Histoires taboues Récit érotique

Histoire sexe La route déserte Partie 1

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Avant-Propos :

Véronique et René, ce couple mature veut pimenter sa vie sexuelle. La très jolie Véronique va bien malgré elle être l’héroïne de cette histoire, mais va en tirer une intense satisfaction, son mari René aussi, ainsi que les deux autres héros.

Histoire sexe Véronique et moi nous formons un couple depuis bientôt 30 ans, nous avons eu un garçon et une fille, puis la vie, a fait que nos enfants quittent le domicile familial et s’établissent dans d’autres lieux. Nos deux enfants se sont mariés et nous sommes devenus mamy et papy.

Pour pimenter notre vie sexuelle, René mon mari m’achetait des dessous affriolants et sexy que je portais dans l’intimité, et que je continue de porter, maintenant que nos enfants ne sont plus présents sous notre toit.

René s’excitait de plus en plus lorsque je déambulais dans la maison vêtue de ces tenues que je variais au fil des jours.

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Étant toujours à la recherche de nouveautés pour pimenter notre sexualité, mon mari imagina un scénario original qu’il me soumit et que j’approuvais et que nous allons réaliser cet après-midi.

Mon rôle, me déguiser en prostituée et aller me poster dans un endroit désert et attendre un client, rôle que tenait mon mari.

Après le déjeuner, je suis allé dans ma chambre, après un maquillage marqué, j’ai enfilé une tenue limite indécente, puis suivant le scénario, mon mari m’a donné l’endroit précis ou je devais me poster, endroit que je connaissais pour avoir eu de très nombreuse partie de jambes en l’air.

En partant mon mari me dit qu’il va patienter ici pendant deux minutes afin que cela paraît plus réaliste.

Monsieur, s’apprête à partir quand le téléphone sonne, il est prêt à l’ignorer et là il s’aperçoit que c’est sa fille qui l’appelle, il ne peut l’ignorer !

Le temps de la conversation qui heureusement ne dure pas trop longtemps, il raccroche et enfin il peut partir. Forcément il a accumulé beaucoup de retard et quand enfin il arrive au lieu de rendez-vous, il aperçoit ma voiture mais aussi un autre véhicule.

Intrigué, il ralentit mais ne s’arrête pas, en passant doucement, il me voit en grande discussion avec un homme. Éberlué, il ouvre de grands yeux en voyant ma tenue. (Tenue que je lui cachais car j’avais enfilé un manteau). Minijupe en cuit hypermoulante, superbe haut avec un décolleté profond qui offre mes seins, des cuissardes en cuir avec de hauts talons moulant mes jambes habillées de bas résille,

Le temps de se garer hors de vue et de revenir par les bosquets et quand il arrive, il ne trouve plus personne.

Un petit bois à 100 m de là, en regardant attentivement il aperçoit les deux véhicules, il fonce.

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Là, il manque de tomber, je suis allongée à plat ventre sur le capot et me fais prendre sauvagement.

L’homme surpris de sa présence, voulu interrompre, mais mon mari l’encourageait à finir son travail commencé, un peu plus tôt. Cependant il ne tarda pas à éjaculer dans son préservatif en me laissant là sans avoir eu un orgasme.

Nous sommes rentrées et une fois arriver dans la cuisine sans même me déshabiller René me demanda de m’allonger sur la table de la cuisine et il me baisa et m’encula longuement j’ai eu 3 orgasmes d’affilée.

Cette première expérience donna à mon mari des idées de recommencer et il me dit alors que j’étais encore allongée sur la table de la cuisine :

« Véronique chérie, et si tu te mettais sur le bord de la route, tu aurais beaucoup de clients ! Après tout cela remonterait nos finances ! »

« Sois sérieux René chéri, qui voudrait de moi à mon âge ! »

« Salaud, tu serais prêt à me vendre ? »

« Oui, oui, et je pense que je tirerais une bonne somme d’un joli morceau comme toi ».

Alors elle descend rapidement de la table et me saute au cou, m’embrasse goulûment. Tiens, tiens, on dirait que mon idée chemine doucement dans sa jolie tête !

Puis sans prévenir elle s’est accroupie devant moi prend ma queue entre ses doigts, la caresse et commence un lent va-et-vient, elle rapproche sa bouche de mon gland dépose des bisous et sa langue titille mon frein. De sa main libre elle soupèse mes testicules pendant qu sa bouche et sa langue descend le long de ma hampe pour se poser sur une de mes couilles et la prendre en bouche, la mordille avant de remonter et prendre la bite entière dans sa bouche. C’est la meilleure fellation qu’elle m’a faite, et la première fois qu’elle a avalé mon sperme.

Le soir quand nous nous sommes couchés, je lui reparle de cette nouvelle idée et après un gros câlin, elle finit par accepter.

Son souci maintenant c’est de choisir la tenue adéquate. Je la laisse réfléchir pour avoir la surprise le jour J qui est fixé au surlendemain.

C’est le Jour J !… Ma chérie est allée s’habiller et revient vêtue d’un jogging. Aurait-elle changé d’avis ?.

« Mais non mon chéri, mais tu me vois sortit, dans la tenue que j’ai choisi, pour aller chercher la voiture ? Déjà que les voisins nous regardent comme des extraterrestres ! »

« Oui tu as raison. Je comprends maintenant pourquoi tu as mis un manteau la première fois »

« Ne t’inquiète pas, je ne vais pas y aller avec des baskets, j’ai ce qu’il me faut dans mon sac ».

Elle me montra son grand sac, je devrais dire son cabas. Décidément les femmes aiment avoir un immense fourre-tout.

Quelques minutes après, la voilà partie après un long baiser.

Aussitôt je rejoins ma voiture et je démarre. Pas question d’arriver en retard, elle ne me le pardonnerait pas, et là, fini notre scénario coquin !

Ma puce est partie quelques minutes avant moi, mais comme je roule plus vite, je devrais arriver une poignée de minutes après elle.

Soudain, c’est la catastrophe. Une voiture vient de griller un stop et je n’ai pas réussi à l’éviter complètement. Pas de gros dommages mais le temps de constater les dégâts, échanger nos cartes et rédiger le constat, j’ai perdu presque une heure.

Véronique de son côté se pose une question :

« Dans quelle aventure me suis-je mis ? Mon chéri me fait faire n’importe quoi ! Ah voilà la petite route, heureusement que nous sommes en fin de matinée, je ne serais jamais venue seule ici la nuit ».

Tiens ce doit être ici, voilà la borne N° 10 dont il m’a parlé. Effectivement, il y a un grand espace herbeux, et comme le sol est très sec je peux me garer sans problème.

Effectivement, il ne passe pas grand monde par ici, depuis le dernier croisement je n’ai vu personne.

Avant de me changer je jette un dernier coup d’œil aux alentours et il n’y a personne à l’horizon.

Je descends de la voiture, j’enlève mon jogging, d’abord le haut puis le bas. J’apparais alors vêtue d’une petite robe rose, courte à mi-cuisses en résille. Pratiquement transparente avec juste une toute petite partie de la poitrine et au niveau du bas-ventre et des fesses, protégés aussi par un tanga blanc ? J’ai complété ma tenue avec des escarpins à talons de 12 cm.

Je m’admire dans les vitres de la voiture, l’image me plaît bien, je suis satisfaite du résultat, sans fausse modestie, je sens souvent le regard des hommes sur moi et je me fais régulièrement draguer par des hommes souvent bien plus jeunes. Mais je ne suis pas une cougar, j’aime mon mari.

En tout cas la robe est appropriée pour mon rôle d’aujourd’hui, l’excitation me gagne, mon chéri va être fou !

Je suis tellement excitée que mes tétons se dressent et passent à travers les mailles de ma robe en résille, l’effet est top.

J’entends un bruit de voiture, ce doit être lui.

OOOOOH non, une voiture de la gendarmerie !

Vite je me précipite dans ma voiture, j’espère qu’ils n’ont pas vu ma tenue !

« Bonjour Madame, gendarmerie nationale, avez-vous un problème ? »

Je vois son regard posé sur mon corps puis remonter et me fixer dans les yeux.

«Euh, non Monsieur, tout va bien ».

« Pourriez-vous descendre du véhicule et me présenter vos papiers s’il vous plaît »

« Mais pourquoi, Je ne fais rien de mal »

« Veuillez descendre s’il vous plaît »

Morte de honte je sors de ma voiture et j’essaie de dissimuler mon corps en mettant un bras devant ma poitrine une main devant mon ventre tout en baissant la tête. Pourvu que mon homme arrive.

Le gendarme a été rejoint par son collègue et les deux hommes ne se privent pas de me mater.

Mon Dieu, c’est un vrai cauchemar !

« Vos papiers, c’est la dernière fois que je vous le demande »

Je suis obligée de me pencher dans la voiture pour prendre mes papiers et je sens leur regard sur mon petit cul qui est mis en valeur par la robe en résille et le tanga blanc. De plus mes hauts talons accentuent la cambrure naturelle de mon corps.

Je me redresse et lui tends mes papiers, sans les ouvrir il me dit :

« Que faites-vous ici ? Ne me dites pas que vous partiez faire une balade dans la nature »

Et d’ajouter :

« Surtout dans cette tenue »

Alors, j’essaie de leur expliquer le scénario qu’une nous avons élaboré avec mon mari.

Ils se regardent en souriant,

« Tu as vu son conjoint toi ? »

« Non, comme toi je n’ai rien vu »

Celui qui m’a interpellé en premier reprend la parole :

« Moi, ce que je vois, c’est une pute prise en flagrant délit et que l’on va emmener à la brigade ».

« Oh non, je vous en prie, je dis la vérité mon homme va arriver et tout vous expliquer ».

« Écoute ma belle, il n’y a que toi et nous, alors avant que je me fâche tu vas nous suivre et on prendra tes coordonnées pour te rentrer dans le fichier, si tu n’y es pas déjà ! »

« Quel fichier ? »

« Celui des prostituées de la région »

« Nooooon, ce n’est pas possible, je vous jure que je vous dis la vérité » et je me mets à pleurer.

« Maintenant des larmes, ça suffit, on connaît ».

Du coup, voyant la tournure des évènements je pique une crise de nerfs, les gendarmes sont obligés de me maintenir. Le plus virulent fini par me passer les menottes après m’avoir tiré les bras dans le dos.

Mes bras tirés en arrière font ressortir ma poitrine et mes tétons pointent de nouveau entre les mailles de ma robe. Les deux gendarmes ont le regard rivé sur mes seins, et j’entrevois une porte de sortie.

« S’il vous plaît, je vous en prie, laisser moi partir et rentrer chez moi ».

« Pas question d’autant qu’il me semble y avoir un problème ».

« Quel problème ? »

« Sur vos papiers, votre date de naissance n’a pas l’air correct »

« Quoi ? Faites-moi voir

Pendant que son collègue me maintient en laissant traîner ses mains sur mes hanches et mes fesses, il me tend ma carte d’identité en me montrant ma date de naissance.

« Et ça ? »

« Quoi ça ? C’est ma date de naissance pourquoi ? »

« Vous voulez dire que vous avez… 60 ans ! Vous vous moquez de moi ? »

« Mais non, je me tue à vous dire la vérité et vous ne me croyez pas ».

« Là c’est bon, allez on vous emmène à la gendarmerie et s’adressant à son collègue : Arrète de lui caresser les fesses, je te dis que c’est une pute, si ta femme te voyait! »

Voyant qu’ils étaient décidés à m’emmener à la brigade et ne voyant pas d’autres portes de sortie je me suis lancée.

« Si vous me laissez partir et rentrer chez moi, je vous dédommagerai »

« En plus, elle veut nous corrompre ! Pas de ça ma belle, ça va te coûter cher, tu t’enfonces »

« Mais non je ne veux pas vous corrompre ! Je n’ai pas d’argent, je pensais à autre… hummm chose ! »

« Ah oui, et qu’entends-tu par autre chose ? »

« Je… Je pourrais être gentille avec vous ».

J’ai lancé ça car j’espère que mon amour va arriver, hélas toujours rien.

Les deux gendarmes me fixent en souriant.

« Tiens c’est une bonne idée ça »

S’adressant à son collègue :

« On va planquer les voitures derrière les bosquets »

Aussitôt dits, aussitôt fait, les véhicules sont cachés et les gendarmes me font monter dans leur fourgonnette, toujours menottée.

C’est vraiment un cauchemar, en plus c’est moi qui leur aie proposé d’être gentilles pensant à être sauvée par le gong, je vais devoir assumer.

Non que les deux hommes soient des monstres, ils sont plutôt beaux, maintenant que je les vois bien, ils ont dans les 30 à 35 ans, des corps de sportifs, en temps normal, je serais même fière de voir le désir dans leur regard mais là, je vais y passer !

Celui qui me semble être le chef me fait signe d’avancer, me véhicule n’étant pas très haut, je suis obligée de me courber et avec mes talons hauts cela fait ressortir ma croupe.

Les deux hommes n’en perdent pas une miette et me caressent mes fesses au passage .

Soudain, leur radio grésille, on leur demande de rentrer le plus rapidement possible.

Le second gendarme répond et assure qu’ils seront de retour d’ici 45 minutes.

« Bon, nous n’avons pas le temps, alors tu vas nous sucer et on s’occupera de toi une autre fois me dit le chef, n’oublie pas que j’ai vu tes papiers ».

Il se positionne alors sur la banquette, ouvre sa braguette et sort un sexe de belle facture, ensuite il me fait mettre à genoux sur la banquette les poignets toujours menottés dans le dos et appuie sur la nuque.

Voyant que je n’ouvre pas la bouche il menace :

« Suce autrement où nous t’emmenons à la brigade et là je ne rigole plus ! »

Paniquée, car je le vois inflexible, j’écarte les mâchoires et engloutis la bite tendue.

Il saisit mes cheveux et fait monter et descendre ma tête. C’est lui qui impose le rythme, étant menottée je ne peux rien faire.

« C’est bien, tu es une bonne suceuse ! »

Je n’avais plus qu’une idée en tête, en finir le plus vite possible, aussi je redoublais d’ardeur.

Le salaud avait l’air d’apprécier, il a relevé ma tête et m’a ordonné de lui lécher les boules, j’ai obéi, c’était lui qui menait le jeu.

Soudain, j’ai senti des mains qui se posaient sur mes fesses, son acolyte a entrepris de relever ma robe jusqu’à la taille. Puis j’ai entendu un sifflement.

« La vache ! Quel cul ! Ce n’est pas possible, tu n’as pas 60 balais. Nos femmes qui ont 20 à 30 ans de moins, sont bien moins foutues que toi ».

« Hhhooooppffff » je ne pouvais parler, ma bouche étant remplie par la bite de son partenaire.

« Ouais tu as raison elle est chouette la petite mamie suceuse, et douée avec ça ! Tu vas voir ».

Pendant que je continue ma fellation en alternant les mouvements de succion et de léchage des couilles velues, descendant même jusqu’à l’anus que j’agace de petits coups de langue pour la plus grande joie de son propriétaire.

« La salope, c’est trop bon, elle me lèche le cul »

« Purée, j’ai hâte que ce soit mon tour, elle est super bonne, je vais regarder les mamies d’un autre œil ah, ah,ah ! »

Et il donne quelques claques sonores sur mes fesses, puis il écarte mon tanga qui ne cache pourtant pas grand-chose et je sens sa main s’insinuer vers ma féminité.

Là du coup je vais y passer me dis-je, car bien malgré moi, je dois avouer que la situation ne me laisse pas insensible et qu’il va falloir s’en rendre compte.

Pas manqué :

« Woooohhh la petite salope, elle est trempée, on dirait qu’elle aime se faire malmener »

« Alors ma belle, tu aimes sucer, tu vas être servie, et tu avales tout sinon je te fais lécher ce qui tombe par terre, et pas question de tacher mon pantalon ».

Il accélère la cadence, je fais de mon mieux pour suivre le rythme tout en sentant les doigts de son collègue sur ou plutôt dans ma chatte, puis un autre doigt qui pénètre mon petit trou.

Dans ma bouche je sens la verge gonfler et bientôt plusieurs jets inondent ma bouche, coulant dans ma gorge.

Me rappelant ses ordres, j’arrive à presque tout avaler, un peu de sperme s’échappe quand même par la commissure de mes lèvres, j’avale le plus rapidement possible puis je lèche le sperme qui a fini par couler de mes lèvres sur son pantalon.

« Tu es vraiment une bonne petite pute, aller mec à toi de faire sucer, et tu vas voir que c’est une vraie pro ! »

Le collègue a pris la place laissée vacante et maintenant c’est son sexe qui remplit ma bouche, ils m’ont laissée dans la même position, les poignets toujours menottés dans mon dos. Il fait comme son collègue, saisit mes cheveux et impose le rythme de la fellation.

Son collègue, quant à lui, a littéralement arraché mon tanga et ses doigts me pénètrent sans ménagement.

«Nous avons tes coordonnées, la prochaine fois nous aurons plus de temps, et là je t’exploserai ce superbe cul ! »

Je ne peux répondre, le bâillon de chair rempli toujours ma bouche, les deux hommes ne se retiennent plus et bientôt sa bite lâche des jets de sperme au fond de ma gorge. Comme avec son collègue je m’applique à tout avaler.

Ils me font nettoyer leurs queues avec la langue puis jugeant le résultat satisfaisant, ils me libèrent enfin des menottes, le chef m’aide même à remettre mon tanga.

Presque des gentlemen.

Ils discutent entre eux un moment, puis reviennent vers moi et me tendent une enveloppe, intriguée je regarde le contenu, il y a deux billets de 50 €.

« Mais je vous ai dit que je ne suis pas une pute ! »

« Nous le savons bien » dit le chef en riant.

« Quoi, vous le saviez depuis le début et vous, vous…. Salauds ! »

« Bien sûr qu’on le sait, il n’y a aucune pute qui viendrait dans ce coin, il n’y passe jamais personne, mais quand nous avons vu que tu marchais, nous avons un peu profité et comme nous ne sommes pas des salauds, nous avons tenu à te donner une rétribution. Ainsi tu sauras ce que c’est ».

« Ben dis donc, pour des flics, chapeau, vous êtes aussi salauds que les autres »

« Et ne dis pas que tu n’as pas pris du plaisir ! Nous avons constaté que tu étais très réceptive »

Un peu honteuse, j’avoue au fond de moi, qu’il est vrai que j’ai aimé le traitement infligé et même si je n’aime pas particulièrement avaler le sperme, je dois reconnaître que dans l’action je me suis délectée de leurs liqueurs. Et s’ils avaient essayé d’aller plus loin, je me serais laissée faire, après tout je ne pouvais que subir étant menottée !.

Oh les menottes, parlons en des menottes, le chef se retourne vers moi en me les tendant.

« Tiens, c’est un cadeau ! »

« Comment ça ? »

« Ce sont des fausses bien entendu, ton homme pourra s’en servir avec toi, nous avons vu que t’aimait ça ».

Là-dessus ils me laissent en plan et repartent avec leur fourgonnette, non sans m’avoir peloté consciencieusement les fesses et les seins au passage.

Quelques minutes après leur départ, j’entends un bruit de moteur et je vois arriver mon chéri tout sourire.

NB : Ce chapitre ne met pas fin à l’histoire, le chapitre suivant sera rédigé et publié sur le site dès que l’état de santé de Julie le permettra. Elle est actuellement hospitalisée suite à un problème cardiaque, et je lui souhaite qu’elle se remette vite afin de poursuivre nos aventures.

Véronique l’amie de Julie se joint aux vœux que Lucie et Franck ont publié sur le site !

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