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« Je t’avais bien dit qu’il allait pleuvoir, David! »

David ne répond pas. Il sait qu’elle a raison, mais l’envie de se dégourdir les jambes après 5 heures d’embouteillages et de déviations l’a emporté sur les nuages qui menacent maintenant ce petit chemin de campagne ou ils se promènent. Déjà les premières gouttes commencent à tomber. Caty consulte la carte sur son portable:

–  Regarde, on a fait un demi-cercle. Si on coupe à travers ce bois, non seulement on sera un peu à l’abri, mais on sera plus vite retournés à l’hôtel.

–  Mais ça doit être privé, non?

–  Je m’en fiche. Allons-y.

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Ils quittent le chemin et passent sous les arbres. Cinq minutes plus tard, ils voient les toits du village au loin.

–  Tu vois? Oh! C’est quoi, ça?

Ils entendent un bruit dans les buissons et soudain un chien gris surgit à toute vitesse de devant eux. Il est énorme, mais il n’a pas l’air méchant, à voir sa queue qui fouette les jambes de David et manque de peu de le renverser. Puis, il se tourne et court sur Caty. Quand il se remonte sur ses pattes arrières il n’a pas de problème pour poser celles d’avant sur les épaules de Caty, à qui il lèche les joues avec enthousiasme. Elle, tétanisée, ne bouge pas.

« Hé, Fergus! La voix vient de la direction d’où est arrivé le chien. Un homme d’allure assez sportive, malgré ses cheveux gris, arrive en courant. Le chien l’accueille joyeusement. Il lâche he Caty pour courir à son maître.

–  Excusez-le, je vous prie. Il est jeune et bête, n’est-ce pas Fergus? Il ne vous a pas fait mal, madame?

–  Non, juste un peu peur à  cause de sa taille.

–  Il est d’une race qui atteint normalement 70 centimètres à l’épaule, mais comme son père en fait 80, lui aussi va être grand, même pour un lévrier irlandais. Il est gentil comme tout, mais comme tous les adolescents, il ne sait pas toujours comment se comporter, surtout avec les dames.

La pluie tombe de plus en plus dru et David aimerait bien continuer vers l’hôtel. Caty, par contre, semble être tombée sous le charme de cet inconnu qui, lui, est vêtu d’une veste imperméable.

–  Mais vous êtes trempés! déclare celui-ci. Venez avec moi. J’ai la voiture à deux pas.

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Ils le suivent à une Range Rover. Fergus saute à la place du mort, et David et sa femme montent derrière.

–    Heureusement qu’il n’y a qu’un hôtel dans le village, donc je sais où vous déposer, dit leur sauveteur.

Ils sont en train de passer devant le portail impressionnant d’un château quand leur chauffeur leur dit:

–  Moi, j’habite là-bas pour mes péchés. D’ailleurs j’ai une idée, si cela vous intéresse. Mon épouse élève et entraîne les chiens comme Fergus. Elle doit faire une démonstration de leurs talents à d’éventuels acheteurs chez nous ce soir. Vous voulez venir?

David commence à faire des excuses, mais Caty le surprend en acceptant tout de suite.

–  Bon. Alors je passerai vous chercher vers vingt heures.

Devant l’hôtel ils se dépêchent de se mettre à l’abri de la pluie devenue battante et rentrent dans l’hôtel.

Une fois dans leur chambre, ils se sèchent et se changent. David ne manque pas de remarquer que les tétons de Caty ressortent un peu plus que la chaleur de leur chambre n’impliquerait. Il se garde bien d’en parler, cependant. Si ça fait un petit frisson agréable à sa femme d’avoir fait un brin de causette avec le seigneur du village, David n’y voit pas de mal.

Sept heures du soir et ils commencent à se préparer pour la sortie. David est deuxième à prendre une douche, et quand il revient dans la chambre, Caty porte déjà une de ses robes préférées, style portefeuille, en lin bleu clair très léger.  C’est la plus courte de toutes ses robes et n’arrive même pas à mi-cuisse de ses longues jambes fines. Sa femme fait un mètre soixante-quinze pour ses cinquante-sept kilos. Ses cheveux courts noirs et ses yeux noisettes témoignent de ses ancêtres ibériques. Il apprécie encore plus la longueur de cuisse qu’elle lui révèle, parce que le leggings et le teeshirt qui complètent d’habitude cette tenue, sont absents. Ça lui fait cogiter. La robe pourrait-elle être le résultat de leur rencontre inattendue? Et dans ce cas-là, jusqu’où peut-il pousser son épouse?

–  Cap ou pas cap, mon amour?

Elle le regarde.

– Ça dépend de quoi.

-Tu es chiche de ne pas mettre de soutif?

Elle réfléchit un moment, puis:

– Oh. Bof, c’est comme tu veux, si ça te plairait, ça me dérange pas.

Elle enlève la robe, défait son soutien-gorge et l’enlève, puis remet la robe. Ses tétons font de petites bosses dans le fin tissu bleu, et quand elle va retourner son soutien-gorge à sa valise, le mouvement de ses seins de 85C ne cacherait à personne qu’ils sont sans support.

 – Ça va comme ça? demande-t-elle.

Elle a cédé trop facilement à cette demande, plus facilement qu’il n’aurait espéré. Il y a un petit challenge dans la voix de son épouse , comme si elle défiait David de lui exiger davantage. Défi accepté.

– Nous sommes loin de chez nous. Personne ne nous connaît ici. Alors,  si tu te passais de slip, aussi?

Elle ne dit pas un mot, mais passe ses mains sous la robe et retire sa petite culotte.

– On arrête là, David.

Il rit.

– Tu ne portes que la robe! Difficile de te demander d’enlever plus!

Un coup de klaxon annonce l’arrivée de leur transport. Ils descendent et trouvent leur hôte dans une Mercedes décapotable.

–  Je m’excuse, mais la Comtesse m’a piqué la Range Rover pour chercher d’autres de nos invités.

–  Je me mets derrière, annonce Caty. Les yeux de David s’ouvrent en grand, sachant que la robe de sa femme cache ses fesses et son sexe nu de seulement quelques centimètres. Leur chauffeur ne se prive pas d’admirer les cuisses nues de Caty qui grimpe dans la voiture. Elle s’installe et David monte devant. Un coup d’œil furtif lui confirme que de jour, la toison soigneusement taillée de sa femme aurait été visible entre ses cuisses. La soirée commence bien. Jusqu’où ira-t-elle?

Le trajet ne prend que cinq minutes. David remarque les joues roses de sa femme quand elle doit se tortiller pour s’extirper de la voiture.

–  Tu n’as pas trop vu? Je ne suis pas trop exposée? lui murmure-t-elle, pendant qu’ils suivent leur hôte vers l’entrée impressionnante du château.

–  Ce que je vois de toi n’est jamais trop. Il est impossible que tu sois trop exposée pour moi. Et à ce que je comprends, ce soir ça te plaît beaucoup. Le Comte apprécie, c’est sûr.

Caty rougit.

–  Je vous présente ma femme, Anne, dit leur hôte.

Madame la comtesse est aussi grande que David. En contraste avec la tenue impeccable de son mari, elle porte un jean et un teeshirt pas très propre.

–  Quand je suis avec mes chiens, pas la peine de mettre les perles familiales, explique-t-elle. Il est temps, Georges. Les autres sont dans le théâtre. J’arrive dans deux minutes. J’ai juste à ramener l’autre.

L’autre quoi? David se demande, mais il préfère ne pas poser la question. Depuis l’entrée du château, ils montent par un escalier impressionnant vers le premier étage. De là, un escalier plus modeste les amène à un couloir sombre. Georges ouvre en grand une porte à deux battants.

–  Ouah! Un vrai théâtre! s’exclame Caty. Un véritable bijou!

Il y a déjà une dizaine de personnes installées. Les bonjours s’échangent et le comte indique à David et Caty de prendre place au premier rang.

Il se penche vers eux.

–  La démonstration que vous allez voir est assez particulière. Quelque chose me dit que vous apprécierez, mais je vous préviens qu’une fois la présentation commencée, vous devrez rester à votre place, à moins que…mais je me devance. Les portes seront fermées, voilà tout.

Il part.

Les lumières de la salle baissent et celles qui éclairent la scène s’allument. La comtesse fait son entrée. Elle ne s’est pas changée.

–  On est censé applaudir? Caty souffle  à David.

–  Je ne crois pas. Chut, elle va parler.

–  Bonsoir, messieurs et surtout mesdames. Comme vous savez presque tous, notre petit spectacle vous montrera tous les talents de nos chiens, que j’entraîne très personnellement. Je peux vous assurer que leurs performances de ce soir se reproduiront chez vous à perfection et vous donneront une satisfaction totale. Si Non satisfait, remboursé n’est pas la devise familiale, elle devrait l’être! Mais évidemment, pour que vous voyiez exactement ce que vous achetez, nous avons besoin d’aide. Je vous présente Hortense.

–   Mais c’est la comptable de l’hôtel, dit David à voix basse. Que fait-elle ici?

Hortense doit avoir dans les trente ans. Elle est petite, avec des rondeurs que David a déjà remarquées. Elle est habillée d’une espèce de peignoir, ce qui, avec ses cheveux très noirs et sa figure de poupée, lui donne un air japonais.

–  Et maintenant voici le premier des vedettes de notre soirée. Je vous présente, Finn, qui porte le prénom d’un héros irlandais des temps anciens. Ses fils, Fergus, Connor, McCool, et Brian Boru lui ressemblent comme deux gouttes d’eau et sont aussi capables que lui. Finn, c’est le mien. Il n’est pas à vendre.

Le chien qui rentre sur la scène est immense. À côté de lui, Fergus est un chien de taille normale. Il se dirige vers Anne qui lui caresse le museau.

–  Il est docile et obéira à vos ordres immédiatement et sans faille. C’est un chien d’une grande intelligence et qui connaît parfaitement son métier. À toi, Hortense.

Hortense avance vers le public, défait son peignoir et le laisse tomber à ses pieds. Elle est complètement nue. Ses seins lourds tombent un peu, et elle ne fait rien pour dissimuler le peu de sa toison qui reste et qui ne cache pas la fente de son sexe.

– Bonsoir, dit-elle. Je suis ici à la demande de mon mari. J’ai eu la bêtise de le tromper…une fois seulement, je le jure, et ce soir je me rachète. Ce sera probablement la seule fois de ma vie que je ferai ce que je vais faire, mais il m’a défiée et pour me faire pardonner, j’ai accepté son challenge.

Elle s’agenouille et puis se met à quatre pattes, les fesses en l’air.

Anne reprend la parole:

– Vous avez peut-être remarqué que Finn est resté couché à mes pieds, malgré la présence d’une femme nue a quelques mètres de lui et dans une position qu’il reconnaît bien. Il ne s’approchera pas d’elle tant qu’on ne lui aura donné l’ordre. Hortense? Écartez vos jambes. Finn? Renifle!

Le chien se lève et sans hâte va vers les fesses ouvertes de Hortense. Il tend le museau vers le sexe de la comptable, qui est à même pas deux mètres de David et Caty. Le chien a son museau à quelques millimètres de cet abricot offert, mais il n’y touche pas.

– Finn? Lèche!

Le chien commence à donner de grands coups de langue entre les cuisses de Hortense. Elle cambre le dos et écarte ses jambes pour donner un meilleur accès au chien. Une minute passe, puis deux, et maintenant Hortense émet de petits miaulements et sursaute à chaque contact de cette langue longue et musclée. Elle repose sa tête sur ses avant-bras qu’elle a mis par terre, ce qui ouvre encore plus ses fesses.

–  Tu as vu? Elle laisse la langue du chien pénétrer dans son vagin! Caty murmure à David. C’est dégoûtant, tu ne trouves pas?

–  Mais d’après ses réactions, on dirait que Hortense est aux anges!

–  Jamais je ne pourrais me laisser faire ça. J’aurais trop honte.

–  Jamais je ne te le proposerais. Trop troublant.

David arrache son regard fasciné de ce qui se passe sur scène. À côté de lui,  Caty a sa robe remontée jusqu’à l’aine, et ses doigts sont en train de tracer les contours de son sexe. Il décide qu’il vaut mieux ne rien dire. Un coup d’œil furtif autour de lui révèle que sa femme n’est pas à seule à être émue par ce spectacle.

–  Finn? Couché ! La voix d’Anne est instantanément obéi par le chien.

 –  Finn? Debout! Vous remarquerez que bien qu’il soit en pleine érection, il se contrôle complètement. Il ne la pénétrera pas avant de recevoir l’ordre de le faire.

– Oh! Quelle bite il a! Le ton de Caty déclare qu’elle est choquée par la longueur de ce dard pointu et rouge qui balance sous le ventre du chien. Elle est choquée, peut-être, mais elle est aussi fascinée, se dit David. Caty dévore la bite du chien du regard.

– Finn? Go!

Le chien, qui a comme des mitaines aux pattes avant, monte sur le dos de Hortense et la pénètre, à coups rapides et, vu que la bite disparaît totalement dans le vagin de Hortense, très profonds. Elle tient deux minutes, puis elle lève la tête et hurle, la bouche grande ouverte.

–  Oh mon dieu! Oh mon dieu! C’est incroyable comment il me baise! Jamais aussi profond, ni aussi fort et…je vais jouir!

Sa tête retombe sur ses bras et tout son corps vibre incontrôlablement.

– Finn? Couché ! Le chien se retire et se couche. Hortense tremble pendant au moins une minute, puis elle se reprend et fait un premier mouvement pour se lever.

–  Pas encore! Anne est péremptoire. Reste comme tu es! Finn? L’autre!

Devant le regard épaté de David et de Caty, le chien monte sur Hortense et cette fois il l’encule. De nouveau ses coups de butoir sont d’une vitesse folle, et Hortense crie sans arrêt son plaisir.

–  Comment a-t-il su faire ça? C’est incroyable! Il ne peut pas voir où viser! Caty n’arrive plus à contrôler sa voix. Anne l’entend, et répond d’un ton on ne peut plus naturel:

–  Voilà l’importance de l’entraînement que je lui ai fait. Je vous ai dit qu’il est intelligent. Avec moi, il ne s’est trompé que deux ou trois fois avant de comprendre quand je voulais qu’il me baise et quand je voulais qu’il m’encule.

À côté de David, sa femme a les yeux qui sortent de sa tête.

Finn a continué a besogner Hortense, mais soudain, il s’arrête et ne bouge plus.

–  Caty? Vous voulez bien monter sur la scène et regarder de près pour nous dire ce qui se passe, s’il vous plaît?

David est incrédule. Sans hésiter, Caty se lève. Quand elle monte les marches pour s’approcher de Hortense et du chien, les murmures prouvent combien il est évident pour toute l’assistance qu’elle est nue sous sa mini-robe. Elle doit se mettre à genoux pour bien voir là où Finn est enfoui dans le cul de Hortense, et cela offre à David et aux autres une vue plongeante splendide sur les seins de sa femme, jusqu’aux tétons qui ressemblent à de petits cailloux. Elle se relève.

–  Il y a comme une boule qui doit faire partie de sa bite. Hortense? Ça te fait mal d’être tellement distendue?

Hortense est haletante. Elle a du mal à sortir les paroles.

–  Difficile…à…expliquer ce que je…ressens. Je suis pleine, pleine à craquer de son foutre. La boule, c’est fort, très très fort. Un peu peur…pour quand il sortira. Va-t-il me déchirer? Mais je crois…que même ça…je voudrais…je supporterais ça pour savoir ce que j’éprouverais …Mais, oh! De quoi j’ai l’air?

–  N’aie pas peur. Il attendra que le nœud s’apaise. Il connaît son métier, dit Anne.

Caty commence à se relever pour retourner à sa place.

–  Caty? Anne l’arrête d’un geste. Nous avons tous vu que vous ne portez rien sous votre robe. Nous vous en remercions. Voulez-vous vous approchez de moi? Bien. Relevez votre robe.

Caty obéit. Elle ne bronche pas quand Anne lui caresse le sexe d’une main. Anne montre le résultat au public. Les jus de Caty dégoulinent visiblement. Caty baisse la tête, honteuse, mais ne fait rien pour s’esquiver ou pour lâcher sa robe. Elle reste figée, sa vulve exposée à tous et à toutes.

–  Connor? Viens!

Un deuxième chien bondit sur la scène et vient se mettre à côté d’Anne.

–  Connor? Lèche!

David ne peut que s’emerveiller en regardant sa femme, son épouse, qui, les yeux mi-clos, permet…tranquillement, non, mais sans broncher, ça oui, qu’un chien lui lèche le minou, et qui plus est, devant des spectateurs attentifs. Elle s’appuie sur Anne, qui sait assurément ce qui se passe dans le corps de Caty, et peut-être une partie de ce qui se passe dans sa tête, et qui lui tire sur les tétons sans ménagement. David est sûr qu’Anne souffle des conseils à sa femme, parce qu’il voit Caty qui fait oui de la tête, avant d’écarter ses cuisses encore plus, pour permettre au chien de rentrer la langue entre les lèvres de sa vulve pour atteindre directement son clitoris, avant de la plonger dans son vagin. Non seulement cela, mais c’est aussi sa femme qui jouit sous ces coups de langue canine, qui s’écroule dans les bras d’Anne, et reste encore plusieurs minutes à être embrassée et caressée par la Comtesse…et qui lui rend les memes câlins, avant de descendre de la scène sous les applaudissements et de se blottir dans ses bras. Il sera étonné si jamais elle fera allusion aux événements de ce soir inoubliable dans le futur, et lui n’osera certainement pas aborder le sujet. Mais il sait que tout ce qu’il…et elle…viennent de vivre restera gravé comme une vidéo, minute par minute dans sa mémoire, et ne s’effacera plus jamais…

En effet, le restant de leur séjour se passe sans qu’elle y fasse allusion, et David non plus n’ose aborder le sujet. Mais ils baisent plusieurs fois par jour, et il se demande si, dans la tête de Caty, il se déroule le film de ses baisers et caresses que lui a prodigués Anne. Ils retournent chez eux.

Et puis, quelques semaines plus tard, le téléphone sonne…..

Francis, dit l’ex de Penny

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8 Commentaires

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  • Il y a une suite si cela vous intéresse. J’ai d’autres histoires de mon passé aussi. J’aime discuter.

  • La suite de cette histoire-ci, c’est l’histoire de Claudine et William au château, qui, elle n’a pas (encore) de suite. Contactez-moi pour des histoires dans un autre genre si cela vous intéresse.

    Francis

  • Merci,j’ai lu Claudine et William au château..que j’ai beaucoup apprécié, mais la sensualité de Cathy m’a plus émoustillé ainsi que le savoir faire d’Anne qui la prend dans ses bras et l’embrasse pour donner un autre genre de sensations.

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