Leurs envies de sexe en berne les mâles se désintéressent d’Anya, tout en commentant leurs exploits (?) avec elle transformée en furie avec les produits qu’ils lui ont fait avaler.
Ils vont commencer à prendre l’apéritif quand deux femmes font leur apparition, l’une est grande et blonde, l’autre de taille moyenne aux gros seins est brune.
Elles ne sont pas jeunes mais sous leur blouson ouvert leur mise, legging et maillot ajustés, montre que leur physique est plaisant bien que la brune soit beaucoup trop maquillée.
Aussitôt arrivées et après avoir salué les mâles elles s’intéressent à Anya qui bien en vue et à genoux, poignet gauche attaché à la cheville gauche et poignet droit attaché à la cheville droite, est toujours dans la position inconfortable et humiliante dans laquelle les hommes l’ont mise.
«c’est ça la putain que vous avez louée cette fois çi?
– oui! bandante vous ne trouvez pas les filles?
– effectivement c’est loin des “quelconques” que vous trouvez habituellement!
– ça arrive parfois de faire une bonne affaire!
– c’est une gamine!
– c’est d’autant plus intéressant pour nous qu’elle paraisse si jeune!
– surtout pour vos bas instincts de mâles dépravés!
– cela ne vous dérange pas de profiter vous aussi des femelles que nous louons!
– c’est vrai! et si nous sommes là c’est pour nous amuser un peu avec votre esclave du weekend!
– allez y! elle est à vous jusqu’à ce que nous allions dormir mais physiquement elle n’est plus en bon état après ce que nous lui avons fait subir! les potions que nous lui avons fait prendre ont eu un effet beaucoup plus important que souhaité!
– on s’en arrangera! le but c’est de s’amuser un peu nous aussi!
Les deux femmes s’approchent de la prostituée, pelotent sans délicatesse sa poitrine, torturent les mamelons ce qui la fait tressaillir plusieurs fois à cause de la douleur.
Elles écartent ses jambes puis ses fesses avec deux mains.
– bande de salopards vous l’avez bien défoncée! son cul et sa moule ressemblent à des bouches de métro!
– elle est là pour ça!
– du coup on va faire ce qu’on peut pour quand même nous amuser un peu avec elle mais elle ne pourra rien nous apporter sexuellement»
La blonde va fouiller dans son grand sac à main qu’elle avait posé sur la table, elle en sort plusieurs instruments dont des godemichets assez gros et des plus petits ainsi qu’un vibromasseur.
Deux hommes se chargent de mettre Anya dans la position voulue par les femmes, ils le couchent sur le dos mais laissent ses chevilles et ses poignets entravés de la même façon.
C’est d’abord le plug qu’il lui enfoncent dans l’anus puis, plus difficilement, le godemichet jusqu’à ce qu’il bute au fond du vagin.
Celle qui tient le vibromasseur le met en marche, elle le fait glisser sur les seins, insiste sur les tétons avant de le déplacer sur le ventre puis de le poser sur le clitoris. Le corps d’Anya n’arrête pas de tressaillir et elle gémit beaucoup sous son bâillon.
Pendant ce temps l’autre femme fait aller et venir les queues de substitution dans la vulve et le cul, elles s’acharnent torturant la prostituée pendant un moment tout en guettant ses réactions.
Si son corps s’agite beaucoup ce qui se remarque c’est surtout son visage ravagé, comme elle est bâillonnée les sons qui sortent de sa bouche pendant qu’elle est torturée sont bien atténués.
Les deux femmes jubilent et rient fort quand survient le premier orgasme, ils en tirent encore deux de leur victime avant de juger que dans l’état où Anya est elles ne s’amusent pas beaucoup.
Elles rangent leurs instruments et se joignent aux hommes qui les regardaient faire, pour eux si le spectacle qu’ils viennent de voir les a amusés il ne leur a pas donné de nouvelle envie car aidés par la prostituée en rut et les pilules qu’ils avaient avalés ils sont complètement vidés de leur sperme, le moment est venu pour eux de boire l’apéritif puis de manger.
Anya trouve que leurs conversations portant sur le sexe et leurs exploits ne sont pas intéressantes, leurs rires forcés sont également énervants.
Repus ils continuent à boire et sont bien éméchés pendant que la prostituée abandonnée à son sort trouve le temps long.
Enfin on se soucie d’elle, plusieurs fois un des participants vient retirer le bâillon qui réduit la putain au silence et enfonce dans sa bouche des aliments qu’elle mâche et avale difficilement vu qu’elle n’est plus très lucide. Quand il la fait boire une partie du liquide coule sur ses joues.
Un des participants se lève et dit qu’il est temps pour lui d’aller dormir, les autres personnes décident d’en faire autant.
C’est là qu’ils se préoccupent du sort de leur souffre-douleur et une discussion s’engage: quoi faire d’elle pour la nuit.
Imbibés par l’alcool et n’étant plus trop en état de réfléchir ils décident de la porter jusqu’à l’habitation en s’y mettant à plusieurs.
Puis toujours bâillonnée, les poignets et les chevilles attachés ensemble dans son dos elle se retrouve couchée sur le ventre avec les jambes repliées et les bras étirés vers l’arrière, elle va devoir s’acommoder de cette situation: rester dans cette position sur le gazon près de la porte de la demeure.
Pour finir ils attachent au tronc d’un arbuste la laisse fixée au large collier clouté pour chien qui se trouve autour de son cou.
Personne ne se préoccupe de savoir si pendant la nuit elle va grelotter de froid bien que la température soit assez clémente, ils la laissent ainsi toujours nue.
La réfléxion d’un de ses agresseurs lui donne envie de répondre ce qu’il lui est impossible de faire étant bâillonnée: il dit tout en se moquant que dans sa position et attachée comme elle l’est près de la porte de l’habitation elle ne sera pas un bon chien de garde pendant la nuit.
Les bruits de moteurs et les phares qui éclairent la propriété sont les signes que les tortionnaires retournent chez eux.
Pendant la nuit et comme les conditions dans lesquelles on l’a mise ne sont pas confortables Anya bien que très épuisée ne dort que par intermittences.
C’est tout juste si cela la dérange quand on lui écarte les cuisses et qu’une verge pénètre dans sa vulve mais aussi son anus ce qui se répète trois fois.
Ce n’est qu’après avoir dormi pendant un petit moment et à cause de la température insuffisante qu’elle reste éveillée, ayant la chair de poule et ne pouvant pas beaucoup bouger elle ne peut que subir et attendre.
Le lendemain matin des voitures pénètrent dans la propriété, des hommes en descendent et passent devant la putain en allant retrouver le maître des lieux dans sa demeure.
A part un, ce ne sont pas ceux qui ont profité d’elle la veille.
Ils s’arrêtent pour la regarder, plaisantent et rient amusés de la voir dans cette situation.
Anya est libérée de ses entraves et de son bâillon mais ses chevilles sont attachées ensemble pour qu’elle ne soit pas tentée de fuir, accroupie sur le gazon, là où elle a passé la nuit, elle peut boire le café qu’un des hommes lui a apporté et manger un croissant.
On lui dit qu’elle pue et est sale, le sperme séché colle à sa peau et en effet son odeur n’est pas agréable pour les narines.
Après lui avoir fait avaler deux gélules un homme approche une fiole de ses lèvres.
«bois tout et n’en renverse pas!
C’est tout juste s’il n’introduit pas la fiole dans sa bouche, elle boit sans savoir ce que c’est mais elle est sure que c’est un produit aphrodisiaque.
Ensuite elle est conduite bâillonnée, menottée et tenue en laisse jusqu’à une partie boisée éloignée de la demeure.
De nouveau libre de ses mouvements elle est enfermée dans un chalet genre pavillon de chasse dans lequelle elle peut faire ses besoins et se laver un peu en utilisant un robinet d’eau froide, une éponge et une serviette.
Comme la veille elle sent la chaleur monter dans son corps et surtout dans son bas ventre doucement mais régulièrement.
Les hommes viennent la chercher, elle est de nouveau bâillonnée, menottée, le collier pour chien équipé d’une laissse est mis autour de son cou.
Un des participants la tient en laisse pendant que le groupe s’enfonce dans la partie boisée et s’arrête devant un tronc d’arbre d’un grand diamètre couché sur le sol.
Des mains saisissent les bras d’Anya, elle se retrouve allongée en travers du tronc d’arbre le corps arqué, ses bras et ses jambes écartés se retrouvent maintenus par des crochets enfoncés dans le sol.
Ses bourreaux n’ont pas le temps de mettre en pratique leurs projets la concernant car il commence à pleuvoir.
Les hommes râlent car ils doivent modifier leurs plans, anya est emmenée tenue en laisse et enchaînée jusque dans le chalet.
Là elle est libérée de ses entraves et le bâillon est retiré puis elle doit s’allonger sur un matelas posé sur le sol.
Comme la veille on applique de nouveau du produit dans sa vulve, son anus et sur ses tétons.
Un flacon est ouvert et posé sur le sol à côté de sa tête, les hommes parlent entre eux et elle apprend qu’il contient du poppers, l’effet du produit est très rapide.
Anya ressent la chaleur qui a envahi son ventre augmenter progressivement, la mouillure commence à couler de son intimité et ses envies de bite augmentent.
Maintenant et comme la veille ce qu’on lui a fait ingurgiter fait de plus en plus effet et agissant comme espéré fait d’elle une furie avide de sexe.
Son bas-ventre est torturé par les envies, la mouillure coule de son vagin, sa vulve et son anus sont dilatés.
Son cœur bat la chamade, dans ses moments de lucidité Anya se dit que c’est pire que la veille et qu’il ne va pas résister à l’épreuve que les hommes lui font subir.
Les participants qui de nouveau ont eu recours au viagra ou autres produits ne perdent pas de temps, ils mettent à l’air leurs membres bien érigés et se positionnent pour profiter d’elle.
Elle se tortille tout en saisissant avec ses mains et suçant goulument les verges passant de l’une à l’autre, quand elle lâche un pénis c’est pour se masturber énergiquement le clitoris qui est gonflé ou se caresser la poitrine pour le plus grand plaisir des mâles.
Elle s’agite et râle ou crie beaucoup quand ses seins sont pétri et surtout quand ses mamelons sont torturés et pincés, pour elle et dans son état d’excitation extrême plaisir et douleur se mêlent.
N’étant plus maître de son comportement c’est indépendamment de sa volonté qu’elle fait bouger son corps pour accompagner celui qui a pénétré sa vulve ou son anus, ses mouvements violents sont désordonnés et pas du tout rythmés avec les coups de reins de ses assaillants successifs.
Comme la veille ils ne résistent pas à l’envie de la prendre à trois en même temps tout en la maintenant car déchaînée elle ne reste pas en place pendant qu’ils lui défoncent la vulve, le cul et la bouche.
Devenue une bète de sexe elle ne contrôle ni son plaisir et ni ses orgasmes, victime de spasmes et jouissances à répétitions, à chaque fois son vagin s’ouvre et se referme comme une huitre en laissant s’échapper des jets de cyprine.
Ce qui lui arrive satisfait et excite ses bourreaux qui tant qu’ils bandent lui défoncent les orifices déversant leur sperme dans ou sur son corps.
Après un long moment quand les envies des tortionnaires déclinent la prostituée, à cause de son état de surexcitation, ne se contrôle toujours pas.
Voulant du sexe et encore du sexe, elle s’attaque aux verges qui se trouvent à proximité, elle masturbe les hommes et pratique des fellations endiablées jusqu’à obtenir une érection et satisfaire son besoin d’être pénétrée en permanence.
Quand les mâles n’en peuvent plus elle se masturbe le clitoris sans douceur et enfonce plusieurs doigts dans sa vulve puis les fait ensuite aller et venir à l’intérieur très rapidement.
Ses parties intimes et son anus bien ouverts dégoulinent de mouillure et de sperme.
Les mâles une fois vidés la regardent faire satisfaits du spectacle mais cela ne leur donne plus d’envies. Elle est filmée et prise en photo.
Le temps passe, enfin l’effet des puissants produits aphrodisiaques diminue progressivement donc ses envies aussi et le calme revient petit à petit dans son ventre.
Epuisée elle garde les yeux fermés et ne bouge plus, respirant vite et ayant besoin d’un bon moment de récupération.
Elle se retrouve bâillonnée, les poignets attachés ensemble dans le dos et les chevilles entravées elles aussi.
Des hommes qui sont sortis du chalet reviennent portant des paniers, ils disposent sur une table des bouteilles d’apéritif et des amuse-gueule, ensuite tous réunis autour de la table ils boivent et mangent tout en commentant et riant fort pendant qu’elle reste inerte sur le matelas.
Arrive le moment où ils décident de profiter du repas du midi que vient d’apporter un traiteur qu’ils n’ont pas laissé entrer dans le chalet.
Anya fatiguée par les nombreux orgasmes ne se préoccupe pas de ce qui se passe autour d’elle, dans un état second et les yeux fermés elle reste inerte, deux hommes la secouent.
Quand elle a un peu émergé elle est libérée de ses entraves et doit manger ce qu’on lui apporte avant d’être de nouveau attachée et bâillonnée.
Les hommes en ont terminé avec leur repas, ils décident qu’il est temps pour eux de se séparer.
C’est de nouveau porté comme si elle était un gibier qu’ils venaient d’abattre qu’elle est transportée sous la pluie qui n’a pas cessée jusque dans le bâtiment annexe.
Un à un les comparses du maître des lieux partent mais surprise il y a encore deux personnes qui en évoquant un motif futile viennent rendre visite à l’homme qui a loué la prostituée.
Loin d’être un imbécile et ayant compris pourquoi ils sont là il leur propose de profiter de la prostituée.
L’effet des drogues s’est pratiquement estompé, elle n’est plus en état de se donner suffisamment pour satisfaire sexuellement les mâles et ça son hôte l’a compris.
Il essaie un poppers au parfum agréable mais faute d’envie le résultat n’est pas satisfaisant, ils lui en trop demandé pendant la matinée.
Pendant que l’un se contente d’enfoncer sa queue dans la bouche de la prostituée, libérée de son bâillon, et de la faire aller et venir à l’intérieur l’autre lui défonce la vulve dans laquelle sa verge joue librement.
Une fois qu’ils ont joui ils échangent leurs places et si la bouche de la fille est de nouveau occupée cette fois c’est aussi son cul qui est pénétré.
Les deux mâles lui défoncent encore l’orifice buccal mais aussi l’orifice anal, ils s’activent plus longtemps avant de l’arroser de sperme puis de se désintéresser de leur victime.
N’ayant pas fait partie du groupe d’hommes ayant côtisé pour louer la prostituée ils en sont quitte pour donner chacun cent euros en compensation, ils roulent des billets et les enfoncent dans la vulve et dans l’anus.
Quand Anya les récupèrera, une fois libre de ses mouvements, ils seront bien trempés par la mouillure et le sperme.
Ce n’est qu’un peu plus d’une heure après la fin prévue de sa prestation chez ce client que Anya est libérée de ses entraves.
Après qu’elle se soit sommairement lavée avec une éponge et en utilisant l’eau d’un robinet extérieur le maître des lieux lui redonne ses vêtements.
Il n’est pas bavard et ne se préoccupe pas de son état physique, il lui dit simplement qu’elle peut s’en aller avant de regagner sa demeure sans se retourner.
Très fatiguée, des cernes sous les yeux et une mine de papier maché elle sort de la propriété, la démarche mal assurée elle se dirige vers l’arrêt de bus.
Là surprise en regardant les horaires affichés elle constate que très peu de bus circulent le dimanche. Le passage du prochain est bien trop tard, elle ne se voit pas poireauter pendant plusieurs heures.
Dépitée c’est difficilement, les jambes en coton et plusieurs fois victime d’étourdissements qu’elle doit parcourir, à pied et en faisant souvent des arrêts, les quelques kilomètres qui la séparent de son appartement tout en se félicitant de ne pas avoir mis d’escarpins à talons hauts pour venir au rendez-vous.
Une fois de retour dans son baisodrome elle se laisse tomber sur le lit toute habillée et s’endort.
Louloute
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