...
Fétiche - BDSM Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets Uro - Scato

Histoire sexe Il observe une jeune fille pisser et sa vie va changer

On t'offre 200 jetons et 1 semaine de test Ultimate sans conditions : Teste le générateur IA Photos & Vidéos !   

Jean terminait son café du matin et s’apprêtait à se rendre aux toilettes du café, comme d’habitude, lorsqu’il aperçut l’horloge au-dessus du comptoir. “Excusez-moi”, dit-il au garçon de café. “Cette horloge est-elle exacte ?”

“Ton téléphone ne donne pas l’heure ?”. Elle lui fait les yeux doux.

Il regarde sa Rolex et constate qu’elle a près d’une demi-heure de retard sur l’horloge. Il a finalement sorti son téléphone et a vu que l’horloge n’avait qu’une minute ou deux de retard. C’est sa chère montre-bracelet qui n’est pas à l’heure.

“Il s’est arrêté pour laisser de l’argent à côté de l’horloge. Il s’est arrêté pour laisser de l’argent à côté du gobelet de sa table, puis a recommencé à courir.

Après s’être faufilé habilement entre les piétons, il réussit à atteindre la gare juste avant le départ de son train. Heureusement, il avait un laissez-passer et n’avait pas besoin d’acheter de billet, et le chef de train l’a fait monter sans délai.

Ce n’est qu’après avoir été conduit à son compartiment que Jean s’est rendu compte qu’il avait encore très envie d’aller aux toilettes. Il laissa sa mallette dans le compartiment et se dirigea vers les toilettes les plus proches. La porte était légèrement entrouverte, et Jean prit la peine de rouler des yeux à ceux qui n’avaient pas la courtoisie de la fermer correctement lorsqu’ils avaient terminé.

Lorsqu’il entra, il tendit instinctivement la main pour allumer la lumière, bien qu’elle fût déjà allumée. Lorsqu’il se retrouva face à lui, il fut confronté à la vue d’une jeune fille assise sur l’unique toilette, la culotte autour des chevilles et les genoux écartés, lui donnant une vue parfaite de ce qu’il n’aurait jamais dû voir sur une fille aussi jeune.

Il est resté figé sur place, ne sachant que dire ou que faire. La jeune fille le fixait, non pas choquée, mais désintéressée. Elle était manifestement plus préoccupée par la fin de ses affaires.

Jean ne put s’empêcher de remarquer son apparence. Elle avait les cheveux bruns et portait un chemisier blanc avec un gilet d’écolier bleu marine et une jupe assortie. Elle avait des chaussettes à hauteur de mollet et des chaussures à boucles. Ses cheveux étaient tressés en nattes et son visage était rond et pâle avec de légères taches de rousseur.

Jean ressent le besoin de s’expliquer, mais ne veut pas être vu en train de parler à quelqu’un dans les toilettes. Instinctivement, il ferma et verrouilla la porte. Ce n’est qu’à ce moment-là que la jeune fille sembla s’inquiéter. “Je l’utilise toujours”, lui dit-elle d’un ton calme.

paragraphe 4 ia porn

L’esprit en ébullition, Jean trouva n’importe quelle excuse. “Je ne peux pas attendre”, bafouilla-t-il stupidement. Soupirant, la jeune fille se recula sur le siège. Jean fut choqué lorsqu’il réalisa qu’elle lui faisait de la place pour qu’il puisse pisser entre ses jambes.

L’idée de la refuser ne lui traversa l’esprit que l’espace d’une seconde. Quelles que soient les circonstances qui l’avaient conduit ici, il n’allait pas laisser passer la chance d’être aussi proche d’une fille qui lui exposait sa moitié inférieure. Il se fichait bien de savoir si c’était pathétique ou s’il avait l’air stupide. Elle lui avait simplement dit de s’approcher suffisamment pour tout voir.

La fille l’a regardé défaire sa braguette et exposer son pénis. Il a dû s’accroupir pour l’orienter suffisamment vers le bas pour qu’il puisse viser entre les jambes de la jeune fille. Elle avait l’air perplexe. “Tu vas viser à partir de là ? demanda-t-elle.

“Tu veux que je me rapproche ?” Il est à nouveau choqué.

Tu vas probablement me pisser dessus à ce rythme. Assieds-toi sur le bord. Tu peux me soulever sur tes genoux s’il le faut. Je suis vraiment désolée, mais je mets toujours beaucoup de temps à commencer et je ne peux pas me lever au milieu, sinon je me pisse sur les jambes. Maman dit que je suis ridicule mais il n’y a rien que je puisse faire”.

Jean a à peine pris la peine de reconnaître que sa déclaration était ridicule. Il était plus intéressé par le fait de mettre cette fille sur ses genoux avec sa bite exposée juste en dessous d’elle. Elle sursauta lorsqu’il la souleva par la taille et la posa sur ses genoux qui se trouvaient maintenant de part et d’autre de la cuvette tandis qu’il s’asseyait sur le siège à l’envers.

Elle s’est calmée en entendant le bruit de son urine frappant la cuvette. Elle n’avait pas vraiment cru qu’il était là uniquement pour utiliser la salle de bains. Elle pensait avoir bien fermé la porte et sa mère l’avait mise en garde contre les pervers qui la suivaient et enfonçaient la porte.

Jean n’avait aucun moyen de garder sa bite pointée vers le bas sans passer sa main sous ses fesses et espérait donc que sa nature flasque suffirait. Un coup d’œil à la chatte rose exposée devant lui changea la donne. Elle sursauta à nouveau lorsqu’elle sentit son jet d’urine l’atteindre par en dessous, alors que sa bite se réveillait.

Ne sachant pas quoi faire d’autre, Jean a reculé sur le siège juste assez pour que le bout de sa bite touche sa chatte et qu’il pisse en elle au lieu de le faire contre ses fesses. Elle le regarda avec de grands yeux choqués, ne sachant pas s’il le faisait exprès. Ils se sont regardés pendant une minute alors qu’il pissait dans sa chatte et qu’elle laissait l’urine s’écouler à nouveau. Elle avait réussi à utiliser les toilettes sans expulser sa propre vessie.

Une fois qu’elle eut fini de pisser, Jean commença à se déplacer, essayant de la titiller davantage avec sa bite. Encore une fois, il n’avait pas l’intention de gâcher cette occasion, aussi étrange soit-elle. “Peux-tu me laisser faire maintenant ?” plaida-t-elle, le ramenant à la raison.

“Tu n’es vraiment pas parti du tout”. Il fit semblant d’être inquiet, mais s’en servit comme excuse pour saisir hardiment sa chatte des deux côtés et l’écarter pour mieux la voir.

“Je te l’ai dit, je suis lent à démarrer. Parfois, je dois la titiller un peu avant qu’elle ne sorte.” Jean leva les yeux et repéra l’armoire à pharmacie derrière la tête de la jeune femme. Il l’ouvrit et en sortit un coton-tige. La fille avait l’air effrayée, mais elle a hoché la tête quand il l’a approché de sa chatte. Jean n’en revenait pas de la facilité avec laquelle elle avait accepté qu’il lui mette le doigt dans l’œil.

Il lui a fallu écarter davantage la chatte avec ses doigts pour trouver le trou, mais Jean a alors plongé le coton-tige à l’intérieur avant qu’elle ne puisse changer d’avis. Elle a immédiatement crié, ce qui l’a fait paniquer. Les mains pleines, Jean n’avait plus que sa bouche pour couvrir la sienne. Elle a écarquillé les yeux lorsqu’il l’a embrassée, mais n’a pas essayé de se dégager.

Lorsqu’il sonda son trou, elle grimaça et détourna les yeux, mais accepta globalement l’intrusion. Jean se demandait si elle utilisait souvent des moyens externes pour l’aider dans la salle de bains.

Finalement, il sentit le coton-tige à l’extrémité du coton-tige pénétrer dans sa vessie. Elle se retira de sa bouche et soupira de soulagement. Il n’était pas sûr de savoir ce qu’il était censé faire, si ce n’est retirer le tout. Elle grimaça à nouveau lorsque le trou fut rouvert de l’autre côté.

Heureusement, son urine suivit la pointe qui se retirait et commença à s’écouler dès qu’elle quitta l’urètre. Jean était hypnotisé par la vue d’une jeune fille en train de pisser devant lui. Il maintint la chatte écartée pour pouvoir la regarder. Elle ne semblait que légèrement agacée. Elle était plus concentrée sur le fait de s’assurer que le flux ne s’arrêtait pas, de peur qu’ils ne doivent recommencer et ouvrir de nouveau son trou par la force.

Lorsque le ruissellement s’est arrêté, Jean avait oublié qu’il prétendait être un passant serviable. Il fixait une fille à moitié nue et touchait déjà sa chatte. Il a fait exactement ce qu’il aurait fait si elle était sa petite amie ; il a plongé deux doigts en elle et les a recourbés pour toucher son point G à l’arrière de son bassin.

Elle a sursauté et s’est penchée en arrière en s’agrippant à la lunette des toilettes. Il s’est redressé et a commencé à soulever ses fesses du siège tout en massant son point G. Elle a écarquillé les yeux lorsqu’elle a senti tout son corps s’agiter. Ses yeux se sont croisés lorsqu’elle a senti que tout son poids reposait sur ses doigts et son bassin.

Lorsque ses doigts ont glissé, ils ont traîné le long de son point guttural pendant tout le trajet. Ses fesses ont heurté le siège et elle a fait claquer ses pieds sur le sol, courbant le dos et giclant droit devant elle. Après une minute passée à arroser la porte d’urine ou peut-être d’autre chose, elle a baissé l’entrejambe et s’est laissée glisser sur le sol, haletante. “Elle supposa qu’il l’avait fait avec l’intention innocente de l’aider.

Jean l’ignora et lui écarta les jambes, se plaçant entre elles. Lorsqu’elle se rendit compte qu’il allait à nouveau lui enfoncer son pénis dans la chatte, elle tenta de couvrir l’ouverture avec ses mains. Il lui saisit les deux poignets d’une main et les coinça au-dessus de sa tête. Avec son autre main sur sa taille, il a ajusté sa position pour pouvoir enfoncer sa bite dans sa chatte humide.

paragraphe 2 candy

Elle sursauta et sa tête heurta le bol derrière elle, ce qui eut pour effet de resserrer sa chatte et de lui faire tourner les yeux dans sa tête. “Tu n’as plus besoin de pisser en moi, n’est-ce pas ? Tu n’as qu’à te tenir au-dessus de moi.”

“Je veux le faire de cette façon”, lui dit-il. “Je t’ai aidée, maintenant tu es une bonne fille de toilette pour moi.” Elle acquiesça misérablement.

Elle respirait de plus en plus fort tandis qu’il entrait et sortait de sa chatte. Elle ne savait pas pourquoi sa bite qui tirait sur les parois de son vagin faisait battre son cœur plus vite et rendait sa vision floue.

Au bout de quelques minutes, elle se demanda pourquoi il ne faisait pas encore pipi. Il semblait plus intéressé par le fait de retourner son vagin avec sa bite. Il avançait de plus en plus vite, s’éloignant de plus en plus et s’enfonçant de plus en plus profondément à chaque poussée. Leurs aines mouillées faisaient du bruit en se heurtant l’une contre l’autre.

De temps en temps, elle sursautait et se cognait la tête à nouveau, se resserrant autour de lui. Elle finit par s’agacer et dégagea ses poignets pour pouvoir se couvrir la tête. Il l’attrapa simplement par la frange et lui tint la tête loin des toilettes. Son cou était tordu de façon inconfortable, mais c’était mieux que de se cogner la tête.

Après plusieurs minutes, elle sentit enfin la sensation chaude de son urine qui la remplissait. Cependant, elle se rendit rapidement compte qu’il s’agissait de quelque chose de plus épais. Il bougeait encore lorsque le premier jet l’a touchée au plus profond d’elle, mais il s’est arrêté un instant plus tard, le bout de sa bite accroché à l’ouverture gonflée de son urètre. Le coup suivant est allé directement dans sa vessie, ce qui l’a fait glapir de douleur. Elle s’agrippa à l’extérieur de son ventre, ne sachant que dire ou faire.

Trois autres balles ont été enfoncées dans son trou d’urine et elle s’est retrouvée avec les yeux révulsés et des larmes plein les yeux. Jean n’a réalisé ce qui s’était passé que lorsqu’il s’est retiré et qu’il a vu son sperme être expulsé de son petit trou.

Il l’a soulevée par la taille et l’a remise sur les toilettes. Elle laissa ses bras tomber le long de son corps et sa tête s’affaisser sur sa poitrine, la langue pendante de façon obscène pendant qu’elle pissait du sperme.

Debout au-dessus d’elle et ayant soudain besoin de vider sa propre vessie, Jean laissa échapper un jet qui l’atteignit en plein sur son entrejambe exposée et tomba goutte à goutte dans la cuvette. “C’est chaud”, marmonna-t-elle, la langue encore pendante.

Intrigué, Jean s’est avancé pour pisser en plein sur son visage. Elle a immédiatement mis sa bouche autour de la tête pour éviter de mouiller son uniforme. Elle n’a pas pensé à l’avaler et la pisse a commencé à jaillir de ses narines. Elle réussit de justesse à déchirer son chemisier et son gilet pour que l’eau coule le long de sa poitrine et retourne dans la cuvette entre ses jambes.

Lorsque Jean s’est retiré de sa bouche, il a incliné sa tête en arrière pour qu’elle ne puisse pas recracher ce qui restait. Elle se contenta de le regarder, confuse, la bouche baveuse. Il lui couvrit la bouche et le nez avec sa main et la maintint ainsi jusqu’à ce qu’elle avale enfin. Ses yeux tournaient de façon vertigineuse, ne comprenant pas vraiment ce qui venait de se passer.

Ils ont cessé de tourner lorsque Jean a utilisé le coton-tige pour repousser le peu de sperme qui dégoulinait encore de son urètre dans sa vessie. Une fois de plus, elle l’a regardé avec confusion et peut-être avec douleur. Il a ignoré ses regards et a utilisé une liasse de serviettes en papier, humidifiées dans l’évier, pour essuyer tout son corps.

Elle a gémi lorsqu’il a touché ses seins et son entrejambe, mais a par ailleurs docilement soulevé les parties de son corps pour lui faciliter l’accès. Lorsqu’il fut satisfait, il referma ses vêtements et remonta sa culotte avant de la hisser dans ses bras et de l’emmener hors de la salle de bains.

Une file d’attente les attendait, car ils étaient là depuis près d’une heure. Personne ne fut surpris de voir ce qui semblait être un père portant sa jeune fille après l’avoir aidée à utiliser les toilettes.

Il retourna directement dans son compartiment et verrouilla la porte une fois qu’ils furent tous les deux à l’intérieur. Elle n’était que légèrement confuse. Lorsqu’il s’est assis, elle a atterri sur ses genoux et elle pouvait déjà sentir sa bite durcir sous elle. Elle allait devoir se faire baiser au moins une fois de plus par lui avant de pouvoir retourner auprès de sa mère.

Il fallut à peine dix minutes pour que Jean devienne complètement dur. Il tira la culotte de la jeune fille sur le côté et positionna sa pointe juste à l’entrée de sa chatte sans y pénétrer. Il lui saisit alors la taille à deux mains et l’attira sur lui aussi fort et aussi vite qu’il le pouvait.

Même si elle s’y attendait, elle sursauta lorsqu’elle fut remplie à ras bord par son membre chaud et dur. Jean passa ses doigts dans ses cheveux et attendit qu’elle réagisse positivement ou négativement. Elle se contenta de le regarder par-dessus son épaule et de sourire avec indifférence. Elle ne lui disait pas qu’elle était contente qu’il soit à nouveau en elle, elle le félicitait simplement d’avoir réussi alors qu’elle n’avait opposé aucune résistance. Elle semblait presque satisfaite de son calme.

Prenant son hochement de tête pour une permission, il la souleva complètement de sa bite avec un bruit sec et la replaça dessus. Comme sa chatte était beaucoup plus petite que sa bite d’adulte, elle se referma dès qu’il fut hors d’elle, ce qui signifiait qu’elle devait s’étirer à nouveau lorsqu’il l’enfonçait à nouveau. C’était difficile et elle semblait loin d’être à l’aise tandis qu’il s’efforçait de la pénétrer à nouveau.

Après trois ou quatre tentatives, au cours desquelles ses yeux se sont complètement éteints, il a commencé à laisser la tête de sa bite en elle et à baiser sa chatte normalement. Elle soupira de soulagement et se délecta de la sensation de sa bite qui tirait et poussait ses entrailles plus loin en elle.

Jean était sur le point de recommencer à éjaculer en elle lorsqu’un coup frappé à la porte du compartiment le ramena à la réalité. Sachant qu’il l’avait fermée à clé, il n’essaya pas de s’arrêter. En fait, il accéléra le rythme pour finir plus vite. “Allez-y, faites du bruit pour eux”, murmura-t-il à l’oreille de la jeune fille. “S’ils nous entendent baiser, ils partiront par gêne.”

Jean regretta immédiatement de s’être moqué d’elle car la serrure de la porte se déverrouilla grâce à ce qu’il supposa être la clé du chef d’orchestre. Il réussit de justesse à retirer la fille de sa queue et à la laisser tomber sur le sol avant de la faire passer sous le siège avec ses jambes. Il la dissimule avec sa mallette juste avant que la porte ne s’ouvre.

“Excusez-moi”, dit le chef de train sans se préoccuper de rien. “Avez-vous vu une fille disparue ? En regardant au-delà du conducteur, Jean vit une femme aux cheveux bruns familiers qui se tenait dans le couloir.

“Je ne peux pas dire que je l’ai vue”, répondit-il calmement.

“Anna, c’est son nom”, appelle la mère dans le compartiment. “Si vous voyez une fille, demandez-lui si c’est ma Anna, s’il vous plaît. Elle ne semblait pas au bord de la panique. Peut-être avait-elle l’habitude que sa fille disparaisse sans prévenir.

Anna remua sous le siège, mais Jean s’assura qu’elle ne pourrait pas sortir avant que le conducteur n’ait refermé la porte. Elle sortit en rampant et s’assit sur ses genoux entre ceux de Jean. “Je devrais y retourner”, murmura-t-elle.

“Quand j’aurai fini.” Il lui saisit les cheveux et rapprocha sa bouche de son sexe. Elle l’ouvrit docilement pour qu’il puisse y introduire son membre dur. Il glissa jusqu’au fond de sa gorge et lui donna un haut-le-cœur.

Elle essaya de tousser mais n’y parvint pas. Elle essaya de se retirer mais Jean la retint par les cheveux. Après avoir respiré bruyamment pendant quelques instants, elle se calma et le va-et-vient de sa poitrine redevint régulier.

Jean la regarda tripoter son clito tandis qu’il faisait osciller la tête de la jeune fille sur sa bite. La vue d’une jeune fille se masturbant tout en étant étouffée par une bite l’excitait et il commença à jouir presque trop rapidement. Sa bite était à peine dans sa bouche quand la première giclée est arrivée et a giclé des coins de ses lèvres.

Il s’empressa de l’enfoncer le plus loin possible dans sa gorge et envoya le reste dans son œsophage. Ses yeux papillonnaient tandis qu’elle luttait pour se dégager. Chaque fois qu’elle avalait, elle faisait monter des frissons le long de sa tige et il refusait de lâcher ses cheveux. Finalement, ses yeux se fermèrent complètement et elle cessa de résister. Avec son pouce, il ouvrit l’une de ses paupières et constata qu’elle était soit inconsciente, soit complètement hébétée. Il a frotté une boule de sperme contre son globe oculaire, mais elle n’a pas réagi.

Finalement, il retira sa bite de sa gorge, mais la laissa reposer dans sa bouche. Elle a immédiatement commencé à respirer par le nez. Au début, elle respirait profondément, mais elle s’est vite calmée. Dès que Jean a commencé à se ramollir dans sa bouche, il a commencé son activité préférée après l’avoir baisée, à savoir pisser en elle.

Elle poussa un cri lorsque l’urine inonda sa bouche et gicla par ses narines. Elle recula tout en gardant la tête en avant pour éviter que l’urine ne se répande sur ses vêtements. Elle le regarda à travers sa frange mais il se contenta de lui caresser la tête comme si elle était un animal obéissant qui savait ce qu’il avait à faire.

Lorsque sa bite flasque a finalement glissé de ses lèvres, elle a fait de son mieux pour l’avaler tout en se redressant. Elle ouvrit ensuite la bouche pour lui montrer qu’elle était vide. Les yeux de Jean se posèrent sur l’intérieur de ses cuisses, qui brillaient sous l’effet de son clitoris.

Il tendit la main et enfonça deux doigts dans sa chatte avant qu’elle ne puisse s’y opposer et l’attira contre lui. Elle rougit tout en s’appuyant sur lui comme une fille affectueuse envers son père. Il glissa son autre main sous son chemisier et commença à caresser l’un de ses seins. “J’aimerais pouvoir continuer à te baiser pour toujours”, soupire-t-il.

“Maman et moi allons dans la prochaine ville. Nous dormirons dans un compartiment dans le wagon suivant. Si tu ne descends pas du train, nous pourrons continuer à le faire jusqu’à demain”, lui proposa-t-elle en guise de compromis.

“Tu ferais mieux de retourner chez ta mère avant qu’elle n’appelle la police ou quelque chose comme ça”, soupire-t-il. Elle acquiesça tout en remarquant qu’il était toujours en train de gratter l’intérieur de sa chatte et d’écraser son sein gauche. “Une fois que ta mère s’est endormie ce soir, reviens ici”, lui dit-il.

“Et qu’est-ce qui va m’arriver si je le fais ?” Elle a essayé de lui faire comprendre qu’il n’y avait vraiment aucune raison pour qu’elle lui obéisse.

“Qu’est-ce que tu veux dire par là ? Je baiserai ta chatte lisse encore et encore jusqu’à ce que tu ne puisses plus marcher”. Il ne lui offrit aucun avantage et se contenta d’avouer honnêtement ses intentions. Elle acquiesça tout en rougissant. D’une certaine manière, elle savait qu’elle jouirait même si tout ce qui l’attendait était plus d’abus.

Elle attendit qu’il se lasse de la doigter avant de partir, mais il ne le fit pas. Elle était certaine que si elle le laissait bander à nouveau, elle finirait sur ses genoux ou à quatre pattes. Elle ne voyait pas de raison de ne pas le laisser faire, si ce n’est que sa mère la cherchait encore. Elle se détacha finalement de lui et se précipita hors du compartiment.

Jean sourit en la regardant trotter sur la passerelle et imagina qu’elle sautillait dans l’attente de la baise qu’il avait déjà prévu de lui donner ce soir-là. Dans son esprit, c’était une salope perverse qui voulait se faire enculer autant qu’il voulait l’enculer.

Lorsqu’elle fut hors de vue, il s’occupa d’améliorer son billet pour une nuit sur son téléphone avant de sortir de son compartiment à la recherche de la boutique de souvenirs située à l’avant du train. Il voulait avoir quelques jouets à offrir à son animal de compagnie lorsqu’elle reviendrait.

——————————————————————————————————————————————————————————————————————————————————

La nuit était tombée depuis une heure et Jean dormait déjà profondément à cause de l’ennui lorsqu’on frappa à son compartiment pour le réveiller. Il avait manqué sa réunion d’affaires pour rester dans le train et il avait passé pas mal de temps à la reprogrammer avant de se retrouver à court de choses à faire pour s’occuper.

Anna fut surprise de voir Jean sortir la tête du compartiment au-dessus du sien. Il vérifia que personne ne se trouvait dans le couloir pour la voir là avant de la tirer à l’intérieur par le poignet.

“Bonsoir”, murmura-t-elle timidement tandis qu’il fermait la porte derrière elle. Elle savait pertinemment qu’elle n’aurait pas dû revenir ici, mais elle n’avait aucune raison de refuser.

Elle était en chemise de nuit cette fois-ci, car elle était censée être allée au lit avec sa mère. Il s’empressa d’attraper l’ourlet et de le soulever au-dessus de sa tête. Elle sursauta et couvrit sa poitrine nue de ses mains, mais il s’attaqua directement à sa culotte, enfonçant sa main dans le devant et faisant courir ses doigts en elle.

Elle s’est pratiquement effondrée et serait tombée sur le sol si elle n’avait pas été assez légère pour qu’il la soutienne rien qu’avec sa chatte. Ses yeux papillonnaient et de la bave s’échappait des coins de sa bouche alors qu’elle ressentait des frissons dans tout son corps rien qu’à cause de ses doigts qui grattaient l’arrière de son bassin.

Elle fut surprise et un peu déçue lorsqu’il se retira, ses doigts lui laissant une sensation d’ouverture et de froid. Elle le vit sortir un sac de la boutique de souvenirs du train et fut intriguée lorsqu’il en sortit un collier de chien en cuir. Elle s’apprêtait à lui demander s’il avait un chien à la maison lorsqu’elle réalisa à qui il était destiné. Elle resta parfaitement immobile pendant qu’il lui passait le collier autour du cou et y attachait une laisse.

Elle rougit lorsqu’il se recula pour admirer son apparence, seins nus dans sa culotte, avec seulement un collier. Elle savait qu’il la traitait comme un animal de compagnie, mais elle ne savait pas vraiment comment il devait la traiter autrement.

Elle se sentit presque excitée lorsqu’il retourna chercher d’autres objets dans son sac. Ils étaient manifestement destinés à lui, mais c’étaient tout de même des cadeaux pour elle et elle était impatiente de les recevoir. Le suivant était un grand stylo fantaisie. Elle a essayé de le lui prendre, mais il l’a ignorée et l’a enfoncé directement dans la taille de sa culotte. D’une seule poussée, il l’a coincée et a enfoncé l’extrémité dans son corps, ce qui l’a fait sursauter et tomber à genoux.

Il craignait un peu de l’avoir blessée, mais elle leva rapidement les yeux vers lui et hocha la tête en déglutissant, lui assurant qu’elle adorait son nouveau godemiché de fortune. Au lieu d’une expression joyeuse, elle avait l’air surprise de recevoir un cadeau. Elle lui paraissait adorable et il ne pouvait plus attendre.

Elle a glapi lorsqu’il l’a ramenée à ses pieds par les bras et l’a fait tourner sur elle-même. Il pressa ses tétons nus contre le verre froid de la fenêtre en même temps qu’il enfonçait le bout de sa bite dans sa chatte déjà remplie. Elle gémit et se déplaça tandis qu’il l’écartait mais ne parvenait pas à la pénétrer.

Après quelques tentatives, Jean a retiré le stylo de sa chatte et a enfoncé sa bite en elle quelques instants plus tard. Elle se cogna contre la fenêtre et se crispa. Il passa le stylo sur son dos et l’enfonça dans ses omoplates pour la faire tressaillir.

Elle essaya de se pencher en avant et de sortir son cul pour lui donner un meilleur accès, mais elle était pressée contre la fenêtre. Il s’en moque et se glisse en elle en position debout, la soulevant légèrement de ses pieds. Elle resta un moment sur la pointe des pieds, mais finit par les soulever et se tint sur le bord des deux sièges qui se faisaient face.

Cela lui donnait une bonne vue sur ses fesses, car elle avait les jambes écartées et Jean n’a pas perdu de temps pour enfoncer le stylo dans sa fente. Elle émit un bruit de mécontentement lorsque sa culotte fut légèrement enfoncée dans son anus. Elle passa la main derrière elle et ajusta le tissu de façon à ce qu’il soit tiré sur le côté. C’était juste pour faire sortir le tissu de son trou du cul, mais il le prit comme une invitation et enfonça le stylo dans le trou boudiné, ce qui la fit glapir et gémir.

“Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas ça dans ton cul ?”, lui dit-il en la taquinant.

“Je ne sais pas”, souffle-t-elle. “C’est bizarre et chaud. La vitre est si froide, mais j’ai l’impression d’être en feu. On peut ouvrir la fenêtre ?”

Jean savait qu’un train se déplaçant à cette vitesse était loin de produire la brise apaisante qu’elle souhaitait, mais il se dit qu’il allait lui apprendre cela de première main. Dès que la fenêtre a été ouverte, Anna a commencé à paniquer. Elle avait l’impression d’être aspirée vers l’extérieur.

“Fermez-la !” cria-t-elle.

“Hé, baisse le ton.” Il l’a attrapée par le col et lui a tenu la tête à l’extérieur de la fenêtre pour que sa voix soit étouffée.

“Vous allez me faire tomber. Ramène-moi à l’intérieur !”, gémit-elle, des larmes de terreur coulant sur son visage.

Il lui fit rentrer la tête et elle soupira de soulagement. Ce soulagement fut de courte durée car il la souleva rapidement par la taille et lui posa les pieds sur le rebord de la fenêtre. Elle vacilla et essaya de garder l’équilibre tout en lui jetant un regard de peur et de misère.

Il rit en enfonçant le stylo dans son rectum, la faisant se tortiller sur le rebord. Finalement, elle a serré les fesses pour qu’il ne puisse pas l’enfoncer à nouveau. Haussant les épaules, il l’a retiré et l’a enfoncé dans sa chatte. Elle grimaça mais se concentra sur son équilibre.

Ayant une idée, il pressa la tête de sa bite contre son anus. Elle a immédiatement commencé à se tortiller et a failli tomber par la fenêtre ouverte. Lorsqu’elle se corrigea et retomba dans le train, elle s’empala l’anus sur sa bite. Son expression était désordonnée et elle essayait de s’adapter à l’objet beaucoup plus gros mais pas aussi dur qui était en elle.

Il l’a appuyée sur le rebord de la porte avant de commencer à la pénétrer. Il enfonça sa bite aussi loin que possible avant que ses jambes ne se dérobent et qu’il ne la repousse.

Il dut la tirer par la taille et réessayer, mais elle ne le laissa aller qu’à une certaine profondeur avant de s’éloigner en se tortillant. Agacé, il continua d’essayer de la pénétrer plus profondément jusqu’à ce qu’il renonce à ajuster sa position et se contente de cogner ses cuisses contre ses fesses sans vraiment la pénétrer.

Au bout de quelques minutes, elle perdit l’équilibre et tomba par la fenêtre ouverte. Il manqua de l’attraper mais réussit à saisir l’extrémité de la laisse avant qu’elle ne s’échappe par la fenêtre. Il ne put qu’entendre les cris de panique de la jeune femme qui se balançait par le cou sur le côté du train.

Il fallut beaucoup de force à Jean pour la ramener à l’intérieur et lorsqu’il y parvint enfin, toutes les couleurs avaient disparu du visage de Anna. Elle ne faisait que trembler, les yeux enfoncés et une marque rouge autour du cou. Elle avait des marques d’ongles parce qu’elle s’était agrippée au col pour ne pas être trop étranglée.

Elle se reposa dans un coin du compartiment pendant qu’il s’affairait à fermer la fenêtre. Lorsqu’il est revenu vers elle, il a constaté qu’elle n’avait plus de culotte. Elle avait dû être enlevée en la tirant à l’intérieur. Le stylo n’était pas non plus dans sa chatte. Il lui en voulait un peu de lui avoir fait perdre son temps et son argent. Il envisageait de la renvoyer dans son propre compartiment, mais il décida qu’il voulait d’abord obtenir d’elle une autre bonne baise.

Lorsqu’il toucha sa chatte, elle sursauta et s’écarta de lui. Il a réessayé et elle s’est montrée encore plus rapide et plus violente, donnant des coups de pied et s’agitant dans tous les sens. Agacé, il a fini par attraper le bout de la laisse et l’a tirée vers lui tout en lui donnant une claque sur le côté du visage. Elle le regarda avec stupeur mais se calma enfin.

Il essaya à nouveau de jouer avec sa chatte et elle ne résista pas, mais elle ne fléchit pas et ne gémit pas non plus. Elle n’était pas mouillée du tout et il n’arrivait pas à la pénétrer facilement. La nuit avait été gâchée et il était furieux contre elle.

Il voulait seulement la punir un peu, mais la gifler lui semblait abusif, alors il a continué à tirer sur la laisse, mais sans la frapper à nouveau. Elle l’ignora jusqu’à ce qu’il tire trop fort et qu’elle fasse un bruit de déglutition en tirant légèrement la langue.

Réfléchissant rapidement, il passa l’extrémité de la laisse par-dessus le rail à bagages au-dessus d’elle et tira dessus avec force. Elle fut immédiatement arrachée de ses pieds par le cou jusqu’à ce qu’elle soit suspendue par le collier. Elle pencha la tête pour atténuer la douleur à la gorge, mais elle glissa et fut obligée de tirer la langue. Son visage perdait à nouveau de sa couleur et le bruit de ses gorgées lorsqu’elle essayait de respirer était évident.

Lorsqu’elle tenta de poser ses pieds sur l’un des sièges, il la fit glisser le long de la rambarde jusqu’à ce qu’elle soit hors de portée. Elle le fixa avec une panique inquiète, mais celle-ci s’estompa au fur et à mesure qu’elle perdait la concentration de ses yeux. Il la regarda s’agiter et se débattre pendant un moment, alors qu’elle perdait lentement conscience. C’était une belle écolière étouffante et il était plus intéressé à la regarder qu’à la laisser respirer.

Une fois qu’elle eut complètement cessé de bouger, Jean sortit son téléphone et commença à prendre des photos d’elle se balançant sans vie. La prochaine fois qu’elle a bougé, c’était pour soulager sa vessie. Son urine a coulé le long de ses jambes et s’est écoulée sur le sol. Jean était heureux de voir qu’elle était enfin assez mouillée pour y glisser ses doigts.

Il caressa l’arrière de son bassin et les côtés de sa chatte pendant un moment avant qu’elle ne commence à convulser. Ses yeux s’ouvrirent lorsque son orgasme la réveilla. Il pensait qu’elle allait se débattre ou lui lancer un nouveau regard, mais elle se contenta de sourire faiblement, les paupières battantes. Elle semblait heureuse de le voir.

Finalement, il la fit descendre de la balustrade et la laissa tomber sur ses genoux. Sa bite dure se glissa sans retenue dans sa chatte nouvellement mouillée. Elle gémit et soupira pendant qu’il la faisait rebondir sur ses genoux pendant plusieurs minutes. Elle ne résistait pas du tout et était même suffisamment détendue pour qu’il glisse de sa chatte à son trou du cul lorsque sa bite était suffisamment mouillée.

Elle croisa légèrement les yeux et gémit, mais n’essaya pas de s’enfuir cette fois. Peut-être était-elle effrayée d’avoir failli tomber auparavant, ou peut-être craignait-elle qu’il ne l’étrangle à nouveau si elle résistait.

Elle tourna sur ses genoux pour lui faire face et le laissa faire rebondir son trou du cul tout en l’étreignant et en poussant leurs bouches l’une contre l’autre. “Tu es si lâche maintenant”, lui dit-il.

“Désolé”, a-t-elle marmonné. Elle essaya de resserrer légèrement ses muscles, mais ce n’était pas facile car elle était épuisée. C’est lorsqu’elle aperçut la laisse qui pendait du rail au-dessus d’elle qu’elle eut une idée. Elle tira dessus juste assez pour restreindre sa respiration. Ses poumons et les muscles de sa poitrine se contractèrent et la sensation descendit rapidement jusqu’à ses reins.

“Petite idiote”. Il lui prit la laisse et tira assez fort pour la soulever de ses genoux, puis la laissa retomber.

“Mes fesses s’étirent”, gémit-elle. Il posa sa bouche sur l’un de ses seins et mordit légèrement son mamelon tout en la soulevant de nouveau de sa bite par le cou. Elle grimaça lorsque son anus tenta de se refermer, pour s’ouvrir à nouveau lorsqu’il la laissa retomber. “Je suis empalée”, s’écria-t-elle.

La prochaine fois qu’il la souleva, elle plaça ses pieds de chaque côté de lui pour supporter son poids, puis détacha la laisse du collier pour qu’il ne puisse pas continuer à la tirer. Il fronça les sourcils et écarta ses jambes pour qu’elle retombe sur ses genoux. Elle gémit et sanglota en sentant son anus se fendre à nouveau. Sa bite s’enfonça plus profondément qu’auparavant et elle sentit qu’il la remplissait de sperme ou d’urine. Elle était trop délirante et souffrante pour le dire ou s’en soucier.

Après avoir fini de remplir les intestins de la pauvre Anna, Jean est allé chercher un dernier objet dans le sac cadeau, un bouchon de vin fantaisie. Dès qu’il a retiré sa bite dégonflée de son cul douloureux, il l’a enfoncé à l’intérieur pour empêcher le liquide qu’il avait versé en elle de s’écouler.

Elle tira la langue et roula des yeux tout en le serrant fort dans ses bras. “Je veux rentrer chez moi”, gémit-elle. Il la déposa sur le sol et lui remit sa chemise de nuit sur la tête. Il la fit ensuite sortir de son compartiment en lui donnant une claque sur le dos.

Elle déambula sur la passerelle, gémissant et gémissant et gardant à peine l’équilibre. Il ne cessa de la regarder jusqu’à ce qu’elle ait disparu de son champ de vision. Jean ferma et verrouilla la porte de son compartiment avec un sourire. Il n’était pas sûr de revoir un jour la jeune Anna, mais il était certain que la prochaine fois, il aurait beaucoup plus à lui faire, à elle et à ses trous.

En regardant dans le sac cadeau, il s’aperçut qu’il y avait encore un objet qu’il avait oublié : un petit jeu de baguettes minces. Il avait l’intention d’enfoncer l’une d’entre elles dans son trou de pipi et de l’étirer plus que ne l’avait fait le coton-tige, mais il n’avait pas saisi sa chance.

Alors qu’il fermait les yeux pour essayer de dormir un peu avant le prochain arrêt de train, il commença à envisager de trouver le compartiment de Anna et de lui rendre visite au moins une fois de plus.

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. ia porn generator free tokens"baise

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Générateur Porno IA

generateur porno gratuit