Deux jours plus tard, alors que je n’attends personne, je suis sur la terrasse en début d’après midi. La sonnerie du portail résonne. Sur l’écran du portier, je découvre Noémie, la petite amie de ma fille Muriel. Je ne suis qu’à peine étonnée et je passe rapidement un tee-shirt long avant de lui ouvrir.
« Coucou, me dit-elle, en m’embrassant au bord des lèvres. Tu m’avais dit que j’étais la bienvenue pour profiter de la piscine. Alors comme je n’ai pas cours cet après-midi contrairement à Muriel, je me suis dit que ce serait une bonne idée de venir. On a deux heures pour faire un peu mieux connaissance avant qu’elle nous rejoigne. Je ne pense que ça te gène si elle nous surprend en train de nous donner du plaisir. Ce ne sera pas la 1re fois qu’elle te verra jouir ».
Alors que je traverse devant elle le salon pour rejoindre la terrasse, je sens sa main me caresser les fesses.
« Tu es sexy avec ce tee-shirt qui ne cache pas entièrement tes fesses. Si tu l’as mis pour moi, il ne fallait pas. Je t’ai déjà vue deux fois à poil, une fois en train de te caresser cachée derrière le rideau et la deuxième fois toute mouillée après t’avoir excitée avec la crème solaire ».
Je ne lui laisse pas finir la phrase, je me retourne et lui prends le visage entre mes mains pour l’embrasser à pleine bouche, enrouler ma langue autour de la sienne jusqu’à perdre mon souffle.
« Tu me plais depuis la 1re fois que je t’ai vue, Marie-Claude. Sous tes aspects de petite-bourgeoise, je savais que je te ferai craquer. C’est la 1re fois avec une femme? »
« Oui tu es la 1re, c’est toi Noémie qui va m’apprendre ».
Elle m’arrache mon tee-shirt, je descends son microshort sous lequel elle est nue et fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête. Je plonge ma bouche sur sa poitrine, avant de lécher ses tétons et de les mordiller.
« À ton tour Marie-Claude de me montrer tes talents pour m’enduire de crème solaire, avant que je te fasse découvrir des plaisirs inconnus. J’ai amené un joujou, je suis sûre que tu vas aimer ».
À mon tour, les deux mains enduites de crème, je découvre son corps. Je malaxe ses deux seins un peu plus gros que les miens avec deux superbes tétons. Je les roule entre pouce et index, comme j’aime que l’on me fasse. Très réceptive, elle bouge sous mes caresses jusqu’à ce que j’atteigne sa source. Ma bouche se pose sur sa chatte et je savoure ses liqueurs intimes sur mes doigts qui la pistonnent, avant de boire à la source avec ma langue qui tourne sur son bouton sorti de son étui. En passant une main sous ses fesses pour appuyer un doigt sur son œillet qui cède très vite, elle hurle son plaisir.
« Pas mal pour une 1re!! Ta fille a de qui tenir. À mon tour de goûter à ta liqueur. J’en ai envie depuis avant-hier, mais devant ta fille je n’ai pas osé. Tu te serais laissé faire? »
« Oui, j’étais trop excitée pour refuser ».
À son tour, Noémie s’occupe de moi. Je suis si excitée, qu’elle n’a aucun mal à déclencher un volcan en moi. Pour la première fois, une femme me lèche et je l’arrose de ma liqueur intime. Je la laisse me retourner, pour lui offrir mes fesses et mon petit trou encore vierge.
« Fais doucement, Noémie, tu es la 1re de ce côté-là. Personne n’est jamais rentré ».
« Même pas ton mari? »
« Non, surtout pas lui. Avec lui, je n’ai jamais eu de plaisir comme tu viens de m’en donner ».
Noémie me lèche mon petit trou en essayant d’ouvrir la corolle avec le bout de sa langue. Je découvre cette caresse intime et je n’ai qu’une envie c’est qu’elle s’introduise en moi avec ses doigts. Je suis impatiente de lécher à mon tour son œillet. Et moi qui trouvais ça dégoûtant il y a quelques semaines en regardant 2 filles se prodiguer cette caresse dans un porno. Quel changement!
Après nous être calmées, et avoir repris des forces, Noémie fouille dans son sac.
« Regarde ce que j’ai amené, pour nous donner du plaisir ensemble. Un superbe double godemiché. Tu vas aimer ».
Je n’ai plus aucune retenue, alors que cette gamine a l’âge de ma fille et qu’en plus elle est sa petite amie. Face-à-face sur le dos, les jambes imbriquées, chatte contre chatte, après nous être frottées l’une contre l’autre, et mélangées nos sucs intimes, Noémie introduit une extrémité en moi, puis l’autre en elle. Bien synchronisées, nous donnons du plaisir sur la même queue, sans oublier de frotter le clitoris de l’autre. Je sens immédiatement une boule dans le ventre et je hurle quand l’orgasme arrive.
Quand Muriel rentre de ses cours, elle nous trouve nues, en train de se faire bronzer au bord de la piscine. Muriel n’est pas dupe. Elle se doute bien que le début d’après midi a dû être plus agité.
« Je ne t’ai même pas demandé si ta journée s’était bien passée, me demande ma fille après le dîner au calme dans le salon ».
« Oui, très bien »
« Je me doute, me répond Muriel. Avec Noémie, elle n’a pu que bien se passer. J’espère qu’elle t’a fait profiter de ses dons. Tu sais, tu ne peux plus rien me cacher désormais. Je t’ai vue nous mater, l’autre jour, derrière le rideau. Te voir te caresser nous a excitées, Noémie et moi. Nous en avons même rajouté. Je n’ai pas voulu te choquer et elle va me punir pour ça. Noémie est dominante et j’aime quand elle me fesse et m’oblige à lui obéir comme nous gouines devant ma mère. Tu peux t’attendre la prochaine fois à ce qu’elle me fesse devant toi, à moins qu’elle te fesse la 1re ».
Je ne réponds rien à Muriel. Je ne peux pas lui avouer, que j’ai regardé plusieurs fois des pornos lesbiens sur le web, avec des scènes de domination et que je m’imaginais être à la place de la soumise, fessée avant d’être obligée de faire jouir la Dominatrice avec ma bouche.
La semaine suivante, alors que la chaleur de l’été s’est installée, je retrouve ma partenaire de tennis. Annie est aussi brune que je suis blonde, la quarantaine également, avec un corps entretenu par le sport. Je regrette toujours de ne pas avoir répondu positivement à ce que j’interprète comme des avances. Et pour en avoir le cœur net après ma 1re expérience avec Noémie, je me suis habillé un peu plus sexy pour jouer sur le court. Toujours en jupette de tennis, j’ai remplacé la culotte blanche par un tanga mettant un peu plus mes fesses à découvert et oublié de mettre un soutien-gorge sous le polo, juste un soutien seins qui laissent mes tétons pointer.
À la fin de la partie, assises toutes les deux sur un banc le long du court, nous nous désaltérons. Je m’aperçois, qu’assise à côté d’elle, mes tétons pointent sous le polo et l’absence de soutien-gorge n’a pas pu lui échapper. Mon microtanga ne cache que ma fente si l’on peut dire puisque avec la sueur mes lèvres sont parfaitement dessinées sous le tissu collé.
– Tu es de plus en plus sexy, me dit Annie. Ton tanga blanc sous ta jupette, met tes fesses en valeur, et assise avec moi, j’ai une vue parfaite sur ton anatomie intime. Bien tenté, tu as failli me déconcentrer et je t’ai presque laissé gagné.
Tout en disant cela, Annie a posé sa main sur ma cuisse, et me caresse l’intérieur. Je ne la repousse pas et lui réponds avec un large sourire. Je la laisse faire et volontairement renverse un peu de ma bouteille d’eau sur le haut de mon polo tout en buvant, ce qui a pour effet de coller un peu plus le polo sur mes seins libres.
– Regarde me dit-elle, avec l’eau que tu as renversée, tes tétons pointent à travers ton polo. Ils sont une invitation à la caresse. En me disant cela, elle pose sa main sur mon sein, le malaxe légèrement avant de gratter de son ongle le bout de mon téton.
Arrivée dans le vestiaire, Annie me demande si cela me dérange de lui prêter du gel douche. Elle a oublié le sien.
– Viens avec moi, ce sera plus simple.
Elle ne se le fait pas dire deux fois, et rentre avec moi dans une douche sans porte, mais dont les séparations sont suffisamment hautes pour laisser une certaine intimité.
Annie me regarde enlever polo, jupe et tanga. Je suis nue alors qu’elle est encore habillée.
– Tu as de très beaux seins. J’ai toujours eu envie de les caresser, me dit Annie.
Je ne peux pas manquer une telle occasion. Je me rapproche d’elle comme pour lui offrir. Quand elle prend chaque sein dans une main pour le caresser, le malaxer, je ferme les yeux et m’appuie sur le dos sur la paroi de la cabine pour savourer.
– Mets tes mains derrière ta nuque pour me les offrir, et cambre ton buste.
J’obéis comme une femme soumise. Annie en profite pour prendre les tétons entre ses doigts et les étirer, les pincer. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper un feulement de plaisir.
Nous nous embrassons, mais j’en veux plus, j’ai le feu au ventre. Sans lui demander son avis, je m’agenouille devant elle et en la regardant dans les yeux je passe mes mains sous sa jupette pour lui enlever son shorty mouillé par la sueur mais aussi par ses liqueurs.
J’approche ma bouche de sa fente pour lui montrer mon intention. C’est elle qui m’appuie ma tête conte sa chatte pour que je lui donne du plaisir. Je lui lèche les lèvres avant d’aller au plus profond avec ma langue pour la boire, avant de branler son bouton avec un, puis deux doigts. Un bouton de plusieurs cms de long comme une toute petite queue. Je suis si excitée que je coule et jouis sans me toucher.
– J’ai plusieurs amies à qui tu vas plaire. Tu m’avais caché tes talents de soumise. Tu auras du succès dans le Club privé que je fréquente. Je t’appelle pour fixer une date.
À suivre !
Julie
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