Cela fait un bon moment qu’Aline est captive et contrairement à sa sœur, qui était plus malléable et a été vite jugée innocente, elle passe ses journées et ses nuits enchaînée.
Le châtelain veut qui l’a fait enlever qu’elle comprenne que privée de liberté elle est à sa merci et que c’est lui qui décide de quoi sa vie sera faite .
Elle a quitté le box de l’écurie où elle vivait sur la paille et est maintenant enfermée dans un cachot situé dans le sous sol du château où les sbires l’ont amenée la tête recouverte d’un sac afin qu’elle ne repère rien des lieux.
Des chaînes dont une des extrémités est fixée dans le mur décrépi sont attachées à ses poignets et ses chevilles, une autre chaîne est solidaire d’un cercle métallique fixé autour de son cou.
Les seuls bruits qu’elle entend pendant les longs moments de captivité sont les bruits des chaînes quand elle fait des mouvements ce qui n’améliore pas son moral déjà très atteint.
Le sol de sa gëole est fait de terre battue, elle dort et s’assoit sur un bloc de pierre assez grand pour qu’elle puisse s’allonger, elle a uniquement une couverture en mauvais état pour se couvrir.
Une vieille domestique qui lui amène à des heures irrégulières ses repas et de l’eau reste toujours muette et la toise avec un regard inexpressif. Cette femme a connu le maître des lieux quand il était très jeune et lui est tout dévouée.
Aline dispose d’un seau hygiénique pour ses besoins, d’un seau remplit d’eau et d’une éponge pour se toiletter grossièrement.
Quand il trouve qu’elle pue trop Mattéo son garde chiourme, après lui avoir bandé les yeux, l’escorte l’obligeant à se laver à l’eau froide dans l’abreuvoir des chevaux parfois sous le regard de lads et grooms qui jouissent du spectacle tant que le garde du corps ne les renvoient pas à leur travail.
Quand les trois sbires sont là en même temps c’est pour s’amuser, ils l’empoignent, la plongent et la maintiennent allongée dans l’abreuvoir parfois avec la tête sous l’eau en lui disant qu’elle est crasseuse et pue.
Les gardes du corps du châtelain qui est le propriétaire des lieux savent que leur patron se désintéresse d’elle sur le plan sexuel car elle a déjà servie et lui est obsédé par la virginité.
Dans le but de commencer à la conditionner ils l’utilisent pour assouvir leurs besoins sexuels soit à tour de rôle soit ensemble, si cela leur permet de se vider les bourses le but est surtout de la briser moralement.
Ce sont les seuls moments où elle est libérée des chaînes car les trois hommes ne veulent pas être gênés pendant qu’ils se vident les couilles dans son corps.
Tout comme sa sœur Babeth devenue Anya elle a du mal a supporter d’être pénétrée par l’imposant pénis de Paolo surtout quand il l’enfonce dans son cul et lui provoque de la douleur et des saignements.
La première fois, rebelle elle était véhémente à leur encontre, les insultait et se débattait à tel point qu’ils l’ont maintenue allongée et les jambes écartées en s’y mettant à deux pendant que Marco enfoncait sa verge dans la vulve qu’il a défoncée jusqu’à se vider de son sperme dans son vagin où dans son cul.
Comme elle était suffisamment maîtrisée, chacun leur tour les deux autres l’ont également sautée, Paolo pénétrant le dernier la vulve avec sa grosse verge qui après avoir pénétrée difficilement écartelait les chairs pendant les aller retour dans l’orifice vaginal.
C’est Mattéo qui le premier a voulu enculer la prisonnière la déchirant pendant la pénétration sans préparation, se queue étant très enserrée dans le cul de la fille il a rapidement joui en arrosant les intestins de sperme.
Quand les sbires ne sont que deux elle est pénétrée après avoir été saucissonnée à l’aide de cordes. Seules ses jambes restent libres, ainsi comme elle ne peut pas bouger ils peuvent facilement les écarter même s’ils doivent employer la force.
Après un moment étant habituée à ce qu’ils arrivent à leur fin, résignée elle les laisse se soulager dans son corps: allongée sur le dos et indifférente à ce qui se passe elle écarte les jambes pendant qu’ils prennent leur plaisir ou positionnée à genoux et prise en levrette elle les laisse pénétrer sa vulve ou son anus.
Ne se sentant pas concernée par ce que les sbires lui font elle attend patiemment le moment où le pénis qui la défonce va s’agiter dans son corps et arroser de sperme le vagin ou le fondement.
Seule contrainte pour les sbires s’assurer qu’elle avale une pilule chaque jour et pour cela si au début ils employaient la force car elle était récalcitrante, maintenant elle l’avale de bon gré ayant réfléchi et ne voulant pas tomber de nouveau enceinte.
Le médecin ami du propriétaire des lieux s’assure régulièrement de sa santé.
Pour la conditionner on lui rabache qu’elle devra rembourser la dette de son ancien amant car ayant été en couple avec lui elle est sa complice.
On lui explique souvent que le seul moyen de gagner un maximum d’argent est de se prostituer, plus le temps passe plus elle assimile ce fait tout en espérant, sans y croire, que ce n’est que de l’intox et qu’ils finiront par la libérer.
Pour la culpabiliser on lui serine que sa sœur est aussi captive et que si elle n’est pas coopérative en représailles c’est Babeth qui sera torturée et mutilée.
Le temps passe, le moral d’Aline est au plus bas elle commence à accepter le sort qui lui est réservé. Petit à petit elle s’est faite à l’idée qu’elle doit assumer pour éviter que sa sœur qui est innocente paie pour une chose qui ne la concerne pas.
Ayant été la maîtresse de l’homme qu’ils recherchent mais pas coupable de son méfait elle a compris qu’elle risque de ne pas recouvrer pas sa liberté avant longtemps.
Elle commence à admettre qu’elle est devenue la propriété du maître des lieux et que devenir prostituée, si c’est vraiment ce que le responsable de son enlèvement veut, cela vaut mieux que de rester enfermée dans une écurie ou dans un cachot et maltraitée.
Pour la convaincre que la vie de sa sœur dépend d’elle on lui montre souvent une photo de Babeth nue et sale, couchée dans la paille, un collier autour du cou relié à une chaîne, les bras dans le dos et les poignets attachés ensemble.
On ne lui dit pas que cette photo a été prise uniquement pour l’impressionner, celle qui est devenue Anya avait pris la pose sans être contrainte.
Aline a compris que c’est elle qui détient les clés de la liberté de Babeth car on lui cache que celle-ci est désormais devenue une prostituée.
Elle finit par se soumettre acceptant que celui qui est devenu son maître fasse ce qu’il veut d’elle mais désire avant tout être sure que Babeth est en bonne santé et sera libérée.
Après un conciliabule avec ses trois sbires le propriétaire du château, qui prostitue Anya (ex. Babeh) et garde captive sa sœur Aline, décide d’accélérer les choses pour que l’avenir des deux filles soit définitivement réglé.
«premièrement Anya ne sera pas libérée, elle continuera à se prostituer tant qu’elle me rapportera assez!
– vu son jeune âge cela va lui faire beaucoup d’années à travailler elle va gagner beaucoup d’argent car elle est d’un bon rapport!
– oui je sais, je regarde les comptes! seule elle aura remboursé la dette en une dizaine d’années au plus! sa sœur Aline doit suivre le même chemin et le plutôt sera le mieux!
– à deux vous serez remboursé en cinq à six ans! ensuite que ferez vous d’elles?
– elles continueront a se prostituer car il ne sera plus envisageable de les remettre dans la nature! je ne peux pas courrir le risque qu’une des deux parvienne à identifier les lieux où elle a été détenue et surtout elles vous connaissent!
– vous pensez mettre les deux sœurs ensemble dans le même appartement monsieur?
– non! ce serait mauvais! chacune dans une ville différente! elles ne doivent jamais de rencontrer ni savoir qu’elles exercent toutes les deux le même métier!
– bien monsieur!
– autre chose! quand elle sera en contact avec les employés il devront fermer leur gueule et ne pas évoquer sa sœur!
– nous allons faire en sorte que tout le monde se taise en menaçant s’il le faut!
Le châtelain change de sujet.
– pour motiver les deux sœurs nous allons les faire se rencontrer mais vous devrez faire en sorte qu’elles ne se parlent pas!
– comment allons nous procéder?
– Paolo va organiser cette rencontre qui se déroulera suivant les directives que je vais vous donner! ce sera la première et la dernière fois qu’elles se verront»
Plusieurs jours passent puis Marco qui supervise Anya ainsi que Mattéo qui est chargé de briffer Aline leur tiennent à toutes les deux le même discours:
A Aline:
«nous allons te laisser voir ta sœur pour te montrer qu’elle va bien et ensuite si tu coopères et décides que c’est toi qui rembourses la dette due à notre patron elle sera libérée.
– merci pour Babeth, elle est innocente! bien que je n’y sois pour rien c’est à moi de rembourser!
A Anya, ex. Elisabeth ou Babeth:
– ton maître a décidé que tu allais rencontrer ta sœur Aline! tu pourras constater qu’elle est en bonne santé! elle sera remise en liberté si tu consens à rembourser l’argent que son amant a détourné!
– vous m’assurez monsieur qu’elle pourra partir libre? j’ai commencé à rembourser mon maître et je vais continuer jusqu’à extinction de la dette.
Les sbires fixent à chacune des filles les conditions à respecter pendant la rencontre.
– il y a des conditions à respecter! tu n’ouvriras la bouche que quand on te le dira et tu parleras uniquement de ce l’on te dira, tu n’évoqueras pas ta situation personnelle!
– d’accord monsieur! je respecterais vos ordres!
– il vaut mieux sinon ce sera vous deux qui repasserez par la case séquestration et torture puis ensuite utiliserez vos culs pour rembourser la dette de fred l’arnaqueur»
Le jour J arrive, Marco vient chercher Anya qui, pour sortir de l’immeublea revêtu un leegging rose, un tee-shirt blanc seyant et des escarpins à talons roses.
Comme d’habitude dans la rue elle ne doit pas se faire remarquer en portant une tenue provocante ou en ayant les attitudes habituelles de la prostituée qu’elle est dans sa vie de tous les jours.
Une fois assise à l’arrière dans la voiture noire aux vitres teintées elle est bâillonnée, ses yeux sont bandés et ses poignets attachés dans le dos puis c’est le voyage direction le château dont elle ignore toujours l’existence.
Pendant ce temps et après étre passée par une salle de bain, une fois propre Aline est emmenée nue dans une pièce non meublée. Elle est bâillonnée, les poignets menottés ensemble dans le dos et les yeux bandés. Elle doit s’assoir sur le sol et attendre.
Arrivée sur place Anya est conduite dans la même salle puis dévêtue.
Une fois remise debout Aline tenue par les bras est collée contre Anya puis les bras de l’une sont passés autour du cou de l’autre, les poignets sont attachés ensemble.
Les bras de la deuxième fille sont placés autour de la taille de la première et ses poignets attachés ensemble.
Ainsi seins contre seins, ventre contre ventre les deux sœurs s’étreignent sans l’avoir cherché.
Leurs bandeaux sont retirés, elles se regardent longuement et intensément les yeux embués puis les larmes coulent sur les joues.
«vous avez bien compris les conditions imposées pour autoriser votre rencontre?
Elles secouent la tête de haut en bas pour acquiécer.
Mattéo retire les bâillons.
– vous pouvez vous dire bonjour et un peu vous parler!
Chacune dit bonjour à l’autre en l’appelant par son prénom et lui demande si elle va bien, leurs réponses sont conformes à ce qui leur a été demandé de dire.
– vous pouvez vous embrasser, ça se fait en famille!
Elles s’embrassent sur les joues, les baisers sont longs, appuyés et sonores.
– pas comme ça! roulez vous des pelles!
Ne voulant pas contrarier les sbires elles collent leurs lèvres les unes contre les autres et finissent par y mettre les langues. Encouragées et disons plutôt harcelées par Paolo cela devient un très long baiser torride entre deux amantes.
En même temps elles obéissent quand Mattéo leur ordonne de se frotter l’une contre l’autre, elles le font d’abord timidement puis avec plus d’entrain.
– c’est bien mais je pense que vous avez besoin de passer ensemble un moment plus intime!
Les deux filles étonnées regardent Paolo.
– nous allons vous laisser avoir une relation intime afin que chacune de vous reparte avec un souvenir impérissable!
– monsieur nous sommes sœurs et entre personnes de la même famille il y a des choses qui ne se font pas!
– ici et aujourd’hui ça se fait! appliquez vous pour que vos ébats sexuels aient l’air véridiques, faites comme si vous êtes deux gouines en chaleur!
Elles se regardent et n’objectent pas ayant compris qu’elles n’ont pas d’autre alternative, Babeth n’a pas l’habitude de désobéir et Aline ne veut pas risquer une autre punition après celles qu’on lui a déjà infligées.
Marco et Mattéo les libèrent de leurs liens.
– allez! en piste les putains!
– où allons nous faire l’amour?
– ici! sur le sol ce sera parfait.
Debout elles commencent par s’embrasser: bisous sur les lèvres, sur les joues et dans le cou puis elles s’embrassent comme deux amantes utilisant leurs langues dans des baisers ardents.
Les hommes se demandent si c’est du cinéma ou bien de l’envie quand après s’étre caressées timidement un peu partout sur le corps les caresses réciproques deviennent de plus en plus appuyées et sur des endroits précis.
Elles s’allongent sur le sol, les doigts agacent les tétons. Les mains se promènent sur les seins, le ventre et entre les cuisses.
Elles se frottent l’une contre l’autre s’écrasant les seins.
Anya commence à mettre un doigt dans la vulve d’Aline qui la repousse et se déplace pour se mettre tête bêche au dessus de sa sœur.
Ne voulant pas être victimes de représailles elles se caressent, lèchent et embrassent mutuellement les seins avec ardeur.
Les tétons ne sont pas épargnés: sucés, aspirés, mordus avec la bouche et la langue mais aussi titillés, agacés et torturés avec les doigts.
Les yeux des sbires sont focalisés sur le spectacle et n’en perdent pas une miette, leurs pantalons sont déformés par les pénis en érection, ils doivent se contrôler pour ne pas se ruer sur les filles et se soulager de leurs envies.
Les deux filles en arrivent à se caresser le sexe puis leur bouche embrasse la vulve de la partenaire avant qu’ensuite leur langue ne pénètre à l’intérieur et s’y active léchant le plus prondément possible. Elles alternent avec le léchage et la succion du clitoris.
Comme elles ne font pas semblant de se gouiner et que cela dure un bon moment de la salive et de la mouillure coulent entre leurs fesses.
Echauffées à cause du plaisir qui monte dans leur ventre et oubliant qui elles sont l’une pour l’autre, elles ne se contrôlent plus et se donnent sans retenue.
Arrive donc le moment ou elles veulent donner plus de plaisir à l’autre et en même temps ressentir des sensations plus fortes, les doigts et les mains entrent en action.
Chacune s’en prend à l’autre masturbant le clitoris avec simultanément des doigts de la main libre qui vont et viennent en même temps dans la vulve et dans l’anus.
Là les trois hommes sont fascinés par ce qu’ils voient: les sœurs et amantes d’un jour qui se donnent sans retenue gémissent ou râlent ressentant de plus en plus de plaisir.
Arrive le moment où Anya n’en peut plus, son corps se soulève et tremble, sa vulve s’ouvre plusieurs fois comme une huître et du liquide gicle hors de son vagin.
Surprise Aline cesse de la torturer, comme babeth ne veut pas être en reste, et surtout montrer aux sbires qu’elle est obéissante, c’est maintenant elle qui subit.
Elle se met à masturber frénétiquement le clitoris de sa sœur pendant qu’avec des doigts elle fouille en même temps la vulve et l’anus avec des mouvements de va et vient rapides.
Aline se laisse aller ressentant la montée rapide de plaisir en elle jusqu’à ce que ça devienne insupportable et là elle laisse échapper un long râle pendant que son corps s’agite beaucoup et que des jets de cyprine s’échappent de son vagin.
Les hommes de main de leur maître qui les yeux brillants et le ventre en feu apprécient le spectacle les laissent se donner du plaisir jusqu’à ce que les filles aient joui chacune une deuxième fois.
Paolo sonne la fin de la récréation estimant suffisant ce dernier moment que les deux sœurs viennent de passer ensemble et qu’elles s’en rappeleront longtemps.
«ça suffit! debout les gouines! dites vous au revoir!
Dociles elles se lèvent et s’embrassent longuement sur les joues tout en s’étreignant collées l’une contre l’autre.
– vous pouvez vous rouler des pelles!
Elles obéissent, lèvres contre lèvres c’est à une bataille à n’en plus finir que se livrent leurs langues qui se cherchent et se mêlent.
Les sbires viennent les séparer sans pouvoir ou sans vraiment chercher à les empêcher de s’embrasser une dernière fois sur les joues ni de se dire au revoir et de se dire bonne chance pour l’avenir.
Elle sont bâillonnées puis doivent remettre leurs vêtements avant de se retrouver les poignets ligotés dans le dos.
Elles se regardent fixement les larmes coulent sur leurs joues avant qu’un foulard ne soit posé sur leurs yeux et noué côté nuque.
Anya (ex. Elisabeth ou Babeth) est emmenée vers la voiture dans laquelle Marco va la ramèner vers son lieu de prostitution.
Sa séquestration dans une geöle située dans les sous-sol du château prenant fin Aline est conduite par Mattéo jusqu’au petit logement dans la tour nord du château. Endroit que Babeth a occupé avant elle pendant sa période « putain du château ».
Pour elle va commencer une nouvelle phase de sa vie, ça elle le sait mais elle n’a pas de certitudes concernant le sort que lui réserve l’homme qui la retient prisonnière.
Comme il s’est présenté à elle masqué elle ne peut pas savoir qui il est, simplement que c’est le maître des lieux, les sbires lui ont dit qu’elle ne le rencontrera plus jamais.
La seule chose qui la turlupinait encore c’était sa voiture, une chose que son amant lui avait offert. Mattéo lui dit que Paolo l’a récupérée après son enlèvement, comme ça s’apparentait au recel d’un bien volé elle a été revendue dans un pays étranger peu regardant.
Louloute
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