Le médecin, la maman et son fils
Il y a quelques années, je dus pratiquer une consultation un peu curieuse, mais
Qui me laisse un souvenir étrangement agréable. Je suis médecin généraliste
Installé dans une grande ville et soigne des personnes de tout âge. Voilà qu’un
Jour, mon dernier rendez-vous de l’après-midi était pour un jeune adolescent de
16 ans qui venaient pour la première fois. Lorsque, l’heure venue, je me rendis
Dans la salle d’attente pour l’accueillir, je vis qu’il était accompagné de sa
Mère.
Je ne voyais pas d’objection à ce que la mère, une femme d’environ 45 ans, avec.
Beaucoup de charme, assiste à la consultation. C’est au patient d’en décider.
Toutefois, le jeune patient semblait extrêmement timide, donc la question ne se
Posa pas et la mère entra avec lui dans mon bureau.
Lors de l’interrogatoire, c’était souvent sa mère qui répondait pour lui.
Le garçon était finalement plus que timide et introverti. À part cela, il
Était plutôt beau garçon, encore imberbe, et semblait très mince. J’appris
Qu’il était très sérieux dans ses études et ne sortait guère avec des copains
Comme tous les adolescents de son âge.
À la fin de l’interrogatoire, m’adressant au jeune homme, je dis :
– Bien, tu vas passer à côté et te déshabiller. Je vais t’examiner.
Mon bureau est séparé de la salle d’examen par un rideau, ce qui permet aux
Patients de se dévêtir à l’abri du regard.
Le jeune homme se leva donc et disparut à côté. Ce fut alors que la mère
M’apostropha à voix basse, comme pour une confidence :
– Docteur, j’aurais un petit service à vous demander.
– Oui ?
– Mon fils, voyez-vous… Il a 16 ans… Est-ce que vous pourriez l’examiner
Complètement. Je veux dire, vérifier que tout fonctionne, vous voyez ce que je
Veux dire ?
– Je pratique un examen complet, Madame. Si vous voulez parler du développement
Sexuel, je vérifie aussi les signes de la puberté.
– Mais je voudrais que vous vérifiiez… En profondeur, vous comprenez ?
Je la regardai sans trop comprendre. Elle continua :
– À 16 ans, il n’est jamais sorti avec une fille ni même n’a eu de regard pour
Aucune d’entre elles. Il est constamment seul.
– Certains adolescents sont plus tardifs.
– Mais il devrait être sexuellement actif, disons au moins avoir des
Éjaculations, non ?
– Il en a peut-être.
– Je le saurais. Il laisse ses slips à laver et…
Elle rougit un peu.
– Je regarde toujours.
J’avoue que le charme de cette mère me troublait un peu et j’éprouvais comme…
Une sorte d’excitation à l’entendre parler de ce sujet.
– Madame, que voulez-vous que je fasse exactement ? Aucun geste médical ne peut
Vérifier si votre fils peut éjaculer ou pas.
– Et un geste non médical ?
– Je ne pratique pas. Je suis médecin.
Elle se tut quelques secondes. Je m’apprêtais à rejoindre le fils qui devait
M’attendre dans la pièce à côté lorsqu’elle me retint par le bras.
– Je peux assister à l’examen de mon fils ?
– Si votre fils vous y autorise.
– Alors pas de problème.
Elle me suivit sans demander son reste. Nous trouvâmes le jeune homme en slip,
Assis sur la table d’examen. Il avait un corps très mince, un ventre plat et
Étroit, presque féminin, d’un blanc laiteux et presque totalement imberbe.
Seuls quelques poils bruns couraient verticalement sous le nombril. Ses jambes
Étaient aussi dénuées de poils.
Je regardai la mère, lui intimant de poser la question à son fils. Ce qu’elle
Fit :
– Mon chéri, cela te dérange si je reste pendant que le docteur t’examine ?
Le fils, qui regardait sa mère comme s’il ne connaissait qu’elle, fit non de la
Tête.
Je demandai au jeune homme de monter sur la balance, puis d’aller contre la
Toise. Puis, je le fis mettre debout devant moi, pour vérifier sa stature,
L’horizontalité de ses hanches très étroites, et son dos. Je ne pouvais
M’empêcher de jeter un regard régulier sur la mère qui se tenait debout et qui.
Reluquait son fils avec un regard qui ne prêtait guère à confusion : elle ne le
Regardait pas comme une mère regarde son enfant, elle le regardait avec un
Désir physique. Ses yeux s’attardaient sur le corps de son fils en des endroits
Bien particuliers, son torse, son ventre, son bas-ventre et en particulier
Juste en dessous.
Quant à moi, j’oscillais entre la gêne de voir devant moi une situation que je
Jugeait incestueuse, une mère désirant son fils, et une sorte d’excitation.
Cette femme était très belle, de taille moyenne, brune, les yeux bruns, les
Cheveux mi-longs. Alors que j’avais fait asseoir son fils sur la table d’examen
Et que je l’auscultais, elle prétexta avoir chaud et défit sa veste. Elle se
Retrouva en débardeur blanc, moulant une poitrine de taille moyenne, bien
Faite, et un petit ventre un peu renflé sous la ceinture du pantalon. Je pensai
Alors que j’aurais été très heureux d’examiner aussi madame… Pendant quelques
Second, je ne pus détacher mon regard de la peau blanche de ses bras nus.
Elle contourna la table et vint se placer face à moi.
– Allonge-toi, dis-je au jeune homme.
Il s’exécuta, s’étendit sur le dos, dépliant ses jambes et allongeant ses bras
Le long de son corps. Sa mère et moi nous tenions de part et d’autre de la
Table d’examen et donc de son corps. La mère avait posé ses mains sur le bord
De la table, effleurant les avant-bras de son fils. Quant à son
Regard, il flottait entre le ventre plat et laiteux de son fils et son slip.
Je pris la tension du jeune homme, puis rangeai le tensiomètre.
Je commençai à palper son ventre, d’abord doucement, puis plus profondément,
Sondant son estomac, son foie, puis les intestins.
– Il a le ventre souple ? Me demanda la mère.
– Oui, ça va. Je ne te fais pas mal ? Fis-je en m’adressant au jeune homme.
Il fit non de la tête. À peine eus-je levé ma main de son ventre que sa mère y
Avait posé la sienne sous le nombril de son fils et appuyait en commentant :
– En effet, il est souple et tout doux.
Le jeune homme parut gêné, il rougit, mais ne dit rien.
– Bien, peux-tu enlever ton slip ? On va vérifier que tout va bien.
À ma demande, et toujours sous le regard de plus en plus avide de sa mère, il
Fit glisser son slip le long de ses jambes. Sa mère le récupéra et le posa sur :
Une chaise avec le reste de ses affaires.
Le jeune garçon se rallongea, le sexe à l’air entouré de poils frisés, entre sa
Mère et moi.
– Il est bien développé, Docteur ?
Sans répondre, je pris le pénis du jeune homme entre mes mains, et le palpai,
Puis décalottai. J’eus un peu de résistance pour retrousser le prépuce et
Sortir le gland. J’insistai un peu, et décalottai finalement. Mais aussitôt, je
Remarqua un début d’érection. Cela est normal chez certains patients
Sensibles. Regardant alors la mère, je vis ses yeux rivés sur le pénis de son
Fils.
Elle posa alors doucement sa main sur le ventre de son fils et dit d’une voix.
Douce et surtout sensuelle :
– Ne sois pas nerveux, mon chéri, le docteur regarde si tout va bien.
Et elle garda sa main sur le ventre du jeune homme.
Je palpai maintenant ses testicules, un par un, les pressant sous mes doigts.
J’éprouvai une excitation grandissante, ne sachant faire la part des choses
Entre une mère très désirable et ce corps imberbe dont l’érection devenait
Flagrante.
La main de la mère tremblait légèrement, elle se promenait sur l’estomac de son
Fils. Elle ne disait plus rien, mais je sentais que sa respiration c’était
Accélérée. Je pensai soudain que sa culotte à elle devait être humide. La
Pensée me vint que si je lui demandai de se déshabiller maintenant pour
L’examiner à son tour, elle dirait peut-être oui, rien que pour être vue par
Son fils. Et alors, je pourrai pousser l’examen un peu plus loin…
Elle regardait la verge de son fils, droite, assez longue et épaisse. En
Vérité, l’organe était démesuré pour un jeune homme. Une femme de 45 ans aurait
Été largement comblée par un tel engin.
La mère avait le visage rouge, d’un rouge de plaisir. Elle ne pouvait plus
Cacher son excitation, elle me regardait. D’une voix tremblante, elle demanda :
– Alors Docteur, tout va bien ?
– Ce jeune homme a l’air en pleine forme sexuelle, oui. Il a une copine ?
– Non. C’est bien dommage qu’aucune femme ne profite de cela. Je me demande
Même s’il sait s’en servir.
Elle me fit un clin d’œil, que je lui rendis aussitôt. Je venai de basculer de
L’autre côté. Mon désir avait pris le dessus sur mon intégrité de médecin.
– Il suffit de lui demander, dis-je.
– Hé bien chéri, le docteur te demande si tu sais comment te servir de ton
Pénis avec une femme ?
Le jeune garçon bafouilla un peu, puis osa une réponse :
– Euh… J’imagine, oui.
Son érection devenait démesurée, son gland était rouge, on aurait dit qu’il
Allait éclater. Et cette épaisseur…
– Sais-tu ce qui se passe lorsque ta verge est en érection ? Sais-tu ce qu’il
Se passe après ?
– Euh… Oui…
– Et comment dois-tu t’y prendre pour avoir une relation sexuelle avec une
Femme ?
La question le gênait visiblement, mais son érection ne diminuait pas, ce qui
Signifiait qu’il était très excité aussi.
La mère me regarda, essoufflée :
– Vous voyez, il ne sait rien. Il faut lui expliquer, Docteur. De toute façon,
On ne peut pas le laisser comme cela, avec ce sexe qui doit lui faire mal.
Il faut le soulager.
– Oui, mais comment ?
– Je lui dirai bien de se masturber, mais c’est dommage que personne ne profite
D’un pénis de cette taille. Il faudrait qu’une femme s’occupe de lui.
Je fis semblant de réfléchir :
– Hum… Ma secrétaire est partie, on est en fin d’après-midi. Mais…
Peut-être qu’avec vous il se sentirait plus à l’aise, non ?
– Oui… Fit la mère, faisant semblant d’hésiter. Hein mon petit chéri ?
Tu veux bien que je m’occupe de toi ?
Le jeune homme fit oui de la tête.
– Bien, Madame, fis-je. Déshabillez-vous. Au moins le bas.
Elle commença plutôt par enlever le haut, son débardeur puis son soutien-gorge,
Dévoilant une poitrine bien faite et un torse très blanc de femme brune.
Puis, elle descendit et retira son pantalon, montrant des jambes rondes de
Femme mûre. Enfin, elle fit glisser sa culotte, montrant une chatte bien poilue
Et humide. Lorsqu’elle se retourna, je vis ses fesses blanches et larges, ainsi
Que quelques poils qui s’échappaient entre les deux lobes.
Maintenant, c’était moi qui bandais comme un dingue.
– Jeune homme, descend de la table, ta maman va s’allonger à ta place.
Je descendis le bas de la table et sortis une paire de jambières, permettant à
La femme de se placer en position gynécologique, jambes relevées et cuisses
Écartées. Je fis un bref examen de la mère, palpant son ventre replet, chaud et
Souple, puis introduisis deux doigts dans son vagin déjà trempé pour vérifier
La souplesse des tissus. Faisant un peu basculer son bassin, je découvris son
Anus, couvert de poils. Puis, je fis signe au jeune homme de s’avancer.
Il était debout, la verge pointée en avant. La mère l’appela :
– Viens mon bébé, viens entre mes jambes. Ne sois pas timide, viens avec ta
Maman.
Il s’avança entre les cuisses de sa mère.
– Caresse mon ventre et mes seins, allez.
Il posa ses mains sur les chairs un peu flasques de la femme, puis malaxa,
D’abord maladroitement puis avec plus d’assurance. La mère saisit le pénis de
Son fils dans sa main et le guida vers sa vulve. Moi, derrière le jeune homme,
Je m’assurai que la pénétration était complète. Une fois au fond du ventre de
Sa mère, je lui dis de faire de l’aller-retour, d’abord doucement, puis de plus
En plus vite.
– Fais-moi des bisous, fit la mère.
Alors le jeune homme se pencha et colla son ventre contre celui de sa mère.
Et ils joignirent leurs lèvres comme deux amants.
Le jeune homme poussait de plus en plus fort dans le ventre de sa mère.
Celle-ci gémissait. Le halètement et les cris s’accélérèrent jusqu’à
L’explosion, ce qui les laissa tous les deux l’un sur l’autre, mêlant leur
Sueur odorante et l’odeur de sperme.
Je fis retirer l’adolescent et contrôlai surtout le vagin de la mère pour voir
La consistance du sperme.
– Tout va bien, Madame. Votre fils à un sperme bien épais et en grande
Quantité. Pas de douleur à la pénétration ?
– Non, parfaite. Les parois du vagin sont bien comprimées.
– Levez-vous, Madame, et nettoyez votre fils.
La mère se leva, toute nue, et s’accroupit devant son fils, sa bouche à hauteur.
Du sexe du jeune homme qui commençait à se détendre. Elle le prit dans sa
Bouche et lécha le sperme qui restait accroché sur le gland.
– Hum… un goût si bon… dit-elle.
– Bon, hé bien vous pouvez vous rhabiller tous les deux.
Ils se rhabillèrent sans mot dire, rêveurs ou bien gênés ?
Ensuite, ils me rejoignirent dans mon bureau. Je leur confirmai que tout allait
Bien pour le jeune garçon, sur tous les plans. Ils me dirent au revoir, avec
L’intention de revenir régulièrement, et s’éloignèrent, la mère tenant son fils
Par l’épaule. Que se passa-t-il à la maison ? À vous d’imaginer…
Brigitte
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