Avant propos : A la demande de Marie-Claude, moi Julie je me suis remise à composer des récits, avec les conseils et corrections de Véronique, je vous relate cette série mettant en scène Marie-Claude la mère, Muriel sa fille et Noémie sa meilleure amie. Ainsi que d’autres personnes que vous allez découvrir au fil des chapitres.
À noter, l’histoire est réelle, les personnes citées existent seule quelques scènes relatives à la soumission relèvent du fantasme.
Je décide de rentrer chez moi plus tôt que prévu. Il fait beau et je vais pouvoir profiter de la piscine. Ma partenaire de tennis m’a fait faux bond au dernier moment. Avec ce soleil, je vais pouvoir faire une séance de bronzage intégral sur la terrasse de la maison au bord de la piscine.
J’ai oublié de me présenter. Marie-Claude 40 ans, blonde avec une coupe au carré et un corps entretenu par le sport. Je vis seule avec ma fille de 19 ans depuis que son père est décédé, il y a 5 ans. Ce dont je suis la plus fière c’est mon ventre plat malgré une grossesse, et une paire de seins en forme de poires qui n’ont pas besoin de soutien-gorge avec deux tétons très sensibles et qui n’hésitent pas à pointer à la moindre sollicitation. Ce qui attire les yeux des hommes mais aussi de certaines femmes dont plusieurs au tennis ou à la salle de sport ce sont mes fesses musclées surtout quand je suis en jupe courte, ce qui les met en valeur avec des hauts talons qui cambrent le bas de mon dos.
En arrivant à la maison, tout ce que j’avais prévu va être remis en question, ou presque.
Le sac de ma fille Muriel, est dans l’entrée, alors qu’elle avait cours toute la journée. Je traverse le salon pour lui dire que je suis rentrée, mais je m’arrête à quelques mètres de la baie qui donne sur la terrasse et la piscine. Je ne veux pas être indiscrète après avoir entendu une autre voix féminine. Je découvre que Muriel et sa meilleure amie Noémie sont sur les matelas de la terrasse, nues l’une et l’autre. Ma fille aime bronzer nue, comme moi, cela ne me choque pas plus que ça. Je ne m’attendais pas à les trouver dans les bras l’une de l’autre. Elles s’embrassent à pleine bouche et leurs mains ne sont pas inactives. Noémie quitte la bouche de ma fille, pour s’occuper de sa poitrine et lécher ses tétons tendus. Une boule chaude monte dans mon ventre. Sans pouvoir résister, je reste discrète et me cache derrière le rideau au bord de la grande baie.
Très vite Noémie caresse avec son autre main le ventre de Muriel qui écarte les jambes pour laisser sa petite amie accéder à son minou. Noémie à quatre pattes entre les jambes de ma fille lui mange la chatte. Cambrée sur ses genoux, elle me donne une vision complète sur ses fesses, et sur sa chatte épilée. D’où je suis, je peux détailler ses lèvres humides, gorgées de sang. Je sens mon string s’humidifier et je ne résiste pas à glisser deux doigts sous ma jupe pour les passer sous le bord du triangle pour caresser ma chatte trempée. Les filles changent rapidement de position pour profiter l’une de l’autre. En 69, ce sont maintenant les fesses de ma fille et son abricot qui sont face à moi, et la langue de sa copine qui la lèche tout en introduisant deux doigts en elle. Quand Noémie lèche son œillet, je m’attends à ce que Muriel lui dise d’arrêter. C’est tout le contraire.
« Ouiii, continue, ne t’arrête pas, lui demande Muriel. Vas-y, ouvre ma corolle avec ton doigt comme la dernière fois. J’adore sentir tes doigts dans mon tunnel ».
À ce stade, je crois que plus rien me choque. Je n’ai qu’une envie, c’est de les rejoindre dans leurs jeux sans même comprendre que l’une d’entre elles est ma fille. Alors que les 2 filles font éclater leur plaisir avec de grands cris, je mets ma main devant ma bouche pour étouffer mon feulement de plaisir et de frustration. Mes doigts trempés de cyprine ne me suffisent pas pour jouir totalement. Moi aussi, j’aimerais qu’une langue s’occupe de ma chatte et de mon petit trou.
Je m’éclipse silencieusement jusqu’à l’étage, certaine de ne pas avoir été repérée.
Je redescends bruyamment plusieurs minutes plus tard nues sous un peignoir de bain au ras des fesses, toujours aussi excitée. Ma fille et moi nous ne sommes jamais cachées, mais c’est la 1re fois que j’assiste à un ébat sexuel avec une autre fille.
En arrivant sur la terrasse les deux filles sont toujours intégralement nues, chacune sur un matelas. Elles sont superbes, épilées intégralement toutes les deux, et totalement décontractées. C’est la 1re que Noémie me voit nue, une fois mon peignoir enlevé. Elle me détaille de haut en bas, et son regard m’excite. J’ai envie de la provoquer. Je prends tout mon temps avant de m’allonger à mon tour sur un matelas, me baissant de dos sans m’accroupir, pour lui montrer mes fesses et ma chatte, les jambes légèrement écartées. Je m’allonge face à elles. Blonde et pas encore habituée au soleil du début de l’été, je m’applique de la crème.
– Je peux vous aider? Me demande Noémie.
Sans réfléchir, je la remercie et lui tends le flacon. C’est mon corps qui lui a répondu, pas ma tête.
Je m’allonge sur le ventre et la laisse faire. Quand elle atteint mes fesses, je la laisse faire. Elle enduit chaque fesse avec application et j’ouvre un peu plus les cuisses comme pour lui indiquer qu’elle peut aller plus intimement m’enduire de crème. Elle n’hésite pas, et passe un doigt dans ma raie sans toutefois atteindre mon œillet, puis passe à l’intérieur de mes cuisses. Je ne peux pas m’empêcher de les ouvrir encore un peu plus. Ses doigts frôlent mes lèvres humides.
– Vous avez une très jolie peau, me dit-elle. Ce serait dommage de l’abîmer.
Ce n’est plus un étalage de crème, c’est un massage érotique. Sa main caresse l’intérieur de ma cuisse. Très vite deux doigts frottent les lèvres, et agacent l’entrée de ma chatte qui coule.
Je me retourne sur le dos pour lui offrir mes seins, mon ventre et mon sexe, oubliant totalement que je m’offre sous les yeux de ma propre fille.
Les mains enduites de crème, ce sont mes seins qui ont le droit à ses caresses. Je ferme les yeux et Noémie en profite pour s’occuper de mes tétons qui pointent d’excitation. Mes mamelons sont durs comme du bois. Quand j’ouvre les yeux, son regard ne quitte plus le mien et elle joue avec mes tétons. Sa bouche s empare d’un de mes mamelons alors que ses doigts me pincent l’autre. Je me retiens de geindre de plaisir.
Je crois apercevoir ma fille qui se caresse discrètement son bouton en nous regardant avant de nous laisser seules pour aller nous chercher à boire, Accroupie, elle passe une de ses jambes entre les miennes, avec pour effet d’appuyer sa chatte sur ma cuisse et de me montrer qu’elle aussi est excitée.
Noémie m’enduit le pubis et finit par enfoncer ses doigts dans ma grotte trempée de jouissance, qu’elle ramone rapidement. Je n’arrive plus à rester immobile et je soulève mes fesses pour la faire rentrer le plus loin possible.
Elle me glisse à l’oreille, qu’elle espère que la prochaine fois, nous aurons plus de temps pour que je puisse à mon tour m’occuper d’elle.
– Tu m’as excitée en te voyant te caresser, cachée derrière le rideau. Tu aurais dû venir te joindre à nous, me dit-elle.
J’en déduis que ma fille est parfaitement au courant aussi que je les ai épiées et que je me suis caressée en les regardant.
Le soir, quand je me retrouve au calme dans mon lit, je me demande ce qui m’a pris. Comment j’ai pu espionner ma fille et sa petite amie, puis me laisser caresser par cette petite amie. C’est vrai que je m’étais aperçue que plusieurs fois j’avais hésité à répondre aux regards puis aux frôlements de deux femmes dans les douches de la salle de sport, Mais elles étaient comme moi dans la quarantaine et j’avais regretté de ne pas avoir répondu à leurs avances. Sans parler de ma partenaire de tennis qui, plusieurs fois, m’a embrassé aux bords des lèvres ou passé la main sur ma taille et sur mes fesses au bord de ma jupe de tennis. Rien que de penser à Noémie, je sens ma chatte s’humidifier et je sais que la prochaine fois, je céderai encore à la tentation.
À suivre !
Julie
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