Histoire porno À 50 ans je n’ai pas encore trouvé mon orientation sexuelle
Bien sur tout commence à ma puberté ou je découvre la masturbation et le sperme. Pendant mon adolescence comme beaucoup de garçon, j’ai des petits copains et des petites copines, avec lesquelles, nous avons des attouchements et parfois de masturbation en commun, mais rien de vraiment sérieux.
À 17 ans, je rencontre Pascal, un homme dans la trentaine qui me prend sous son aile et qui m’apprend tout ce qu’il faut connaitre sur le sexe entre homme. Je laisse tomber ma petite amie de l’époque et dès mes 18 ans, je me mets en ménage avec lui.
Voyant ma docilité, cet homme devient dominant et me fait faire des choses de plus en plus hard et perverses. Je connaitrai avec lui, les sodomies en série, les gangs bangs, avec dix mecs et enfin le gavage par la bouche de sperme humain et animal.
Devenue une lopette obéissante, il m’abandonne brusquement après 4 ans en me foutant à la porte de chez lui. Je n’ai rein compris, mais me voilà à la rue ne connaissant plus personne que des mecs qui m’ont baisé et rebaisé pendant plusieurs années.
Heureusement, je trouve très vite un boulot, dans lequel, je fais la connaissance de Julie. Une jeune fille de 2 ans mon ainée. J’ai 23 ans et elle en a 25. Très vite je découvre qu’elle est assez dominante dans nos relations et comme j’adore ça, nous nous mettons en ménage très vite.
Julie est une adepte du bondage et je me retrouve plus d’une fois complètement immobilisé, saucissonné comme un salami et à la merci de ses godes ceintures qu’elle achète de plus en plus gros.
Sont plaisir a elle, c’est de ma sodomiser, jusqu’à ce qu’elle jouisse elle-même et de recommencer une nouvelle sodomie. En général, je ne peux plus m’assoir avant quelques heures et mes couilles se sont vider à plusieurs reprises sans que je ne puisse me toucher la bite.
C’est elle qui va me faire connaitre l’orgasme anal et qui va m’en donner un presque tous les jours dans des positions de bondage, difficile à vous expliquer.
Vient la fameuse nuit, ou elle décide de me donner à deux de ses copains qui sont gay et recherche un soumis pour se défouler.
Ce soir-là et pour la première fois de ma jeune vie, j’ai la bite dans une cage de chasteté et cette foutue cage, je vais la garder plusieurs années. Ma bite va en subir des séquelles quasi irréversible et lorsqu’enfin elle me libère définitivement, j’ai une bite de 5 cm au repos et je ne peux plus bander qu’après de très, très longues manipulations et encore je ne peux même pas éjaculer a ce moment.
D’ailleurs mes éjaculation ne sont plus des jets qui sortent de ma minuscule bite, mais des couler sans fins lentes et peu épaisses.
Trouvant cela amusant, Julie décide de m’habiller en femme et de m’épiler totalement au laser. Ma petite bite et mes couilles sont rentrées dans mon corps par un collant ce qui me permet de mettre un string ou une petite culotte en dentelles sans qu’on puisse voir que je suis un homme.
Sont rêve est de me transformé en femme, avec vagin et seins opulents. Pour ce qui est des seins, elle réussi à 100% et me voilà avec une belle poitrine en silicone.
Julie me met au régime sévère pour que j’attrape une taille et des hanches de femme. Elle me fait l’amour comme si j’étais une femme et non comme un homme.
Je découvre alors qu’en réalité ma Julie est une lesbienne refoulée et qu’elle s’est vengé des hommes sur moi.
Je l’a quitte et m’enfui loin d’elle sans un mot sans une excuse. Je vais alors avoir une période à vide, où je suis devenu un transgenre avec une belle poitrine de femme et une petite bite incapable de bander même en étant excité.
Cette cage de chasteté, ma complètement détruit ma libido, car je n’ai même pas envie de chercher un homme ou une femme pour du sexe, n’ayant plus ou presque plus d’envie sexuelle.
C’est pourtant un homme dans la cinquantaine qui va me recueillir en croyant au départ que je suis une femme. Mais lorsqu’il découvre la vérité, il devient tout gentil et serviable comme si je venais de réaliser un de ses fantasmes le plus secret.
Bernard, va me traiter en femme et être d’une gentillesse à toute épreuve et me donner du véritable amour sentimental.
Il va me choyer, me dorloter, et m’aimer comme jamais on ne m’a aimé dans ma vie. Bien sûr, il va me sodomiser régulièrement, mais avec amour et délicatesse.
Bref l’homme de ma vie. Je n’ai que 35 ans à ce moment. Nous allons passer les 5 meilleures années de ma vie, mais le ciel n’a pas voulu que cela dure, car mon Bernard décède dans un accident de voiture une des seule fois où je n’étais pas avec lui dedans.
J’hérite de ses biens ce qui me permet d’aller voir des spécialistes pour me redonner une apparence d’homme. Je vais devoir subir de nombreuses opérations qui vont me couter une petite fortune, mais retrouvé un aspect d’homme d’une quarantaine d’années.
Je n’ai plus de poitrine et mon sexe contient un ballon que je gonfle à l’aide d’une fausse couille. Cela me permet d’avoir un sexe de 25cm sur 4 et de jouir à nouveau presque normalement.
La différence avec un autre homme est que j’ai trois couilles dans mon scrotum du à la pompe de ma bite.
L’avantage est que je peux gonfler ma bite autant et comme je le souhaite et cela me donne beaucoup d’idées, lorsque je vais nager au bassin ou que je me dore au soleil sur une plage.
C’est avec une bite à demi gonflée dans mon maillot que je fais la connaissance d’Elodie. Une femme de 40 ans qui a encore des formes de mannequin de mode.
Nous faisons connaissance et peut de temps après nous faisons l’amour pour la première fois, mais voyant ma façon d’avoir une belle et grosse bite bien dure, je dois lui avouer les raisons. J’ai cru la perdre, car Elodie est restée silencieuse un certain temps avant d’éclater de rire et de me rouler une pelle d’amour.
Elodie à pris un pied d’enfer avec ma bite qui ne débande jamais et que je peux faire grandir et grossir à volonté.
Nous décidons asse rapidement de nous mettre en ménage et voici dix années qui sont passées à une vitesse incroyable. Fini sodomie et fellation pour moi, par contre Elodie en raffole et je peux ainsi la sodomiser des heures et lui donner de nombreux orgasmes sans jamais débander.
Pendant ces dix années de bonheur total en tant qu’homme, je vais oublier tout mon passé ou du moins le ranger dans un coin de ma mémoire jusqu’au jour ou je rencontre mon premier amant, celui qui m’a tout appris sur le sexe entre homme, par hasard sur un coin de rue.
Il me reconnaît immédiatement, malgré mon look de mec et me serre dans ses bras. Il est très content de me revoir et m’entraine pour boire un verre dans la taverne du coin.
Malgré la rancœur que j’ai de m’avoir mis à la porte de chez lui, je le retrouve beau comme avant malgré les années de plus et je retrouve aussi la complicité qu’on avait tout les deux lorsqu’il m’apprenait à être une bonne lopette pour homme.
Bizarrement, ma mémoire ne se souvient que des bons moments que nous avons vécus ensemble et lorsque je vois qu’il me drague en réalité, je ne peux lui résister et nous nous retrouvons dans une chambre d’un petit hôtel de passe.
Pascal, me fait l’amour divinement et me redonne le gout d’être sa chose, son jouet, son esclave sexuel. Voyant mon trouble, il me pousse dans mes derniers retranchements et parvient à me convaincre de venir le rejoindre dans sa maison sur la Côte.
La tête v-basse et le cœur serré, je fais mes valises devant une Elodie complètement abasourdie et émue de mon départ, pour retrouvé un homme.
C’est dans des pleurs et de suppliques, que je referme la porte et part retrouver l’homme qui m’a tout appris sur le sexe entre homme et surtout retrouvé ma situation d’esclave sexuel, dont je n’ai jamais vraiment supprimé de ma tête.
Voilà où j’en suis actuellement. Je descends du train en regarde mon Pascal, accompagné de deux grands chiens mâles, me faire des grands signes sur le quai !
FIN
Bernard
Merci à Lucie d’avoir publié mon histoire ! Je lui en promets d’autres
Tu n’as pas à me remercier ! c’était fait avec grand plaisir !