Ce matin là quand Babeth se rend à l’office pour le petit déjeuner c’est la surprise pour tous ceux et celles qui déjeunent.
Elle est vêtue d’un legging fushia fluo qui la moule, d’un top bandeau blanc qui laisse le haut de la poitrine et une partie du ventre visibles, d’un blouson simili cuir fushia qu’elle a laissé ouvert, elle a chaussé des escarpins à talons assez hauts de couleur assortie.
Les vêtements qui appartenaient à une des filles de Marie étaient posés sur son lit quand, comme d’habitude, Marco l’a ramenée mais cette fois sans l’enfermer à clé dans le petit logement qu’elle occupe dans la tour nord.
Ce matin en attendant qu’il vienne la chercher pour le petit déjeuner et sans se poser de questions elle les a enfilé.
Mais visiblement elle ne porte pas de sous-vêtements, on devine la forme des mamelons de ses seins à travers le tissu du vêtement.
Les employés s’étonnent, elle leur annonce qu’elle quitte les lieux pour aller séjourner dans une grande ville pour y commencer une nouvelle vie, c’est ce que lui a dit le sbire sans donner plus de détails.
Elle ne répond pas aux nombreuses questions, Marco lui a coneillé de laisser les employés dans le flou concernant son avenir.
On lui dit qu’on la regrettera, pour une fois elle répond et rétorque que ce n’est pas elle mais son cul qui leur manquera, qu’ils n’ont pas à se plaindre car ils en ont bien profité.
Marie vient l’embrasser, elle lui dit qu’elle l’aimait bien et que le traitement avilissant qu’elle a du supporter la peinait, qu’une très jeune fille comme elle ne méritait pas de vivre ça.
Une fois le déjeuner terminé Mario lui demande de le suivre, avant de franchir le pas de porte côté entrée de service il lui met un foulard sur les yeux.
Ainsi elle quitte son lieu de captivité sans savoir que c’est un château, elle n’a vu ni l’extérieur ni les hectares de forêts et les grandes parties de terrain en herbe entourés de hauts murs.
La voiture roule pendant un long moment, pendant le parcours elle constate que souvent le véhicule s’arrête ou avance lentement, Elisabeth en déduit qu’ils sont pris dans les bouchons sur un axe fréquenté de la région parisienne.
Quand Marco gare enfin la voiture puis retire le bandeau qui la rendait aveugle, une fois sortie du véhicule et interprétant ce qu’elle voit en regardant autour d’elle, elle est certaine qu’ils sont arrivés dans une grande ville proche de Paris.
Elle trouve que c’est bien pensé et que qu’évidemment son maître n’allait pas la faire travailler dans un trou perdu avec peu de clients.
Le sbire lui explique pourquoi son maître a choisi cet endroit.
«là tu vois que nous sommes garés sur un grand parking ce qui est pratique pour se rendre dans le quartier proche et dans le centre ville. Pas très loin il y a une gare et également divers types de transport à proximité, ce qui permet d’attirer des clients résidants assez loin!
– je constate que mon maître ne laisse rien au hasard!
– effectivement! on est en ville avec des commerces proches. Tu peux voir un peu plus loin un grand parc. Ton logement se trouve dans l’immeuble situé en face du parc donc tu as une belle vue!
Elle regarde longuement dans toutes les directions pour se repérer.
Marco sort une valise du coffre.
– viens! suis moi!
Ils sortent du parking et attendent sur le trottoir que le feu passe au vert pour les piétons afin de traverser l’avenue qui leur fait face puis ils empruntent le trottoir pendant une centaine de mètres avant que son accompagnateur ne s’arrête devant un immeuble à la façade ancienne bien entretenue.
Il sort un badge puis ouvre la porte d’entrée métallique et vitrée dont le style correspond à la façade, des plaques de sociétés et de pratriciens dans le domaine médical sont fixés sur le mur de chaque côté de la porte.
dans l’entrée il montre une des boîtes destinées au courrier.
«c’est la tienne!
– je vais recevoir du courrier?
– comme tout le monde, certainement de certains organismes!
– ce n’est pas mon nom qui est inscrit!
– je vais t’expliquer quand nous serons dans l’appartement qui te servira de baisodrome!
Elle pense qu’elle va cohabiter avec une autre prostituée.
– que veulent dirent les lettres sous le nom après conseillère?
– ici il y a pas mal de sociétés, un médecin, des infirmières et autres alors pour ne pas éveiller les soupçons vu que tu vas beaucoup recevoir nous avons mis des lettres qui font penser à la société censée t’employer.
Babeth se tait vu qu’elle est conditionnée pour obéir et vendre son corps.
Marco néglige l’ascenseur et emprunte l’escalier jusqu’au troisième étage, là il regarde les plaques indiquant les numéros d’appartement et stoppe devant l’un d’eux.
Il sort des clés de sa poche et ouvre la porte, Babeth le suit et entre dans l’appartement.
Curieuse elle en fait rapidement le tour: un couloir d’entrée, à gauche une salle, à droite une cuisine, à côté des toilettes puis une chambre et une salle d’eau.
Par la fenêtre de la salle elle voit que l’appartement comprend un balcon.
Ce qui la surprend dans la chambre et le couloir ce sont les cadres la montrant nue posant dans différentes positions, les vues sont des agrandissements de clichés pris dans le but de lui constituer un book par un photographe lors de son perfectionnement sous la coupe de Tania une ancienne prostituée.
L’appartement qui lui semble avoir été entièrement rénové récemment est meublé dans un style moderne ce qui plait à la putain.
Pour faire un peu lupanar concernant les couleurs il y a beaucoup de rose surtout dans la chambre (peinture des murs, double rideaux, dessus de lit et oreillers).
Le sbire pose la valise sur la table et l’ouvre, il en sort une enveloppe.
«je t’explique: dans cette enveloppe il y a des documents qui te donnent un existence légale ici!
Babeth l’ouvre et étale tous les papiers puis curieuse les compulse pendant que Mario n’arrête pas de commenter sans qu’elle l’interrompe.
– tu as une carte d’identité à ton nom: tu t’appelles dorénavant Anya Novy née il y a 19 ans à Bruxelles de mère Belge et de père roumain, ça tu dois l’incruster dans ta mémoire pour être capable de le sortir à n’importe qui sans réfléchir.
– ceci est le bail de location de l’appartement à ton nouveau nom.
– voilà des fiches de paie, comme je te l’ai déjà dit tu es employée comme conseillère dans la société HSV Electronics et tu recevras une feuille de paie tous les débuts de mois. Pour information c’est un emploi fictif dans une des sociétés qui appartiennent à ton maître.
– recevant un salaire automatiquement tu es inscrite à l’urssaf, tu côtises entre autre à la sécurité sociale, aux caisses de retraite et à divers organismes.
– là ce sont les documents concernant ton compte bancaire qui est approvisionné avec ton soi-disant salaire. Sont automatiquement prélevés le loyer de l’appartement, l’eau, l’électricié et tes frais courants. Nous le gérons.
– je ne peux donc pas y toucher?
– si! avec la carte bancaire à débit limité pour faire quelques courses avec une limite de deux cents euros par mois!
– ce sera déjà beaucoup vu que vous avez organisé ma vie pour que je ne me soucie de rien.
– ranges les documents après les avoir bien lus car tu peux en avoir besoin en cas de besoin et tu dois savoir de quoi tu parles pour ne pas faire d’impair.
– d’accord! mais tout cela est si soudain monsieur, il faut que j’assimile toutes les infos et je constate que vous m’avez bien vieillie!
– C’était nécessaire pour éviter les problèmes car ton physique peut amener tes clients et d’autres personnes à se poser des questions.
– je comprends!
– je t’ai aussi mis un carnet pour que tu marques tes rendez-vous et toutes les sommes gagnées. j’ai noté dedans mon téléphone et celui de l’appartement!
Le sbire sort des boîtes de la valise.
– ça se sont des préservatifs! tu vas en avoir besoin.
– je dois en mettre à tous les hommes?
– Tu verras! sur une feuille il y a les tarifs pour tes prestations avec ou sans protection et c’est aussi toi qui vois! s’ils te paraîssent sains ou pas et tu peux négocier un supplément pour le non port de capote.
Il continue à énumérer et commenter en déballant ce qu’il a amené.
– dans ces boîtes achetées en pharmacie il y a des éponges à enfoncer dans ton vagin et un flacon d’huile essentielle, tu les utiliseras en te référant à la notice ce qui te permettra de faire l’amour à tes clients pendant tes règles.
– super! je ne devrais pas rester plusieurs jours à ne rien faire et ne pas gagner d’argent.
– gardes la valise, ranges les fringues de putain qui sont dedans, elle te servira pour le linge sale que je prendrais deux fois par semaine en t’apportant tout ce dont tu as besoin.
– vous avez tout organisé, il ne me reste pas grand chose à faire.
– juste sortir pour acheter du pain car le frigo et les éléments de cuisine sont pleins.
– j’ai le droit de sortir monsieur?
– oui! quand c’est nécessaire ! si nous nous apercevons que tu abuses et que tu risques de nous poser des problèmes les sorties seront supprimées et il est possible que je te ramène là où tu étais captive!
– ayez confiance en moi, je ne vous décevrais pas monsieur!
– si tu négocies des suppléments tu as le droit d’aller t’acheter des choses qui te semblent nécessaire à concurrence de deux cents euros par mois!
– c’est gentil de me permettre ça!
– fais connaissance avec ton appartement, imprègnes toi des lieux car cet après-midi tu as deux clients.
– j’ai hâte de me mettre au travail!
– quelque chose à demander avant que je ne parte?
– il y a un balcon! il m’intéresse pour m’aérer entre deux clients! pouvez vous m’amener une petite table et disons deux sièges?
– je vais faire le nécessaire! tu vois je m’occupe de ton confort!
– merci monsieur!
– avant de te quitter une dernière chose! si ton maître est satisfait de ton travail et de tes gains tu auras droit à des vacances pendant les périodes où les gens sont en congé: quinze jours en aôut, une semaine fin décembre et une semaine en février!
– c’est gentil de sa part mais je ne saurais pas où aller!
– dans une des propriétés qu’il possède en bord de mer ou à la montagne et pour te reposer pas pour te prostituer! mais ça on en reparlera en temps utile!
– j’ai à faire! je te laisses! tu as le temps de te préparer et de mettre une tenue suggestive!
– au revoir monsieur! je vais préparer mon repas puis mettre une tenue affriolante pour plaire à mes premiers clients!
– à dans trois jours»
Marco sort de l’appartement, Anya (puisqu’elle se prénomme dorénavant comme ça) est un peu déboussolée de se retrouver seule.
Elle ouvre le frigo puis les portes des éléments et opte pour un repas préparé rapidement plus un yaourt.
Après une douche et s’être un peu parfumée, elle choisit un déshabillé sexy mauve un peu transparent puis en regardant la télé, d’abord excitée elle attend le premier client qui doit arriver à quatorze heures.
La sonnerie de l’interphone retentit, Anya décroche le combiné et parle avec un homme qui dit se prénommer Jonathan (ce qui est certainement faux) elle lui indique l’étage et le numéro de porte et déverrouille la porte d’entrée puis attend que le client sonne à la porte de l’appartement.
C’est là qu’elle commence à stresser, la peur de se retrouver seule face à un inconnu.
Elle ouvre immédiatement et fait entrer un homme rondouillard, pas très grand et le cheveu rare qui en souriant lui dit simplement bonjour.
Pendant qu’il la regarde attentivement de la tête aux pieds elle lui sourit essayant de faire bonne figure puis elle se décide à parler.
«bonjour Jonathan! moi c’est Anya! j’espère ne pas te décevoir et te donner tout le plaisir que tu es en droit d’attendre de moi! suis moi nous serons mieux dans la chambre!
Il la suit et arrivés dans la pièce elle se retourne vers lui.
– l’endroit te plait?
– ce n’est pas mal!
Elle retire son déshabillé.
– je te plais?
– tu es aussi belle que sur les photos de ton blog et tu paraîs très jeune!
– j’ai dix neuf ans, mais c’est bien pour toi que je paraîsse aussi jeune, si tu aimes tu auras l’impression de faire l’amour avec une adolescente.
– le sexe avec une écolière j’en rêve mais ce ne serait malheureusement pas décent!
– tu me donnes mon petit cadeau ensuite nous pourrons passer aux choses sérieuses!
L’homme sort des billets d’une poche de sa veste et les tend à la prostituée qui rapidement s’assure que le compte y est, elle met ses gains dans le tiroir du chevet après avoir demandé au client de se dévêtir.
La putain s’assoit sur le lit et attend que Jonathan la rejoigne, elle ne se focalise pas sur ses rondeurs et son ventre proéminent.
Il voit qu’elle a sorti une boîte de préservatif.
– je t’ai payé le tarif pour une relation sans ce machin!
– excuses moi chéri! c’est un geste machinal! tu as raison! allonges toi à côté de moi!
il fait ce que la putain veut, les bourrelets de graisse s’étalent sur le lit, elle se met à genoux à côté de lui puis tout en caressant son corps elle lui fait des bisous sur les joues et dans le cou.
Lui essaie de peloter ce qu’il peut du corps de Anya sans qu’elle se dérobe.
La main de la jeune fille descend vers l’entre-jambes et finit par arriver sur la pénis qui est bien érigé bien que pas de grandes dimensions mais ça elle s’en fiche.
– tu aimes les fellations chéri?
– à un point que tu n’imagines pas!
Alors en s’appliquant elle embrasse puis lèche la verge satisfaite d’entendre l’homme exprimer son plaisir bruyamment.
Quand elle prend le membre dans sa bouche ses mains se crispent sur les épaules de la putain et elle n’a pas besoin de sucer beaucoup avant que le pénis s’agite et que le sperme coule dans sa bouche.
Elle abandonne le sexe de son client pour cracher puis s’essuyer utilisant une serviette de toilette qu’elle avait posée sur l’oreiller.
Rapidement elle prend le pénis dans une main et le masturbe car il a un peu perdu de sa superbe.
apidement lhomme bande de nouveau, elle s’allonge sur le lit.
– viens sur moi chéri!
Il s’exécute mais son ventre proéminent le gêne pour positionner son pénis contre la vulve, saisissant le membre avec une main elle l’aide.
Il s’avachit sur elle pendant qu’elle sent la verge s’enfoncer dans son corps.
Il remue en soufflant beaucoup et comme il pèse sur elle, voulant l’accompagner, elle a des difficultés pour faire bouger son bassin.
Ne se trouvant pas dans une situation confortable elle demande à Jonathan de se retirer lui disant qu’elle va lui faire quelque chose qu’il va aimer.
Quand il est couché sur le dos elle se met à califourchon sur lui et s’enfonce la queue dans sa vulve puis fait bouger son corps, pendant que le membre va et vient dans le ventre de la putain il en profite pour lui peloter les seins et agacer les mamelons.
– tu aimes?
– c’est trop bon! continues.
Elle accélère la cadence espérant que le coït ne va pas s’éterniser et est surprise quand mettant les mains autour de son cou il l’attire contre lui et écras les lèvres contre les siennes. Sa langue force le passage et pénètre dans la bouche de la fille qui ne peut pas faire autrement que de faire jouer elle aussi la sienne.
Pendant qu’il lui roule une pelle sa queue tressaute et du sperme se répand dans le ventre de la prostituée qui continue un peu à faire bouger son bassin.
Le membre ramollit, elle se retire et essuie son sexe pendant que son client reste immobile à la regarder.
Comme c’est son travail et surtout qu’il a payé pour ça elle recommence à caresser le sexe de l’homme, triture ses testicules puis masturbe le pénis flasque.
Elle persévère pendant un bon bout de temps pour le faire bander de nouveau alternant masturbations et fellations.
Elle désespère d’arriver à un résultat quand enfin le pénis commence à grossir, elle continue à la masturber vigoureusement jusqu’à ce que ses dimensions soient satisfaisantes puis elle le suce tout en tripotant les testicules.
C’est une fellation genre « bouffeuse de bite » qu’elle fait voulant être sur que l’érection ne sera pas éphémère.
Elle aspire le gland, avale presque entièrement et brusquement puis laisse ressortir plusieurs fois la verge de sa bouche, lèche en serrant lle plus possible ses lèvres autour du membre.
Se plaçant de nouveau à califourchon sur le client elle fait ce qu’il faut pour intoduire la queue dans sa vulve et commence à faire bouger son corps, elle adopte tout de suite une cadence rapide voulant que la verge de l’homme reste érigée.
Anya fatigue, son dos est en sueur car elle doit s’acharner longtemps à donner du plaisir à Jonathan, la cadence des coups de reins qu’elle donne pour faire coulisser le pénis dans son ventre est soutenue et rapide.
Enfin son client pousse un râle et se raidit pendant que la putain ressent les tressauts du membre en elle mais peu de sperme coule.
Elle se retire, essuie son sexe et celui de l’homme qui après quelques minutes se lève et de rhabille;
«c’était bien bon! j’ai bien aimé!
– ce que tu me dis me fait bien plaisir chéri! mais je suis là pour ça!
Pendant qu’il finit de remettre ses vêtements la prostituée renfile son déshabillé pour raccompagner l’homme jusqu’à la porte de l’appartement.
Avant qu’il ne la quitte elle lui fait une bise sur la joue, il la regarde fixement et pris d’une inspiration lui dit:
– tu fais bien l’amour mais à cause de ton physique j’ai quand même eu l’impression de faire ça avec une gamine.
– c’est que tu voulais et comme je parais plus jeune que mon age cela va dans le sens de ton fantasme, ton imagination a fait le reste.
– peut’être mais c’est une sensation agréable!
– si tu reviens me voir, pour te plaire et parce que c’est ton fantasme (elle pense que c’est plus que ça) je m’habillerais et me comporterais en écolière.
– ha oui! je reviendrais rien que pour ça! je te donnerais un billet en plus! 50 euros te conviennent!
– oui! merci d’avance! comme ça chacun de nous aura son petit plaisir! Précises bien que tu souhaites avoir une relation avec une écolière quand tu prendras rendez-vous, je comprendrais.
– d’accord! alors à bientôt»
Il part heureux le sourire aux lèvres.
Louloute
Ajouter un commentaire