Toujours dans la série exhibition, moi Véronique très féminine, vêtue toujours très sexy comme vous pouvez le constater dans les récits, toujours en robe, en jupe avec des dessous sexy ayant abandonné ces affreux collants pour un porte-jarretelles et des bas.
Actuellement j’accepte volontiers suivant les désirs de mon mari ou de mon fils de sortir sans soutien-gorge et sans culotte, quel que soit l’endroit où je me rends.
Voici un nouveau récit de la série exhibition.
J’avais profité d’un après-midi disponible pour aller faire les magasins. J’avais envie de me trouver une paire de chaussures et un cadeau d’anniversaire pour une amie chez qui nous étions invités le week-end suivant. Ni Hervé, ni Jonathan n’étaient à la maison, j’étais donc parfaitement tranquille pour partir faire mes petites emplettes. Le grand centre commercial à côté de chez moi est toujours un plaisir pour moi, j’aime arpenter et faire les vitrines, d’autant qu’il y fait assez bon à l’abri de tous les caprices du temps.
Les magasins sont assez agréables, j’aime la mode qui y est présentée. Je trouve l’endroit assez chic, c’est pourquoi j’aime m’habiller joliment lorsque je décide de m’y promener.
Je me suis garée comme d’habitude sur le grand parking devant une des grandes entrées. Même si je n’apprécie pas beaucoup les parkings, en pleine journée beaucoup de monde circule. Je n’ai pas de crainte et je n’y pense pas. J’allais sortir de ma voiture, quand un piéton passa près de ma porte, entre ma voiture et celle d’as coté. J’ai été étonné parce que j’ai eu l’impression que la personne à ma hauteur, alors que j’étais toujours enfermée dans ma voiture. Je ressentis un des yeux braqués sur moi, même insistants alors que je ne pouvais le voir moi-même.
Je me dis alors, mais qu’y a-t-il ? Et cherchant du regard ce qu’avait pu voir ce piéton, un homme d’ailleurs, j’ai compris. Il s’agissait de ma robe, de mes genoux, et peut-être bien de mes cuisses. Je restais interdite quelques instants, ne sachant plus trop quoi faire. Puis je ramassai mon sac à main. Réalisant que l’homme ne s’était pas beaucoup éloigné, il semblait chercher quelque chose, peut-être sa voiture. C’était un homme plutôt jeune grand, mais je ne le regardais surtout pas, mais le savais présent, sans percevoir quelconque hostilité, mais plutôt … Un certain voyeurisme.
En une seconde, je me sentis regardée, et curieusement, passé l’instant un peu anxieux, j’en tirai une sorte de sentiment plaisant.
Alors, toujours assise dans ma voiture, prête à sortir enfin, je me suis surprise à défaire un bouton de ma robe au-dessus des genoux, … Pour plus d’aisance. Verrait-on davantage mes jambes, peut-être… Oui, certainement.
Je pris soin de vérifier que l’on ne puisse voir le bord sombre de mes bas. Je trouve cela déplaisant et inconvenant. Alors qu’une jambe joliment gainée qui apparaît dans l’ouverture d’une robe est un effet qui me plaît.
Quand je sortis de la voiture, l’homme n’était plus là. Verrouillant ma porte, je m’aperçus qu’il était en fait plus en arrière. De sa place, je compris alors qu’il m’avait aisément observée ouvrir ma porte, et certainement regardée mes jambes se découvrant de ma robe à présent plus hautement déboutonnée.
Je n’en fis rien, mis mon sac à main à l’épaule et parti d’un bon pas vers l’entrée du magasin.
Je fis mes courses, et ne pensais plus à cet individu. Je rencontrai même une voisine avec qui j’ai bavardé un moment. En fin d’après-midi un peu épuisée je songeai à rentrer, il était peut-être 16h30. Je regagnai ma voiture, avec mes paquets que j’engouffrai délicatement dans le coffre. Je repensais à mes achats, j’étais satisfaite.
Puis, fermant le coffre, j’entendis une voix qui me semblait s’adresser à moi, « Bonsoir Madame ». Je vis alors l’homme celui qui m’avait tant observée, là près de ma voiture avec un sourire, pas désagréable et même avenant.
« Oui ? Monsieur ?… Qu’y a-t-il ? »
« Je vous trouve sublime, et, je n’ai pas résisté à vous le dire de vive voix… »
« euh…Merci, je vous remercie ».
« Seriez-vous libres pour partager un verre … »
« Non merci monsieur, c’est gentil à vous, je suis pressée… »
« Vous êtes sublimes … »
Comme je suis rentrée dans ma voiture rapidement, et verrouillée mes portes. Je me sentais tranquille. J’allais démarrer, quand on frappa à mon carreau doucement. Je tournai la tête et vis l’homme me faisant signe de vouloir me parler. Étant méfiante, j’entre ouvris à peine ma fenêtre. Il me dit
« Ouvrez votre manteau, montrez-moi votre robe… »
« Mais monsieur, cela ne va pas, je ne vous connais pas, et je ne vous montrerai pas ma robe, allez-vous en »
Je démarrai et commençai à manœuvrer pour sortir du parking.
J’étais perturbée, par cet homme, ses mots, sa détermination. J’avais eu peur.
Je circulais doucement, quand arrêtée au feu, je reconnus l’homme dans la voiture juste derrière. J’étais pétrifiée. Le feu passant au vert, je pris le parti d’accélérer, autant que je puisse dans cette circulation, il ne me lâchait pas.
Que faire ?, il ne paraissait pas méchant, mais très déterminé. Il me trouvait sublime, …Était-ce une raison.
Soudain, je comprenais qu’il n’y avait personne à la maison, que je devais tout faire pour qu’il ne sache pas où j’habitais. Je pensais aller à la Police, mais où ? Et probablement me prendraient-ils pour une folle prétentieuse.
Je pris alors des détours et des détours, faisant des kilomètres en nombre comme pour diluer ma crainte. J’avais peur oui.
Il était toujours là derrière moi parfois à distance, mais toujours là, et je ne savais pas pourquoi, que voulait-il , qui était-il.
Le long de la route soudain je vis une aire de repos juste au bord de la route. Comme pour rompre le rythme, je décidais de m’arrêter. Comme je ne vis pas la voiture de l’homme me doubler, alors je regardai dans le rétroviseur. Il était toujours là. Il ne bougeait pas, là à quelques mètres derrière moi.
Après quelques minutes, je sursautai, il était à nouveau là à ma fenêtre avec son sourire pas méchant, mais comme déterminé.
Il était là et ne bougeait pas. Il me regardait. J’entrouvris ma fenêtre et lui dis : « mais enfin, que voulez-vous, laissez-moi tranquille »
« Je vous promets de vous laisser tranquille, à une condition… »
«Laquelle ? »
« Ouvrez, votre manteau, et faites ce que je vous dis »
« Après vous me laisserez ? »
« Oui, je vous le promets »
Je défis la ceinture de mon manteau et l’ouvrai complètement.
« Bien, c’est très beau, votre robe est très sexy et vous êtes très belles »
« Ouvrez votre robe totalement »
J’étais pétrifiée. Mais je m’exécutai. Je défis un à un les boutons de ma robe.
« Ouvrez la bien complètement »
Je ne dis rien, mais fis ce qu’il me dit. J’étais sous les yeux de cet homme, cet inconnu, enfermée dans ma voiture, la robe totalement ouverte, en soutien-gorge, porte-jarretelles, bas et culotte.
« Cette couleur de lingerie champagne vous va à ravir et avec vos bas noirs c’est merveilleux. Merci beaucoup. Vous êtes sublimes »
Puis il repartit. Totalement déconfite, je redémarrai et roulais un long moment. Ne le voyant plus et vérifiant constamment, je me dirigeais enfin vers chez moi. Arrivée à ma porte de garage, je me rhabillais correctement pour sortir de ma voiture. Je ne vis plus jamais cet homme.
Véronique !
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