CHAP 1
La découverte
Histoire sexe Après avoir quitté l’école à seize ans et être allée de petits boulots en petits boulots, elle s’est retrouvée sans emploi à vingt quatre ans et désespérait de trouver un nouveau travail lui permettant de ne pas se retrouver à la rue. C’est alors qu’elle tombe sur une annonce dans un journal :
( Couple aisé, cherche jeune femme pour ménage et tout autres services.)
Elle s’appelle Nicole, vingt cinq ans, un mètre soixante douze pour soixante huit kilos. Une blonde aux yeux bleus, avec de beaux seins en quatre vingt quinze C et un cul un peu trop gros a son goût, mais qui a l’air de plaire. Elle aime faire l’amour avec son amoureux, c’est toujours très tendre, plein de préliminaires et de respect. Cependant ce qu’elle préfère, c’est d’être baisée sauvagement en esclave soumise à son Maître. Pour Nicole l’amour et la baise sont deux choses bien différentes.
Nicole décide d’appeler aussitôt et parvient à décrocher un rendez-vous dans l’après-midi.
Elle arrive à dix sept heures devant une grande demeure implantée au sein d’un grand jardin, le tout entouré de hautes grilles. Le portail est ouvert et elle avance jusqu’à la porte d’entrée. Elle sonne.
La porte s’ouvre :
– Bonjour, vous devez être Nicole ? Je suis Florence la maîtresse de maison, entrez donc ?
Elle sonne.
La porte s’ouvre sur une femme de couleur :
– Bonjour, vous devez être Nicole ? Je suis Florence la maîtresse de cette maison, entrez donc.
– J’ai besoin de quelqu’un rapidement et je suis sur que vous ferrez l’affaire.Vous pouvez commencez demain ?
– Bon, très bien, que dois-je faire ?
– Venez avec moi, je vais vous faire faire le tour de la maison.
Florence et Nicole visitent chaque pièce de la maison. Il s’agit d’une grande demeure, deux salons, plusieurs salles de bain et de nombreuses chambres, ainsi qu’une très belle piscine dans le jardin.
Nicole, n’en revient pas elle est embauchée tout de suite, par un couple de riche sud africain. Avant de partir, Florence lui donne un dernier conseil.
– Bon je vous attend demain matin à huit heures. Vous trouverez votre tenue de travail sur la table dans la buanderie.
– Bien Madame. Alors, je viendrais à demain matin huit heures. A demain Madame.
Le lendemain, Nicole, met sa tenue de travail. C’est une tenue de soubrette avec un haut largement décolleté et une jupe ample très courte. Elle l’enfile, se sentant un peu mal à l’aise dans cette tenue.

Elle est employée comme femme de ménage depuis plus d’un an. Nicole passe l’aspirateur dans la grande chambre du couple en méditant sur son amoureux :
Il m’avait promis de m’offrir les boucles d’oreilles que je souhaitais ? Je te les offrirais la semaine prochaine ? Ensuite le mois prochain, excrétera. C’est out simplement un dégueulasse et il vend m’épouser qu’il dit ? Quel putain de menteur ? Je me demande s’il m’aime vraiment comme il dit ? C’est mon cul qu’il aime surtout.
Elle époussette la poussière sur la coiffeuse de madame Koulibati. En époussetant la boite à bijoux, celle ci s’entrouvre ?
OH ? Il lui semble bien que la boite à bijoux n’est pas fermée à clef. Voyons voir ce que cette grande noire de Madame Koulibati cache à l’intérieur ?
Nicole ouvre la boite et s’esclaffe devant le nombre et la beauté des bijoux. Elle prend une paire de boucle d’oreilles en or et diamant.
Elles ressemblent exactement à celle que son radin de mec doit lui offrir. Elle les accroche à ses oreilles en se regardant dans le miroir de la coiffeuse. Elle se dit, qu’elles sont encore mieux que ça ? Elles sont carrément beaucoup plus belles. Elle s’admire devant la grande glace du dressing. Dans sa tenue de soubrette, une petite robe courte avec ses bas noir auto fixant, exigé pas ses employeurs. Elle virevolte sur elle même, elle en oublie sa condition de soubrette.
Elle n’entend pas sa patronne faire irruption dans la chambre. – Nicole ? Est-ce que vous savez où j’ai pu poser mon sac à main ? Oh ? Mais attendez un peu ? C’est quoi ça ? Vous portez mes boucles d’oreilles ? – Madame Koulibati ? Ce n’est pas ce que vous croyez, je vous jure que ? Madame Koulibati est une grande femme noire, sévère et dure en affaire. Elle porte un classique bustier noir et une jupe courte aussi noire.
Elle rejoint rapidement Nicole devant le dressing. Elle lui saisit un bras, la fait tourner et lui inflige une grande claque sur les fesses. – Espèce de sale petit morveuse ! Je te donne du travail, je te fais confiance et voilà comment tu me remercies ? Tu essaies de me voler ? Elle continue de claquer les fesses de Nicole, qui subjugué ne se dérobe pas. – Non ! Madame ! J’étais juste entrain de les essayer, car elle sont très belle ! Je vous le jure.
Madame, attrape Nicole par le haut de sa robe et la tire vers le bas ? Pour rabaisser son employée vers le sol. Les seins de Nicole jaillissent à l’air libre. – Oh ? Madame, je m’excuse de ? Madame tire fortement sur haut de la robe. Nicole se retrouve à genoux, devant sa patronne, qui remonte sa propre jupe sur son nombril. Elle a sa vulve épilée à l’air. – Arrête de mentir ? Ça me fatigue ! Utilise ta langue à quelque chose de plus utile ! A moins que tu préfère que j’appelle la police ?
Elle pousse la tête de Nicole vers sa chatte rose intérieurement. – Non ! S’il vous plaît, n’appelez pas la police ? – Alors, lèche moi la chatte, sale voleuse ! – Oh ! Oui Madame Koulibati ! Nicole avance la langue tendue sue la vulve de sa patronne. Elle se met tout de suite à lui bouffer la chatte, qu’elle trouve qu’elle a un très bon goût.
Nicole arrive à donner un petit orgasme a sa patronne. Elle profite du moment d’égarement jouissif de sa patronne, pour avancer à quatre pattes sur la moquette, vers la porte de la chambre. Madame l’attrape par les cheveux. – EH, toi ? Où comptes-tu aller comme ça ? Tu veux allé tout seule en prison par là ? – Euh ? Non madame. – Je viens à peine de commencer avec toi ? Prépare toi à être punie sévèrement ? Compris ma petite chienne ? Enlève ton uniforme de soubrette !
– Oui ! Madame, je ferais tout ce que vous voulez.
En lui disant tout ça, Madame en profite pour tire sur le string de Nicole qui se déchire dans un craquement sec. – Très bien, Puisque tu es à moi à présent. La première chose que je souhaite, c’est de baiser une voleuse blanche. Reste là, à quatre pattes ! Madame fouille dans un tiroir d’une commode et en sort un gros gode ceinture. Elle se l’attache autour de la taille en s’enfonçant dans la chatte, le petit gode qui est derrière le gros pour l’officiante.
Nicole regarde l’engin d’un air interrogateur, car elle ne savait pas qu’il pouvait en exister d’aussi gros gode ceinture. Elle a compris, que madame veut la baiser avec ça ? – Cette chose est énorme madame ? Je ne sais pas si je pourrais la prendre dans ma ? – Oh, oui ! Et dans le cul, en plus ! Mais, je vais être bonne avec toi. Tu vas bien le lubrifier avec ta bouche avant que je t’encule.

Madame, s’assoit sur le bord d’un fauteuil, elle écarte les jambes et désigne d’un doigt le gode à Nicole pour qu’elle vienne officier. Elle vient à quatre pattes poser ses lèvres sur le bout du gode. Elle le suce et le lèche doucement. – Encore, salope ! Il doit être bien plus humide que ça ! Allez, prend le entièrement dans ta bouche. Nicole ouvre grand le bouche et aspire l’engin le plus possible dans sa gorge.
Elle ferme les yeux et avance sa bouche sur l’engin en l’aspirant. Elle se retrouve avec son nez sur la ceinture du gode ? – Putain ! Mais, tu adores les gorges profondes pouffiasse ! Nicole salive abondamment sur le gode, elle le suce bien mieux que la queue de son amoureux. Elle se dit à elle même :
Elle est humiliante cette noire. Cependant, j’adore être rabaisser de la sorte. Je vais enfin devenir une esclave sexuelle. J’adore déjà.
Les seins de madame sont passés par dessus le bustier. – HUMM ! Toi ! Tu pompe ma bite comme une véritable pute de chez nous ? Maintenant, voyons si tu te fais également baiser comme une vraie pute ? Madame passe derrière Nicole toujours à quatre pattes. Elle prend en main le gode et pose le bout du gland sur la rosette vierge de Nicole. – Prend une grande respiration, parce qu’à présent ton trou de balle m’appartient. – S’il vous plaît madame ? Allez y tout doucement, je ne l’ai jamais fait par là.
Madame avance doucement son fessier. Le gros gode ouvre inexorablement l’anus de Nicole. – AAAIIIEEE ! Le gland est rentré, Madame crache sur le gode, attrape Nicole par ses hanches. D’un grand coup de rein, elle enfonce son gode dans le rectum de Nicole, jusqu’à la ceinture. – Voilà, ce qui arrive quand on me vole, tu en as plein le cul, la voleuse ! – AAAIIIEEE ! RRRRAAA ! – Ferme ta putain de gueule et savoure le gros gode qui te dilate l’anus !
Madame se met a enculer Nicole avec frénésie. Le petit gode qui est dans sa chatte et l’écrasement e son clitoris par la ceinture à chaque fois qu’elle écrase les fesse de Nicole. Ça lui donne un plaisir énorme, un orgasme monte dans ses reins. – AAAARRRFFF ! Vous me défoncez le trou du cul madame ? – Tu m’appelle Maîtresse à présent, plus de madame où c’est la prison ? – Oui ? Mad ? Maîtresse. Est-ce la première sodomie où la situation d’être enfin dominée ? Nicole sent aussi un formidable orgasme monter dans ses reins.
Dans leur délire de jouissance, elles n’entendent pas Monsieur Koulibati rentrer dans la maison. Nicole se donne à plein régime sur le gode qui la sodomise. – Oui ? Comme ça, empale toi sur ma bite ? Chienne !
Monsieur entend des râle de plaisir descendre de la chambre conjugale ? Inquiet, il monte et comme la porte est grande ouverte. Le spectacle de sa femme entrain de sodomiser la domestique le réjouit. – WOUAH ? Mais ? Qu’est-ce que tu fais là, Florence avec Nicole ?
Nicole râle de plaisir sous les coups de gode que lui inflige sa patronne. – J’ai surpris Nicole entrain d’essayer de me voler mes bijoux. Donc, je lui donne moi même, une leçon à cette sale petite voleuse, qu’elle n’oubliera pas de sitôt. J’en fais mon esclave de cette pute. N’est-ce pas que tu es ma pute ? – OOH ! Oui ! Mon cul est à vous Maîtresse Florence !
Monsieur Koulibati se déshabille et exhibe un braquemart impressionnant. – Moi aussi je vais la punir ta sale voleuse. Elle va goûter à ma grosse queue noire de sud africain ! Il relève la tête de Nicole en la tirant par ses cheveux blonds. Il présente sa queue devant la bouche de sa domestique. En voyant l’engin devant sa bouche, elle est impressionnée par l’énormité de la queue noire qui se pose sur ses lèvres. Derrière elle, Florence lui tient la tête relevée. – Esclave !Avale la queue de Frank en entier, comme je t’ai appris avec la mienne.
Nicole aspire et avale la queue de Frank, le plus possible en gorge profonde. Florence se désolidarise du cul de son esclave. – A présent, je veux voir Frank te démolir la chatte, sale voleuse. Allez, met toi là, sur le dos et écarte les cuisses. Que la grosse queue noire de mon mari dilate, ta chatte serrée de sale pute de blanche ?
Nicole se met en position, les fesses et les cuisses écartées. Elle s’offre sur le bord du divan que lui désigne Florence. – S’il vous plaît ? Maître Frank, prenez moi délicatement et tout doucement. La bite de mon copain est très loin d’avoir la taille de la votre. Je vous en prie, maître Frank ? Florence surenchérit. – Après t’être faite baiser par la grosse que de Frank, la petite quéquette de ton copain, ne pourra plus te satisfaire ma pute ?
Frank enfonce lentement son gland qui disparaît dans l’ouverture du puits d’amour de Nicole. Sa queue progresse lentement dans la moule de l’esclave soumise. – OOORRH ! Elle est si grosse ? Vous me déchirez ! Le braquemart s’enfonce encore dans son ventre. – OOORR ! Bordel ! Je suis complètement remplie ? Arrêtez ! Je ne peux pas en prendre plus, Maître Frank ? Il vient de rentrer toute sa grosse queue dans le ventre de Nicole.
Il commence doucement le va-et-vient de son braquemart dans la moule de Nicole la soumise. Elle commence à poussée des râle de plaisir. Soudain il s’arrête bien enfoncé dans le puits d’amour de la soumise. Il passe ses deux mains derrière les reins de Nicole. Il se retourne sur le dos avec la soumise sur son ventre. C’est à présent à l’esclave de faire le va-et-vient de la copulation. Florence, toujours ceint de son gros gode ceinture, vient s’asseoir cuisses écartées à côte du couple unit par leur sexe.
Elle regarde son mari qui à saisit les hanches de la soumise. Il lui donne le rythme de la baise. – Va y mon chéri ! Baise moi cette nouvelle pute encore plus fort ! C’est très bon de voir ta belle grosse queue noire entrain d’élargir la chatte à notre nouvelle pute blanche. En clamant cet encouragement, Florence se branle avec le petit gode de derrière le gros gode ceinture. Nicole se lâche en sentant monter un orgasme dans son ventre. – C’est incroyable ? Baisez moi encore plus fort maître Frank ! Je vais jouir !
Florence se fait venir une jouissance avec ses doigts – Ça te fais du bien la grosse queue de mon Frank ? – OOOHHRR ! OOOUUII ! Maîtresse ! RRRROORR ! J’aime ça ! – Et en plus elle adore ça mon chéri ! Frank empoigne la soumise et la retourne dos à lui. A présent, Nicole a les cuisses écartées de chaque côte des cuisses de Frank. Il a passé ses mains devant le torse de l’esclave et il lui malaxe les seins.
Florence se redresse sur le divan et présente son gode ceinture à la bouche de sa nouvelle soumise. – Tu crois que je vais te laisser oublier ma queue ? Tu la veux ? Nicole ne quitte plus les lymphes du plaisir. – Oh ? Oui, Maîtresse ! S’il vous plaît je la désire. RROOO ! OOUUII ! J’en veux encore plus en moi ! Pendant que la nouvelle pute du couple, est occupée à sucer le gode de Florence. Frank la soulève au dessus de son braquemart et la laisse retomber au dessus de son engin pointé sur son anus.
Florence retire son gode de la bouche de la Nicole et elle vient lui rouler une pelle. Frank proclame dans le dos de sa soumise. – Même si tu l’a déjà enculée avec ton gros gode ? Son rectum est encore vachement étroit. C’est trop bon d’être aussi serré. Florence cesse le baiser. – Je vais faire de toi, une pute blanche pour nos amis africain. Je sais que c’est ce que tu désires ma salope. Tu souhaites être notre esclave sexuelle pour toujours ? – OH ? Oui, Maîtresse, merci Maîtresse.
Florence vient se placer entre les cuisses largement ouvertes du couple fornicateur. Elle place son gode à l’entrée de la moule de la soumise. Elle enfonce d’une seule poussée sa bite synthétique dans le puits d’amour de sa nouvelle esclave. – Alors ? Tu aimes, quand tes deux trous de pute sont pris en même temps. Après, quelque va-et-vient dans son ventre, Nicole en extase répond. – OOH ! Oui, j’adore ça ! Défoncé moi plus fort Maîtresse ! C’est si bon avec vous mes Maîtres.
– Tu es notre esclave blanche à présent ? – Oh, oui Maîtresse ! Les Koulibati changent d’orifice asse souvent. Nicole est plus qu’un objet de plaisir pour le couple. Et, ça lui plaît de plus en plus d’être dominé, elle est enfin une soumise, comme elle l’espéré. – Putain ! Cette pute blanche est aussi bonne par devant que par derrière. Si j’avais su avant qu’elle était une telle pouffiasse. Il y a déjà longtemps que j’aurais rodé ses trous de pute blanche.
Nicole se retrouve à quatre pattes sur le bord du divan. Frank la sodomise pendant que Florence lui fait bouffer sa chatte, car elle a relevé le gode ceinture au dessus de sa moule. – Va y ! Bouffe moi la chatte et fais moi jouir, ma pute blanche. Derrière la soumise, Frank lui bourre le cul sans ralentir. – Putain ! Son cul est tellement bon, que je vais décharger dans ses entrailles. Nicole fait jouir sa maîtresse avec sa langue.
Elle attrape sa soumise par les cheveux et lui relève la tête. Elle remet son gode ceinture en place. Elle oblige l’esclave à sucer le gode ceinture. – Suce et nettoie tout ce que ton cul a laissé sur ma queue, tu es sale une chienne. Derrière, Frank se lamente. – Je suis sur le point de lui remplir ses entrailles de mon jus. – Non ! Mon chéri, pas dans son cul ? Fait le dans sa gueule de pute blanche.
Frank obéit à sa femme. Il se retire du boyau de la soumise et lui fait sucer son braquemart qui sort de son cul. – Pompe et ouvre bien grand ton gosier de pute. Une fois que la grosse queue de Frank est dans la gorge de la Nicole. Florence vient lui tenir la tête sur la queue de son mari. – Vas y mon chéri envoi ton délicieux sperme si épais d’homme noir, dans la gorge de notre pute.
Frank se vide les couilles dans la gorge de la Nicole ? Qui avale toute le semence de son nouveau maître. Frank une fois que ses couilles sont vides et que sa queue est bien propre. Descend se rafraîchir dans le salon. Florence se lève aussi du divan ou Nicole fini de déglutir le restant du jus de son maître.
Nicole sombre dans la fatigue de la jouissance passée. Au bout de quelques minutes, elle sent néanmoins une main de sa maîtresse écarter ses cuisses. Elle les écarte docilement, elle se détend, car ses doigts la fouillent un peu profondément. Nicole ferme les yeux et fait un effort pour ne pas gémir et écarter d’avantage ses cuisses. Puis, les doigts se retirent, remplacés par quelque chose de dur qui entre lentement dans sa moule ? – Tu ne connais pas ça ? C’est un œuf vibrant, et il a un lien pour le faire ressortir.
L’esclave rouvre les yeux et regarde sa maîtresse, dont le regard est fixé sur son entre jambe. Elle retire sa main et des vibrations commencent. Nicole resserre les jambes et étouffe un gémissement. Elle se laisse aller contre le dossier du divan, les vibrations s’intensifient. Machinalement, elle descend une main pour la remplacer sur sa vulve. Il a vraiment de jouir. Ses doigts fouillent profondément ses chairs, pénétrer dans son paradis et pousse l’œuf encore un peu plus loin. Nicole sent monter la naissance d’un orgasme et c’est tellement bon.
– Regarde ça chéri ? Notre esclave jouit sans nous.
Nicole ouvre brusquement les yeux. Maître Frank est debout, devant elle, les bras croisés. Elle se sent prise en faute, elle détourne la tête sur le côté de Florence, qui est très satisfaite. Nicole fait un effort sur elle même pour se lever. Une main la repousse sur le divan.
– Te voir te tripoter la chatte, me redonne envie.
Elle frissonne, car il la pousse déjà en arrière. – A genoux sur le divan, les bras sur le dossier.
Dit-il d’une voix autoritaire.
Soumise, elle obéit tout de suite. Les vibrassions de l’œuf n’ont pas cessées, si bien qu’elle ne peut se retenir de cambrer son fessier de plaisir. – Regarde-moi cette chienne comme elle mouille. Elle a envie de toi cette pute.
La maîtresse a raison. Son esclave sexuelle a vraiment besoin de sexe et elle lutte pour ne pas se tortiller. On lui claque violemment une fesse. Elle crie, tandis que les vibrations de l’œuf s’arrête. Elle laisse échapper un gémissement de frustration. – Recommence à tes branler. Lui ordonne Florence.
Elle a une seconde d’hésitation, ce qui ce solde par une nouvelle claque retentissante. Alors, elle s’empresse de porter timidement une main à sa moule trempée. Elle recommence à se triturer la moule et recommence à se branler timidement.
– Tu étais moins timide tout à l’heure. Enfonce tes doigtes plus profondément salope.
La soumise obéit et fait pénétrer deux doigts dans son puits d’amour. Excitée comme elle est, elle se branle de plus en plus vite. Elle en repousse l’œuf un peu plus profondément. La pression revient, elle accélère encore.
– Maintenant, retire l’œuf et met toi le dans le cul chienne. – Oh ? Oui Maîtresse.
Nicole arrête à regret ses va-et-vient et arrive à sortir l’œuf en le tirant par le bout du lien. Elle va faire ce que sa Maîtresse lui demande.
Elle le pousse doucement contre l’entrée de son anus, avec une grimace de la douleur, car il est plus gros que la queue de Frank. Incroyablement, l’œuf entre d’un coup, elle pousse un petit râle de surprise. Les vibrassions recommencent aussitôt, elle sent les doigts de sa maîtresse pénétrer sa chatte ? Elle s’amuse à toucher l’œuf à travers la fine paroi qui les sépare. La Nicole se met à gémir. L’orgasme n’est pas loin. Inconsciemment, elle met en mouvement sa croupe pour aller à la rencontre des doigts de sa maîtresse, pour se branler dessus.
L’orgasme est prêt à la submerger, alors que les doigts se retirent.
– Suffit ! Chienne ! Proclame sa maîtresse, en lui donnant une claque sur les fesses.
– Aller, hop ! Va nous chercher deux bières esclave.
Elle se relève difficilement du divan. Les jambes tremblantes, elle va dans la cuisine prendre deux bières dans le frigo. Quand elle revient, aucun de ses deux maîtres ne la regarde ?
Ils regardent sur un écran encastrer dans un meuble de la chambre, sa soumission a été filmé par une caméra de surveillance. Elle sent dans son ventre que sa maîtresse augmente les vibrassions.
– Mets-toi comme une chienne devant nous, la tête face à l’écran. Regarde ta soumission.
Lui ordonne Frank. Elle s’exécute en exposant entièrement ses deux puits d’amour à leur vue sans rien leur cacher. Cette situation d’entière soumission la ravit.
Elle sent de temps en temps une main lui tapoter les fesses, les vibrassions de l’œuf diminue ou s’amplifie. Elle commence à avoir mal aux genoux de rester dans cette position. Les vibrations de l’œuf l’excitent et elle sent que sa grotte d’amour est bien humide.
Nicole sursaute, quand quelque chose de froid s’immisce entre ses lèvres vaginales et commence lentement à la pénétrer ?
– On va refroidir cette chienne en chaleur, et on va s’en amuser un peu.
S’exclame Florence. Son esclave gémit, quand elle lui enfonce un peu plus profondément sa bouteille de bière et qu’elle change l’orientation. L’esclave sent un peu de liquide frais s’écouler dans son vagin provoquant une drôle de sensation inconnue.
Les vibrassions redoublent, de même que les va-et-vient de la bouteille dans sa moule. La Nicole gémit et se tortille sous les nombreux assauts. Au même moment, elle sent quelque chose de froid glisser contre son anus. Elle tente de ne pas se crisper, quand elle sent, se qu’elle suppose être la seconde bouteille de bière, entrer assez facilement dans son anus.
-Regarde moi ça comme elle prend du plaisir à se faire baiser par des bouteilles de bière ? On a dégoté, une vraie salope. Elle va être heureuse de faire la pute.
La soumise râle ? quand la bouteille est poussée plus profondément dans son boyau. La sensation avec l’écart de température, lui fait tout drôle dans ses riens. Ses maîtres synchronisent les va-et-vient des deux bouteilles dans ses deux puits d’amour. Elle gémit à présent sans interruption. Toutes les sensations combinées lui font perdre la tête. Elle n’en peut plus.
La bouteille dans sa chatte, est remplacer par une autre d’où du liquide froid s’en écoule, lui remplissant lentement sa cavité vaginale. Puis le goulot est retiré lentement. La Nicole s’empresse de contracter ses muscles pour empêcher le liquide de sortir. Sauf que les va-et- vient recommencent, et rapidement elle se contrôle plus. Elle s’abandonne totalement à toutes ses sensations en râlant de plaisir. La bière coule entre ses cuisses écartées, tandis que la bouteille la pénètre de plus en plus profondément. Il n’y a pas seulement le goulot, la partie large rentre aussi et la baise avec de violents va-et-viens.
Quand brusquement les deux bouteilles sont enfoncées entièrement dans ses deux puits d’amour. Il se referment après le passage du cul de l’intruse ? Elle ne peut retenir le plaisir, qui vient de l’orgasme qui la submerge. Elle s’écroule le bas du corps au sol, tremblante de jouissance. L’orgasme est tellement violent qu’elle en a une brève absence.
– Oh ? On en a pas terminé avec toi, ma pute !
Elle sent des mains la redresser dans la position à quatre pattes où elle est. Maître Frank aussitôt lui présent sa grosse queue devant sa bouche. Elle ouvre la bouche et il s’y engouffre pour attaquer de vigoureux va-et-vient. Il éjacule assez rapidement et s’enfonce profondément pour répandre son sperme chaud au fond de sa gorge. Ensuite il se retire quand elle a tout avalé et bien essorée sa queue.
Nicole la soumise est là à quatre pattes dans la chambre de ses nouveaux maîtres. Elle a dans son vagin entièrement une canette de bière. Elle a aussi dans son intestin un œuf vibrant devant une canette de bière, le tout retenu à l’intérieur, par son anus refermer ? Florence, sa maîtresse, l’a rassuré en lui affirmant que le tout ressortira lorsqu’elle ira au toilette et qu’elle devra récupérer l’ensemble. Elle devra les nettoyer et les désinfecter.
En sortant de la chambre Florence lui dit :
– A présent, remet mes boucles d’oreille à leur place, car tu sais ce que tu es ? – Oui, Maîtresse. Je suis votre esclave désormais.
– Je suis heureuse de l’entendre. De toute façon, tu n’en auras plus envie de les porter. Dès demain, tu vas avoir tes propre bijoux, dignes de ta nouvelle condition.
Le soir même, Nicole rompe avec son soit disant amoureux ? Dés le lendemain elle vient habiter chez ses nouveaux maîtres. Elle a un lit et un petit placard, dans la buanderie au sous sol. Elle accepte ce manque de confort, du moment qu’elle sera baiser comme elle aime à présent.
– Vient ici ? A genoux que je te mette ton collier d’esclave.
Sans discuter, elle s’exécute troublée, son ventre bout, elle coule, ses seins sont durs à en être douloureux.
Lorsqu’elle lui le passe, rien que cet acte déclenche en elle un orgasme violent, c’est fou de jouir ainsi. Nicole tremble, elle râle fort son plaisir sans aucune retenue, sans pudeur, sans plus aucun amour propre. Elle se sent bien.
Le collier en en cuir se ferme avec un petit cadenas. C’est toute la symbolique de l’esclave.
– Nous garderons la clé, tu le porteras en permanence même pour sortir. Devant son étonnement.
– Tu as bien compris, esclave ?
– Oh ! Oui maître, je le porterai en permanence.
Un reste de pudeur sûrement, mais elle aime déjà sentir son collier autour de son cou.
Le lendemain de son installation. Avec son salaire pas encore versé, ils lui ont fait payer ses propres bijoux qu’elle porte à présent. Elle porte à présent, autour du cou, son collier d’esclave. Ils lui aussi ont fait percer le nez, les tétons, le clitoris et les lèvres de sa vulve pour y passer des annaux d’or. Ils lui ont fait aussi épiler définitivement son entre cuisses au laser. Elle est toujours nue dans la maison.
CHAP 2
Première soumission pluriel.
Nicole est nue, sur le lit, à quatre pattes. Florence, sa maîtresse lui a ordonnée de l’attendre dans cette position jusqu’à ce qu’elle vienne s’occuper de son esclave. Cette attente l’excite énormément. Il y a sur la table de nuit à côté du lit, deux godes de tailles différentes, un plug, et un gode ceinture. La soumise sent le désir monter en elle, car elle sais que être soumise aux désirs de sa maîtresse, Florence. Sa maîtresse sait qu’elle aime être dominer. ses gros seins pendent dans le vide, et ils pointent de plus en plus. Elle n’a pas le droit de se toucher, quand elle bouge ses seins se balancent dans le vide, ce qui les fait encore plus pointer. Les tétons deviennent durs, et elle sent son puits d’amour s’humidifier.
Florence entre enfin dans la chambre. Elle est déjà toute nue, elle aussi. Elle monte sur le lit et présente ses seins à sa soumise. Elle commence immédiatement son travail de femme soumise. Elle suce les tétons de sa maîtresse. Ils deviennent durs, alors elle regarde sa maîtresse dans les yeux en quête d’une approbation.
– Alors ma soumise ? Je parie que tu es toute mouillée ? Interroge florence en passant sa main sur les fesses de son esclave.
– Oh, oh ! Mais tu es trempée ma petite soumise. Tu aimes quand je te touche, hein ?
– Oh ? Oui maîtresse.
Elle lui écarte les lèvres de sa moule pour lui enfoncer le plus gros gode. Elle caresse le clito de la Nicole qui gémit de plaisir. L’esclave devient folle d’excitation, elle fait des va-et- vient avec sa moule sur ses doigts. A cet instant, elle est comme une chienne en chaleur ? Je suis une chienne en chaleur.
Sa maîtresse est là, à lui caresser le clito, alors que son esclave lui tète ses seins. C’est ce qu’elle désire, parce qu’elle aime soumettre cette jeune femme blanche.La soumise a sa mouille qui s’écoule le long de ses cuisses. Elle pousse de plus en plus, des râles de plaisir. Florence lui ordonne de rester à quatre pattes, pendant qu’elle s’allonge confortablement, à côte de son esclave et elle écarte les cuisses.
Nicole voit son sexe rose bailler, et son clito gonflé de désir.
– Viens me donner du plaisir ma pute d’esclave. Caresse-moi lentement avec ta langue.
– Oui maîtresse, je suis ferais tout ce que vous voulez.
Elle lui masse le clito avec sa langue bien humide, son sexe a une légère odeur, mais elle aime ça. Elle fait des va-et-vient avec sa langue dans son chatte de sa maîtresse. Elle happe, lèche, suce comme la soumise qu’elle est.
Le visage de l’esclave est enfoui entre ses cuisses de sa maîtresse noire. Elle se trémousse elle aussi. La croupe en l’air, sa mouille coule le long de ses cuisses. Au bout d’un long moment sa maîtresse jouit. Elle boit sa liqueur comme la récompense de sa soumission. Elle a de la mouille de sa maîtresse partout sur le visage. Ensuite elle lui donne l’ordre de s’allonger à son tour.
Elle installe des pinces sur les tétons de sa soumise. Sa moule ce gonfle de plus en plus d’envie. Soudain, elle reprend le gode qui est tomber de son puits d’amour auparavant. Elle lui renfonce dans sa moule baveuse. Une douleur la transperce, mais elle est vite remplacée par une sensation de plaisir.
– RRROORR ! OOOH ! OUIII ! Merci maîtresse ! C’est bon !
– Oui je sais chienne ! Je sais que tu es une belle salope ? Les hommes vont se faire un plaisir de t’enfourner comme une bonne pute blanche.
– OH ! Oui ! Je suis votre pute, votre esclave ! C’est trop bon ! Je suis faite pour faire jouir tous les hommes à qui vous me donnerez ?
Ensuite,Florence enfile son gros gode ceinture et sodomise sa soumise avec. Nicole serre les lèvres, car ça lui fait mal.
– Tiens salope prends ça. Tu ne mérites que ça voleuse ! Montres moi plus tes fesses, pose ta tête sur le lit, les bras le long du corps de façon à ce que tu ne puisses pas m’échapper ?
– J’ai mal à l’anus. Maîtresse pitié ? Pas trop fort ?
– C’est moi qui décide. Lui proclame Florence en lui pénétrant plus fort l’anus.
– Oui, pardon maîtresse. Aïe, aïe ! Mon cul est à vous maîtresse, faites moi ce que vous voulez.
La soumise recommence à en prendre du plaisir. Sa maîtresse est dans son ventre, elle lui a pris l’anus avec son gode ceinture. Elle lui claque les fesses, tout en faisant des va-et-vient de plus en plus fort dans son cul. Ça devient bon, son anus lui appartient, elle est à la florence entièrement.
– Tiens prends ça, ma pute ! Ouais ! ça m’excite de te voir dans cette position.
– OOOH ! RRAAA ! GGGNNUUU ! Râle la Nicole, les yeux perdus dans le vague.
Soudain, elle enlève le gode du vagin de son esclave ? Elle continue à la sodomiser. Tout d’un coup, Nicole sent la jouissance venir. Une jouissance qui vient de tout son être. Elle jouit sous la forme de gémissements et de couinements.
– MMMM ! RROOROR ! OUOUOU ! FFFFRRFFR !
– Tu méritais pas de jouir sale pute. Maintenant, viens lécher ma bite, qui sort de ton cul !
– Oui, maîtresse.
Nicole me met à quatre pattes et elle suce comme il faut le gode ceinture. Soudain deux mains m’empoignent les hanches et quelqu’un lui bourre l’anus. Elle panique un instant, sa maîtresse la prend par les cheveux pour la forcer à continuer sa besogne d’esclave. Quand Florence retire son gode de la bouche de sa soumise. Elle lui retire aussi les pinces de ses tétons. Un homme noir à la cinquantaine, s’approche avec un large sourire et pose sa queue planta sur les lèvres de la bouche de l’esclave.
– Suce ma bitte l’esclave ? Vocifère l’homme.
Sa maîtresse souhaite que son esclave soumise devienne une bonne pute pour ses compatriotes d’Afrique du sud.
– Ma pute de soumise, je t’offre à des hommes ce soir. Ils sont trois. Tu doit leurs obéir sans discuter ! Tu es la pute de tes maîtres.
Nicole ne peux qu’acquiescer en remuant légèrement la tête, car elle a une bitte dans la bouche.
Un deuxième homme l’a prend par l’anus. Sa queue est longue et épaisse, son anus s’est considérablement élargit. Ses râles de satisfaction sont étouffés par la bitte au fond de sa gorge. La Nicole est heureuse de se faire prendre par tous les trous. Quand un troisième homme noir arrive, il est nu avec sa queue tendue, ils la retournent. Le dernier arrivé se couche sur le lit. La Nicole doit s’empaler sur son pieux. Elle a ses trois puits d’amour bien remplis. Les trois hommes lui baisent la bouche, le vagin et son cul.
De la bave coule le long de sa poitrine, et de la mouille inonde la bitte enflammée du troisième homme. Elle râle un peu de douleur, car ils la tirent un peu de touts les côtés. Cependant, les tapes avec les coups de bittes plus forts la font aussi gémir de plaisir. Là ? Elle est une pute. La soirée lui paraît longue. Ils n’arrêtent jamais. Ils tournent, changeant de place. La pute blanche n’a pas de répits.
Malgré tout, elle aime être prise de partout à la fois. Elle râle de plaisir de plus en plus, alors les trois hommes s’acharnent à la faire jouir. Ils désirent faire jouir cette pute blanche avec leur queue noire. Les trois hommes en s’acharnent tellement à lui remplir un de ses puits d’amour de leur semence. Qu’elle en jouit à chaque fois.
Ils en profitent pour triturer les seins. Ça lui faisait beaucoup de bien. Nicole enfin la soumise qu’elle a voulu être. Ça l’excite de se soumettre aux trois hommes. Ils peuvent ce qu’ils veulent avec son corps, elle le leur donne avec plaisir. Elle est faite pour obéir aux ordres d’un maître où d’une maîtresse. C’est d’être soumise qui l’excite.
Quand ils décident de se reposer un peu. Maîtresse Florence vient accrocher le laisse au collier de son esclave et c’est à quatre pattes qu’elle suit les trois hommes et sa maîtresse au salon. Ils s’assoient dans le canapé. La maîtresse fait asseoir aux pieds des trois hommes sur le tapis. Leurs sexes ont débandés. Soudain le plus vieux lui ordonne de s’approcher :
– Oui maître.
– C’est bien la pute blanche ! Suce-moi !
Elle prend la bite à moitié molle du bonhomme. Elle réussis à la mettre dans sa bouche. Il appuie ses mains sur sa tête pour faire rentrer sa bite en profondeur. L’un des deux autres, se caresse lentement la queue. Lui c’est le plus beau et le plus jeune des trois. Il est doux avec l’esclave, tout en agissant comme un maître. Nicole découvre qu’il est possible, de donner des ordres en douceur.
Elle s’acharne sur la queue de l’ancien pour le satisfaire. Il lui tire ses tétons, au moment ou il lui inonde la gorge d’un restant de sperme. Ce qui la fait râler de douleur, tout en avalant son jus. Le deuxième homme, attrape la laisse qui pend entre ses deux seins et il la tire entre ses jambes.
Elle vient à lui à quatre pattes. Elle commence à lui sucer sa queue, quand il ordonne à la pute soumise de s’empaler sur lui.
– Empale-toi sur ma queue et c’est à toi de me faire jouir en remuant tes fesses ?
– Oh ! Oui, maître !
La soumise qu’est à présent la Nicole, se positionne au-dessus de sa queue. Elle frotte sa moule sur le gland dressé et quand elle sent ses lèvres intimes englober son gland. Elle descend lentement sa croupe et fait entrer cette bonne grosse bite dans son puits d’amour. Lorsqu’elle a rentré toute sa queue dans sa grotte, il la tire fortement par les seins, pour attirer sa bouche d’esclave sur la sienne ? Alors, là ? Il roule une pelle magistrale à la pute soumise.
Comme un couple d’amoureux, la Nicole entame des va-et-vient sur sa queue. Elle recommence a avoir du plaisir qu’elle râle dans la bouche du bonhomme.
– RRRRMMM ! MMMMUUU ! OOOUOUOUFF ! Il repousse sa bouche de la sienne et clame.
– Qu’elle Salope ? Elle jouit encore la pute ! Florence ? Tu as là une sacrée bonne femme blanche ! Tu as une bonne pute et tu en as fait ton esclave !
La Nicole se démène sur cette queue qui lui donne tant de plaisir. Elle se donne a fond tellement c’est bon pour elle d’être soumise. Elle jouit autant physiquement que cérébralement. Le troisième homme, la refait se pencher sur le torse de l’homme. Il se positionne derrière la Nicole et lui enfonce sa queue dans l’anus. Il l’encule avec de grands coups de rein. Nicole sent son plaisir se multiplie rapidement dans son corps.
Le troisième homme passe ses mains sur le devant la pute. Il malaxe ses seins, tire ses tétons. Nicole est aux anges, elle jouit d’être soumise à ses deux hommes noirs. Être soumise en baisant est sont plus grand plaisir.
Sur un signe de maîtresse florence, celui qui sodomise l’heureuse soumise, retire sa queue de son cul. Il présente sa queue à l’entrée de sa moule, au dessus de celle déjà qui l’occupe ?
Soudain, la Nicole comprend qu’il veut la pénétrer en double vaginal. A ce moment là, celui de devant l’enserre de ses bras, elle se retrouve prisonnière. Son plaisir est retombé, elle tourne la tête vers sa maîtresse, qui lui fait signe de la tête, de se laisser faire. Il approche sa queue de sa chatte, au dessus de celle de l’autre bonhomme. Il force pour enfoncer sa queue dans sa grotte humide du sperme de ses prédécesseurs, son gland entre un tout petit peu. – Ça ne n’entrera pas maîtresse, leurs bittes est vraiment trop grosses et ça me fait mal.
Maîtresse vient lui caresser les cheveux. – Détend toi ma soumise, il faut que ça rentre, et elle rentrera ? Tu es mon esclave, donc tu les laisse faire, sale pute.
La Nicole écrase un peu plus son buste sur le torse de celui, qui a déjà sa queue dans sa chatte. Derrière, l’autre crache sur sa grosse queue noire qui peine à se frayer le passage. Il insiste avec détermination, il veut à tout prix la pénétrer.
Ça commence vraiment à lui faire mal. Sa maîtresse le voit et elle pose une main sur l’épaule de celui qui est derrière sa soumise.
– Oui, les gars vous êtes trop gros, arrête un instant ? Vous allez la déchirer ? Je revient, attend ?
Elle va dans la cuisine et revient avec une petite bouteille d’huile ?
Elle en verse dans une de ses mains, et en enduit la queue de celui qui doit rentrer dans la moule de sa soumise.
Sa queue bien lubrifiée, il recommence l’opération.
– Tu y vas doucement, tu tiens bien ta queue. Lui dit Florence.
Le gros gland entre en forçant un peu. Ensuite, le reste de la queue entre petit à petit à l’intérieur de son vagin. La Nicole gémit maintenant de plaisir, en sentant ses deux grosses bites dans son ventre. Alors, qu’il en a entré que la moitié.
– Tu vois ma soumise, que tu aimes ça. Je savais que ma pute pouvait accepter ses deux queues noires, dans son garage à bites.
L’homme de derrière, lui saisit les fesse et les soulève un peu. Cela lui permet d’enfoncer plus profondément son pieu noir et luisant dans sa grotte où se trouve déjà la queue de son compère. La Nicole crie de plaisir en sentant cette nouvelle pénétration énorme. Elle n’avait jamais ressenti un tel plaisir, deux énormes bites noires en elle, qui la défoncent. Dans ses rêves les plus fous, elle ne l’avait pas imaginé. Très vite, elle a un petit orgasme et il en profite pour enfoncer un peu plus sur sa queue.
Sa maîtresse voit, les deux sexes entrer, puis ressortir entièrement et disparaître à nouveau, tout entier dans la chatte de sa pute soumise. Elle l’entend râler de plaisir. Celui de devant, lui donne un baiser d’amoureux. Il lui fouille la bouche de sa langue, elle lui mord la sienne, entre deux râles de plaisir. Florence vient lui proclamer.
– Alors ? Ça te plaît de te faire baiser par des noirs ? Je crois que tu as joui au moins cinq ou six fois ?
Nicole les yeux en l’air, sent qu’un orgasme arrive. Un des deux baiseurs lâche, avec un grand cri de jouissance, son sperme dans sa chatte meurtrie. Son orgasme éclate d’un seul coup, un grand spasme la secoue. Elle feule de plaisir, son vagin se contracte serrant les deux grosses queues qui sont en elle. Le second, suit presque aussitôt, il pousse un cri et il éjacule sa semence avec des grands soubresauts. Mais les deux tiers de son liquide séminal, est projeté entre ses jambes et sur le ventre de celui de devant. Pars-que la pute est secouée par ses spasmes de jouissance, et son sexe est projeté hors de sa grotte.
Ensuite, elle reste inerte, vidée, secouée par les derniers petits assauts de l’homme qui est derrière. Lorsque sa chatte est libérée, on lui ordonne de lécher le sperme répandu sur le ventre, de celui qui était devant la soumise. Elle se met à genoux et lèche à petit coups de langue en déglutissant le sperme étalé sur le ventre et dans la noire toison pubienne bouclée. Puis, elle lui lèche tendrement le gland avant le l’aspirer, pour soutirer la dernière goutte de sperme de la grosse queue noir.
CHAP 3
De soubrette a prostituée.
Maître Frank rentre de son travail, s’assoit dans un fauteuil du salon et appelle l’esclave de la maison. Il sort sa queue de son pantalon.
– A genoux ma pute blanche et suces moi et fais ça bien.
Le regarde interloquée, Nicole, la soumise est surprise par le ton employé ?
Elle vacille, une gifle vient d’atterrir sur une de ses joues.
– Quand ton maître te donne un ordre tu obéis tout de suite.
– Oh ? Oui, excusez moi maître.
Bien soumise elle obéit.
Elle embrasse la queue déjà en érection, la lèche un peu partout en se contorsionnant.
Après avoir léché et suçoté le gland, elle enfonce la queue dans sa bouche et fait une fellation à son maître.
Elle donne beaucoup d’amplitude aux mouvements de va-et-vient de sa bouche.
Parfois, elle est au bord de la nausée, quand elle enfonce le gros membre trop profondément dans sa gorge.
Elle accélère la cadence se disant que plus vite il éjaculera, plus il sera satisfait.
Heureusement, excité par la situation et le fait d’avoir trouvé une jeune femme blanche qui se soumet à ses ordres. Il ne faut pas très longtemps avant qu’elle ne l’amène à la jouissance.
Les mains de Frank appuient sur sa nuque, sa queue tressaille dans la bouche de la soumise, pendant que son sperme coule dans la gorge de l’esclave, en quantité importante.
Elle avale la semence de son maître en essayant de ne pas s’étrangler, car vu la quantité elle a du mal à déglutir. Elle continue la fellation jusqu’à aspirer la dernière goutte.
Son maître lui recule la tête et lui demande, si elle a aimé ses premiers clients.
Elle lui raconte la double vaginal qu’elle à subi. La réponse de Frank, son maître lui sape le moral.
– Ça fait partie de ce que nous te demanderons de faire, tu dois tout accepter de tes clients même s’il y a de la souffrance. Tu t’es soumise pour être notre pute. Alors, tu ne vas pas être déçue.
Frank prend son portable et passe un appel en parlant pas trop fort.
Un quart d’heure plus tard, la sonnette de l’entrée retentit. Maître Frank fait signe à la Nicole d’aller ouvrir. Il entend clairement l’expression étonné d’Issa son frère, lorsqu’elle ouvre la porte.
– Putain ! Quel morceau la blanche !
– AAARRRFF ! Crie Nicole.
Un groupe de trois hommes et de Nicole tenue par les cheveux et plier en deux, font leur apparition dans le salon.
– C’est elle ta pute de soumise ? Demande Issa.
– Eh ? Oui ! Et vous pouvez vous en servir comme vous voulez !
Précise le maître de la soumise Nicole.
Ce qui ce passe pendant les trois heures qui suivent sont assez difficile à décrire. Les trois hommes baisent la soumise par tous ses trous, faisant même des doubles pénétrations conseillés par Frank. Ils finissent par une double anal avec aussi une queue dans le vagin et Frank dans sa bouche. Chaque homme peut ainsi jouir à plusieurs reprises dans la femme blanche et c’est couverte de sperme qu’ils laissent la pute soumise, lorsque les trois hommes partent.
La Nicole, est allongée sur le dos à même le sol. Elle est couverte de sperme, sa bouche, son vagin et son anus dégorgent de sperme épais.
– Voilà, ce qui t’attend à présent. Tu es à nous, si ça ne te convient plus, tu sorts tout de suite d’ici ? Nicole se met à pleurer à chaudes larmes. Entre deux sanglots, elle supplie Frank. – Je vous appartient Maître ! Je suis à vous ! Vous pouvez faire tous ce que vous désirez de moi je le ferais. Gardez moi, vous êtes les maîtres que je désirais, je suis à vous deux, soyez mes maîtres pour toujours. – Alors, va te couché comme ça sur ta paillasse. – Oh ! Oui, maître, tout de suite.
Le lendemain après midi, on sonne à la porte ? Maîtresse Florence lui ordonne : – C’est ton premier client ! Va l’accueillir et tu as intérêt, qu’il soit satisfait sinon, c’est la porte ! On a aménagé pour ça, la pièce du fond en chambre, pour que tu y reçoive tes clients dignement. Nicole soumise, va ouvrir et fait entrer l’homme qui se présente.
Elle lui fait l’amour sous la surveillance discrète d’une caméra et de sa maîtresse.
Elle lui fait une pipe pour le faire bander ou entretenir son érection. Elle fait ce que l’on attend d’elle. Il éjacule dans sa bouche, dans sa grotte et aussi dans son cul. Il passe plus de trois heures avec la soumise. Elle apprend ainsi que c’est le frère de maître Frank.
Il vient a à peine quitter la chambre qu’un autre homme noir entre pour qu’elle lui donne aussi du plaisir. De nouveau sa gorge, son vagin et son fondement sont arrosés de sperme.
L’homme ne s’éternise pas, vidé de son sperme, il quitte la chambre.
Quand elle se retrouve de nouveau seule dans la chambre, elle a juste le temps de se laver les parties intimes dans le petit cabinet prévu pour ça. Qu’un autre homme noir entre pour la baiser, résignée et comme elle vient de le faire avec les deux autres hommes elle le satisfait sexuellement lui aussi.
Ensuite, elle retourne à ses tâches ménagères. Durant le dîner de ses maîtres, ils l’interpellent : – Bon , mon frère et nos deux amis ont été satisfait de tes prestations. Donc, nous avons décidé de te garder comme notre pute soumise, tant que tu sera notre esclave nous te garderons ? – OH ? Merci ! Mes maîtres, je suis votre esclave sexuelle pour toujours. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez de moi ? Je vous appartient.
Deux jours plus tard Florence lui ordonne de recevoir un groupe d’amis de chez eux et de les satisfaire.
– Oui Maîtresse! je suis à votre service quoi que vous exigiez de moi ?
– Je sais, tu nous as dit que tu seras très obéissante et que accepteras tout ce qu’on exigera de toi.
Pour nous que tu sois une putain ou un animal, c’est la même chose.
– Ils seront combien ? Maîtresse.
– Ils seront six ? Ils vont te sauter chacun leur tour ou bien tous ensemble, mais cela n’est pas important vu que tu es là pour satisfaire toutes les demandes!
– Oui maîtresse. Vous pouvez disposer de mon corps de la façon dont vous le souhaitez.
D’un coup l’inquiétude la gagne, elle a vite compris qu’elle est propostituée et qu’elle va en baver. Il est trop tard pour faire une marche arrière.
Nicole est un peu effrayée par le nombre d’hommes, mais ne laisse rien paraître.Elle leur appartient et il font d’elle une prostituée qui doit obéir sans se rebeller quelque soient les circonstances.
Le carillon de l’entrée retenti et la porte s’ouvre.
Six hommes noirs pénètre dans le salon. Il entourent ausitôt Nicole, se bousculant et se gênant ils la pelotent d’abord un peu partout mettant leurs mains sur sa tenue de soubrette, puis dans son décolté. Ils pétrissent et malaxent ses seins, après les avoir sortit
Presque simultanément sa jupe est soulevée et retroussée, des mains se glissent dans son string et caressent son entre-jambes, des doigts forcent le passage et pénètrent dans ses parties intimes.
Là elle prend conscience, que pour ces hommes, elle n’est qu’une marchandise et qu’elle le restera tant qu’ils auront envie de consommer.
En l’espace de quelques instants et sans lui laisser le temps de réagir. Elle se retrouve nue, ses vêtements sont jetés un peu partout dans le salon et gisent sur le sol.
La soumise prostituée a compris, qu’elle va passer une après midi au milieu d’une bande de soudards, dés que leurs envies de sexe les submergent, et qu’ils la considèrent comme étant un objet.
La plus part, ont sorti leurs bite de leur pantalon.
Un homme lui fait signe de venir lui sucer son sucre d’orge couleur chocolat.
Nicole tombe à genoux sur le sol entre les jambes et elle prend dans une main la queue du bonhomme et en bonne soumise, elle lèche et embrasse partout la queue qui lui fait face.
Elle lèche, suçote et aspire le gland, puis introduit le membre dans sa bouche avant de le faire aller et venir à l’intérieur de sa gorge tout en serrant bien ses lèvres.
C’est l’homme qui met fin à la fellation en repoussant sa tête, se déplaçant à genoux la prostituée fait la même chose à un deuxième, puis à un troisième, tout en prenant dans ses mains et masturbant doucement les verges qui se trouvent de chaque côté de l’homme qu’elle suce.
Malheureusement pour lui le quatrième est un éjaculateur précoce. Nicole commence à sucer sa queue que celui-ci se met à trembler dans sa bouche et que le sperme gicle dans sa gorge. Il lui a saisit les oreilles, pour enfoncer sa queue et éjaculer au fond de sa gorge. Elle n’a pas le choix que d’avaler son jus pour ne pas étouffer.
Elle se déplace pour faire une fellation au cinquième qui est fort bien monté, ensuite une fois qu’elle a sucé la queue du sixième, elle revient au premier.
Passant d’un homme à l’autre, elle commence une série des fellations abouties. Elle finit cette tâche soulagée, car ses lèvres et sa mâchoire s’irritent de cet exercice qui dure.
Elle ne se pose pas la question de savoir, si le sperme de chaque homme à le même goût ou pas, elle avale rapidement en bonne soumise.
Pendant qu’elle en termine la fellation du cinquième bonhomme, elle entend des bruits bizarres.
Elle cesse de sucer et tourne la tête ? Elle voit que maîtresse Florence, avec ceux qu’elle a déjà fait jouir, déroulent sur le parquet deux futons nomades, après avoir déplacé la table et les chaises.
Quand Nicole a fait éjaculer le sixième homme, on lui demande de s’allonger.
Pendant qu’ils quittent leurs vêtements et sans qu’elle ne prête attention à leurs corps d’hommes mûres, sans attendre elle écarte les cuisses . Tout de suite elle est couverte par un bonhomme, qui enfonce sa queue en elle.
La ronde des bites commence, c’est chacun leur tour qu’ils s’allongent sur elle. Ils lui pénètrent la moule et la baisent, ils se retirent pour laisser la place au suivant, là encore sans avoir éjaculé.
Ainsi elle se retrouve plusieurs fois avec la queue de chacun des bonhommes dans le ventre ? Au début, elle fait bouger son bassin pour les accompagner en essayant de calquer son rythme sur le leur s’épanche pas dans son puits d’amour et que cela devient vite fatiguant. Elle finit par les laisser faire.
Finalement, ils y trouvent leur plaisir. Si bien qu’elle se retrouve six fois avec du sperme dans son puits d’amour. Après la première éjaculation en elle, cela lui a déclenché la sensation de plaisir et celui-ci fini par devenir intense.
Après un instant de répit, ou Florence lui a ordonné un bain de siège. A son retour, elle doit se mettre comme ses clients le veulent. Elle se retrouve accroupie au dessus d’un bonhomme pas trop vieux qui introduit sa bitte dans sa moule. Ensuite, un autre se positionne à genoux derrière elle et enfonce sa queue dans l’anus.
Sa bouche est également investie par un bon calibre. D’autres, essaient de lui en placer dans ses mains, mais ce n’est pas évident, car elle ne peut pas rester en équilibre dans la position où elle est.
La soumise se fait défoncer les orifices beaucoup plus longtemps, car ayant déjà joui les hommes contrôlent mieux la montée de leur plaisir.
Pour elle aussi, elle constate ce qui se passe et s’amplifie dans son ventre, pendant qu’ils profitent de son corps.
Elle ferme les yeux et serre les dents, tout en essayant de penser à autre chos. Cependant, c’est peine perdue, l’orgasme est là ? Elle se met à gémir puis à râler, quand les sensations ressenties deviennent trop fortes et qu’elle n’arrive plus à retenir le plaisir qu’elle ressent.
Cela ne dérange pas les clients de sa maîtresse. Ils continuent à la baiser et à prendre leur plaisir dans ses orifices, pendant que son corps se raidit. Soudain elle se met à trembler emportée par un gros orgasme.
Les jets de cyprine qui s’échappent de sa moule c arrosent les queues qui continuent à s’activer dans ses deux puits d’amour.
Comme les pénétrations ne cessent pas et elles sont de plus en plus longues. Après cette première jouissance et d’autres d’abord asse espacées, ensuite, de plus en plus rapprochées suivent. Le spectacle de sa jouissance qu’elle donne, réjouit sa maîtresse et amuse les hommes. Ce qui les encourage à en faire plus.
L’entendre geindre, voir les tressauts de son corps et les jets de cyprine qui semblent intarissables sortir de son puits d’amour décuple leur plaisir et satisfait leur fierté de mâles.
Amusés de la voir jouir et à l’instigation de sa maîtresse. Les queues quittent les orifices de la soumise prostituée et chacun leur tour, ils s’en prennent aux mamelons, qu’ils torturent et les font rouler entre leurs doigts. Cependant,c’est surtout au clitoris qu’ils masturbent avec des mouvements des doigts circulaires et le plus souvent vigoureusement.
De le voir gigoter et de l’entendre gémir, râler et même crier les excite énormément, ce qui n’est pas bon pour elle, car le plaisir dans son ventre est intense. Elle ne peut plus se contrôler, quand arrivent les orgasmes.
Chacun des hommes veut tirer un résultat de sa torture qu’il inflige à la soumise. Il n’est satisfait et laisse la place à un autre qu’une fois, qu’elle a joui et que des jets de liquide fusent de sa moule qui s’ouvre et se ferme plusieurs fois, le ventre et les fesses de la prostituée sont trempées de mouillure.
La Nicole plane et n’est plus dans un état normal. Quand enfin, ils cessent de martyriser son clitoris et s’en prennent de nouveau à ses orifices, qu’ils pénètrent de nouveau.
Pendant que les queues vont et viennent sans cesse dans sa moule et son cul. Sa bouche ne reste pas inactive, elle nettoie et fait redresser les queues flapies. Si ceux qui ont investi son anus et sa vulve s’y laissent aller et s’y soulagent.
Arrive le moment où ils font appel à elle. Quand leurs queues sont ramollies et rétrécies et qu’ils souhaitent encore se servir de son corps, sans parvenir à bander d’eux même. C’est surtout en se servant de ses mains, qu’elle les remet en érection facilement ou difficilement.
Puisque, qu’elle comprend, qu’elle est devenue une pute qui doit subir la loi des clients qui font ce qu’ils veulent, d’elle la considérant comme leur jouet.
Voulant s’amuser aux dépends de la soumise, c’est devenu un jeu pour eux, dés qu’ils sont à bout et prêts à éjaculer, rapidement ils se déplacent laissant leurs queues sortir de l’orifice qu’ils défonçaient et se vident de leur sperme dans la bouche qui remplit son estomac de leur semence.
Après ce que ce qui semble une éternité à Nicole la soumise, un à un et après avoir joui entre chacun entre trois et cinq fois. Ils ne se sentent plus capables de bander, chacun leur tour après une ultime éjaculation plus ou moins productrice de sperme. Ils abandonnent la partie non sans dommages pour la soumise prostituée qui ayant beaucoup été sollicitée est fatiguée. Elle aussi n’a pas été épargnée par les jouissances.
Elle reste allongée et inerte les yeux fermés, pendant un moment pendant que les hommes se rhabillent en discutant de ce qui vient de se passer. Ils félicitent Florence d’avoir une pute blanche qui jouit de son activité.
Finalement la Nicole s’assoit sur le matelas et les yeux encore dans le vague observe ce qui se passe dans la pièce.
Quand les hommes sont sorti, maîtresse Florence accroche la laisse au collier de son esclave. – Allé ? A quatre pattes comme la chienne que tu es ! Vient laver tes trous à bites. La pute soumise suit sa maîtresse ? Elle la traîne dehors et la lave au jet d’eau froide dans ses deux puits d’amour.
Sa maîtresse inspecte le sexe de sa soumise, sa moule est bien ouverte et elle constate que son anus n’est plus qu’un trou béant. C’est lui qui a le plus souffert cet après midi.
La prostituée se rhabille de sa tenue de soubrette, puis de nouveau doit servir ses maîtres à table.
– Florence, m’a dit que tu es une bonne pute. Pour que tu ne sois pas fécondable, nous allons te faire stériliser dans une clinique privée. Dans cette clinique, ils utilisent une nouvelle technique, dite « technique Essure » Elle permet d’effectuer le type d’intervention par les voies naturelles, en plaçant un petit ressort dans chaque trompe ? C’est l’équivalent au stent utilisé en chirurgie coronarienne. Parce qu’a la fin du mois, nous t’en menons en Afrique du sud dans notre pays. Je suis que tu vas y faire sensation !
Nicole continue à recevoir les clients de Florence.
Avant de partir pour l’Afrique du sud, son ex sonne à l’entrée de la maison. Nicole vient ouvrir la porte ? – Mais qu’est-ce que tu fais là cul nu sous ta tenue ? Oh ? Mais, tu as des piercings un peu partout ? On m’a dit qu’ici ça devenait une maison de passe ? C’est toi ? Pourquoi ? – Comme tu me vois. Aujourd’hui, je suis heureuse. Grâce à mon Maître et à ma Maîtresse, je suis à présent, à la place que j’ai toujours rêvé d’avoir. Je suis l’esclave sexuelle de mes deux maîtres. Ils me font baiser par leurs amis africain, plusieurs fois par jour dans mes trois puits d’amour et j’adore ça.
CHAP 3
Au pays de ses maîtres.
Nicole n’est plus à présent fécondable. Son passeport est fait et c’est la première fois de sa vie, qu’elle prend l’avion et avec ses maîtres en plus. Le voyage est de quinze heures et c’est long. Nicole fait deux longue pipes à son maître Frank, durant le voyage.
Après les formalités à l’arrivée a Johannesburg, ils prennent un petit avion privé qui les emmène, après trois heures de voyage à Richard Bay. Le pays natal de ses maîtres. Là, une voiture les attend et les emmène à la villa des Koulibati. Ils arrivent devant une très belle villa. Elle est longue avec un étage. Côté océan indien, il y a une terrasse aménagée avec un grand barbecue fixe. Il y a aussi une grande piscine devant un petit parc boisé.
Florence lui fait le tour du propriétaire et lui désigne sa chambre qui est très bien aménagée, car elle a sa propre salle de bain. – Là, au moins tu pourras laver tes sales trous entre tes futures amants.
Nicole s’occupe de maintenir la villa en bonne propreté, elle fait le ménage et les autres tâches domestique à part la cuisine. Il y a une cuisinière a demeure, Nicole la trouve bien étrange ? Elle peut voir qu’elle doit avoir une belle poitrine bien ferme, qu’elle a une corpulence dans la moyenne. Cependant, elle y trouve un je ne sais quoi de pas normal avec sa voie rauque ?
La première quinzaine ce passe en réceptions multiples. Nicole fait le service à table et autour de la piscine. Elle porte toujours sa tenue de soubrette, sans sous vêtements et sans bas. Les invités tous noirs bien sûr, ils admirent sa blancheur de peau et la douceur de sa croupe. Un soir les invités sont partis, Nicole s’active a ranger dans la cuisine. Florence vient lui donner un ordre. Elle a un quart d’heures pour obéir ;
Ne sachant pas encore à quoi s’attendre, sur les ordres de sa maîtresse, elle a revêt une petite robe légère, sans rien en dessous. Elle rejoint, Florence qui ne porte qu’un petit bustier décolleté et une minijupe blanche.
Elles entrent dans le salon et Nicole y découvre huit hommes, tous noirs, évidement, occupés à boire et à converser. Florence lui donne un verre de punch ?
Les verres de punch défilent et Nicole se sent légèrement un peu parties. Florence s’adresse à son esclave :
– Ça va être ta première partie avec des sud africain noirs. Tu vas adorer ?
Elle n’est pas dupe, car depuis le début de sa soumission. Ses maîtres, lui ont dit qu’ils la livreraient à leurs compatriotes. Elle a à présent la ferme intention d’en prendre du plaisir. Elle continue à converser avec les invités et au fur et à mesure que la soirée avance, elle sent les hommes autour d’elle devenir de plus en plus pressants, collant leur corps d’avantage contre elle.
Vers vingt-deux heures, maîtresse Florence s’adresse à la compagnie et dit :
– Il est temps de commencer les réjouissances !
Les hommes se déshabillent et Florence ordonne à sa soumise de se dévêtir et de se positionner à genoux. Les neuf hommes forment alors une ligne et le premier d’entre eux offre son gros sexe à la bouche de Nicole, qui ne se fait pas prier, pour le sucer.
Quelques minutes plus tard, il prend la bouche de Florence pendant que le second homme le remplace pour se faire sucer par Nicole. Elle goûte tour à tour les neuf queues bandées. Puis, les hommes se positionnent autour de la soumise. L’un d’eux prend la Nicole par les cheveux pour la positionner à quatre pattes sur le canapé et continue de baiser sa bouche alors qu’un autre lui pénètre déjà la moule par derrière.
Florence quant à elle est sur la table du salon les jambes ouvertes et se faisant prendre vigoureusement par son mari, pendant qu’un autre profite de sa tête renversée, pour lui baiser sa gorge. Ensuite, trois hommes s’installent côte à côte sur le canapé et Florence proclame :
– Allé ! Ma soumise, c’est le moment de la chevauchée !
Nicole se dirige alors vers le canapé et elle enfourche un beau sexe noir et tendu. Très vite un autre homme vient la pénètre par derrière glissant sa queue dans son cul grand ouvert.
Un autre contourne le canapé pour se faire sucer goulûment. L’esclave soumise est au septième ciel, elle jouit encore et encore. Les hommes échangent leur places fourrant leurs queues noires dans sa grotte, son cul et sa bouche de la pute blanche. De temps à autre, l’un d’eux se laisse aller pour remplir l’un des orifices de giclées de sperme chaud. Cependant tous restent durs et continuent leur manège sexuel.
Une heure plus tard, la soumise n’en peut plus de jouir. Quand tous les neuf hommes ont lâchés leur semence dans l’un ou les deux puits d’amour de la soumise. Florence lui désigne le chemin de la salle de bain où se trouve la douche
Au moment de suivre son ordre, elle se sent attrapée par le poignet. En un éclair, elle se retrouve encore sur le canapé les fesses en l’air et l’un des hommes la pénètre encore plus fort que jamais.
Il la baise jusqu’à ce qu’elle jouisse encore et qu’il vide ses couilles en elle. Elle pense en avoir fini mais un homme en remplace un autre.
Sur le point de venir, il sors précipitamment de son ventre et lui éclabousse la peau du ventre, de longues giclées, jusqu’entre ses seins. Il a à peine fini qu’un autre le remplace. Celui ci la baise plus fort, sa queue est épaisse, il lui dilate la moule. Il donne de grands coups de rein en grognant à chaque coup de boutoir.
La Nicole jouit sous les coups de queue, elle mouille terriblement. Elle est tétanisée par un orgasme, il est fort, il vient du fond de son être. Elle est secouée de spasmes. Le type sors sa queue de son puits d’amour ? Il l’enjambe et vient jouir entre ses seins. Son foutre éclabousse son menton, et dans son cou.
Étonné ? La Nicole voit sa maîtresse Florence à côté d’elle ? Elle vient lui qui lécher ses lèvres, son menton, son cou et ses seins. Elle se repaît du sperme du bonhomme. Les autres viennent se faire sucer par la soumise. Ensuite, ils attendent leur tour pour la baiser. Un beau noir, s’approche. Sa queue ressemble à une matraque. Cependant, il est d’une douceur sans égale, il la prend doucement, il prend soin de ne pas s’appuyer sur la soumise.
Il donne de petits coups de reins et de sa main glissée entre eux deux. Il taquine mon clitoris avec douceur. La Nicole sent à nouveau monter un nouvel orgasme. Il sort de de son puits d’amour,sa matraque vient buter sur l’anus de la pute. Il la regarde ? Comme pour lui demander s’il peut la sodomiser ? D’un hochement de tête, elle lui signifie son accord, avant de prendre une autre queue dans sa bouche.
Et il l’encule en s’enfonçant lentement. La Nicole adore ça façon de la sodomiser. Elle aime tellement ça,,qu’elle s’ouvre pour lui. L’orgasme est là, il la transporte loin d’ici. Elle n’est plus qu’un sexe avide de plaisir, un anus ouvert, une chatte a combler. La Nicole n’est plus une femme. Elle est un gouffre à plaisir, elle est une soumise aux plaisirs des autres, elle est une putain de salope à plaisir. Elle s’abandonne totalement.
Ses orgasmes ne s’arrêtent plus totalement. Pendant un instant, elle a eu un instant, l’impression d’être sortie de son corps, spectatrice de la frénésie érotique qui c’est emparé de l’assistance. Elle se voit écartelée, par ses corps noirs et luisant de sueur et de sperme sur ce canapé environnée de mâles en rut. La queue enfoncée dans sa bouche s’agite, elle l’avale avec frénésie. D’autres corps noirs l’entourent, attendant leur tour pour venir prendre leur plaisir et lui en donner.
La pute soumise est dans un état qui frise celui d’un orgasme permanent. Entre deux pointes de jouissance, elle ne revient pas à un état normal. Elle désire encore des bites, encore et encore. Son ventre et ses seins sont maculés de sperme, elle est collante, poisseuse. Il flotte autour d’elle des odeurs de transpiration, de sexe, de parfums mélangés. Cela est pour la soumise le summum du plaisir à l’état pur. Le beau noir est à côté et il a la queue en l’air. La Nicole se dégage un instant et elle l’enjambe tenant sa queue et elle s’empale dessus.
Il fourre sa tête dans ses seins. Sa maîtresse arrive alors ? Elle à un gode ceinture de belle taille, elle passe devant tous les hommes. Elle lui pose un baiser sur ses lèvres pleines de foutre. Sa langue s’attarde justement à la débarrasser du sperme qui s’y trouve. Elle pose le gode contre l’anus de sa soumise et d’un coup de rein, elle lui prend l’anus. Prise devant et derrière, notre pute soumise de Nicole, adore le sandwich, elle aime. Un homme jeune, lui plante une superbe bite devant ses lèvres. Elle les pose sur le gland et aspire la queue qui rentre dans sa gorge.
Elle ressent ne violente poussée dans son dos. Un autre vient d’enculer Florence qui sodomise sa soumise. La queue dans sa bouche est venu au fond de sa gorge. Nicole a son nez dans les poils pubiens de celui qu’elle suce.En quelques instants, les cinq protagonistes calent un rythme endiablé.
La soumise grogne depuis le début des gémissements qui culminent au moment ou elle sent monter et déferler l’orgasme, tant attendu.
La pute soumise de Nicole ne sait pas combien d’hommes l’ont baisés. Combien, elle en a sucé et fait jouir en avalant leur plaisir. Elle voit sa maîtresse à quatre pattes se faire prendre par un vigoureux noir, tandis qu’elle en suce deux autres. Maître Frank est assis sur une chaise au prise avec la cuisinière, qui a l’air survoltée. Elle a ses beaux seins fermes à l’air et sa robe recouvre les jambes de Frank. Elle monte et descend elle même sur la queue de son maître. C’est ce que l’on suppose, car la robe cache la copulation.
La Nicole jouit violemment agrippée à son amant tout doux et il jouit lui aussi. L’orgasme de notre pute soumise est déclenché par les coups de gode de sa maîtresse, qui elle aussi jouit par celui qui l’encule.La Nicole ne peut crier sa jouissance, car celui qu’elle suce se déverse dans le fond de sa gorge, avec ses mains agrippées derrière sa nuque
Nicole doit bouger car elle s’est ankylosée. Elle se relève. Avant de s’installer à nouveau sur le dos. Il ne se passe pas deux minutes, avant qu’un homme arrive la queue tendue et il la prend soulevant ses fesses avec ses mains. Et il la baise comme un fou. Ça dure très peu, il jouit avec un grand grognement. Il est remplacé par un autre, et un autre. Où vont ils chercher tout ça ? A moins que ce ne soit plus les mêmes qu’au début ?
Certains se fond encore sucer, jusqu’à jouir dans sa bouche. Nicole ne compte plus les hommes qui la baisent. Elle en a perdu le compte. Cependant, elle en jouit encore et encore. Les lèvres de sa moule sont gonflées, son clitoris est énorme et dur. Il est d’une sensibilité extrême. Sa maîtresse aussi se fait baiser par son Mari et d’autres hommes noirs comme eux. Elles pousse des cris de plaisirs. Cela dure, on ne sait pas combien de temps encore ?
Cependant, la Nicole est enfin dans son élément de soumise. Elle est exténuée, pourtant elle continue encore à inviter les hommes à la baiser, comme ils le désirent. Elle en jouit encore et encore, le sperme remplit ses trois puits d’amour. Elle vogue dans une sorte de brouillard. Les visages sont flous, elle entend les cris, elle sent les caresses rien d’autre. C’est la première fois que ça lui arrive ? C’est comme si elle partait, si elle s’ éteignait.
La cuisinière est toujours là, seins nus, mais toujours avec sa robe que cache sa croupe, comme si elle avait quelque chose à cacher.
Elle est à quatre pattes sur le bord d’un fauteuil. Deux hommes lui défoncent un la bouche et l’autre l’arrière train et ils remplissent de leurs spermes. Les deux maîtres regardent leurs deux esclaves baisées par les hommes nus et excités, les baisant dans un trou quel qu’il soit, avant d’y vider leur semence en seulement quelques minutes.
Quand ils y sont tous encore passés, la Nicole se laisse tomber sur le canapé, épuisée, mais ravie, remplie de sperme. Elle se relève pour aller prendre la bouche ordonnée. Remplie de sperme sud africain, elle voit ses deux maîtres satisfaits, qu’elle s’est fait prendre encore et encore par toutes ces bites noires, qui lui ont aussi donné tant de plaisir.
CHAP 4
La découverte de la cuisinière
Nicole n’ose plus croiser le regard de la cuisinière, depuis qu’elle l’a vue se faire baiser à demi dépoitraillé. Il faut dire que lors des repas pris en commun, la cuisinière n’arrête pas de la dévisager avec un sourire aux lèvres. Nicole n’ose pas lui demander pour quel motif elle ne s’est pas mise nue comme l’ensemble des participants.
Trois jours plus tard, maîtresse Florence conduit sa soumise dans une chambre d’amis. En entrant, la cuisinière est dans la chambre assise au bord du lit ? – Je te présente Malik, notre cuisinier en titre. Malik ! Déshabille toi ! Que notre soumise voit qui tu es vraiment ?
Malik se lève, retire sa chemise et libère sa belle poitrine bien ferme. Ensuite, il détache les trois boutons de sa longue robe, qui tombe à ses pieds.
Nicole n’en croit pas ses yeux, Malik est une Shemale ? Elle a un corps de femme avec une bite à la place de la chatte. Florence voit bien que sa soumise est consternée. – Oui ? Comme tu vois, Malik est une erreur de la nature. Il est heureux de participer a nos orgies. Il n’exhibe pas sa queue, pour ne pas effrayer nos clients, comme tu as pu le voir. Il est aussi notre esclave, car nous l’avons acheté a ses parents, quand il avait encore douze ans.
Malik reste nu pendant cette brève discussion, et Nicole ne cesse de regarder sa queue, elle souhaite voir si vraiment, il a un s’y gros sexe effrayant, car même au repos, il est déjà très gros. Puis elle sent une main sur ses fesses, c’est maître Frank. Elle se retourne, le cœur battant et elle se met à caresser son corps. Malik qui s’est allongé sur le lit, les regarde. Puis, elle saisit d’une main son sexe, il ne bande pas encore. Elle se met à le masturber. Il ne lui faut pas plus de dix secondes pour qu’elle ai en main, sa grosse queue en érection.
Maître Frank pousse la soumise vers le lit.
– Suce le, fait le bander.
La Nicole se met à genoux au bord du lit. Elle prend en main la queue molle de Malik. Elle commence par passer sa langue sur cette longue queue noire tout en regardant maître Frank. Elle lui salive son gland circoncit, pour ensuite, l’aspirer dans sa bouche. Elle tète, suce, aspire la queue qui ce raidi dans sa bouche. Elle lui remplit sa cavité buccale. Elle a du mal à croire que c’est son sexe, elle arrête ses sucions et relève la tête pour voir. C’est un pénis énorme, loin de ce qu’elle a eu l’occasion de voir avec tous ses amants.
Elle doit faire dans les vingt cinq centimètres de long et dans et un peu plus de six centimètres de diamètre. Maître Frank qui bande s’approche de sa soumise. Alors, pendant qu’elle suce Malik, elle branle son maître. Elle a cette odeur de bite dans le nez, qui lui n’est pas très agréable. Cependant, elle mouille d’envie. De son propre chef, elle se remet à sucer aussi Frank. Il a une queue bien moins épaisse que Malik. De temps en temps, il souhaite lui enfoncer les deux bites dans la bouche ? Comme, elles sont toutes les deux grosses, elle ne peut recevoir qu’une à la fois dans sa bouche.
Pendant dix minutes, elle suce à tour de rôle les bites des deux noirs. Maître Frank s’allonge sur le sol moquetté, il passe sa tête sous la chatte de sa soumise, et commence à lui brouter le minou. La Nicole a un peu de mal à se concentrer sur la grosse bite de Malik. Elle râle de plaisir à chaque coup de langue que lui donne son maître. Il déguste sa moule, de temps en temps, elle le regarde faire sous elle, il a les joues recouvert de son jus de moule.
Frank désire continuer ça sur le lit et pendant qu’il y monte sur le lit. Maître Frank, lui enlève en même temps sa tenue de soubrette. Lorsque la Nicole est sur le lit, Malik l’a pénètre tout de suite avec sa grosse bite. Les deux premières secondes de la pénétration sont bonne. Cependant, plus il va en profondeur dans sa grotte, plus elle a mal. Elle n’ose pas trop hurler devant son Maître. Pourtant, elle n’a pas le choix, elle a tellement mal. Elle se sent comme une jeune vierge qui se fait déchirer pour la première fois. C’est vraiment douloureux, un engin pareil. Elle se plaint à chaque va-et-vient. Malik lui prend son pied, la soumise sent que son vagin s’élargit à chaque coup de sa grosse queue.
Ensuite Frank s’approche, comme elle lui tourne le dos, il soulève son cul avec ses mains, puis il crache dedans. La Nicole sent un doigt entrer dans son anus et tout de suite après un deuxième, il commence à lui doigter le cul. C’est plutôt agréable, en plus sa moule a épousé la forme de la grosse bite de Malik. La soumise de Nicole, ne sent plus aucune doubleur. C’est à présent que du bonheur, mais ça ne dure pas longtemps. Maître Frank désire à présent l’enculer avec sa grosse queue. Dans l’attente de la sodomie, la Nicole a le cœur qui bat fort.
Il a de nouveau craché dans son cul et juste après, elle s’est mise à hurler de douleur. Comme son vagin est occupé par le braquemart de Malik et que la grosseur de sa queue a réduit considérablement la circonférence de son boyau. Pour la première fois, Maître Frank n’y arrive pas, l’anus de sa soumise est devenu bien trop étroit. Elle n’arrête pas de hurler et de gigoter. De rage, maître Frank force d’un coup la petite porte arrière de sa soumise.
Elle a affreusement mal au cul, il lui fracasse l’anus et ça le stimule de l’entendre crier. Elle ne sait pas combien de centimètre de sa queue est rentrée dans son cul de soumise ? Cependant avec celle de Malik dans son puits d’amour ? La grosse queue de son maître, qu’elle aime tant, lui fait pourtant drôlement mal. D’un seul coup, c’est le calme, il a retiré sa queue de son anus. La Nicole est soulagée que son maître a eu pitié de son anus.
Frank désire ensuite, prendre la place de Malik, ainsi il introduit sa bite dans sa moule, le passage est bien dégagé, sa bite glisse en elle avec facilité. La Nicole a l’impression que la grotte d’amour est entièrement dilatée, car elle n’ éprouve aucune sensation d’introduction, quand Frank l’a pénètre. Ainsi, il commence à lui baiser le fond de sa grotte toute humide.
Son anus ne souffrant plus le martyre, elle profite de ce moment de répits pour se concentrer sur le plaisir vaginal que lui procure les va-et-vient de la bite de son maître. Il y va en pleine puissance, il lui donne des coups de bites, en une fraction de seconde, elle jouit bien. A un moment donné, elle remarque que Malik n’est plus dans la chambre. Comme elle est au bord de l’orgasme, elle ne prête plus attention à son absence.
Environs trois minutes après, il est revenu. Elle n’y a pas fait attention, elle est dans ma bulle.
Malik monte sur le lit, ensuite elle sent un liquide glacé couler entre la raie de mes fesses. C’est très froid, Nicole râle de surprise, Frank pense que c’est à cause des coups de bite qu’il lui met. Donc, encouragé par son râle, il redouble d’effort pour la limer en puissance. A nouveau,elle sent le liquide glacé entre la raie de ses fesses, ensuite, elle ressent deux doigts entrer dans son anus. Là, elle comprend qu’elle arrive à bout du répits, ils vont de nouveau la prendre en double pénétration.
Ainsi Malik fait glisser son énorme gland dans son trou balle, cette fois-ci le passage est plus accessible, pourtant elle a quand même un peu mal. Lentement, il enfonce sa queue dans son boyau. Chaque centimètre de sa queue qui entre dans ses rein lui fait affreusement mal. Quand, il a prit assez de profondeur dans son rectum, il commence à faire des va-et-vient. La soumise est partagée entre le bonheur et la souffrance. Les deux braquemarts noirs occupent ses deux orifices. Elle a l’impression qu’ils sont en compétition tant ça bouge. Ils jouissent tous les deux.
Malik qui est à l’étroit dans son anus, grogne de bonheur, il râlait souvent qu’il allait jouir, cependant il ne jouissait pas. Quant à notre Nicole, elle a perdu la notion du temps. Les bites de ses deux amants noirs font des va-et-vient synchronisés dans son ventre et à présent, elle ne ressent plus aucune douleur anale. C’est un bonheur indescriptible ! De temps en temps, Malik sort sa queue et crache à l’intérieur de l’anus de la soumise. Il peut à présent mettre ses quatre doigts en elle et elle n’en éprouve vraiment aucune douleur. Alors, il se met à nouveau à l’enculer avec force..
Les deux sud africain lui labourent, ainsi les orifices en double pénétration pendant environs une demi heure encore. Le Malik sort sa queue en premier, il ramène sa queue devant la bouche de sa consœur de soumise. D’instinct, elle ouvre grand la bouche et il enfonce son gland entre ses lèvres en hurlant son orgasme. Elle n’était pas préparée à cela et elle reçoit plusieurs grosses giclées de sperme au fond de sa gorge. Comme à son habitude, elle avale goulûment tous son jus de schemale
Frank lui aussi commence à se manifester, il la repousse d’un geste et elle se retrouve sur le côté. Il approche rapidement sa grosse queue près de la bouche de sa soumise. Elle ouvre la bouche, et il crache une grosse et puissante giclée de sperme dans sa bouche, sa langue est recouvert de sperme qu’elle avale. Soudain ? Malik lui attrape la tête et l’embrasse en faisant entrer sa langue dans sa bouche. Les deux esclaves se partagent le sperme de leur maître dans un baiser.
Ils sont à bout de souffle, la Nicole a la chatte et le cul en feu. Ils lui ont fracassé les deux orifices.
– Tu vas former la cuisinière a être une bonne pute soumise comme toi Nicole. Je désire que tu en fasse une bonne femelle qui se prénommera Maïlie dorénavant. – Oui maître, j’en ferais une bonne soumise. – Très bien ! Si tu as besoin de quoi que ce soit pour sa formation tu le demande à Florence.
Après le dîner servit aux maîtres les deux soumises vont dans la chambre de Nicole.
La porte de la chambre refermée et avant que la cuisiniére n’ait le temps de se dévêtir, ni de s’approcher du lit. La Nicole l’enserre dans ses bras et pose les lèvres sur les siennes.
Elle ouvre la bouche quand la langue de la soumise veut y pénétrer.
Timidement, mais pas immédiatement, elle mêle sa langue à celle qui s’agite dans sa bouche.
Insatisfaite Nicole cesse d’embrasser Maïlie et se recule un peu.
– Mets plus de fougue dans tes baisers, celui qui désire avoir une relation avec toi, doit comprendre que tu l’accepte et que tu es chaude!
– D’accord Nicole.
– Fais moi voir si tu as compris ? Allez on recommence.
Obéissante Maïlie met plus de conviction dans le baiser que Nicole fait durer et s’applique pendant que les deux langues se mélangent de nouveau.
En même temps la Nicole se met à caresser le corps de Maïlie. Hésitante, cependant elle lui en fait autant.
Nicole se recule et commence à déshabiller Maïlie tout en caressant et embrassant les parties du corps qu’elle, met à nu en commençant par le cou, en descendant sur la poitrine ferme et bien proportionnée. Ensuite, le ventre et pour finir sur le sexe.
– A toi Maïlie.
Maïlie qui veut se montrer bonne élève, débarrasse la Nicole de sa tenue de soubrette après l’avoir complètement déboutonné, en découvrant qu’elle n’a pas de sous vêtement ?
Ce sont des baisers appuyés qu’elle prodigue à la Nicole. D’abord sur le visage, ensuite dans le cou, elle arrive sur les seins, qu’elle caresse, embrasse puis lèche en suivant les conseils que lui donne son éducatrice.
Elle s’attaque longuement aux mamelons, qu’elle lèche, suce, mordille. Elle les fait rouler entre ses doigts sans douceur à la demande de Nicole qui gémit à cause de la douleur infligée.
Elle continue à martyriser les tétons avec ses doigts et ses dents attendant que son éducatrice lui dise d’arrêter. Elle descend la tenue de la Nicole, qui tombe sur le sol. Elle s’acharne sur le ventre plat, qu’elle lèche et embrasse partout passant repassant plusieurs fois au même endroit pendant que le corps de l’éducatrice frissonne.
Enfin elle se baisse et elle promener sa bouche et sa langue sur les cuisses, et sur le sexe imberbe..
– Viens ? Nous serons mieux sur le lit pour continuer.
Allongées sur le lit, Nicole se couche sur Maïlie en se faisant bouger son corps pour se frotter contre sa drôle d’élève. Ensuite, c’est soit Nicole où Maïlie, qui est au dessus pendant qu’elles s’embrassent et se caressent.
– Là, c’est une femme que tu doit baiser et lui donner du plaisir ? Après, ça tu sera avec un homme qui te baisera et tu lui donnera du plaisir. Je ferais l’homme, car j’ai emprunter les gode ceinture de maîtresse Florence.
Nicole caresse longuement le corps de Maïlie, qui l’imite et lui rend la pareille.
Ensuite elles se positionnent tête-bêche l’une sur l’autre. Avant de sucer cette belle grosse bite, Nicole explique à Maïlie, comment donner du plaisir à une femme avec sa bouche et sa langue. En embrassant le sexe et en léchant la vulve et le clitoris.
Tout comme le fait Nicole au sien, Maïlie suce, aspire ou tente de mordiller le bouton qui agacé et énervé est devenu un peu plus proéminent.
Elle essaie aussi de faire pénétrer sa langue le plus profond possible dans la moule de son éducatrice.
La Nicole devient chaude, alors elle se retourne et se colle et se frotte à son élève. Comme la Nicole le fait, Maïlie, elle aussi se frotte et fait onduler son corps surprise par les sensations agréables que cela lui procure.
Les poitrines s’écrasent l’une contre l’autre et le gourdin de Maïlie s’insinue entre les lèvres de la moule de l’éducatrice. Nicole écarte les cuisses et tout naturellement le terrible engin de Maïlie entre dans la moule de l’éducatrice. Pour être plus étroitement liée Nicole croise ses jambes autour des fesses de son élève.
Nicole encourage son élève à la pistonner un peu plus lentement, pour faire durée le plaisir.
– Tu peux donner de bon coup de rein de temps en temps. La femme aime quand d’un coup de rein, ton pubis vient écraser son clitoris. En plus tu lui tape au fond de sa grotte avec ta grande queue. Elles s’embrassent d’un long baisé qui ressemble à de la passion.
La Nicole est aux anges une fois de plus. Elle n’aurait jamais pensé prendre autant de plaisir à faire l’éducation de ce mi homme mi femme.
L’orgasme mutuel les fauche bouche unie. Elles restent unies sexuellement pendant qu’elle reprennent leur souffle. Nicole oblige Maïlie à lui nettoyer la moule avec sa bouche en aspirant tout le jus qui en sort. Elle peut bien voir que Maïlie se résigne à faire, ce qu’elle lui ordonne à contre cœur. Lorsqu’elle pense avoir fini, Maïlie remonte en frottant sur corps sur celui de son éducatrice. Elle unie sa bouche à la sienne. Un peu surprise de cette initiative, elle ouvre la bouche pour accueillir celle de son élève chargée du jus de sa moule. Le baisé dure le temps que les langues soient vides et propres.
Nicole se lève, elle fait le tour du lit ? Elle sort dessous l’oreiller le gode ceinture de sa maîtresse. Elle s’appareille avec. Elle a bien vu Malik se faire baiser, cependant, elle profite de son rôle d’éducatrice pour prendre la place de Florence, quand c’est elle qui la subit.
– Bon ! Là, c’est moi qui fait l’homme, à présent. A toi de jouer à la femme qui veut se faire baiser ?
Maïlie écarquille les yeux devant la vision de la Nicole ceint du gros gode ceinture de sa patronne.
Nicole s’approche du bord du lit ou est assise Maïlie. – Suce moi le bite ? Te demanderons la plus part des hommes. Alors, à toi de me la sucer cette bite ? Maïlie approche ses lèvres qui pose sur le gland synthétique. Nicole donne un léger coup de rein, le gode rentre dans la bouche qui s’ouvre. – Mouille la bien de ta salive si tu veux qu’elle rentre facilement dans ton jardin secret. Maïlie s’applique à bien saliver l’engin.
Nicole lui caresse les seins, pendant qu’elle suce le gode. Elle étire aussi les pointes, Maïlie à l’air d’aimer ça, car elle suce et avale de plus en plus l’engin destiné à l’enculer. – Il faut t’attendre que parfois, ils jouirons dans ta bouche et tu devras avaler leur jus. Voilà, il est bien mouillé le gode. Tourne toi et met toi à quatre pattes sur le bord du lit. Maïlie exécute la manœuvre et tend son derrière à la Nicole.
Nicole se places derrière sa soumise. Elle frotte le bout du gode, sur l’anus de Maïlie, mais n’entre pas encore ? Elle saisit la sacrifiée par ses poignées d’amour. Elle crache un mollard entre l’anus et le bout du gode. Elle pousse ses reins en avant et le gland synthétique entre facilement dans le trou du cul du Shemale. Elle en rentre environ un centimètre ou deux, puis s’arrête. Elle caresse les reins de Maïlie, elle passe ses mains sous le ventre de l’enculé.
Ensuite, elle rentre le gode un peu plus loin, à petit coup de rein, jusqu’à ce qu’elle ai le gode enfoncé bien à fond. Les râles augmentent en volume pendant que le gode entre au plus profond.
Quand elle a entrer tout le gode, elle s’arrête pendant une minute, puis le retire, recrache sur le gode, et rentre de nouveau dedans.
Les halètements multiples de Maïlie remplissent la chambre pendant que la Nicole entame les va-et-vient dans le trou balle de sa soumise.Elle l’enfonce plus fort, l’oblige à prendre le gode bien au fond
– UUUUFF ! AAARRR ! OOORRR ! RRROOOOO !
Les grognements de Maïlie aiguise l’appétit de Nicole qui découvre le pouvoir de la domination. La vue du gode s’enfonçant dans le cul de la soumise, stimule Nicole.
– Alors ? Tu aimes ? Halète la Nicole en accélérant le mouvement plus rapidement
La réaction de Maïlie est très bruyante. La Nicole halète plus vite et plus fort. Elle se couche sur Maïlie qu’elle encule, elle donne un dernier coup rein sur la pointe des pieds, en s’enfonçant au plus profond et jouit d’un orgasme violant.
Quand, elle reprend ses esprits, elle ordonne à Maïlie de se retourner pour sucer et nettoyer avec sa bouche le gode qui sort de ses entrailles. Maïlie se retourne et Nicole qui dirige le gode devant sa bouche qu’il ouvre et avale le gode. La Nicole donne à nouveaux quelques coups de rein, pour qu’elle l’avale bien profondément. Une fois que l’engin est bien propre de touts souillures, il se redresse, attrape la tête de Nicole et colle sa bouche à la sienne ? D’instinct, la Nicole ouvre la bouche pour accueillir la langue chargée des souillures du gode.
Le baisé s’éternise le temps que Maïlie réussisse à entrer sa grosse queue bandée dans la moule de son éducatrice occasionnelle. Ils roulent sur le lit et Nicole se retrouve sous son élève qui lui défait la ceinture du gode pour mieux la baiser. Là, ça devient une lutte entre les deux protagonistes, plus les sensations montent dans leurs ventres plus elles s’activent. Elles prennent toutes les deux du plaisir, leurs bouches, lèvres et mentons sont bien imprégnés de salive et d’un goût pas désagréable.
Les deux amantes restent un moment, les yeux fermés, allongées côte à côte et enlacées.
Momentanément, elle partage le même lit que la cuisinière, ils dorment nus toutes les deux. Elle est au chaud et elle se sent si bien dans ses bras.
Sam Botte
La suite et fin demain soir
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