Le lendemain matin, Mariette est rayonnante, elle à un peu mal au cul, suite de sa chevauchée fantastique de la vielle. Elle se lève, s’étire comme un chat, et descend l’escalier. Son mari est déjà levé, il a préparé le petit déjeuner. Mariette, souple comme un félin, descend marche après marche en se déhanchant. Roger la regarde amoureusement, il voit au travers du fin tissu de la nuisette le corps de la femme qu’il aime tant.
La touffe noire de l’entrejambe qu’il aperçoit, le fait saliver. Mariette s’arrête en chemin, et en souriant, relève doucement la nuisette sur son bas ventre. Les yeux de son mari se braquent sur la toison bien taillée, qui cerne les grandes lèvres bien dessinées. En mettant en évidence, le clito bien charnu, que la coquine avant de descendre a dû longuement caresser. Vicieusement, elle écarte doucement sa vulve en fixant son mari du regard. Roger défaille, sa verge se dresse. La coquine saisit son clito et commence un branlage, qu’elle dose parfaitement pour ne pas jouir.
Roger serre les poings, il dit en marmonnant :
-J’aime mon amour, lorsque tu fais la salope !
En souriant, elle répond :
-Je suis ta salope mon chéri, une grosse salope, et je vais te le prouver avec ta maman !
Soudain, elle cesse de se masturber, rajuste sa nuisette et prend place à table, comme si de rien n’était. Elle regard d’un air vicieux l’homme qu’elle aime, et sait que sa vie dans quelques heures va changer. Roger extirpe de son caleçon sa verge tendue et en soufflant comme un taureau, dit :
-Regarde dans quel état tu m’as mis, tu l’as fait exprès avoue !
En souriant, elle répond :
-Oui, c’est pour me venger, tu m’as cocufié avec ta maman, mais maintenant c’est moi qui vais te cocufier avec elle, je suis si excitée, que ma chatte est en feu, mon chéri !
Roger la regarde, il lui prend la main et la lève de sa chaise, il l’enlace et se frotte contre elle. Les ondulations de son bassin sont très appuyées. Sa verge coulisse contre le ventre de Mariette qui pousse de gros soupirs. Le coquin volontairement envoie sa semence, la nuisette et remplit de sperme visqueux. Mariette le repousse et dit :
-Oh mon chéri, tu gâches de la bonne semence, c’est honteux de faire ça. !
Mariette étend avec sa main sur sa nuisette, le liquide visqueux, en regardant dans les yeux son mari. Les deux se rendent dans la salle de bain pour prendre une douche bien méritée, et se frottent mutuellement le corps. Les deux amants, excités, ne peuvent s’empêcher de se caresser. Mariette tombe à genoux, l’eau ruisselle sur son corps, elle saisit la verge dressée de son mari, la décalotte et gobe gland, elle le suce jusqu’à ce qu’elle reçoive sa récompense.
Roger la plaque contre la paroi, et l’embroche brutalement avec sa queue puissante. Il la défonce jusqu’à l’orgasme. Il n’omet pas de la sodomiser violemment, il dit d’une voix rageuse :
-Tu aimes çà, que te prenne le petit trou avoue :
En serrant les dents, Mariette répond :
-Ne parles pas tant mon chéri, bourre-moi, bourre-moi, oui, oui, j’aime ça !
C’est après plusieurs jouissances que les deux amants, sortent de la salle de bain. Après le déjeuner, il est temps de rejoindre la maman, qui surement doit s’impatienter. Lucette porte une blousse, elle n’a pas osé se mettre nue comme à chaque fois qu’elle attend son fils amant. Mariette porte une jupe qui lui arrive à mi-cuisses, et un croc top qui lui moule les seins. Sous les conseils de son mari, elle ne porte pas de sous-vêtement.
Les deux femmes se regardent longuement, Marcel nerveusement, serre un verre. Il sait que la journée va être très instructive. Après avoir bu quelques verres pour ce donner du courage, les deux femmes se lèvent. Lucette enlace Mariette, la serre très fort contre elle, elle la sent frémir, et cela lui donne du Beaume au cœur. Les corps se frottent l’un contre l’autre. Soudain, contre toutes attentes, les lèvres se joignent. Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler. Le baiser est très long, un flot de salive est échangé.
Les deux hommes prennent place comme voyeurs, Marcel dans un fauteuil et son fils sur une chaise. Marcel a pris soin de sortir sa verge de son pantalon, il sait que cela lui sera très utile pour la suite. Roger ravale sa salive, il est curieux de voir les deux femmes en action. Lucette fait glisser le zip de la jupe de Mariette, et habilement la fait descendre. Elle découvre petit à petit le ventre plat de sa belle-fille, pour enfin lui dénuer la toison. Les yeux de Lucette semblent pétiller, elle se penche, et donne quelques baisers bruyants sur le ventre qui se met à frémir. Elle hume fortement la vulve, avant de poser sa bouche dessus.
L’aspiration qu’elle fait, sur le clito est violent, Mariette se cabre en poussant un grognement. Avant de libérer le clito, Lucette fait encore quelques aspirations dessus. Elle se redresse et lentement libère les seins du carcan de tissu qui les emprisonnait. Les lobes jaillissent comme deux obus, Lucette, les regarde émerveillée. Les bouts semblent sensibles. Elle s’écarte, et admire le corps de sa belle-fille.
Mariette un à un fait sauter les boutons de la blouse de sa belle-mère. Elle ouvre les deux pans, et regarde les seins lourds qui pendent sur le torse. Les mamelons larges et très épais, qui trônent au centre d’aréoles brunes fortement grenelées, sont impressionnants. Elle fait tomber la blouse sur le sol et dévoile le corps nu.
La touffe de poils qui cerne la vulve est très humide, Lucette est déjà en excitation. Mariette est très motivée, elle bascule sa belle-mère sur le canapé, et lui pétrit les seins avec force. Lucette geint en se cramponnant au canapé, elle grimace lorsque sa belle-fille lui saisit les mamelons et les presse fortement. Elle les étire, les roule entre ses doigts avant de les gober à tour de rôle. Plus Mariette maltraite les mamelons, plus Mariette geint. Les bouts deviennent méconnaissables, les râles de la soumise n’en plus.
La bouche délaisse les mamelons, et se dirige, en embrassant chaque parcelle de peau, vers le puits d’amour. Elle se pose dessus, Lucette pousse un gémissement terrible, lorsque la langue s’enfonce profondément dans le vagin et le fouille comme jamais, il ne l’a été. Lucette gémit, en agitant son bassin, sa chatte rejette un filet continu de cyprine. Mariette avale le plus qu’elle en peu, la coquine bien que ce soit la première fois de régale de jus féminin. Le gout suave du liquide la rend fébrile. Elle grimpe sur le canapé et se votre sur sa belle-mère. Son bassin arrive à hauteur de la bouche de Lucette, qui plaque sa bouche dessus et dévore une chatte pour la première fois de sa vie, d’ailleurs, tout autant que Mariette.
La bouche de Lucette ce remplit de cyprine, que la coquine avale. Mariette change de position, Lucette ce met tête bêche sur Mariette. Les deux femmes se broutent la chatte en même temps, les râles et gémissements que poussent les deux complices, sont bruyants. Les clitos sont devenus monstrueux, les deux affamées, se le dévorent férocement en geignant. Roger sort de son pantalon son engin qui est tendu comme jamais, il s’approche du duo, et monte aussi sur le canapé, il se place derrière sa maman et lui enfonce sa bite dans la chatte jusqu’aux couilles. Sans lâcher la vulve de Mariette, Lucette pousse un gémissement.
Roger s’acharne sur sa maman, il la défonce comme un sauvage. De temps en temps, lorsque qui recule sa verge pour la replonger dans le ventre de sa maman, Mariette donne de grands coups de langue sur la hampe de la verge qui voyage dans le corps brulant de belle-maman. Lucette aspire le clito le plus qu’elle peut, et se met à le mordiller. Mariette se cabre et explose de jouissance.
Roger retire sa verge du ventre de sa maman et l’offre aux lèvres charnues de sa femme qui suce comme une dératée le gland violacé. Lorsqu’elle le recrache, il la replante dans le ventre sa maman, qui gémit. Le bougre fait deux ou trois aller et retour, pour offrir à nouveau à sa femme son gland charnu. Il réitère plusieurs fois ce mouvement. Mariette est presque en syncope, sa belle-mère lui bouffe ma chatte comme une vorace, elle peine à sucer le gland de son mari. Elle dit entre deux succions :
-Encule-la, encule-la !
Roger, sans chercher à comprendre, place son gland contre l’anus de sa maman et pousse. Le premier acte lesbien, de Lucette, et suivit d’une première sodomie. La maman délaisse la chatte enfeu de sa belle-fille pour hurler :
-Roger, mais tu m’encules salaud, oh putain comme je sens ta queue dans mon cul, tu vas me déchirer !
Mariette intervient :
-Défonce-là mon chéri, éclate lui le cul, comme tu le fais avec moi !
Roger donne de grands coups de reins, à chaque enfoncement de son mandrin, ses coquilles frappent les fesses maternelles. Lucette grogne comme une bête blessée, soudain, Mariette reprend en bouche son clito et le dévore. Tout change pour Lucette qui reprend, elle aussi,, l’assaut de la chatte de sa belle-fille. Roger s’acharne sur le fondement de sa maman, elle reçoit un festival de coups de bites dans le cul. Soudain, elle redresse la tête et hurle, une jouissance anale terrible la fait rugir. Après quelques secondes, Lucette replonge sa bouche sur la chatte dégoulinante de sa belle-fille qui explose à son tour. Enfin Roger, remplit de sa semence le cul de sa maman pur la première fois en espérant que ce ne soit pas la dernière.
Marcel, comme d’habitude, a déchargé sur son pantalon, il bègue :
-Oh putain, oh putain, ma femme c’est fait enculer, c’est merveilleux.
Linsee
Ajouter un commentaire