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Histoire sexe La ballade érotique de Christelle, Maurice et Martin à Lille Chapitre 1

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histoire sexe Avant propos : Véronique vous raconte l’histoire de Christelle 50 ans, de son mari Maurice et de son amant Martin rencontrer sur le Net. Christelle est une collègue de travail de Julie et de Manon, Maurice 49 ans et Martin 40 ans.
À l’époque Christelle et Maurice habitaient dans la banlieue de Lille et ont déménagé en 2020 dans les Vosges.
Voici ces récits sur plusieurs chapitres qui pourraient s’intituler : « Visite guidée érotique de Lille »

Les préparatifs
Début juillet 2019, mon correspondant de Lyon, mon Martin adoré, a décidé de venir me faire un petit coucou en personne samedi prochain. Ça va faire à présent presque trois mois que nous discutons sur Internet. Nous nous sommes rencontrés virtuellement sur un site de webcam publique, site dans lequel chacun peut tenir un salon privé. Sa façon de se comporter tranchait beaucoup avec celle de nombreux autres hommes. Du coup, petit à petit, il est devenu un copain lointain, car il n’habite pas la porte à côté !

Le fait qu’il habite justement loin de chez moi est en quelque sorte un garde-fou. D’autant que Martin commençait à me plaire. J’ai mis un peu de temps à comprendre qu’il avait beaucoup de points communs avec Maurice, mon mari, avec dix ans d’écart, car mon correspondant est plus jeune.

De son côté, Martin ne m’a pas caché que je lui plaisais un tantinet… Moi, du haut de mon demi-siècle, ça m’amuse beaucoup de savoir que je peux encore plaire, même aux « petits » jeunes. Du moins, s’il ne me ment, mais je ne le pense pas. Je lui plais donc un tantinet, et de plus il adore mon prénom, Christelle, il adore ma douce voix et son petit accent, mes longs cheveux de nuit, mes yeux sombres ; bref, je me demande bien ce qu’il n’adore pas de moi ! Pourtant, je suis vache avec lui : j’adore (moi aussi) le mettre en boîte, mais il reste toujours impassible, comme mon mari ; un autre point commun ! Je reconnais qu’il faut beaucoup de patience pour vivre avec le petit volcan que je suis…
Ah, ces hommes… Plus on les charrie, plus ils reviennent !

Ma relation avec Martin est un peu ambiguë. Elle s’achemine vers l’« ami amant », même si je ne l’ai jamais touché, même pas un bisou, puisque ça reste virtuel. J’aime parler de tout avec lui, de tout et de rien, il est très ouvert et patient avec mes délires. C’est un jeu de séduction feutré entre nous. Et parfois moins, car je me suis déjà amusée à faire des cams publiques assez olé olé, sans montrer toutefois mon visage. Avec Martin, c’est différent : nous conversons à visage découvert, et souvent je m’amuse à m’habiller sexy. Puis par deux fois, je me suis amusée à dialoguer avec lui, dans mon lit. Il a vite constaté que je dors nue sous la couette… Quant à lui, il n’a pas été en reste avec deux cams privées dans sa baignoire tandis qu’il prenait réellement un bain plein de mousse ! Il a refusé de me dire comment il faisait son compte ; c’est Maurice qui m’a expliqué que c’était sûrement dû à une petite webcam accrochée au rideau de douche par une pince rivée au socle et à un long câble USB.
Quasiment tous les jours, je converse avec lui. Aujourd’hui, je l’ai au bout du fil ; c’est très pratique, les abonnements téléphoniques illimités. Maurice surveille tout ça de très près… Serait-il jaloux ? Pourtant, il sait bien que c’est lui que j’aime, et que c’est lui qui a la priorité ! Ce n’est pas pour rien si nous vivons ensemble depuis toutes ces années…

Histoire sexe La ballade érotique de Christelle, Maurice et Martin à Lille Chapitre 1
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« Comment ? Tu viens de dire quoi, mon lapin ? » (je l’appelle « Martin mon lapin », ça rime)

« Je viens à Lille ce samedi, ma puce ».

« Ce samedi-là, dans trois jours ? »

« Oui, ce samedi-ci dans trois jours… »

« Mais… C’est loin, la route ! »

« Je sais, il y a quelques kilomètres ; moins de cinq cents en train. Donc je disais que je viendrai sur Lille ce samedi. C’est un direct, j’arrive vers dix heures dix et je repars à dix-neuf heures ».

« Ah bon ? »

Un petit silence de ma part ; je suis assez surprise par cette annonce. Martin reprend, une nuance ironique dans la voix :

« Dois-je comprendre que j’ai réussi à te laisser sans voix, Christelle ? »

Histoire sexe La ballade érotique de Christelle, Maurice et Martin à Lille Chapitre 1
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« Euh… Mais non, impossible avec moi, voyons ! Je ne suis pas d’origine italienne pour rien ! »

« Tu sais qu’il y a aussi des muettes en Italie… »

« Tu es un gros idiot, mon lapounet ! Mais ça va te coûter un bras de venir en TGV, juste pour un seul jour ! »

« N’oublie pas mon métier… »

« Ah oui, c’est vrai, ça aide en effet… Mais tu aurais pu m’en parler plutôt que de me mettre devant le fait accompli ! »

« Je commence à te connaître et à savoir comment il faut agir avec toi, ma puce ».
Oui, Martin commence à me connaître : j’aime faire bisquer les gens ; mais pour les initiatives, je suis de l’ancienne école : l’homme propose, la femme dispose. Et j’aime beaucoup que l’homme prenne les initiatives, me laissant ainsi porter par le courant…

Nous continuons à discuter jusqu’à ce que nous décidions d’un commun accord qu’il est déjà bien tard et qu’il faut se lever demain pour aller gagner sa croûte…

J’ai eu une petite appréhension quand j’ai dû annoncer à mon mari la visite de Martin pour samedi. J’avais très envie de voir en chair et en os mon grand lapin ; mais en même temps, j’avais quelques craintes…

« Euh, Mon Amour… »

« Oui, Christelle chérie ? Tu as quoi à m’avouer, cette fois-ci ? »

« Comment ça, avouer ? »

« Vu ta tête… Tu sais très bien qu’on lit sur ton visage comme dans un livre ouvert. Tout au moins moi. Alors ? »

« Et bien… Lap… Euh, Martin vient samedi à Lille… »

« Ah… »

Moi, je n’arrive pas à lire sur le visage de mon mari comme dans un livre ouvert. On jurerait que Maurice a été taillé dans du marbre ; pas même un frémissement…

« Oui, il arrive vers dix heures à Lille-Europe… »

« Et il aimerait te rencontrer… »

« Nous rencontrer : tu sais très bien que je ne peux pas y aller sans toi. »

« Ne peux » pas, ou « ne veux » pas ? »

« Je n’irais jamais seule quelque part sans toi. Sauf aux toilettes, et encore ! »

« Je sais, j’ai déjà expérimenté la chose… »

Maurice a un fin sourire un peu étrange, et moi, ça me fait rougir, ce qui m’étonne !
« Si ton Martin arrive vers dix heures, ça signifie que tu ne pourras pas faire la grasse matinée ».

« Je sais ; je vais faire sonner le réveil à six heures du mat ! »

«  Six heures, c’est un peu exagéré, Chérie ! »

« Tu veux rire ! Faut que je lave mes cheveux, que je me prépare et tout le reste ! »

« Tu peux laver tes cheveux la veille… »

« Et être toute ébouriffée ? Ah non ! Tu sais très bien que pour un rendez-vous, j’aime être nickel ! »

« Il faut partir à quelle heure d’ici ? »

« Compte quarante minutes maxi ; l’autoroute sera dégagée, Lille peut-être moins. Donc, vers neuf heures vingt au plus tard si tu ne veux pas avoir de surprises ».

« Tu es sûr ? »

« Affirmatif : il n’y aura personne sur la route à l’heure dite ».

Je me tortille les mains :

« Euh, Mon Amour… »
« Oui, Chérie ? »
« Ça… Ça ne te gêne pas trop que… »
« Depuis le temps que tu blablates avec, je suppose que tu es fort désireuse de le voir de plus près ». Je me trompe ? »
« Oui, c’est vrai ; mais toi ? »
« J’en profiterai pour voir s’il est vraiment mon clone en plus jeune, comme tu me le serines » souvent. Et puis, ce qui te fait plaisir me fait plaisir. »

Je me jette à son cou pour l’embrasser :

« Tu es vraiment un Mon Amour… ! »

« Je sais, je sais ! »

Et ce fut un gros et énorme bisou comme je les aime !

Samedi est trop vite arrivé ; je n’ai pas trop dormi de la nuit, et j’ai cogité sur ce que je pouvais mettre. J’ai envie de lui en mettre plein la vue, mais tout en restant dans les limites du raisonnable car nous ferons visiter un peu Lille à Martin ; il a refusé d’aller chez moi, redoutant un peu ce que je risquais de lui faire subir !

Après diverses tergiversations, mon choix s’est porté sur une jupe assez courte en jean, un top bleu transparent et un léger gilet noir par-dessus. À mes pieds, des talons aiguilles bleus. J’ai assorti mes ongles du même bleu. Je me regarde devant la glace : pas mal ! Grâce au jeu de lumière, on devine beaucoup plus qu’on ne voit la naissance de mes seins derrière la bande bleue encadrée par mon gilet sombre ! Je suis assez fière de moi.

« Tu cherches à exciter qui ? »

Je me retourne ; Maurice est là. Pas besoin de lui demander si ça lui plaît : la lueur dans ses yeux parle pour lui. Je suis encore plus fière de moi !

Arrivée à Lille

Après avoir roulé un bon bout de temps sur l’autoroute (c’est fou comme le temps passe lentement quand c’est comme ça), nous arrivons enfin sur Lille. Pas trop de circulation en ce samedi, nettement moins qu’en semaine en tout cas. Durant le trajet, Martin a envoyé au moins cinq messages auxquels j’ai répondu tant bien que mal, car je ne suis pas à l’aise pour écrire en voiture. Ce qui me donne des excuses pour faire des fautes !

Mon mari, qui connaît bien le coin, va directement se chercher une place libre et non payante le long du cimetière de l’Est. Spontanément, ce n’est pas dans ce coin un peu particulier que je songerais à aller, mais ça lui réussit puisque nous trouvons tout de suite de quoi se stationner, et en plus, à l’ombre ! Il va finir par croire que je le trompe pour avoir autant de chance !

Je regarde l’heure sur mon portable : nous avons une bonne demi-heure d’avance ! C’est vrai que j’ai houspillé mon mari pour partir plus tôt, et le trajet a été rapide car il y avait peu de circulation, bien que ça m’ait semblé trèèès long ! Je suis toujours un peu stressée, je ne peux m’en empêcher. Par contre, Maurice, lui, reste égal à lui-même, impassible. Un peu engourdie, j’ouvre la portière pour déployer mes grandes jambes dehors, tout en demandant :

« On fait quoi, Amour ? »

« Juste devant la Communauté Urbaine, le grand bâtiment que tu vois juste là de mon côté, tu as un miniparc : on peut aller faire un petit tour en attendant, ma Christelle chérie… »
« On n’est pas trop loin de la gare, là ? Martin arrive dans 30 minutes, tu sais ! »

« Je sais. Tu vois ces tours couleur cuivre, derrière nous ? »

« Là, oui… »

« Eh bien, la gare Lille-Europe est juste derrière. »

Alors nous nous dirigeons vers ce parc que je ne connais pas du tout. Un SMS de Martin arrive sur mon portable : il m’annonce qu’il vient de dépasser la gare de Picardie. Comme je ne suis pas très forte en géographie, je demande à mon mari :

« Il vient de quitter la gare de Picardie, c’est loin ? »

« À la louche, il est à 100 km d’ici. Comme un TGV fonce à 200 km/h, logiquement, il sera là d’ici 30 minutes, ce qui est synchrone avec son heure d’arrivée ».

« Pas de problème alors, on ne le loupera pas ? »

« Non, pas du tout… Allez, viens, on va faire un petit tour dans ce petit parc avant qu’il arrive. »

Alors que nous finissons de traverser la rue, je dis :

« Ah, au fait, dans son message, il a demandé si la Picardie c’était l’étranger… »

« Comment ça !? »

« Regarde ce qu’il a écrit… »

« Ah oui… La Picardie, c’est une terre inconnue… »

« OK, je lui écris ça tout de suite ! »

Et nous allons vers le petit parc, main dans la main.

Le petit parc Cudl
Un petit parc, en effet, mais curieux avec plein de roseaux, presque japonisant par certains côtés. Les allées sont plutôt larges, une petite brise souffle, je me sens bien. Quelque chose m’intrigue ; je montre du doigt, même s’il paraît que c’est impoli :
« Au fait, Amour, c’est quoi ça ? On dirait un grand vide ! »

« Tu ne crois pas si bien dire ! En dessous de nos pieds, c’est un grand parking circulaire, comme une grande spirale, et c’est bien un trou que tu vois là. »

« On peut tomber de haut, alors ! »

« Regarde bien : tu as un grillage autour. Par contre, si tu tombes, tu te casseras la figure de bien haut, au moins 20-30 mètres ! »

Toujours main dans la main, nous faisons le tour du petit parc.

« Déjà fini, Amour ? »

« Ce n’est pas très grand, tu sais. Ce parc, c’est juste pour camoufler le parking qui est en dessous ».

« Tu as déjà été dans ce parking ? »

« Oui, j’ai déjà pu aller dedans quand j’ai rencontré des gens de la Communauté pour le boulot. Par contre, si tu as une grosse voiture et que tu ne sais pas bien la manœuvrer, quand il s’agit de sortir, tu peux très vite t’accrocher dans la spirale ! »

« Ah bon, c’est si étroit que ça ? »

« Plutôt ! Surtout les accès !

Maurice me désigne quelque chose un peu plus loin :

« Si tu veux, on peut s’asseoir sur un banc… »

« Oui, ça tombe bien, Martin vient d’envoyer un SMS ».

Et je m’installe sur le banc le plus proche tandis que mon homme se déniche une sorte de sentier parmi les roseaux ; et comme il adore mettre son nez partout, il se fait un plaisir d’aller voir ça de plus près. Moi, je réponds à Martin.

Une petite brise souffle entre mes jambes ; j’en profite pour les écarter plus encore. Oh oui, que ça fait du bien de sentir une caresse fraîche entre ses cuisses ! Et aussi plus haut ! Car bien sûr, j’ai oublié de mettre une petite culotte, rien que pour faire bisquer Martin, et j’ai hâte de voir sa tête quand il s’en apercevra ! Sans parler du fait que mon top bleu est transparent…

Soudain je lève la tête, sentant une présence : c’est mon mari qui en profite, de loin, pour prendre quelques photos. Avec lui, rien ne se perd : il s’arrange toujours pour garder une trace. C’est pour quand nous aurons quatre-vingt-dix ans, me dit-il, pour se faire des souvenirs !

Je souris, et je me prête avec joie au petit jeu de l’objectif, minaudant juste un peu, par pur plaisir…

Quelques instants après, Maurice vient me faire voir les photos qu’il a prises avec son appareil numérique. Oui, en effet, je ne suis pas trop moche dessus. Moi qui ne suis jamais trop bien sur les photos, je me trouve tous les défauts de monde. Mon mari, qui me connaît, affirme péremptoirement :

« Sur celle-ci, tu es très bien, avec le décor par-derrière, ça fait un contraste qui te met encore plus en valeur.

« Oui, c’est vrai ; mais sur d’autres, je ne suis pas à mon avantage. »

« Tu es toujours à ton avantage, ma chérie ; et ce, depuis des années ! »

« Tu n’es qu’un flatteur ! »

« Tu sais très bien que tu me fais toujours envie… »

« Tu n’es pas normal : tu n’es qu’un obsédé, Amour, un grôôôs obsédé ! »

« De toi ! »

Et sans fioriture, se penchant sur moi, il pose sa main sur mon top, saisissant un sein à pleine main et il m’embrasse goulûment. Je ne déteste pas ces démonstrations de me savoir ainsi désirée, même si je ne suis plus toute jeune…

Maurice s’enhardit nettement plus en glissant son autre main sous ma jupe, caressant ma cuisse et remontant plus haut. Comme je ne proteste pas, il en profite pour câliner du bout des doigts mes lèvres intimes, ce qui me fait frissonner. L’instant d’après, un doigt se glisse posément dans ma fente. Il ôte ses lèvres de ma bouche :

« Déjà humide, ma chérie ? »

« Enlève ta main de là ! »

« Et pourquoi ? »

« Aujourd’hui, ce n’est pas ton jour : c’est celui de Martin ! »

Cet argument ne porte pas puisque son doigt continue à suivre les contours internes de ma fente mouillée.

« Je croyais qu’il avait décidé de te résister ? »

« Ah oui ? Tu vas voir s’il résiste longtemps ! À ton avis, pourquoi je me suis habillée comme ça ? »

« Uniquement pour me plaire, voyons ! N’es-tu pas ma femme chérie et adorée ? »

« Dans tes rêves ! »

Pour toute réponse, il s’active odieusement autour de mon petit clitoris qui n’a franchement pas besoin de beaucoup d’application pour me faire décoller, tellement la situation générale m’excite. Mais il faut que je résiste, car si je jouis maintenant, je sens que je vais en redemander tout de suite et ce n’est ni l’heure ni le moment. Sans parler des passants qui risquent de circuler devant nous !

C’est avec une pointe de regret que j’écarte fermement sa main :

« Pas maintenant, Amour ! Ce soir, si tu veux… »

« Si je tiens jusque-là ! Il n’est même pas encore dix heures du matin ! »

« Qui me rabâche en permanence qu’il a un bon self-control ? Hum ? »

Il soupire, regarde l’heure, se lève et tend sa main pour m’aider à me relever :

« Alors, allons-y doucement… »

« C’est loin ? »

« Non, pas du tout… »

Nous avançons un peu dans le mini-parc. Alors que nous arrivons devant un ascenseur du parking que nous contournons, Maurice me désigne quelque chose un peu plus loin :

« Tu vois ce pont ? On le franchit, on traverse un petit boulevard et nous serons arrivés à la gare. »

« Ça va, ce n’est pas trop loin ! »

Sur le pont, je peux sentir une agréable brise qui m’entoure et qui s’offre le luxe coquin de s’engouffrer sous ma petite jupe. Quelque part, je me dis que j’aurais dû me laisser lutiner par mon obsédé de mari ; mais le devoir nous appelle : il faut aller chercher Martin. Il ne s’agirait pas qu’il ait fait tout ce chemin pour rien.

De plus, je compte bien m’occuper à fond de mon « jouet » Lyonnais !
À Suivre !
Véronique

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