Pat va perdre pied
Un soir, Pat revient du travail avec quatre collègues de travail. Ils boivent de la bière pendant que Léa couche le petit Léo.
Lorsqu’elle revient dans le salon, Pat l’enlace, l’embrasse et lui murmure, qu’ils sont là comme clients. Il déboutonne par devant sa robe qui s’ouvre comme une fleur.
Pat l’embrasse goulûment et lui caresse les seins d’une main pendant que l’autre se faufile dans son string à la recherche de son clitoris et de sa mouille.
Léa tâtonne sur le corps de son mari à la recherche de sa queue et s’en empare dans son jean.
Ils sont tous les deux bouillants de désir et il remarque que ses collègues s’impatientent devant cette scène.
Pat fait signe à son chef de s’approcher doucement d’eux et sa main remplace la sienne sur les seins de sa femme. Elle apprécie ses caresses au vu de ses petits râles, qu’elle se met aussitôt à pousser.
Le deuxième s’approche lui aussi et présente sa bite à la place de la mienne. Là, sa femme lance un – Et bien tu es en forme ? Elle me parait énorme ta queue tout à coup ?
– Et encore, tu n’as rien vu ?
Pat s’approche de ses lèvres, l’embrasse tendrement et lui glisse à l’oreille :
– Je t’ai promis des blancs bien équipés mon amour, tu ne vas pas être déçue ?
Son mari fait signe à deux autres de se rapprocher pour se mêler à eux et s’occuper de sa femme.
Au contact de ces nouvelles mains, elle se laisse aller.
Un homme lui soulève la jambe pendant qu’un autre s’installe à genoux sous elle et commence à l’embrasser le long de l’intérieur de ses cuisses, remontant lentement vers sa chatte imberbe, elle tombe en arrière et son souffle devient très rapide. Le quatrième type se fait branler tout en léchant ses tétons qui pointent ardemment.
Pat se recule de quelques mètres pour admirer la scène.
Ils savent s’y prendre et on voit bien qu’ils ont l’habitude de travailler en équipe. L’un d’eux prend sa femme par la main et la guide jusqu’au canapé.
Elle s’installe les jambes bien écartées, deux hommes se mettent à ses côtés, l’embrassent et lui prennent les mains pour les déposer sur leurs grosses queues bien raides. Elle entame un va et vient très lent au début, puis plus énergique. Un troisième, genoux à terre, lui lèche la moule en s’attardant sur son clitoris et en donnant de grands coups de langues à l’intérieur de son vagin. Le dernier se place derrière le canapé et tapote sa trique sur la joue de la femme. Elle tourne légèrement la tête et ouvre grand la bouche pour accueillir cette bite qu’elle découvre.
A l’entendre gémir comme elle le fait, Pat se dit qu’elle fait très bien la pute et qu’elle doit être heureuse de la faire.
Cela dure une bonne trentaine de minutes, les hommes changent de place de temps à autre.
Les préliminaires ont bien fait monter l’excitation de chacun et tous sentent qu’elle est prête à se faire baiser.
Un des hommes s’allonge le dos au sol sur le tapis à présent. Elle le chevauche et d’une main enfile la verge dans son puits d’amour qui n’attend que ça. Deux hommes se mettent de chaque côté d’elle pour se faire sucer, d’abord en alternance, ensuite les deux en même temps. Le dernier s’installe afin de pouvoir lécher la rondelle de Léa, en introduisant un, puis deux doigts dans son anus qui se s’ouvre peu à peu.
Les râles étouffés par les bites, qu’elle a dans la bouche, remplacent les gémissements du début.
– Tu aimes ça hein la pute ? Dit un des gars.
– Oh ? Oui, allez-y baisez moi, je suis votre pute !
– T’inquiète pas, on va te montrer comment on traite les putes comme toi ? Clame un autre.
Et celui qui lui lèche le cul se redresse et enfonce son pieux dans le cul de l’épouse pute.
– OOIIII ! OUIIIII ! RROOO ! AAARRRFF ! Râle-t-elle.
Elle se met à pomper les deux autres comme jamais son mari ne l’avait vu avant. Elle n’a plus de retenue, elle se comporte comme une véritable affamée du sexe.
Les va et vient s’accélèrent, ils sont très endurants les bougres, les seins de la femme sont ballottés dans tous les sens et elle a le souffle coupé de temps en temps.
Elle proclame :
– OOORR ! OUIIII ! Baisez moi, baisez la pute de Pat, défoncez moi ! Encore ! OOUUIII !
Les hommes obéissent, ils ne se font pas priés, les coups sont plus violents, des fessées pleuvent sur les fesses rougies de Léa, elle est déchaînée. Et c’est à ce moment là, qu’elle est prise de spasmes, ses jambes tremblent et un jet de cyprine asperge ses amants.
– OUAIS ! On fait jouir la pute à Pat ! Proclame un des hommes
– On n’a pas encore fini, on en veut pour notre argent. Clame un autre en s’essuyant.
Un des hommes s’installe maintenant assis sur le canapé, elle se place sur lui immédiatement, elle ne veut surtout pas s’arrêter là. Ça fait tout de même deux heures qu’elle se fait ramoner dans tous les sens, mais elle en redemande la salope.
Un deuxième homme se place debout derrière le cul de l’épouse prostituée. Pense qu’il va sûrement la sodomiser. Mais ? Non, il introduit sa bite dans son puits d’amour déjà occupé par le premier ?
– AAARRR ! OOUUIIII ! Râle sa femme.
Un troisième se précipite debout sur le canapé, les pieds de chaque côté de la femme, s’accroupir et enfourne sa grosse queue dans ce cul bien dilaté et accueillant.
– OOOH ! OOUUUIII ! Défoncez moi ! Je suis votre pute ! Râle Léa.
Le dernier se place derrière le canapé et attrape les cheveux de la femme pour la tirer vers sa queue qui est vite prise en bouche.
Quel spectacle ! Pat bande durement tant l’image est intense.
Après avoir inter changés leurs places, ils lui remplissent le ventre de leur semence. Elle expulse trois jets de cyprine encore plus abondants et une heure et demie plus tard, il semble que ce soit la fin des hostilités.
Les hommes installent la femme à genoux au sol, l’entourent et s’astiquent en lui maintenant la bouche grande ouverte.
Le premier grogne, lui attrape les cheveux et lui crache son foutre au fond de la gorge.
Les trois autres, à tour de rôle la saisissent par la tête et lui enfournent leur queue dans la bouche. Ils lui baisent littéralement la bouche en s’enfonçant de plus en plus profond, jusqu’à faire couler des larmes à la pute d’épouse.
Ils se bloquent au fond de sa gorge et dans un râle roque il se décharge du restant de leur sperme.
Elle avale et savoure ce jus. Ensuite, libre elle se dirige tant bien que mal dans la salle de bain pour prendre une douche bien méritée.
– Bon ! Vous en avez eu pour votre argent, je pense que vous reviendrez avant longtemps ! Dit Pat, a ses quatre collègues exténués.
Léa est devenue une salope, une vraie pute, une vide couille et elle aime cela ? Elle en a envie, envie de sperme ? de belles queues qui la font jouir.
Pat, en surfant sur le net, il est attiré par les colliers. Il achète un collier d’esclave en cuir rouge large de trois cm avec un anneau sur le devant. Comme sa femme est une chienne de pute, il trouve que c’est une nécessité. Il lui a mis le collier et contre toute attente, elle l’aime tant ce collier.
Pat et Léa ont déménagé après la naissance de leur deuxième enfant très métissé. Parce que les voisins trouvaient qu’il y avait trop d’hommes qui venaient visiter Léa, même quand son mari se trouvait dans la maison. Avec l’argent gagné avec les charmes de Léa, ils ont acheté une maison isolée au milieu d’un grand terrain boisé avec une grande piscine.
Malheureusement pour le couple, suite aux rumeurs et certainement à la jalousie de certain. Pat est arrêté pour proxénétisme. Il est condamné à trois ans de prison qu’il va faire dans une nouvelle prison modèle avec de nouveaux aménagements pour prisonnier marié. Le juge a menacé Léa de lui retirer ses deux enfants, si elle continue à se donner dans la prostitution.
Sam Botte
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