Après avoir du tapiner pendant une semaine sur un parking surtout fréquenté par des poids lourds Aline pensait en avoir fini avec sa punition injustifiée mais Mattéo la détrompe.
«ton maître espère que tu as compris la leçon!
– oui monsieur! j’ai bien compris que je suis l’esclave sexuelle de tout le personnel et que je dois me plier à toutes les demandes!
– avant de redevenir la putain de la maison tu vas encore devoir faire tes preuves! celui à qui tu appartiens veut être certain de ta totale obéissante!
– je ne comprends pas monsieur! j’ai du mettre de côté ma fierté lorsque vous m’avez enfermée dans une cage et fait manger des aliments pour chien! ensuite j’ai perdu mon honneur quand j’ai du me prostituer! Que voulez vous de plus?
– ton maître veut te montrer que tu n’es plus rien! simplement une chose insignifiante qui obéit quelque soit ce qu’on exige d’elle! oui tu t’es prostituée et ce n’est qu’un avant goût de ce qui t’attend à l’avenir!
La fille ne voit pas d’échappatoire, depuis un bon moment elle est bien consciente qu’elle n’est plus maîtresse ni de son corps ni de son destin.
– je ferais tout ce qu’on exigera de moi! vous pouvez le dire à mon maître!
– très bien! mais dire que tu te comporteras comme l’esclave que tu es ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de nouveaux dérapages!
– que dois je faire pour montrer ma totale obéissance monsieur?
– pour commencer tu vas avoir des relations sexuelles avec des chiens!
Incrédule Aline reste bouche bée pendant un moment avant de répliquer.
– c’est une blague monsieur!
– non! c’est la suite de ta punition!
– oh la honte! c’est contre nature et encore plus humiliant que ce que vous avez exigé de moi jusqu’à maintenant!
– l’homme à qui tu appartiens, veut te montrer quelle est ta place dans la société et te faire comprendre que même un animal est un être qui a tous les droits sur toi car il t’est supérieur dans la hiérarchie!
– je ne peux pas croire que s’étant approprié ma personne celui qui a fait de moi « sa chose » comme il dit me considère comme étant un déchet humain! si je fais ça je vais tomber bien bas!
– ton maître estime que tu seras à ta juste place!
– ce n’est pas sans réticences mais puisque mon maître l’a décidé je dois obéir! je fais ça quand?
– demain matin! mais ce ne sera pas tout!
– ah bon!
– ensuite l’après midi tu devras aider les grooms avec les chevaux!
– je n’ai jamais cotoyé un cheval! je ne vais pas oser m’en approcher et je ne vais pas savoir les soigner!
– les soigner n’est pas le but!
– ah bon!
– ton maître a reçu une commande de sperme! tu vas aider à le récolter!
– je ne vois pas comment monsieur!
– fais marcher ton imagination! entre autres lécher, caresser et branler la bite d’un étalon ce n’est pas difficile pour une putain comme toi!
– mais je ne vais pas pouvoir faire pénétrer un aussi gros pénis dans ma chatte! c’est beaucoup trop gros quand c’est en érection!
– qu’est ce que ça peut me foutre! tu es là pour faire ce qu’on te dit!
Aline ne peut que se résigner et ravaler sa honte, étant devenue l’esclave du maître des lieux les humiliations font partie de sa vie mais la grosse bite d’un cheval elle ne voit pas comment ça pourrait pénétrer dans sa chatte et encore moins dans son cul.
Le lendemain matin Aline qui n’a pas bien dormi n’a que le temps de déjeuner avant d’être emmenée les yeux bandés à l’extérieur du château au grand désappointement de certains employés qui après une semaine de sevrage étaient impatients de se soulager de leur sperme dans un des orifices de leur vide-couilles.
C’est dans le chenil qu’elle se retrouve, là une fois la serviette qui la rend aveugle retirée elle doit se déshabiller puis entrer dans une cage faite de barreaux métalliques.
Se trouver à nouveau dans ce type d’endroit lui montre le très bas niveau dans la hiérarchie des êtres humains qui lui a été attribué par celui a qui elle appartient.
Satisfaire sexuellement des animaux et les considérer comme des êtres supérieurs à elle quelle déchéance pour Aline.
Mattéo s’en va la laissant aux mains de deux employés qui s’occupent journellement du chenil.
Une fois le sbire parti et étant certains qu’ils ont tout pouvoir sur elle est les hommes vont ouvrir des cages et reviennent tenant en laisse chacun un animal.
Un premier est introduit dans la cage dans laquelle la putain est enfermée.
«c’est une femelle de race Dogue Allemande! elle a ses chaleurs! tu vas te frotter contre elle pour que ta peau s’imprègne de ses odeurs!
Le chienne tourne dans la cage et bien que dégoûtée Aline doit faire ce qu’on exige d’elle, positionnée à genoux, dés que la bête commence à s’habituer à sa présence et est à sa portée elle met un bras autour de son cou et l’autre autour de son corps et sans que cela soit facile l’attire contre elle.
Elle reçoit des directives, pendant que la chienne lui lèche le visage elle frotte sa poitrine et son ventre contre l’animal en le tenant toujours le plus fermement qu’elle peut.
Elle se serre le mieux qu’elle peut contre elle, se couche sur le dos et croise ses jambes autour du corps de la chienne qui placée sur elle gigote tentant d’échapper à l’étreinte indésirable, elle met le mieux possible son sexe en contact avec le ventre de la chienne.
Elle est moins empruntée quand un deuxième chien, une femelle labrador appartenant à un des hommes, elle aussi en chaleur remplace celle avec qui elle vient de batailler.
Un peu moins empruntée et l’animal étant plus affectueux elle la tient mieux pendant qu’elle l’étreint et se frotte contre elle jusqu’à ce qu’on lui dise que cela suffit.
Son corps porte des traces des pertes sanguinolantes laissées par les chiennes et est maintenant bien imprégné de leurs odeurs qu’elle ne trouve pas très agréables.
Aline sait que l’instant fatidique arrive et que sa déchéance en temps qu’être humain est proche quand un Berger Allemand est introduit dans la cage.
S’il au début il est un peu désorienté, il ne tarde pas à s’approcher d’Aline attiré par les odeurs de femelle en chaleur, il commence à la renifler.
La truffe froide et humide se promène pendant un moment sur le corps de la fille avant d’arriver entre les cuisses et de s’y attarder.
Résignée et allongée sur le sol la fille, obéissant aux ordres qu’elle reçoit, écarte les jambes le plus possible.
Elle est étonnée de trouver ça agréable quand la langue rapeuse de l’animal commence à lècher son sexe, intéressée elle se laisse faire.
Son plaisir ne dure pas car trop rapidement les remarques et conseils fusent, on lui rappelle qu’elle est là pour le plaisir des chiens et pas pour le sien.
Elle se redresse, caresse le museau et la tête de l’animal puis son échine et ses flancs avant de passer une main sur son ventre.
Le pire c’est l’aversion qu’elle ressent quand sa main arrive sur le pénis du chien qui sorti de son fourreau est en érection, elle ne pensait pas qu’il aurait ces dimensions.
Elle doit caresser et masturber doucement le membre qui n’arrête pas de perdre du liquide, appréciant ce que la putain lui fait le mâle halète bruyamment la langue pendante.
Obéissante elle met la tête sous le ventre de l’animal qui lui est toujours debout puis embrasse et lèche longuement le pénis qu’elle n’ose pas regarder car ses couleurs allant du rose au violet ne sont pas attirantes. Profitant qu’il se tient tranquille elle suçote le gland avant de le prendre dans sa bouche.
Elle n’aime pas le gout du liquide qu’il perd toujours pendant qu’elle lui fait une fellation, par contre le chien immobile apprécie et son corps tremble.
Aline reçoit l’ordre de passer à la phase suivante, elle s’allonge et lui tenant les pattes avant elle attire le chien sur elle.
Il met ses pattes avant de chaque côté du corps de la fille, collé contre elle et bien excité il se met à faire bouger son corps comme-ci il la sautait.
Pour se conformer à ce qu’on lui demande elle doit batailler avec le chien, saisissant la verge avec une main elle parvient à l’approcher de ses parties intimes et toute honte bue elle la fait pénétrer dans sa vulve.
Là plus besoin de s’occuper de son mâle du moment dont le corps bouge rapidement, le pénis s’est enfoncé dans l’orifice et la putain le ressent bien pendant la saillie.
Peu de temps passe avant que surprise elle ne sente que le membre gonfle encore dans son ventre et repousse les chairs puis elle ne peut que constater ce qui arrive, le chien se vide de son sperme dans son vagin.
Ensuite elle met un moment à réaliser pourquoi l’animal reste immobile sur elle, la verge toujours enfoncée dans sa vulve.
C’est en entendant les hommes qu’elle comprend que le pénis est enserré dans sa vulve à cause d’une boule (qu’elle entend appeler nœud) qui s’est formée sur celui-ci avant l’éjaculation et que temps qu’elle ne dégonflera pas le sexe du mâle restera coincé dans ses parties intimes à elle.
Ne pouvant rien faire d’autre elle attend en veillant à ne pas bouger et un bon quart d’heure passe avant que le chien ne mette ses pattes avant sur elle, se retourne lui tournant le dos puis fasse l’effort nécessaire pour se désaccoupler.
Le pénis sort de la vulve avec un bruit de succion puis le sperme s’échappe du vagin et coule entre les fesses de la putain.
Un employé vient récupérer le chien qui se désintéresse de sa femelle du moment et le ramène dans sa cage.
Aussitôt le deuxième homme fait entrer un autre chien dans la cage dans laquelle Aline se trouve, cette fois elle doit s’occuper d’un Beauceron noir avec des endroits couleur feu.
Attiré par l’odeur qui se dégage d’elle il ne faut pas longtemps avant que l’animal ne vienne la renifler et la lècher promenant sa truffe et sa langue sur le ventre et surtout entre les cuisses qu’elle a gardées écartées.
Tout en léchant le sexe d’Aline et essayant d’introduire sa langue à l’intérieur il se délecte du sperme que son prédécesseur a laissé.
Un des hommes demande à la putain d’embrasser l’animal ce qu’elle a du mal à faire car il préfère continuer ce qu’il a entrepris. Elle doit se déplacer et tenir la tête du chien avec ses deux mains pour pouvoir l’embrasser sur les joues.
L’homme n’est pas satisfait disant qu’il veut qu’elle roule des pelles, la fille se conforme à l’ordre reçu.
Elle approche ses lèvres de la gueule du chien mais celui-ci sort sa langue imprégnée du sperme de son prédécesseur et la lèche et même si elle sort la sienne de sa bouche et tente de la mêler à celle de son partenaire ce n’est pas une réussite.
Les mains de la putain se promènent sur tout le corps de l’animal pour arriver et s’attarder sur le ventre et enfin sur le sexe.
Elle tient maintenant dans une main le pénis bien érigé du chien, elle caresse ou masturbe doucement avant de trouver une position correcte pour la fellation.
C’est presque de lui même qu’il se met sur le dos appréciant apparement ce que sa future femelle lui fait subir.
A genoux elle doit bien se pencher en avant et tout en tenant le pénis avec une main elle approche sa bouche puis embrasse et lèche partout le membre, ensuite elle suçote et aspire l’extrémité.
Elle enfonce le pénis dans sa bouche puis fait aller et venir ses lèvres sur le membre pendant que son partenaire reste sans presque bouger mais halète et son corps tremble.
L’ordre lui est donné de passer à la suite, elle laisse sortir le pénis de sa bouche et se met à genoux creusant les reins, écartant les jambes et essayant de bien présenter ses fesses.
Le mâle, qui a vite compris que sa femelle du moment voulait être saillie, grimpe sur elle et cherche à la pénétrer, elle a du mal à se dépétrer de la situation et à faire ce que les deux hommes lui demandent en se mettant dans une position plus adéquate.
Aussitôt il met sa truffe entre les fesses de la fille, la renifle et la lèche avant de poser les pattes avant sur son dos. Il se colle contre elle en commençant à bouger rapidement comme-ci il l’avait pénétrée.
Pressé il s’avachit sur le dos d’Aline enserrant ses flancs avec ses pattes avant mais le pénis est loin de trouver l’accès à l’orifice dans lequel il doit jouir.
Les jambes bien écartées pour faciliter l’accès à son anus ellesaisit avec une main la verge puis la place contre son anus et aide l’animal à l’introduire dans son orifice rectal.
Il ne cesse pas de faire bouger son corps pendant que son pénis ne s’enfonce pas facilement dans le cul mais comme il lubrifie en même temps l’endroit il finit par arriver à ses fins.
Aline sent le membre bouger dans son corps pendant que le chien s’active en tremblant affalé sur elle et au bout de quelques minutes le pénis se dilate et une boule écartèle les chairs de l’anus puis une bonne quantité de sperme coule dans les intestins.
L’animal cesse de bouger et reste là pendant un bon moment la verge enfoncée dans le cul de la fille car la boule qui s’est formée sur le membre empêche celui-ci de sortir.
Obligée de rester à genoux elle trouve le temps long sa position n’étant pas confortable avec le corps du chien qui pèse sur sa croupe.
En même temps elle s’est aperçue qu’en plus des deux hommes qui s’occupent des chiens d’autres employés, avertis par elle ne sait pas qui de ce qu’on lui faisait subir, sont attroupés devant la cage. Pour elle c’est une humiliation de plus.
Enfin, après plusieurs essais et en forçant un peu le mâle arrive à faire sortir son pénis du cul de la putain qui reste dans la même position laissant la semence qui a envahi ses intestins s’écouler entre ses fesses.
Le chien a été remis dans sa cage et c’est maintenant au tour du troisième qui est un Dogue Allemand noir et blanc (l’un des trois chiens qui sont de garde la nuit dans le parc du château) qui aussitôt mis en présence de la putain est attiré par les odeurs qu’elle dégage.
Comme pour les précédents elle lui laisse faire ce qu’il veut pour ne pas le brusquer, il tourne autour d’elle en la reniflant puis sa truffe se promène sur le corps de la putain avant de se fixer entre les cuisses qu’elle garde bien écartées et qui sont bien mouillées par le sperme accumulé lors des deux saillies précédentes.
Sa grande langue bien sortie il s’en prend au sexe essayant d’introduire celle-ci dans la vulve, en faisant ça il en arrive à lécher le clitoris ce que Aline trouve agréable.
Pendant qu’il est occupé à la lècher la fille caresse son corps, d’abord son dos puis ses flancs et enfin son ventre. Elle en arrive au sexe qui n’est que partiellement sorti de son fourreau et n’a donc pas encore atteint son développement maximum.
Le corps du chien tressaille, il se recule puis le moment de surprise passé il se replace entre les jambes de la fille et recommence à lécher ses parties intimes.
Elle caresse maintenant le pénis qui grossit et grandit encore, l’animal demeure immobile et respire bruyamment la langue sortie pendant que continuant ce qu’elle a entrepris elle se place différemment, d’abord pour que sa bouche soit proche de la gueule du chien.
Là il ne peut pas être question de baisers, elle ouvre la bouche et sort sa langue qu’elle met en contact avec celle de l’animal, lui se met à lécher allant jusqu’à introduire plus ou moins sa langue dans l’orifice buccal de sa femelle du moment.
Après ce moment qu’elle juge désagréable Aline obéit à un ordre qu’un homme vient de lui donner et tout en caressant partout l’animal elle arrive sans trop de mal à le coucher sur le dos.
Positionnée à genoux et penchée en avant elle s’attaque au pénis qu’elle embrasse et lèche pendant un moment avant de de le prendre dans sa bouche et de lui faire une fellation en faisant d’abord bouger sa langue pendant les va et vient lents de ses lèvres.
Elle accélère progressivement la cadence, bien qu’après un moment elle soit alertée par les tremblements et sursauts du corps du chien elle est quand même surprise quand le membre gonfle dans sa bouche puis qu’une bonne quantité de sperme envahit sa gorge.
Puisque qu’on lui dit d’avaler, dégoûtée elle le fait tout en en perdant une partie du liquide qui coule aux commissures de ses lèvres.
Une fois soulagé de sa semence le chien reste sans bouger les yeux fermés pendant qu’Aline en ouvrant bien sa bouche laisse sortir le pénis, elle constate que la boule qui s’est formée sur celui-ci est imposante et ne va pas résorber rapidement.
Louloute
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