Si vous avez raté la première partie
Je regagne ma chambre, la culotte d’Éva roulée en boule dans ma main gauche. Puis je me déshabille pour prendre une douche. Au moment où je vais entrer dans la cabine, je vois la culotte en coton rose sur le lit. Je m’en empare et hume l’intérieur, là où la chatte d’Éva touchait le tissu. Je bande presqu’aussitôt. Alors j’entoure ma bite avec la culotte et me branle en pensant à ses nichons, à son cul, à ses cuisses, à sa chatte et à tout son corps qui me fait triquer. Je finis par juter dedans. Puis je me douche, tout en lavant la culotte que je mets à sécher. Après quoi, je me couche et dort d’un sommeil réparateur.
Le lendemain, je passe la matinée en visitant un musée situé pas très loin d’ici. Ensuite je rentre déjeuner au restaurant de l’hôtel et, vers 13 h, je prends la route de Vanovice. C’est à ce moment que je me souviens que nous n’avons pas fixé de lieu de rendez-vous. Alors, une fois arrivé, à 14 h 10, je me gare au début de la rue qui va chez elles. Un quart d’heure plus tard, je vois deux silhouettes venir dans ma direction : c’est bien Éva et donc sa jeune sœur, Jana. Elles ont revêtu une petite robe toute simple, sans manches et, ce qui ne gâte rien, ultra courte, quasi ras des fesses. En arrivant à ma hauteur, Éva me fait signe de revenir dans la rue principale et de les suivre. Quand elles arrivent devant l’arrêt de bus, elles s’arrêtent et me font signe. Je stoppe donc devant elles et s’ensuit un petit scénario :
– Où allez-vous, mesdemoiselles ?
– À Jednovice, là où est le lac pour la baignade.
– Montez ! J’y vais aussi.
Vingt- cinq minutes plus tard, je gare la voiture sur le parking de la baignade. Je paie les entrées
et le stationnement et une fois entrés sur le site, nous cherchons un endroit. À cent mètres de la rive du lac se trouve un petit bois. Nous nous y dirigeons, tandis qu’Éva me dit que c’est aussi dans ce coin-là que se trouvent les toilettes.
Une fois sur place, Éva sort d’un sac deux serviettes, ainsi qu’un flacon d’huile solaire. Enfin, elles déboutonnent leur minirobe pour exhiber un maillot de bain. Celui d’Éva est assez couvrant, celui de Jana un peu moins. Et la « petite » sœur a un soutien-gorge déjà bien rempli ; ça promet pour les années à venir ! Et quand elle me tourne le dos, son slip blanc et noir moule ses fesses, tout en laissant deviner la naissance de celles-ci.
Puis elles s’enduisent le corps d’huile solaire : une peau si claire doit être protégée. Alors que nous sommes assis, deux couples, jeunes, viennent s’installer sous un arbre, à quelques mètres de nous. Les jeunes femmes, arrivées là en maillot deux pièces, retirent leur soutien-gorge, exhibant deux belles paires de seins, surtout pour l’une d’entre elle. De là, je peux voir ses seins se balancer à chacun de ses mouvements. Absolument excitant ; si les deux sœurs pouvaient en faire autant…
Comme s’ils avaient entendu mon désir, les voilà qui font des signes dans notre direction. Les jeunes femmes font des gestes explicites avec les mains sur leurs seins. J’en profite :
– Ils vous proposent de retire le soutien-gorge…. Vous aimeriez ?
Et elles, en chœur :
– Ce n’est pas possible. Je crois même que c’est interdit ici.
– La police peut contrôler ?
– Peut-être pas. De toute façon cela ne se fait pas.
– Regardez comme ils insistent !
C’est vrai. Les hommes semblent même les supplier d’accepter. Et les femmes ne sont pas en reste ! Finalement c’est Jana qui capitule la première en dégrafant puis ôtant son soutien-gorge : waouh ! Quels beaux nichons la Jana. Elle aura bientôt de ces nibards…. Puis Éva cède à son tour, m’offrant, de jour, la vue de bien jolis seins. Les deux couples applaudissent, visiblement ravis. Puis Jana se tourne face à moi, comme pour me permettre de mieux l’admirer. Ses seins avantageux me narguent. C’est qu’ils tiennent bien, merveilleusement bien. Ceux d’Éva aussi, d’ailleurs. Je suis vraiment gâté. Mais, à force de mater les nibards laiteux de Jana, je bande pour de bon. Assez pour que ma queue raide tende mon slip, provoquant une bosse impossible à cacher. Jana, qui est debout, presque en face de moi, n’a pas pu ne pas la voir. D’ailleurs je devine ses yeux baissés, regardant cette chose incongrue. Mais elle ne dit rien.
À ce moment précis, les Hollandais font des signes. Ils semblent bien qu’ils s’adressent à Éva. Celle-ci, qui était assise, se lève et, vêtue de son seul slip, se dirige vers eux, nous disant au passage :
– Je reviens dans un moment, attendez-moi là.
Pour quelle raison y va-t-elle ? Jana lève les yeux au ciel et me fait comprendre que sa sœur
ne refuse pas les situations qui ont de l’intérêt pour elle.
Je me retrouve donc face à Jana. Comme elle jette des regards furtifs sur cette protubérance qui déforme mon slip. Je me lance :
– Ça t’intrigue ? Tu veux voir à quoi ça ressemble ?
Elle rougit comme une pivoine, mais reste plantée là, alors qu’elle pourrait s’en indigner. Alors, oubliant toute prudence, j’ose :
– Viens avec moi, là-bas, tu vas voir !
Je désigne le bâtiment qui abrite les toilettes. Elle regarde du côté d’Éva, qui semble capter l’attention des deux couples, par son bavardage. Puis les voilà qui se lèvent tous, et s’éloignent en direction du lac. Autant en profiter ! Je prends leur sac et y enfourne serviettes, flacon et robes. Puis je saisis Jana par la main et veut l’emmener. Elle traîne les pieds. Je lis dans son regard, un combat ou la honte le dispute à la curiosité et à l’envie. Je l’amène jusqu’à l’entrée. Personne dans cet endroit. Alors, je l’attire dans le coin des toilettes fermées et nous nous enfermons dans une cabine. Je la fais assoir sur la cuvette, moi dos à la porte. J’écarte mon slip : ma queue jaillit presque et se dresse à l’horizontale. Jana a un mouvement de recul :
– C’est la première fois que tu vois un sexe d’homme ? Et comme tu vois, il est assez gros… et en plus tu me fais bander ! Touches-le, ça ne mord pas !
Elle semble paralysée devant ce qui doit être un monstre de chair pour elle. Alors je lui prends une main :
– Allez, touche-le ! C’est la première bite que tu vois à seize ans, je sais. Tu es muette, en plus ?
– J’ai honte… En plus vous êtes âgé. Quand Éva m’a parlé de vous, je pensais à un jeune homme. Vous… vous pourriez être mon père.
– Et alors ? Tu n’as qu’à imaginer que tu vois la bite de ton père…
J’ai osé. De nouveau rouge comme une pivoine, mais elle laisse ma main saisir la sienne pour la poser sur ma queue. Le contact est électrique.
– Caresse-la, tripote-la, c’est ton jouet.
Elle le fait, mais sans oser regarder. Facile de s’en rendre compte.
– Regarde ce que tu fais !
Elle baisse les yeux. Elle voit ses doigts courir le long de ma bite, voir le gland décalotté.
– Tu vas me branler. Tout de suite !
J’ai parlé un peu fort. Elle finit par saisir ma queue avec sa main droite et m’astique doucement.
– Masse-moi les couilles avec ton autre main !
Je la presse un peu. Nous entendons du bruit. Quelqu’un est entré. Jana s’arrête aussitôt, sans doute angoissée à l’idée d’être surprise. Mais je l’oblige presque à reprendre la masturbation.
– Quand tu masturbes un homme et qu’il peut y avoir du monde autour, c’est encore plus excitant. Toujours muette ?
Maintenant elle a pris le rythme et je suis de plus en plus excité. Ma queue est dure, les veines saillantes. Et puis ces nichons que j’ai sous les yeux… Alors, je les lui tripote sans rien lui demander et puis je roule les tétons entre mes doigts. Ça fait son petit effet. L’excitation vient doucement chez elle, et par contrecoup, elle me branle plus fort, si bien que je finis par jouir et je largue des jets de foutre sur son ventre, ses seins et ses cuisses. Je souris en voyant sa surprise devant ce qu’elle a provoqué.
– Bien Jana, bien ! Tu vas être une bonne branleuse. Au fait, je sais que tu te masturbes. Alors tu vas le faire devant moi. À moins que tu préfères que je te masturbe ? Baisse ta culotte.
Elle chipote un peu, je vois bien qu’elle a honte de ce qu’elle fait et, en même temps que la découverte du sexe commence à la séduire, pour ne pas dire à l’exciter. Sans me regarder, elle tire sa culotte sur les genoux et sa chatte lisse apparait.
– Tu as un joli petit abricot, ma chatte. Seize ans et déjà bien bandante. Elle rougit quand mon doigt glisse sur les lèvres de sa vulve. Écarte tes cuisses pour me montrer que tu as envie d’être masturbée ! Mmmm !
Elle ouvre ses cuisses en grand et son abricot juteux est visible dans toute sa splendeur
– Et ton petit bouton qui ne demande qu’à être excité… Le trésor que tu as entre les jambes porte un autre nom, plus cru : un con ! Le con de Jana. Tiens, répète le mot, ma chatte, pour me faire plaisir.
Elle hésite, pendant que je caresse sa vulve avec mon doigt. Puis :
– C’’est le con. Mon con…
– Bien ! Je vais t’apprendre plein de mots comme ça. Tu me parais aussi vicieuse que ta sœur, malgré tes rougeurs et ta timidité apparente.
Je titille son clitoris qui, peu à peu, durcit sous mes doigts. Puis avec le bout du doigt, je fais des mouvements circulaires sur son bouton d’amour. La voilà qui commence à gémir doucement. J’accélère – je me rends compte que nous sommes là depuis un moment- et elle se tortille, toujours assise sur la cuvette. Elle se met à couiner de plus en plus fort, si bien que je dois plaquer ma main gauche sur sa bouche. Elle bave de plaisir dans ma main. Elle halète, puis elle râle de plaisir, mouillant mes doigts de sa cyprine.
– Eh bien, vous êtes bruyantes les deux sœurs ! Remarquez, moi, ça m’excite de vous entendre couiner ainsi de plaisir.
Jana reprend sa respiration, mais elle a gardé ses jambes écartées.
– Reste comme ça, ma chatte ! Je veux vérifier quelque chose.
Ma main droite disparait entre ses cuisses et mon index repère la raie des fesses. Elle comprend ce que je veux faire :
– Ah, non, pas ça ! C’est sale, je ne veux pas.
Mais mon doigt s’enfonce entre ses fesses et je finis par sentir l’entrée de son petit trou.
– Arrêtez, non, c’est sale… Noooon !
Elle vient de sentir mon doigt pénétrer son anus. Elle se contracte et je ne vais pas plus loin. C’est que je souviens que nous sommes là depuis un bon moment et que, peut-être, Éva est revenue entre temps.
– Bon… Ça va pour cette fois. Nous reverrons cela plus tard, n’est-ce-pas ? Allons-y.
Comme elle n’a pas pu essuyer le sperme que j’ai balancé sur son corps, celui-ci a séché et forme une croute odorante. Ayant remonté sa culotte, elle hésite à sortir.
– Allons, viens. Tu es encore plus excitante, ainsi. Et ta sœur, elle a peut-être eu droit au même traitement.
Un léger sourire sur ses lèvres… Éva aurait-elle fait « des choses » avec ces Hollandais ? Quand nous revenons à notre emplacement, c’est pour constater « qu’ils » ne sont pas revenus. Quant à Jana, elle paraît me voir avec d’autres yeux, comme si ce que je lui avais demandé de faire avait aiguisé sa curiosité sexuelle.
Une silhouette au loin, qui s’approche de nous : c’est Éva, les seins à l’air et la culotte mal remontée. Elle s’assoit près de nous, satisfaite :
– Ces Hollandais, des cochons, oui. Ils m’ont fait comprendre qu’ils aimeraient se faire masturber par une jolie Tchèque. Et pendant que je faisais cela, une bite dans chaque main, une des filles m’a masturbé avec ses doigts et l’autre me tripotait les seins. Les garçons ont joui en giclant sur moi et pour finir la fille m’a faite jouir. Et je suis toute collante.
Quelque chose dépasse de sa culotte :
– Qu’est-ce-que c’est ?
– Ah, ça c’est ma récompense… Ils m’ont donné trois cents couronnes, sans leur avoir demandé quoi que ce soit.
– C’est comme s’ils t’avaient payé pour ça, en fait ?
– Ils m’ont dit qu’ils allaient rentrer chez eux, et que cet argent ne leur servait à rien. Ils me l’ont donc donné. Je n’allais pas refuser, quand même.
Je vois Jana sourire, tout en levant les yeux au ciel. Comme elle me voit surpris :
– Non, elle ne se prostitue pas si tu veux savoir. Mais quand ce genre d’occasion se présente, elle en profite et cela lui fait un peu plus d’argent de poche… et en beaucoup moins de temps !
Puis, elle nous regarde :
– Vous vous êtes bien amusés sans moi ?
Je ne sais pas si elle voit les traces de sperme sur le corps de sa sœur, mais elle semble se douter de quelque chose. Le tout sans éprouver même le début d’une indignation. Jana rougit sous le regard de sa sœur, qui l’invite :
– Tu viens ? On va se baigner un peu. Je crois qu’on en a besoin, non ?
Elles remettent leur soutien-gorge et vont jusqu’au bord du lac. Je les vois entrer dans l’eau. Elles y restent un bon quart d’heure avant de revenir. Puis j’y vais à mon tour, comme on avait prévu. J’y passe un bon moment été, quand je les rejoins, il est un peu plus de 17 h 40.
Éva, qui bavardait avec sa sœur se tourne vers moi :
– Nous n’allons pas tarder à rentrer. Tu nous déposeras devant l’arrêt de bus et tu iras à Brno, à ton hôtel, n’est-ce-pas ?
– Tes parents ne rentrent qu’à 22 h, je crois…
– Oui, bien sûr, et… ?
-J’aurai largement le temps d’aller chez vous, voir où vous habitez, comment vous vivez…
Éva reste silencieuse, elle a l’air ennuyée par ma demande, à moins qu’elle ne réfléchisse à la façon d’y répondre. Elle se décide :
– C’est compliqué ce que tu demandes… Il faudrait qu’on ne te voit ni entrer ni sortir de la maison.
Elle ne semble pas hostile à l’idée, mais pointe les inconvénients. Jana intervient :
– Il peut passer par la porte arrière de la maison, celle qu’on emprunte pour aller au grand jardin de l’autre côté de la voie.
– Oui, mais il ne faut pas qu’on remarque sa voiture…
Elles entament une conversation à laquelle je ne comprends pas grand-chose. Puis Éva expose le plan qu’elles ont imaginé :
– Tu nous laisses à l’arrêt du bus, puis tu fais demi-tour pour te garer sur la place. Ensuite tu t’engages dans la petite rue où se trouve la poste. Tu continues encore tout droit jusqu’à ce que tu aperçoives la voie ferrée. Juste avant, il y a un petit chemin qui la longe et qui passe à l’arrière des maisons qui longe notre rue. Quand tu arrives devant une porte en bois avec un chiffon rouge, c’est là. Tu tapes assez fort et l’une de nous deux va t’ouvrir. Ça te va ?
– Pas de problème, j’espère que tout ira bien.
Vers 18 h, nous regagnons la voiture. Elles ont accepté ! J’ai du mal à cacher mon excitation.
À suivre…
Bob
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