Mariette se réveille, elle s’étire comme un félin, et en regardant son compagnon qui ne cesse de la dévisager, elle lui dit :
-Tu étais sérieux lorsque tu m’as dit que tu aimerais me voir faire l’amour avec ta maman ?
Roger écarquille les yeux et répond :
-On ne peut l’être plus, pourquoi cette question ma chérie ?
Mariette, un peu gênée répond :
-Eh bien mon chéri, j’ai envie de tenter, l’expérience et cela m’excite même. Ta maman veut vraiment faire l’amour avec moi ?
Roger en poussant un soupir réplique :
-Je ne lui ai pas encore posé la question, mais c’est prévu que je la déglingue après mon boulot, tu seras vite informée ma chérie !
Après son travail, Roger se rend chez ses parents, sa maman est déjà nue, elle l’attend avec impatience sur le canapé. La coquine est déjà fouillée la chatte avec quelques carottes bien calibrées, les légumes trainent encore sur le sol, et sa chatte béante, laisse échapper sa cyprine. Marcel est en admiration devant ce qu’il voit, il dit très excité :
-Vas-y, Roger, baise-là, baise-là, elle est à point !
Rapidement, Roger se met nu. Sa maman se jette sur sa verge encore endormit. Elle l’agite rapidement, car affamée comme elle l’est, elle veut qu’elle soit opérationnelle le plus vite possible. Pendant qu’elle lui branle l’engin d’une main, l’autre lui caresse les fesses. Bien que ses mains soient occupées, sa bouche lui suce les couilles gorgées de semences. Roger gémit, les doigts agiles de sa maman passent dans le large sillon qui sépare les fesses, et taquinent un instant l’œillet brun, qui se met à frémir.
Soudain, elle décalotte fortement le gland et le gobe. Les succions sont si puissantes, que Roger rugit comme un fauve en cage. La bouche vorace de sa maman avale entièrement la hampe jusqu’aux couilles. La gourmande se fait une gorge profonde. Son fils lui saisit la tête et lui baise la bouche comme un forcené, ses coups de reins sont brutaux. Un filet de salive s’échappe à la commissure des lèvres de la maman gourmande, ses yeux s’emplissent de larmes. Roger, enfin, lui remplit la bouche, avec son sperme visqueux. Elle le repousse, car elle est au bord de l’asphyxie. Elle parvient à avaler la totalité de la décharge, en faisant une grimace.
Roger lui saisit l’arrière des cuisses, tire dessus, et lui plante son engin gluant dans la chatte jusqu’à la garde. Le pilonnage est sévère, la verge coulisse dans la gaine aisément, car fortement lubrifier par l’abondante cyprine qu’elle sécrète. Roger, arrache des gémissements de bête à sa maman soumise. Le mandrin voyage avec une puissance terrible dans le ventre de Lucette, qui ne retient pas ses râles. Elle s’accroche aux hanches de son baiseur, en grognant comme un animal blessé, tout en agitant son bassin férocement.
Pour être totalement empalée, la coquine donne, elle aussi, de sérieux coups de reins violents. Lorsque les corps se rencontre, des bruits sourds de contact, se font entendre. Marcel est aux anges, sa bite est tendue vers le plafond, elle laisse échapper quelques perles de rosées.
Lucette déraille complétement :
-Casse-moi la chatte, Roger, bourre-moi profond, Oh que ta bite est bonne, donne tout ce que tu as mon cochon, éclate-moi comme une chienne !
Les coups de boutoir que donne son fils, son dévastateur, elle s’accroche à lui, comme un rapace sur sa proie. Sa jouissance est incommensurable, c’est si violent qu’elle s’écroule sur le canapé, bras en croix, les yeux retournés dans leurs orbites. Roger continue de la déglinguer. Il serre les dents, et cogne, comme pour lui faire mal. A chaque coup de bélier, sa maman, dans un état comateux, pousse un râle rauque. Enfin, Roger déverse dans le ventre de sa soumise son sperme épais. Il se retire, et l’enlace, les deux halètent fortement en cherchant un deuxième souffle.
Peu à peu Lucette refait surface, ses yeux sont encore vitreux, elle dit entre deux respirations :
-Oh mon chéri, là, tu m’as tué. Oh la vache, tu as bien déglingué ta maman petit cochon !
Le papa, voyeur agite sa queue avec violence, il cherche la jouissance. Une puissante giclée fuse de sa verge, et retombe sur son pantalon déjà souillé de sperme. Il dit :
-Oh oui, là, on peut dire que tu l’as bien culbuté ta salope de maman mon salaud !
Roger caresse les seins lourds de sa maman, joue avec les mamelons un long moment. Les bougres, gonflés au maximum, sont devenus monstrueux. Lucette reprend ses gémissements. Tout en roulant entre ses doigts les mamelons larges et épais, Roger dit :
-Maman, je connais une femme qui serait prête à se mêler à nos ébats ?
Lucette surprise répond :
-Je n’ai jamais fait l’amour avec une femme, mais l’idée m’a déjà traversée l’esprit !
Marcel bondit :
-Oh putain oui amène une femme Roger, je veux voir ça !
Lucette en faisant un sourire demande :
-Qui souhaite faire l’amour avec moi ?
En se raclant la gorge, Roger répond :
-Eh bien, c’est Mariette, je lui, en ai parlé, elle veut bien tenter l’expérience avec toi !
Lucette regarde son fils, ses yeux pétillent comme du champagne, elle dit :
-Hum avec la bouche qu’elle a Mariette, cela doit être merveilleuse de se faire dévorer par elle. J’ai hâte de voir Mariette nue, ses formes sont magnifiques, amène-la-moi rapidement mon chéri, j’en bave d’envie !
Comme pour la remercier, Roger dépose un gros baiser sur les lèvres de sa maman, et lui aspire un mamelon, il le suce voracement, avant de passer à l’autre. Pendant qu’il tète, de sa main, il lui travaille la chatte, jusqu’à l’orgasme. Enfin, il prend une douche et rentre chez lui.
C’est souriant qu’il ouvre la porte. Il embrasse Mariette et lui annonce la nouvelle. Elle se blottit contre lui, et se met à ronronner comme une chatte, que l’on flatte de la main. La femme très amoureuse de son mari, excitée par la nouvelle, commence avec art à dévêtir son mari.
Un à un les vêtements de Roger s’entassent sur une chaise, une fois nu, en souriant, elle s’effeuille comme une stripteaseuse. Cela produit un effet terrible sur Roger, sa queue entre en érection, malgré les nombreux assauts qu’il a portés à sa maman. Le bougre a encore de la semence à offrir.
Mariette ondule du bassin, tourne autour de son mari, en agitant lestement ses hanches comme une danseuse orientale. Elle relève ses seins avec ses mains, les presse plusieurs fois, sans cesser de regarder son mari.
Elle écarte les jambes et se cambre pour exhiber sa vulve garnie d’une fine toison, qui comme par miracle est déjà humide. La coquine continue son spectacle, elle tourne le dos à son mari et se penche en avant. Avec des mains, sans aucun tabou, elle écarte ses lobes fessiers et expose à la vue de son mari son anneau boursouflé, que le coquin a déjà visité plusieurs fois.
Elle se redresse, et bascule son mari sur une chaise et l’enjambe. Elle saisit sa queue, et la dirige vers sa chatte dégoulinante de désir. Elle s’empale férocement et s’agite comme une forcenée sur le pieu qui lui laboure le ventre. Elle grimace en s’agitant.
Soudain, elle se désaccouple, saisit la verge raide, et la place contre son anus, et se laisse tomber dessus de tout son poids. Embrochée jusqu’aux couilles, Mariette, en grimaçant, reprend la chevauchée. Avec son bassin, elle fait des mouvements de rotations, Qui s’avèrent efficaces, car elle explose en même temps que son mari. Les deux amants restent un long moment accouplé. Avant de s’embrasser fougueusement, pour celer leur amour.
Linsee
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