’homme pousse plus fort et le muscle cède libérant le passage à la main inquisitrice. Elsa hurle de douleur mais son tourmenteur continue sa progression jusqu’à avoir la moitie de son avant bras dans son fondement. Il place son autre main dans le vagin et réussi plus facilement a rentrer. Ne s’arrêtant que lorsque qu’il touche le col de l’utérus, l’homme commence a la fouiller sans ménagement entrant et sortant des orifices. Heureusement, la lubrification spermatique facilite le coulissement des deux mains dans le corps de la femme. Celle-ci crie maintenant de plaisir de se faire si bien fister. Les autres hommes ayant repris de la vigueur se positionnent en file indienne et se mettent a lui baiser la bouche en la tenant par les cheveux. Ils se vident une nouvelle fois les couilles et Elsa réussit a presque tout avaler en entier sauf pour le dernier ou elle laisse s’échapper du sperme. Son tourmenteur fisteur retire ses mains des orifices d’Elsa. Ils se rhabillent en remerciant Elsa pour le plaisir qu’elle leur a donner. Elle est toujours allongée sur le lit ravager ses orifices béants et son maquillage défait. En se redressant péniblement, elle se blottit dans les bras de son maquereau d’amant et lui déclare qu’elle n’a jamais autant joui de sa vie.
Avant de quitter l’appartement au petit matin, il lui donne rendez-vous au même bar en début de soirée.

CHAP 5

Au téléphone, il lui donne de nombreuses précisons quant à sa tenue. Elle doit porter une jupe portefeuille, chausser avec des sandales ajourées aux demi talons et aussi être jambes nues. Pour le haut, un fin débardeur à bretelles fines pour laisser ses épaules nues.
C’est, celui dont les échancrures sous les bras sont très larges, il laisse facilement montrer ses seins. Pas de soutien gorge bien sûr ni de culotte. Rien que lui donner tous ces détails l’a mise en folie. Elle tremble, la main crispée sur le combiné. Il a un ton péremptoire, suffisant.
— Je suis certain, ma chérie, que tu mouilles déjà ! La nuit va être chaude, mais prend une petite veste, il risque de faire frais au petit matin.
Elsa comprend que Karim a l’intention de la faire découcher. Cela l’angoisse car elle ne pourra pas répondre quand son Jacques lui téléphonera, comme c’est l’habitude quand il s’absente. Karim le sait, car il lui conseille de mettre sa ligne fixe en dérangement et de ne pas oublier son portable.

A vingt heures, elle rentre dans le bar. Elsa est morte de trouille. Sa veste est à peine plus longue que sa jupe ce qui fait croire qu’elle ne porte rien en dessous. Plusieurs types la sifflent dans la rue.
Elsa est déjà toute excitée, soumise, sans plus aucune volonté. Cet homme est le diable en personne. Il suffit qu’il la regarde pour qu’elle succombe.
De loin, il lui fait signe sans aucune discrétion, de venir le rejoindre à sa table. Il parle très fort pour bien attirer l’attention des clients du bar sur Elsa. Elle sent les regards la déshabiller, elle a honte mais en même temps elle mouille. Elle a les jambes qui tremblent, ses muscles sont tendus. Elle pense qu’elle va jouir au milieu de la salle. Il l’a fait asseoir en face de lui, dos à la salle. La chaise sur laquelle elle est assise est en bois comme bien souvent, le dossier est ajouré, une seule traverse au niveau des épaules. Toujours d’une voix forte il lui dit :
— Tu aimes montrer ton cul non ? Alors maintenant, tu vas relever ta jupe et t’asseoir à même la chaise. Doucement !

Il sourit l’air vicieux et satisfait. Elsa est à sa merci, il le sait bien. Toute la salle a dû entendre son injonction, mais au lieu de l’accabler, cela l’excite encore plus. Elle sent tous les regards portés sur elle.
C’est facile avec sa jupe portefeuille. Rouge de honte, elle n’a pas hésité une seconde. Elle a juste soulevé légèrement ses fesses pour ne pas risquer l’attentat à la pudeur, elle a dégagé son cul. Le froid du bois la fait frissonner. Il lui demande ensuite d’enlever sa veste. Elsa comprend la raison : Montrer alentour qu’elle est cul nu. Une fois ôtée, il lui a prise. Elle ce doute bien que derrière son dos, on regarde son cul nu ! Elle est sans réaction.

Ils vont consommé, Karim commandé pour Elsa un double whisky. Sans doutes pour diminuer ses facultés de révolte, si tant qu’elle en a encore. Le garçon, que Karim appelle par son prénom, est venu les servir avec un sourire qui en dit long, partagé entre l’envie de mater et celle d’éviter le scandale.
— Elle est belle hein ? Elle est mariée, elle va faire un cocu de plus. Hein Elsa ?
— Oui, Karim.
— Tu es une bonne petite. Lève un peu ton bras pour montrer tes seins à mon pote.
C’en est trop, les larmes de honte montent aux yeux d’Elsa, mais ce salaud sait que cela l’excite davantage. Le whisky commence à faire son effet. Elsa ce sent en même temps bien, légère complètement désinhibée. Lentement sans ce retourner, elle soulève le bras du côté du garçon pour lui offrir de voir sa poitrine nue dans la large échancrure du débardeur. Le gars reste quelques secondes à mater avant de s’éloigner.

En vacance au bord de la mer, plusieurs fois elle a exhibé ses seins sur la plage, à chaque fois c’était toujours aussi excitant pour elle de ce savoir désirée. Mais cette fois c’est encore plus fort sans vraiment savoir pourquoi.
Karim lui demande de régler les boissons, il se conduit comme le maître, le propriétaire. Une humiliation de plus ! Il a annoncé qu’ils partent chez lui. Panique. Il garde sa veste, Elsa ce lève consciente que ses fesses vont être visibles pour toute la salle. La tête lui tourne mais ce n’est pas simplement l’alcool qui l’étourdit.
— Je vais te baiser comme une chienne dit-il tout haut, avant de sortir du bar.

Elsa a juste eu le temps de voir des sourires grivois parmi certains clients du bar. Ils vont chez Karim avec sa voiture. Il lui fait enlever son débardeur, elle reste seins nus pendant tout le trajet. Arrivés devant chez lui, il lui a juste rendu sa veste pour gardé son débardeur.
— Laisse-la déboutonnée, on ne sait jamais, une connaissance, un voisin serait sans doute content de te voir ainsi les seins à l’air.
Ses mots vulgaires, Elsa les aime, ils l’étourdissent.
Elle a peur, car si on la voit, cela peut venir aux oreilles de son mari. Pour autant, elle obéit sans hésiter. Ils ont dû marcher car il a garé sa voiture assez loin. Heureusement ils ont croisé personne. Dans le couloir, il lui a demandé d’enlever la veste, de rester seins nus comme dans l’auto. Un voisin peut sortir, la voir ainsi. Tout cela trouble Elsa. Elle a hâte d’être chez lui pour qu’il la baise, elle n’en peut plus d’attendre.

Elsa vient de comprendre que ça l’excite aussi, de te faire cocu son Jacques.
A peine fermée la porte de son appartement, elle veut lui sauter dessus tellement elle est en manque. Elsa veut retrouver cette queue qui l’a tant fait jouir. Car, malgré tous ses efforts, elle n’a pas réussi à l’oublier. Dans le couloir, il l’a plaque contre le mur, il n’a qu’à écarter les pans de sa jupe portefeuille pour atteindre son puits d’amour tout mouillé. Il y enfonce son majeur dans ce puits ruisselant.
Karim la doigte avec violence sans se préoccuper s’il lui fait mal.
Elsa est comme folle de désir. Il lui prend la bouche, l’embrasse. Elle a du mal à respirer.
Il la traite de salope, de pute.

Ensuite, il enlève sa jupe, la prise à la taille. Il lui demande de sortir sa queue. Tout de suite quand elle sent sa bite toute dure dans ses mains, elle n’a plus qu’une envie, la sucer, la prendre en bouche. Elsa s’accroupit, elle regarde un instant cette queue devant son visage puis elle l’enfourne dans sa bouche qui ce déforme par la taille de l’engin. D’une main elle la branle, de l’autre elle joue avec ses couilles. Il lui dit :
— Vas y petite salope, suce bien la queue de ton Karim. Elle est bien plus grosse que celle de ton mari. Je veux que tu me dises que tu le méprises depuis que tu m’as rencontré.

Elsa est trop absorbée par ce qu’elle fait pour lui répondre. Elle la prit entièrement dans sa bouche ce qui la dispense de répondre. Elle lèche, engloutit, aspire pour lui pomper sa semence. Il lui ordonne de ce caresser la chatte en écartant bien les jambes. Voilà nôtre Elsa accroupit, la chatte bien ouverte. Il ne lui faut que quelques minutes pour avoir un premier orgasme. Karim l’a prend aux cheveux pour la plaquer contre son ventre pour l’empêcher de reprendre son souffle. Elsa a des hauts de cœur, des hoquets, mais il la maintient. Un moment elle panique car elle imagine qu’il peut la tuer. Puis il l’a libère, l’a redresse, l’a plaque nouveau contre le mur. Il lui prend une jambe, l’a lève très haut pour l’ouvrir. Elsa s’accroche à son cou, son autre jambe, sur la pointe du pied, touche à peine le sol. Là, il l’a pénètre d’un seul coup, sa bite plantée jusqu’à la garde.

Elle ne ce souvient plus d’avoir été autant remplie. Elle sent son sexe dur, tendu, énorme en elle. Il s’est mis à lui limer le vagin tout en vomissant des mots orduriers.
— Putain que t’es bonne ! Ta chatte est bien étroite ? Ce n’est pas la petite bite de ton mari qui peut te dilater la moule comme moi.
C’est vrai qu’elle ce sent écartelée, que les frottements de sa queue lui brûlent les muqueuses vaginales. Il n’arrête pas non plus de lui parler pour l’a déstabilisée.
— Tu sens bien mon bâton comme il est dur, qu’il ramone bien ta chatte. Ce n’est pas ton cocu de mari qui peut le faire.

Elsa a presque immédiatement un autre orgasme, très fort. Puis quand elle reprend ses esprits il s’est retiré, l’a prend par la taille, l’a pousse sur le lit, l’a couche sur le dos, passe ses cuisses sur ses épaules, là, il s’introduit à nouveau en elle d’un seul coup. Et tout au fond. Elsa ce sent entièrement remplie. Elle retrouve les mêmes sensations que quand il l’a baisée chez elle. Allongée, entièrement offerte, elle entend le bruit que fait sa mouille, à chaque fois que sa bite entre ou sort de son puits d’amour. Très vite Karim lui crie qu’il va la remplir de son sperme pour l’engrosser. C’est à ce moment qu’elle réalise qu’elle a arrêté la pilule. Elle calcule rapidement qu’elle n’est pas dans une période de fécondation. Mais comme elle n’est jamais sûre des dates, elle panique et lui demande de sortir pour éjaculer.

Ce salaud refuse ! Il lui dit :
— Il faut assumer ma salope ! Et ton mari aussi ! Il suffira de lui faire croire qu’il est le père.
— Non ! S’il te plaît, c’est trop grave. S’il l’apprend, il me tuera !
Cet argument porte ses fruits. Il sort pour éjaculé une quantité énorme de sperme sur son ventre, ses seins, elle en a même reçu des giclées sur le visage ! Mais, cette fois Elsa n’a pas joui. La peur a été la plus forte. Il a jouit mais pas elle. Elsa a eu très peur qu’il l’engrosse en se vidant dans son puits d’amour. Elle a bien vu qu’il est en colère. Il regarde sa montre, un sourire pervers apparaît sur son visage.
— C’est l’heure, ma petite surprise est prête. Rhabille-toi.
Elle passe sa jupe et son débardeur. Il lui tend sa veste.
— Passe tes chaussures aussi.

Son ton est autoritaire, cela réveille ses envies. Elle se sent mouiller à nouveau. C’est son regard lubrique qui la rend alors folle. Elle s’entend lui demander :
— Tu vas encore me faire l’amour hein ?
Elsa dit cela naturellement alors qu’elle est honteuse de quémander. Mais ce soir c’est plus fort que tout. Elsa est chaude, elle veut de la bite.
— Évidemment ma petite salope. Toute la nuit. Quand tu vas rentrer demain, il te faudra plusieurs jours pour récupérer. Tu auras la chatte et le cul tellement dilatés, que ton mari nagera dedans s’il est encore capable de te baiser !!

Ces mots, au lieu de la mettre en rage, l’excitent davantage.
Elsa vient juste de finir de passer ses chaussures que la sonnette de l’appartement ce fait entendre. Elle a brusquement peur, elle redoute alors ce qu’il a pu imaginer comme surprise. Il se lève pour aller ouvrir. Elle l’entend parler, des voix lui répondre. Elle distingue deux autres voix.
— Vous allez voir, elle est à point. Je vous l’ai chauffée, elle est brûlante. Vous pouvez tout lui faire subir, c’est une vraie cochonne, mal baisée.

Quand ils apparaissent dans la pièce, Elsa croit mourir ! Ce sont les deux types qui étaient au bar, à la table voisine quand il l’a revue la première fois. Ceux à qui il a montré ses seins en l’embrassant par dessus la table. Quand Elsa est partie, il leur avait adressé un sourire complice dont elle connaît maintenant la teneur. Une fois la surprise passée, la pensée qu’elle va ce faire baiser par ces deux types lui arrache déjà des soupirs de plaisir. Elsa a encore envie de faire l’amour. Elle veut de la bite, là elle sait qu’elle va en avoir, elle va encore faire l’amour.
— Je vois que tu as reconnu tes deux voyeurs du bar. Ils m’ont demandé s’ils peuvent en voir plus et j’en ai conclu que je ne peux pas leur refuser ce qu’ils désirent. Surtout que, te sachant chaude, tu sera toi aussi demandeuse. A vous messieurs, moi je regarde, j’ai déjà consommé.

Les deux types ont commencé par la scruter avec un sourire qui en dit long sur leurs intentions. Le premier à parler s’est adressé à Karim sur un ton narquois.
— Tu crois qu’elle va accepter de nous faire un strip-tease ? J’ai envie de la voir se foutre à poil lentement avec des gestes de pute.
— Vous n’avez qu’à lui demander vous-même répondit Karim. Elle est entièrement à disposition de vos fantasmes.

Elle voit bien que Karim cherche à l’humiliée, cela faisait partie de son jeu pour la soumettre. Il parle d’un ton sadique, méprisant. Le type s’est alors tourné vers Elsa, lui ordonne de ce déshabiller. Elsa doit bien ce l’avouer à nouveau que la situation l’excite de plus en plus. Être le jouet de ces hommes, soumise, docile, la réduit à un simple objet sexuel. Cette humiliation au lieu de provoquer une révolte, la pousse à jouer le jeu. Elle réalise à cet instant que plus on l’humilie, plus elle jouit.

Alors ?? Elle commence par enlever sa veste. Doucement, en dégageant un à un ses bras. Elle tourne sur elle-même pour ce faire valoir. Karim est assis sur le lit, les deux autres sur des chaises. C’est alors qu’elle constate qu’un des deux gars a son portable à la main et qu’il filme son effeuillage. Elle ne dit rien, elle n’imagine pas ou que cela peut l’entraîner par la suite. Ensuite elle enlève sa jupe. Elle trouve que nue à partir de la taille doit être très excitant pour eux.
Elle ce met à danser sur une musique imaginée. Elle aime être là, elle sait qu’ils vont la baiser et cela l’encourage. Un des deux types a ouvert sa braguette et exhibe une bite d’une belle taille. Il bande droit. Elle n’arrive pas à détacher ses yeux de cette queue qui se dresse grâce à elle. Pour elle !!! Elle ce fait encore plus salope. Malgré elle, elle sourit, elle aime cette situation !! Tout en gardant ses chaussures, elle fait lentement passer son débardeur au dessus de sa tête en poursuivant sa danse entièrement nue. Le type qui filme a aussi sorti sa bite avant de lui dire :
— Approche salope, vient me sucer.

Sans attendre elle ce met à genoux devant lui. Elle lui saisit son sexe dans une main, de l’autre, elle tire délicatement sur le prépuce pour décalotter le gland. Quant il est apparu, elle commence par lui donner de petits coups de langue. Très vite, il s’échappe du méat le liquide séminal. Il sent fort avec un goût plutôt salé. Le gland découvert, elle voit que ce type n’est pas un adepte des soins intimes. Un peu écœurée, elle le gobe quand même entièrement. Elle creuse ses joues pour bien pomper le liquide qui sort déjà abondant de ce gland. Elsa est là, à vouloir le traire pour récolter sa liqueur.

C’est alors que le second ce manifeste. Elle voit qu’il passe son téléphone à Karim qui tout de suite comprend qu’il doit continuer le film. D’abord il ce penche vers Elsa pour lui peloter les seins. Puis il l’a prend aux cheveux pour l’arracher de la bite de son copain et l’invite à le sucer à son tour. Sa queue est plus petite, pas plus propre, mais il a des couilles énormes. Elle les prend en main pour les faire ballotter. Cela a dû lui plaire car aussitôt elle l’entend gémir de plaisir. A son tour elle le pompe littéralement pour faire jaillir sa semence. Mais elle ne veut pas les faire jouir trop vite. Elle veut qu’ils lui fassent l’amour tous les deux. Elle veut qu’ils la prennent, la fassent jouir, comme avec Karim et Lulu ensemble, elle en devient fiévreuse d’impatience. Elle entend Karim qui ricane derrière elle. Il est le mac, le propriétaire et en cet instant Elsa ne veut rien d’autre que lui appartenir.
Les voilà bien raides tous les deux ! Elle les suce à tour de rôle. L’un en bouche, elle branle l’autre, et ainsi de suite. puis ils décident qu’elle va les sucer tous les deux en même temps ?? Impossible ?? Ces deux engins dans sa bouche, ça ne rentrera jamais ! Si si… les deux glands et sa langue se bousculent dans sa bouche, elle est en extase, elle sent leurs mains qui la caressent, une sur ses seins, une sur ses fesses, une sur son ventre, une dans ses cheveux, une sur son clito, une sur son anus… ils sont partout les cochons !!!

Voilà qu’un mec entreprend de lui offrir un cunnilingus ! Elle est accroupie en train de sucer l’autre, il s’allonge sous Elsa pour placer sa langue dans sa grotte humide ! Elle passe et repasse sur ses lèvres gonflées, titille son clitoris avant d’entrer dans son puits d’amour… quel délice !
Celui qu’elle suce se décale et la pousse vers l’avant, hop ! Voilà nôtre Elsa dans la position du soixante neuf avec le mec qu’il lui lèche la moule, Elsa est au bord de l’orgasme quand elle sent la bite de l’autre mec pousser aux portes de son jardin secret ! Il l’a enduite de salive, elle entre dans son petit trou presque d’un coup !

Elsa jouit instantanément ! Tout son corps s’est bandé, serré, puis relâché comme si elle était emmenée par une vague. Mais ils ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits.
Un mec l’encule pendant qu’elle suce le manche de l’autre.
Celui qui la sodomise se retire. L’autre en profite pour retourner Elsa comme une plume… Elle se retrouve à califourchon avec sa bite bien au fond de son puits d’amour, Elsa est en train de prendre son pied comme une petite chienne pour la première fois ce soir !
Une grosse bite au fond de la gorge arrête son cri, l’autre esseulé enfourne son membre dans sa bouche, elle bave dessus abondamment pendant qu’elle reprend une couleur propre.

Une fois bien propre comme un sous neuf, il s’assoit sur le fauteuil et me fait signe de venir sur lui. Le genoux sur les accoudoirs, Elsa glisse sur son gourdin et tend son cul bien cambré vers son collègue qui n’a pas besoin qu’on lui explique pour venir derrière elle et enfiler sa bite dans la petite porte de son jardin secret entrouverte. Elsa relève et tend sa croupe tant qu’elle a hâte qu’il l’enfile. Il commence sa lente progression dans son trou du cul. Chaque centimètre enfoncé dans le fondement lui procure douleur et jouissance mais une fois la verge totalement enfouie dans ses intestins et après quelques aller-retour, la douleur s’estompe pour ne laisser qu’un immense plaisir. Voilà nôtre Elsa bien prises par deux inconnus bien montés, un dans sa chatte, son pote dans son cul. Ils vont et viennent de plus en plus vite. Elsa jouit au moment ou l’un des deux mecs lui met une claque sur son cul.

Elle claque si fort qu’elle sent la brûlure de sa grande main sur sa fesse droite ??? Elsa explose !!! Quelle orgasme, Elle écarte les jambes au maximum, elle se laisse aller à la copulation, elle attrape la bouche du mec pour sentir sa langue contre la sienne et mélanger leur salive. Il la possède totalement, son pieu s’est enfoncé jusqu ’aux testicules. Elsa se trémousse le derrière pour mieux sentir la pénétration dans son jardin secret. Les vagues de plaisirs reviennent. La bite dans son cul, il l’aspire de l’intérieur chaque fois qu’elle sort. Quand elle revient, son intestin l’avale. La peau frotte contre son muscle anal. La bite dans sa chatte tape durement contre le fonds de son ventre. A certain moment quand les deux sexes sont enfoncés au maximum en même temps, ils tapent ensemble de chaque côté, ils la font crier de bonheur. C’est elle qui jouit la première.

Ils accélèrent à la recherche de leurs plaisirs. Elle devient une poupée entre leurs corps. Elle leur donne ses deux trous sans regret. Les glands tapent de plus en plus fort, de plus en plus vite pour la remplir ensemble de sperme chaud. Ils se vident dans son corps.
Elle a une conscience aiguë des jets qui s’écrasent par saccade dans son vagin et son derrière. Leurs virilités tendues gonflent ses entrailles malmenées, les noient de semence.
Elle les laisse faire haletante, encore sous la force de cette jouissance qui la parcoure. Elle est folle de sexe et de plaisir ce soir. Aucune douleur, aucun remords, aucune honte. Rien. Rien que du plaisir. Plaisir d’avoir reçu et plaisir d’avoir donné.

Ils sortent lentement de l’extase. On se lève. On s’ébroue. On se regarde. Elle est assez sale. Cela ne la dérange pas. Ils la regardent. Elle soutient leurs regards.
— T’es une sacrée nana toi !
— Tu fais ça souvent ?
— Souvent quoi ?
— Faire la pute pour Karim ?
— Hein ???? Non…. C’est la première fois.
Elle voit bien qu’ils ne la croient pas. Elle ne tente pas de les convaincre. Pour le moment, elle a surtout envie d’aller aux toilettes et faire un brin de toilette.
— Je vais utiliser les toilettes ?
Elsa y va. Elle se soulage. L’urine fait du bruit en tapant dans l’eau. La porte s’ouvre. Ils sont sur le seuil. Elle ne dit rien. Ils la regardent pisser puis se nettoyer le sexe.

Elle comprend que pour eux elle est devenu une pute au fil de sa relation avec Karim. Leurs sexes au repos battent contre leurs cuisses. Ils sont maculés de spermes et autre chose pour l’un. Leurs poils sont collés. Les odeurs de sueurs, d’urine, de foutre assaillent ses narines. Son anus endolori laisse échapper du liquide.
— On a aussi envie de pisser
Elle se lève du siège pour leur céder la place. Un mec est devant la cuvette. Il tient son sexe en main. Un jet brillant jaillit pour s’écraser sur l’émail blanc. Elle ne peut s’empêcher de regarder le jet d’or.
— A mon tour…
Même au repos, le sexe de l’autre est imposant. Court et très gros. Il pisse en la regardant. Il montre bien sa bitte. Quand ils ont finis. Ils la regardent et sourient.
Mais leurs sourires n’a rien à voir avec les précédents. Ce sont des sourires de macho, vulgaires, sûrs d’eux. Des sourires d’hommes repus.
Elsa a repris la pilule car elle a bien compris qu’avec Karim et les autres il n’y aura aucune protection, il n’est pas question qu’elle tombe enceinte à son age.

Sam Botte

Suite la semaine Mercredi prochain

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