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Histoire sexe au restaurant avec Julie et Véronique

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Cette histoire sexe se passe lors du troisième confinement de la crise du Covid 19, lorsque les décisions gouvernementales se succédaient. Il y avait eu cette décision, un peu incongrue, et les entreprises avaient été autorisées à manger dans les restaurants, qui prenaient un nombre limité de clients, en gardant leurs distances. Une décision difficile à comprendre, peut être destinée à donner une respiration aux restaurateurs en attendant un éventuel redémarrage. Et c’était clair que c’était une belle bouffée d’oxygène pour des professions que le confinement avait rendues exsangues.

Et c’était aussi bien pratique pour ceux qui, comme nous, passaient leurs journées à l’extérieur, et devaient se contenter d’une gamelle, plus ou moins réchauffée à midi. Un bon repas chaud à midi, une cuisine simple et roborative, c’est toujours agréable. Et puis il y avait bien sur la convivialité, le fait de se retrouver avec d’autres, dans un cadre agréable, de choisir des plats qu’on aimait, de les manger sans avoir rien à faire, d’être servi.

Tous les restaurants n’ont pas rouvert, bien sûr. Mais, CHEZ FABIENNE, oui.

Philippe et moi Damien, ça fait 10 ans que nous travaillons pour la même société. C’est une petite boîte qui à su croître au fil du temps, et qui installe des systèmes électriques de toutes sortes chez des particuliers.

Philippe et moi nous sommes ensemble dès le début, et on se complète parfaitement. On est très différents, il est petit et il approche de sa retraite, alors que j’aborde la quarantaine, et que je suis beaucoup plus grand, mais dès le départ, il y a eu une entente qui a perduré.

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On partageait nos journées, ainsi que nos attractions.

C’est quand j’ai découvert que ce système se mettait en place que j’ai appelé CHEZ FABIENNE. Je ne savais d’ailleurs pas si le restaurant avait rouvert, d’ailleurs. J’espérais simplement. Et je voulais savoir.

À ma grande surprise, quelqu’un a décroché

« Bonjour, vous êtes bien chez Fabienne, et le restaurant rouvre pour les entreprises »

Cette voix, mélodieuse, je l’ai reconnue immédiatement, et ça m’a fait un long frisson. Fabienne avait une voix unique. C’était l’un de ses nombreux charmes.

« Bonjour, je suppose qu’il faut réserver ? »

« Vu les circonstances, oui »

Il y a eu un blanc, et puis elle a dit :

« C’est toi, Damien ? Je reconnais ta voix. Ça me fait plaisir de t’entendre. Oui, je rouvre demain. Je vous réserve une table à Philippe et à toi ? Enfin, pour l’instant, il n’y a pas une ruée, mais on ne sait jamais. De toute façon, on ne pourra pas prendre plus de douze clients, au lieu de la trentaine habituelle ».

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« Nous serons là. Fidèle au poste »

« Je me suis tâtée avant de rouvrir. Faire énormément d’efforts pour qu’il n’y ait personne… Et puis je me suis dit que ce serait l’occasion de voir du monde. Ça au moins ça sera positif. Les clients ça nous manque. C’est dans l’ADN de notre métier »

À demain midi, elle a conclu, avec un mélange de joie et de mélancolie dans la voix.

Les souvenirs sont remontés. Cela faisait un an que je n’avais pas mangé chez Fabienne. Une éternité. Elle avait d’abord dû fermer le 15 mars à minuit, puis à la sortie du confinement, elle avait rouvert dans dess conditions strictes, avant de refermer les portes à nouveau, au moment du deuxième confinement, et de basculer sur du click and collect.

Philippe et moi, nous nous étions arrêtés chez Fabienne il y avait trois ans de cela. Ça avait d’ailleurs été le hasard le plus absolu qui nous avait guidés là. Dans nos longues journées de travail, en extérieur, on s’arrêtait entre midi et deux dans un petit resto. On couvrait une vaste zone, et chaque jour on était sur une partie différente de cette zone. On aimait bien changer, découvrir de nouveaux établissements. On tombait sur du bon, sur du très bon, et sur du franchement infâme… On ne demandait pas la lune, on aimait les plats simples, bien cuisinés, et un accueil relativement chaleureux ? On revenait là où on était bien, mais on aimait aussi tester les nouvelles tables.

Elle venait juste d’ouvrir son restaurant, trois jours avant. On avait remarqué le bandeau ouverture en travers de la vitrine, et on avait décidé de s’arrêter.

Elle s’était installée à la place d’une ancienne charcuterie qui avait fermé. Le local avait pour avantage d’être à un croisement de deux départementales qui se rejoignaient, sur une vaste place sur laquelle était calé ce commerce, ainsi que, juste en face un garage. Riche de ses baies vitrées, l’endroit était lumineux.

Quand on y a pénétré, on a vu le changement. On s’arrêtait autrefois pour acheter de la charcuterie de qualité. Le charcutier, trop vieux, avait malheureusement pris sa retraite. L’endroit avait été aménagé avec beaucoup de goût, quelque chose de chaleureux et de tout sauf impersonnel.

Ce qui avait été chaleureux aussi ; c’était l’accueil des deux femmes. Un sourire qui, même s’il était professionnel, nous avait marqués, et devait nous accueillir pendant ces deux années.

Fabienne gérait le restaurant avec sa fille Camille.

Fabienne avait été représentante avant de décider de changer de métier. Elle adorait cuisiner et avait choisi, à l’approche de cette cinquantaine, fait souvent réfléchir, de basculer pour ne pas avoir de regrets. Sans doute aussi que le choix de sa fille qui était dans une formation de restauration et qui se destinait aux métiers de cette branche avait été déterminant. À deux on a plus de force que tout seul, et elles s’appuyaient ainsi l’une sur l’autre.

Au-delà, du cadre, plaisant, et de l’accueil, chaleureux, les deux femmes, qui se partageaient cuisine et service, proposaient une cuisine simple mais vraiment succulente. On a été un peu surpris, parce qu’on voyait plus souvent le pire que le meilleur. D’ailleurs le succès s’est très vite manifesté. Le restaurant était plein tous les midis, et elles ont décidé d’ouvrir le soir. Et avant même le confinement, elles ont tenté les plats à emporter.

Je ne sais pas quand Philippe et moi avons commencé à ressentir de l’attirance pour Fabienne et Camille. Au bout de quelques jours ? De quelques mois ? Difficile à dire… D’ailleurs nous n’en avons jamais vraiment parlé. Cela faisait partie d’un non-dit partagé. Il y a pas mal de choses qui flottent dans l’air, qui sont ressenties, jamais vraiment dites. Mais l’évidence s’est imposée un jour : « Les deux femmes nous attiraient »

C’était plutôt curieux, parce que les deux femmes étaient mères et filles, mais elles ne se ressemblaient pas.

Fabienne, au début de la quarantaine, était blonde, d’un blond foncé. Elle n’était pas très grande, avec un corps parfaitement sculpté, des formes bien marquées, ni trop, ni trop peu. Elle savait en tout cas mettre en valeur sa féminité, avec des tenues qui soulignaient ses charmes, sans vulgarité, mais qui demeuraient collantes et révélatrices.

Camille sa fille ne lui ressemblait pas du tout, elle avait tout pris de son père, qui n’avait fait que passer dans la vie de Fabienne. Dans un type radicalement différent, elle dégageait quelque chose de très fort, un rayonnement qui fixait l’attention et faisait qu’on avait du mal à s’en dépêtrer. Elle était brune, avec un visage plutôt allongé, très grande, pas loin d’un mètre quatre-vingt, avec des formes pleines. L’une et l’autre, chacune dans son style, représentaient parfaitement l’idée que l’on pouvait se faire d’une femme.

Nous n’en avons jamais vraiment parlé, seulement fait allusions, mais il est apparu très rapidement que chacun d’entre nous avait ses préférences. Au moins, c’était bien, on ne se battait pas pour les conquérir. J’étais irrésistiblement attiré par Fabienne, j’avais toujours été attiré par les femmes mûres. Quand j’avais vingt-ans et que je sortais avec des copines de mon âge, je me tournais rapidement vers leurs mères, ça s’était produit plusieurs fois, au dépit de mes amies pas très contentes de se voir détrônées par leurs mamans.

Philippe, au contraire, était attiré par les charmes naturels des filles plus jeunes. Les extrêmes s’attirent souvent, et il le levait souvent bien qu’il était marié à Valérie, une belle femme de son âge, qui comme Philippe se trouve proche de la retraite.

Revenons à Philippe qui avec des filles qui avaient trente ans de moins que lui, avec lesquelles il y avait une entente qui ne durait jamais vraiment, l’appartenance à deux mondes différents n’étant pas gage de la réussite d’un couple. On ne risquait donc pas, si les choses allaient plus loin, de se faire la concurrence.

On a rapidement fait de ce restaurant, quand on était sur ce district, notre table pour le midi, jusqu’au premier confinement.

Difficile de poser des mots sur ce qu’il s’était passé entre nous. Ça tenait à une atmosphère et à énormément de non-dits. L’évidence d’une attirance mutuelle qui passait par des mots, des regards…

Le premier confinement avait tout tué dans l’œuf. Mais la vie reprenait. Différemment pour l’instant.

J’ai dit à Philippe, quand je suis arrivé à la Société le lendemain matin, que j’avais pris une réservation pour midi. Son regard s’est éclairé.

« C’est une bonne idée » m’a-t-il répondu.

Je ne sais pas ce qu’on attendait. On avait sans doute simplement envie de les revoir. Mais de là à imaginer que tout reprendrait dans la droite ligne de notre dernier repas chez elles… Plus d’une année avait passé.

On avait sans aucun doute un peu d’appréhension quand, sur le coup de midi, nous nous sommes garés sur le petit parking devant le restaurant. Il y avait leurs deux véhicules, une Austin Cooper bleue et un utilitaire blanc.

Les lieux n’avaient pas changé en un an. Leur occupation, si. Nous étions les premiers clients, et je me suis dit qu’il n’y en aurait peut-être pas d’autres, alors que quand on arrivait, généralement, le restaurant était plein ou quasiment plein.

Elles ont surgi de l’arrière-salle l’une et l’autre.

Si nous avions peut-être changé en un an, ce n’était pas leur cas. Elles étaient toujours aussi attirantes. C’était comme si on les avait quittées la veille. Même s’il y avait dans leur regard quelque chose qui disait clairement que la situation, sur le plan professionnel, n’était pas au beau fixe.

C’était en tout cas la première fois que je les voyais, habillées pareil. Mais avec évidemment un résultat différent.

« Il n’y aura que vous, Messieurs. Aucune autre réservation. Les gens sont réticents en ce moment »

En ces jours encore frais, elles avaient opté l’une comme l’autre pour une robe en lainage noire toute simple, longue et fluide, de taille différente, évidemment. Dont la simplicité était sans aucun doute gage d’efficacité. Je l’avais déjà remarqué, attentif aux tenues féminines, ce qui était bien avec des robes de laine, c’était qu’elles soulignaient tout ce qui faisait le charme d’un corps féminin. Seins, hanches, fesses, cuisses étaient mis en valeur…

Ça me faisait toujours fantasmer. On retrouvait ces deux corps qui nous faisaient fantasmer, celui de Fabienne de taille moyenne, mais avec des formes qui disaient clairement qu’elle était une femme, et celui de Camille, nettement plus élancé avec des formes voluptueuses. Je me suis dit que, si on n’était pas venus, nous aurions loupé quelque chose.

Philippe et moi on s’est regardés. Nous partagions la même vision des choses.

« Pour le moment » a précisé Fabienne, «comme on redémarre, même si on a fait du click and collect, il n’y a plus de plat à la carte, plus de menu. C’est repas unique, entré, plat et dessert. C’est plus pratique pour nous. Quand l’opulence et les clients reviendront, les choses changeront »

« Aujourd’hui nous avons une daube à l’orange. J’espère que ça vous conviendra »

« C’est très bien comme ça »

« Nous avons toujours très bien mangé ici, il n’y a pas de raison que ça change ».

Rassérénées, elles se sont mises en mouvement pour s’occuper de leurs seuls clients.

C’est après la daube qu’elles sont revenues. Nous avons senti à leur attitude que nous basculons sur autre chose que les rites très traditionnels du repas et de son service, tels qu’on les retrouvait. Il y a une tradition, mais je pense que vous le savez mieux que moi, dans les restaurants. Quand on prend le menu, le restaurateur vous dit généralement :

« Pour le dessert, on verra après » et il vient généralement vous proposer de le choisir après le plat principal.

Elles se sont posées devant nous.

« Le dessert, c’est comme le reste ? Il n’y en a qu’un. Un excellent tiramisu. C’est une de mes spécialités » a dit Fabienne.

Et c’était vrai. Chacune des deux femmes réussissait bien certains plats. Elles se complétaient parfaitement. Le tiramisu de Fabienne était succulent.

« Alors, tiramisu et deux cafés », a répondu Philippe.

« Vous avez un peu de temps devant vous ? » Demanda Camille.

« Nous avons le temps ; a dit Philippe sobrement.

Ce qu’il voulait dire par là, c’était que nous avions un certain nombre de missions à accomplir par jour, mais sans emploi du temps défini, et donc, nous gérions notre temps comme nous voulions, à partir du moment où nous avions abattu nos missions en fin de journée.

Comme nous étions plutôt efficaces, et rapides, nous avions pris l’habitude de mettre le paquet le matin, ce qui nous laissait une plage de liberté en début d’après midi.

« Dans ce cas, nous vous proposons un supplément gratuit »

La nature de ce supplément elles nous l’ont précisé en faisant ce dont on rêvait depuis longtemps mais nous n’avions jamais osé espérer. L’une et l’autre, dans une harmonie qu’on avait vu jusqu’à présent fonctionner dans le travail, mais pas dans des moments plus intimes, elles ont attrapé l’ourlet de leur robe, et ont lentement remonté leur vêtement pour se dévoiler. Un prélude, nous l’avons bien compris, à des moments nettement plus intimes que ceux que nous connaissions habituellement avec elles.

Rien ne se serait certainement passé s’il n’y avait pas eu cette longue pause. Sans aucun doute, elles avaient réfléchi, et elles s’étaient dit que face à la précarité de l’existence, il convenait de ne plus attendre.

Nous avons pris pleins les yeux. Voir un corps habillé, même avec des vêtements très collants, et un corps quasi nu, c’est vraiment deux choses totalement différentes. Ces corps offerts, c’était une confirmation du dessin de leur anatomie tel que leurs tenues ou ce qui avait été révélé l’avait laissé entrevoir. Un signe clair, en leur jetant ainsi leur anatomie en plein visage, que les deux femmes avaient envie d’aller plus loin.

Chacune dans son style était extrêmement bien dessinée. Si j’avais dû faire une différence entre les deux, ça aurait été Fabienne qui était l’incarnation d’une beauté classique des années 60, alors que sa fille représentait une beauté des années 2000.

Fabienne, sous sa robe portait un ensemble blanc, culotte et soutien-gorge, ainsi que des bas stay-up… Poitrine lourde, ventre plat, cuisses fuselées, et cul charnu et rebondi. Camille, elle avait un soutien-gorge blanc, qui enveloppait et soutenait sa poitrine, un porte-jarretelles blanc des bas fins couleur chair, mais surprise elle ne portait pas de culotte. Des seins, des fesses, des jambes qui se dessinaient différemment, plus dans la longueur. L’une et l’autre étaient irrésistibles, et chacun fixé sur l’élue de nos cœurs, mais aussi et surtout de notre désir, on aurait été bien incapables de concentrer notre attention ailleurs.

Elles ont tourné sur elles-mêmes, histoire de nous faire profiter de toutes les facettes du paysage, avant de rabaisser leurs robes.

« D’abord le tiramisu »

Ce n’était pas une mauvaise idée de me faire monter le désir. Nous avons mangé nos tiramisus la tête ailleurs et nos queues bien dures. Nous avions eu le temps d’apercevoir leurs chattes. Là aussi, il y avait une différence de génération et de style. La partie face de la culotte de Fabienne était transparente, elle laissait voir une toison blonde, riche et bien fournie, calée entre sa chair et le tissu, alors que l’intimité de sa fille était lisse, sans le moindre soupçon de poil à l’horizon, une simple fente dont dépassait un bout de lèvre.

Il y a eu le tiramisu, puis les deux cafés, avant qu’elles ne viennent s’asseoir sur nous. Camille sur les genoux de Philippe, alors sue Fabienne se calait sur moi. Nous avons été envahis par les sensations. L’épaisseur de leurs corps, leur chaleur, la possibilité de poser nos mains sur elles, sans aucune limite. C’était totalement enivrant, et à ce moment, nous avions décroché de la réalité un rien pesante, même si nous aimions notre métier. Elles souriaient, une manière de nous faire comprendre que nous pouvions tout risquer.

Nous sommes partis l’un comme l’autre à la découverte de leur corps. Philippe et Camille se sont longuement roulé une pelle, tandis qu’il caressait son corps à travers sa robe. Moi j’ai été plus audacieux, laissant mes mains remonter le long des bas de Fabienne. Était-ce l’excitation ou quelque chose de naturel, ou de la fièvre, son corps était brûlant.

Ma main arriva à la lisière des bas, atteignant sa chair nue. Elle avait la peau douce. Elle a entrouvert un peu plus les jambes, pour me permettre d’accéder à son sexe. J’ai jeté un coup d’œil à l’espace transparent, qui couvrait sa toison, d’un blond qui disait qu’elle ne se teignait pas les cheveux, puis laissant ensuite voir, avant que le tissu ne reprenne l’avantage et ne la masque, le haut de ses lèvres, la chair qui couvrait son clitoris et un morceau de lèvre qui ne demandait qu’à s’épanouir.

« Tu peux me caresser comme tu veux, en mettant tes doigts sur le tissu, ou dessous, dans ma chatte… »

Au moins c’était clair, et cela faisait tomber mes dernières hésitations ? Je suis venu poser la pulpe de mes doigts contre ce triangle transparent qui me fascinait, et j’ai tourné dessus… Elle a eu un petit frisson, a poussé un petit gémissement. Dans la dernière partie du triangle, la pointe du bas, la partie de la lèvre que je voyais gonflé et elle est sortie de son sexe, en même temps que son clitoris pointait, d’un bout rond sorti de sous la chair qui le recouvrait. Sur la partie en tissu, qui collait au bas de son sexe, une tache d’humidité est apparue, débord minuscule, puis s’est élargie.

« Enlève ma culotte, comme ça, tu me caresseras mieux »

Elle s’est légèrement soulevée, j’ai passé mes doigts dans l’élastique de sa culotte, le faisant glisser jusqu’à ses chevilles, la voilà comme sa fille chatte nue.

Libéré de cette entrave, sa chatte s’est épanouie sous mes yeux, ses poils prenant de la place et s’épaississait, ses lèvres sortant totalement de son sexe pour se gonfler et s’étendre. Ses chairs étaient luisantes de sa cyprine qui s’échappait de sa chatte. Mes doigts se sont promenés sur sa vulve, pénétrant son vagin, triturant entre deux doigts son clitoris, lui procurant un plaisir très fort et la mise en extase.

Philippe au contraire, était parti sur une autre approche. Après le long baiser langoureux, il a retiré la robe de Camille, puis lui dégrafait le soutien-gorge et le retira. Elle ne portait plus que son porte-jarretelles et ses bas.

À l’endroit où j’étais assis je ne les voyais que de trois quarts. Pour le moment il s’occupait à lui caresser les seins et de ses doigts agaçaient les tétons qui commençaient à bander. Camille appréciait car très sensible des seins elle se mit à gémir, lorsque Philippe changea de méthode en prenant dans sa bouche un téton pour le téter, alors que deux doigts trituraient le second. Les gémissements de Camille s’accentuèrent tout en se cambrant.

Entre Fabienne et sa fille Camille il y avait sans doute une harmonie, non concertée. Quasiment en même temps elles ont tendu une main pour mettre nos queues à nu. Il y a eu dans leur regard quelque chose de très proche, au moment où elles ont sorti nos deux queues, qui bien que différentes, partageaient un point commun, être en érection.

Un jour, nous avions discuté, en entrant sur le terrain intime, évoquant leurs vies sexuelles dans lesquelles la stabilité n’était malheureusement pas de mise. Elles avaient des relations qui ne duraient pas, souvent déçues.

Je venais de comprendre qu’actuellement, ce qui aurait dû être une évidence bien plutôt, à savoir qu’elles avaient certainement une sexualité commune, en allant même imaginer qu’elles puissent se partager un homme. Fabienne m’avoua suite à cette discussion qu’à défaut d’avoir un homme, elle comme sa fille s’adonnait à la masturbation, et qu’elle était tentée d’avoir une relation incestueuse avec Camille. Cela ne s’est pas encore produit, mais elle y pense chaque jour.

L’une comme l’autre, elles ont plongé sur nos queues avec une réelle envie. Elles n’en étaient en tout cas pas à leurs premières fellations. La bouche et la langue de Fabienne étaient divinement caressantes, et c’était apparemment la même chose pour Philippe.

Les deux femmes s’appliquaient à nous sucer dans la salle du restaurant, elle n’avait même pas fermé à clé, ni même tirer les rideaux sur les baies vitrées ouvertes sur les deux routes ainsi que le parking devait permettre à ceux qui se garaient la de bien se rincer l’œil.

Comme une illustration évidente de cette idée qui venait de me traverser la tête, le facteur est venu se garer sur le parking pour amener le courrier. Naïf, et n’ayant pas encore vu ce qui se passait, il a amené son véhicule électrique tout près des baies, est descendu, une poignée d’enveloppes à la main pour marcher jusqu’à la boîte aux lettres, qui se trouvait sur la façade tout à sa gauche. Plongé dans ses pensées, l’homme d’une cinquantaine d’années, fluet, le crâne marqué par une alopécie qu’il avait complétée à la tondeuse, poussé sans doute par l’instinct, a soudain relevé les yeux, tout près des baies, et a vu ce qui se passait à l’intérieur. Il est resté figé avant de déposer le courrier dans la boîte, de remonter dans son véhicule, de redémarrer, esquisser un demi-tour et continuer sa tournée sans demander son reste.

Je crois bien que Philippe et moi avions rarement eu des partenaires qui appréciaient autant d’avoir une queue dans la bouche.

Lorsqu’elles nous avaient rejoints, après le café, Fabienne avait posé un panier sur la table. Je n’avais même pas jeté un coup d’œil sur son contenu, croyant que c’était du chocolat qui accompagnait le café. Fabienne la première suivie par Camille ont récupéré chacune un sachet argenté contenant un préservatif. Elles ont déchiré l’emballage pour extraire une rondelle de plastique enduite de lubrifiant, rose d’un côté, jaune de l’autre, avec des parfums assortis, qu’elles ont fait glisser avec ravissement sur nos queues raides. Quelques secondes plus tard, avec une totale harmonie qui voulait dire pas mal de choses, elles sont venues se caler en équilibre au-dessus de nos verges dures, le corps frémissant, avec une envie que tout disait, leur regard, leur sourire. Ce fut vraiment agréable d’avoir ainsi des partenaires pour qui faire l’amour n’était pas une faveur que l’on accordait à l’autre par routine, lassitude ou les deux.

Fabienne a attrapé ma queue pour mieux la guider vers sa vulve qui m’attendait, ouverture dans ses chairs intimes qui béait d’excitation, laissait couler de la cyprine. Mon gland a heurté ses lèvres, puis elle s’est lentement laissée descendre, elle à accélérer la descente lorsque ma queue l’avait pénétré de quelques centimètres. Sa vulve s’est emparée de ma queue, la gainant de la muqueuse dont le simple contact contre ma queue était un délice.

Face à moi j’apercevais Camille guider le sexe de Philippe vers sa vulve, elle s’empala sur sa queue tandis que Philippe attrapa ses fesses charnues pour la faire monter et descendre avec vigueur. Fabienne, empalée sur ma queue, réalisa à son rythme, ses va-et-vient, elle inonda ma queue de sa cyprine qui coulait sur mes cuisses. Yeux mi-clos elle gémissait de plus en plus fort, ses gémissements devenaient des cris de plaisir, lesquels devaient être audibles à l’extérieur, d’autant plus que Camille elle aussi gémissait de plus en plus fort.

Sentir ses va-et-vient sur ma queue, m’amenait lentement mais sûrement vers la jouissance. J’avais comme l’impression que ma queue, en elle avait doublé de volume.

Ce qui a contribué à me faire jouir, sans aucun doute, ça a été ce qui se passait sous mes yeux. Camille s’est soulevée, a sorti la queue de Philippe de son sexe. Le latex était blanc, des sécrétions qu’elle y avait déposées. Elle a récupéré sa queue et elle la mise en position à l’entrée de son trou de balle.

J’ai trouvé cela hyperexcitant. Le gland très dilaté est venu peser contre sa muqueuse. Je n’ai pas bien compris si c’était elle ou lui qui avait appuyé, mais le membre est rentré en elle de deux ou trois centimètres, et elle a glissé le long, jusqu’à ce que le sexe soit totalement au fond de son cul.

Cela m’a troublé, tout comme de voir et entendre Fabienne prendre son rythme de croisière sur ma queue qui apparaissait et disparaissait, et les gémissements de plus en plus bruyants qui résonnaient dans la salle.

« Je vais jouir, ouiiiiiiiiiiiiiii qu’elle est bonne ta bite ouiiiiiiiiiiiiii » tout en se cambrant, se tordant, elle a eu un orgasme, figée sur ma queue.

Pourtant curieusement ce moment de jouissance n’a pas semblé être ce qu’elle attendait, elle s’est remise à aller et venir sur ma queue qui à repris sa forme.

Ce qui était curieux c’est que cela n’a pas été Fabienne en s’empalant sur ma queue qui a été l’origine de ma jouissance, mais de voir Philippe sodomisé Camille et la manière dont cette dernière bougeait. Elle a eu deux orgasmes d’affiler, et a fini par faire sortir la queue de son anus, en arracher le préservatif et a plaqué la queue au fond du sillon, quelques secondes avant que le premier des nombreux jets de sperme ne jaillissent, sur ses fesses et dans le sillon.

Fabienne s’activa toujours sur ma queue quand j’ai eu un nouvel orgasme et les jets de sperme dans le préservatif à déclencher chez Fabienne un nouvel orgasme.

Fabienne se dégagea de mon sexe, et a disparu pour aller se refaire une beauté, suivie par Camille. Elles revinrent quelque instant après nues.

Avec une audace qui m’avait un peu surpris, Fabienne s’approcha de moi et retira le préservatif sur ma queue, réservoir débordant de sperme, elle étira le latex pour aller cueillir la semence au fond. Fabienne gardait dans sa bouche le produit de mes éjaculations et jeta un coup d’œil à sa fille qui se précipita vers sa mère pour l’enlacer. Elles s’embrassèrent langoureusement se partageant le sperme.

Philippe et moi à la vue de la mère et la fille se roulant une pelle les deux nues dans cette salle à la vue d’éventuels passants, avaient le sexe qui réagissait mais malheureusement le temps de pause était écoulé et il fallait bien reprendre le travail.

La suite a été plus classique. Elles ont repris un aspect plus neutre. Nous avions l’habitude de régler les additions en fin de semaine lorsque nous étions dans le secteur, cependant Fabienne nous a demandés :

« Vous revenez tous les jours ? »

« Si nous pouvons avoir un supplément régulièrement »

« Après le café, il faut toujours un pousse-café, non ? » a répondu Camille.

Nous avons regagné notre véhicule, tandis qu’elles s’éclipsaient vers la cuisine toujours dans le plus simple appareil.

Alors que nous montions dans notre véhicule, j’ai pensé à cette envie qui me taraudait déjà. Je connaissais bien Philippe, il avait la même envie :

Changer de partenaire après avoir plongé dans le ventre de la première, je me suis vu glissant ma queue dans le conduit anal de Camille après avoir fouillé le vagin de Fabienne.

Philippe faisait sans doute un rêve différent. L’anus de Camille puis celui de Fabienne.

Accepterait-elle de se faire sodomiser ? La question ne se posait sans doute même pas.

Nous avons démarré en pensant aux prochains repas ? Dans le rétro, j’ai vu que les deux femmes débarrassaient notre table et qu’en même temps elles nous regardaient partir.

Le jour suivant le déjeuner se termina la veille et nous avons appris qu’après notre départ Fabienne et Camille avait eu leur première relation incestueuse.

Pour Philippe et moi après cette semaine de présence sur le secteur, nous ne sommes plus revenus pendant plusieurs semaines. Dès notre retour nous avons dû changer le supplément ou comme Camille disait « le pousse-café » en le dégustant dans la soirée après le travail, car le restaurant CHEZ FABIENNE avait de nouveau repris la fréquentation d’avant confinement.

Julie et Véronique

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