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Histoire sexe La promenade érotique de Christelle autour de Lille Chapitre 6 Final

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Sieste

De retour chez nous, fatiguée par tous ces événements, je m’allonge dans le canapé. Martin semble lui aussi fatigué et m’explique que souvent, il fait la sieste. Pas une grande sieste, mais quinze-vingt minutes, ça suffit. Puis s’excusant, il part dans la chambre d’amis.

Maurice, lui, se penche sur son ordi ; lui, il ne fait jamais de sieste, ou si peu. Je me lève, je vais me servir un verre de boisson fraîche. Puis posant mon verre dans l’évier, je me décide. Je m’approche de mon mari, je dépose un bisou sur sa joue :

« Je pense que je vais aller faire une petite sieste, mais pas seule… »

« Tu retentes ta chance en solo ? »

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« On va le dire comme ça… Au fait, tes phrases en allemand, c’était pour vous mettre d’accord pour me violer ou quoi ? »

« L’allemand est une langue utile, n’est-ce pas ? »

« Tu es un gros salaud, mon amour ! »

Puis je vais rejoindre Martin. Celui-ci en me voyant arriver me lance, goguenard :

« J’aurais été déçu si tu n’étais pas venue… »

« Tu vois, je te suis indispensable ! »

Il se contente de rire, puis écartant les bras, il me dit :

« Allez, viens ! Mais seulement la sieste, OK, Christelle ? Je crois savoir que tu as eu ta dose et moi aussi dans les bois…

« OK, ça me va, mon Lapin ! »

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Puis je viens me blottir contre lui. À ma grande stupéfaction, mes paupières se ferment doucement, et entourée de la douce chaleur de mon Lapin, je m’endors.

Mon rêve est tout doux, comme un nuage de plumes, bercé doucement.

Un rêve moelleux… Béat, radieux, avec mes hommes, mes deux gentils compagnons de vie…

Comme un petit nid très douillet…

Je flotte… Radieuse… Je sens la caresse de la brise sur mon corps endormi, dans la moiteur de ce bel après-midi…

Soudain, intriguée par quelque chose d’insolite, j’ouvre les yeux, Martin est en train de caresser mes seins dénudés. Je constate avec amusement que ma robe noire me sert à présent de ceinture, le haut de mon corps étant dévêtu jusqu’au nombril, idem pour le bas qui dévoile sans vergogne mes cuisses et mon pubis ! Innocemment, je demande à mon déshabillé :

« Tu me fais quoi, là ? »

« Comme j’ai vu que tu avais chaud, je me suis permis de prendre des initiatives… »

« Je vois ça, je vois ça… »

Enfin de bonnes initiatives de sa part ! D’un geste souple, arquant mon corps, j’ôte définitivement la robe que je balance au bout du lit, puis avec un grand sourire, je dis :

« Ce sera plus simple et plus aéré ainsi… Non ? »

« Oui, c’est vrai… Dit-il en me caressant à nouveau. »

Je préfère me laisser faire, de ne pas prendre d’initiatives. Martin doit être d’un genre plus macho que mon mari. Je laisse ses mains parcourir mon corps, mes monts, mes plaines, mes vallons. Je soupire d’aise quand sa bouche capture un téton qu’il suce délicatement. Finalement, il suffisait de jouer les belles endormies pour réveiller la libido de mon Lapin ! De jouer les étoiles de mer, ce qui n’est pas précisément l’attitude que j’adopterais en pareil cas ; je suis nettement plus directe : je me sers, même si je ne déteste pas être servie !

Son autre main caresse mon ventre, puis descend petit à petit vers mon pubis. Je me dis que c’est bien parti ! En effet, peu après, des doigts investissent ma fente humide, cherchant visiblement mon petit bouton rose niché entre mes fines lèvres…

Sous l’effet de cette triple caresse, cette main sur mon sein, cette bouche suçant mon téton érigé et cette autre main s’égarant dans mon intimité, je commence à gémir doucement, mon corps ondulant sous les multiples vibrations de plaisir…

Aujourd’hui est une belle journée pleine de plaisirs et de jouissances ! Je ne m’en plaindrai certainement pas ! Peut-être même que Martin viendra plonger en moi, me remplir, m’occuper, me prendre tout entière…

Le plaisir arrive à nouveau, je suis étonnée qu’il soit déjà là, mais je le laisse venir. Comme une douce vague chaude, il m’envahit, un autre effet que le cyclone dévastateur des bois ; un autre effet mais agréable…

Sucré, comme une boisson tropicale que je bois par petites gorgées suaves…

Une étrange vibration monte en moi, une vibration insolite, douce et cruelle en même temps. Je n’ai pas le temps de me poser des questions que mon corps explose en mille morceaux, mon cerveau noyé sous un plaisir tourbillonnant…

Retour

Hélas, c’est déjà l’heure… Je m’installe sur la banquette arrière et j’enlace Martin installé sur le siège passager. La voiture roule vers Lille, fenêtres ouvertes, il fait tellement chaud ! Nos mains sont entremêlées, tandis que je glisse mes doigts libres sous la chemise de mon Lyonnais. Lui, pour ne pas être en reste, pose la sienne sur mon genou. Les kilomètres défilent, et moi, je voudrais que ça n’en finisse jamais. Hélas, Martin a un train à prendre, et Lille se rapproche. J’aimerais bien le garder pour moi, mais je ne peux pas. Il reviendra dans quelques semaines, mais c’est lointain… Déjà les quinze jours entre sa dernière visite et celle de maintenant, j’ai trouvé ça très long, alors un mois, c’est pire !

Lille se dévoile sous nos yeux, Maurice fonce vers la gare TGV. La voici devant nous. Il s’exclame :

« Houla, il y a plein de monde, toutes les places sont prises ! »

« Ah oui, c’est plein de chez plein ! »
« Bon, la meilleure solution est que je vous dépose tous les deux devant la gare, tandis que je cherche une place. »

« OK, ça me va, Maurice. »

« Moi, aussi, Amour. »

Je soupçonne mon mari de proposer cet arrangement afin que je sois seule avec Martin. Ça me convient parfaitement. Alors, main dans la main, nous entrons dans la gare. C’est étrange de se balader ainsi avec Martin, comme s’il était mon officiel. Nous arrivons face au tableau des départs :

« Il est à l’heure… Dommage ! Dit-il. »

« Oui, dommage… »

« Il suffit de condenser les choses, et de jouer le jeu jusqu’au bout… »

« Tu veux dire quoi par-là ? »

Pour toute réponse, il m’attire à lui et m’embrasse. J’adore quand il prend des initiatives, surtout celles de ce genre-là ! La voix un peu troublée, quand nos lèvres se séparent, je dis :

« Dommage que ce soit seulement maintenant… »

« Il y aura d’autres fois. »

« J’ai déjà entendu ça la dernière fois… »

Il ne répond rien, il m’embrasse à nouveau, nos corps collés l’un à l’autre, nos langues se caressant, nos lèvres soudées, nos bras nous enlaçant l’un l’autre, deux ne faisant plus qu’un. Puis nos lèvres se séparent, je pose ma tête sur son épaule et j’écoute les battements de son cœur se mélanger aux miens…

« Tu dois vraiment repartir ? »

« J’habite là-bas, je travaille là-bas… »

« Quelle idée d’habiter si loin de moi ! »

« Je peux en dire autant à ton sujet… »

Je l’embrasse à nouveau, le serrant très fort contre moi. Puis nos lèvres se détachent, je le regarde dans les yeux :

« Tu peux m’expliquer une petite chose, mon Lapin ? »

« Ce que tu veux, ma Puce ! »

« Je ne vais pas tourner autour du pot : tu as fait six cents kilomètres pour venir me voir, je m’offre à toi… Et… Pas grand-chose… »

« Pas grand-chose ? Il me semble bien que nous ayons joui tous les deux. »

« C’est vrai, mais j’ai dû souvent te forcer un peu la main… »

Il soupire, me serrant contre lui :

« Tu sais que je t’adore… Mais je ne voudrais pas foutre en l’air notre relation avec du sexe… »

« Attends, attends, je suis consentante, et toi aussi, tu reconnais que je te plais. Où est le problème ?

« De tomber amoureux… Peut-être ? »

Je me contente de sourire avant de répondre :

« Tu n’as rien à craindre, je ne débarquerai pas chez toi avec mes valises ! Ce n’est pas mon style, et je te signale que c’est avec Maurice que je vis. »

« Mais, tu… »

« Oui, j’aime ta compagnie, j’aime nos discussions, j’aime le sexe avec toi, mais je ne pense pas être amoureuse de toi. Au risque de paraître cruelle, tu es mon défi à moi, mon grain de folie. »

Martin tire un peu la tronche. Autant lui dire clairement les choses. Il reprend :

« Drôle de façon de le dire, ma Puce… »

« Pourquoi crois-tu que Maurice me laisse faire ? Parce qu’il sait qu’il n’a rien à craindre. Si jamais il avait senti que j’avais une trop grosse inclinaison pour toi, il aurait mis aussitôt son veto. »
« Bref, je suis ton « jouet »… »

« Tu es mon ami amant, tu n’es pas mon mari. Amant, c’est un peu vite dit puisque nous n’avons pas vraiment consommé. »

« Ce n’est pas mieux ainsi ? »

« Le cul entre deux chaises, je n’aime pas trop. Tu m’as excitée à fond, toi, tu bandais à mort, on aurait pu… »

« Oui, on aurait pu… Mais je n’étais pas trop à l’aise… »

« À cause de Maurice ? »

« Pas vraiment, je ne sais comment le dire… »

« Alors tais-toi et embrasse-moi ! »

Chose qu’il fait d’ailleurs très bien !

Quelques minutes, Maurice est de retour, il a eu du mal pour trouver une place, ce qu’il dit. Peut-être nous a-t-il laissés un peu de temps, à Martin et à moi… Le TGV est annoncé, nous descendons sur le quai. Nous cherchons après sa voiture que nous trouvons une fois de plus en tête de train.

« Bon… Il faut que j’y aille… »

« Oui, il faut que tu y ailles… »

Martin serre la main à Maurice :

« Merci pour ce très bon week-end et pour les restaus. À charge de revanche ! »

« Ne t’en fais pas pour ça. Je te laisse avec Christelle, je crois que tu dois lui dire au revoir. »

Et mon mari s’éloigne un peu, allant contempler de plus près la motrice. Martin le regarde s’éloigner d’un air un peu étonné, alors je lui dis :

« Et alors, tu ne me dis pas au revoir ? »

« Ah euh… Si… »

Et nous nous faisons un énorme dernier bisou.

À présent, le TGV est parti, emportant mon Martin. Comme la fois dernière, Maurice et moi, nous sortons de la gare, main dans la main. J’ai un peu le blues, mais je suis très heureuse que mon mari soit à mes côtés. Une fois dehors, je lui demande :

« Tu t’es garé où ? »

« Comme la fois dernière, près du cimetière de l’Est. »

« Il t’en a fallu du temps pour revenir… Un peu trop même… »

Sans lui donner le temps de répondre, prestement, je lui donne un baiser sur la joue :

« Merci, Amour ! »

« Pas de quoi… »

« Tu es décidément un mari… Enfin comment dire… Ah zut, je ne trouve plus mes mots, même si je les ai au bout de la langue… Ah, ce n’est pas vrai ! »

« Alors ne dis rien. »

« Tu as sans doute raison… »

Et nous repartons chez nous.

Inutile de vous dire que notre nuit fut très torride, très ! Je me dis que c’est très bien d’avoir deux hommes dans sa vie, un pour le fun, et un autre pour la stabilité, l’équilibre. Mon Maurice, je ne l’échangerai certainement pas contre un autre homme, ni même deux, voire trois. À quatre, je me tâte ! Je plaisante !

Oui, la notion d’ami amant n’est pas une chimère, et qu’on peut parfaitement aimer deux hommes sans avoir à choisir impérativement l’un d’eux. Mais, mis à part mon mari, est-ce que tous les hommes le savent ?

Malheureusement, peut de temps après, cette dernière rencontre, Christelle eut un courrier de Martin l’informant qu’il va quitter Lyon pour les USA, pour raison professionnelle, il va se perfectionner pendant trois ans avant de revenir en France.
Cette séparation affecta Christelle moralement. Elle surmonta car Maurice lui aussi devait pour son métier déménager dans le Grand-Est.
Christelle trouva du travail comme serveuse dans l’auberge ou travaille Julie et Manon, aussi elle s’initia à la bisexualité et le couple Christelle- Maurice s’adonna à l’échangisme. Elle retrouva un amant et une amante attitrée, qui habitent à 5 km à la place des 600 km.
Quant à Martin il restait toujours le bienvenu au cas où il revient en France,
Fin,

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