Un employé vient récupérer le chien devenu inutile après que Aline l’ait fait éjaculer dans sa bouche. Si elle était honteuse en étant saillie, là être obligée d’ingurgiter le sperme de la bête a été une terrible humiliation.
La torture mentale à laquelle elle est soumise lui a fait comprendre qu’elle n’est plus rien et que sans pitié l’homme à qui elle appartient veut en faire un objet sexuel obéissant et capable de s’adapter à toutes les situations même les plus dégradantes.
Aussitôt un employé de son maître introduit dans la cage un autre animal car la punition de la putain du château est loin d’être terminée, il est prévu qu’Aline s’occupe encore des deux autres Dogues Allemands de couleur similaire au premier.
Une fois que le chien a suffisamment reniflé et promené sa truffe humide sur le corps de sa future femelle, elle suit les ordres qu’on lui donne et le laisse longuement lui lécher le sexe.
Elle ressent des sensations fortes pendant que l’animal s’acharne à enfoncer sa grande langue rapeuse dans la vulve mais surtout quand il la promène sur le clitoris. Même si ce qu’elle subit la dégoûte elle y prend du plaisir et ne voudrait pas que ça s’arrête.
Maintenant c’est à elle de travailler pour le plaisir de l’animal, il se laisse faire pendant qu’elle le place de façon a pouvoir accéder aisément au pénis.
La putain ne se montre pas avare en caresses, ses mains s’activent sur le corps du chien puis sur son ventre avant d’arriver sur le sexe, il frémit pendant qu’elle caresse et pelote les testicules et s’attarde sur le fourreau d’où a émergé le pénis qui a grandi et grossi rapidement bien avant qu’elle ne le touche.
Sa main s’en prend au membre en érection qu’elle caresse et masturbe doucement avant que difficilement elle ne parvienne à coucher l’animal d’abord sur le flanc puis sur le dos.
A genoux et penchée en avant elle lèche partout le pénis qui perd en permanence du liquide puis l’enfonce dans sa bouche et tout en caressant les testicules elle fait ce qu’on lui demande pratiquant une fellation avec d’abord des allers et retours lents de ses lèvres sur le membre puis plus rapides.
Elle est stoppée quand on lui dit de finir dans sa chatte et que cette fois c’est à elle de faire tout le travail.
Elle s’accroupit au dessus du chien elle fourre le pénis dans sa vulve et le tient avec une main pendantqu’elle fait bouger son corps pour le faire aller et venir dans son ventre pendant, l’animal reste immobile et pousse des petits cris.
La fille s’active tout en jetant un œil de temps en temps vers l’endroit où des membres du personnel regardent le spectacle qu’elle leur offre, leurs regards et leurs sourires en disent long sur ce qu’ils pensent.
Enfin elle sent la boule se former sur le pénis et le Dogue éjacule déversant une bonne quantité de sperme dans son vagin.
Elle doit maintenant attendre dans une position très inconfortable qui lui occasionne des crampes que le pénis perde de son volume et sorte de son ventre ce qui arrive après un moment avec un bruit de succion, le sperme coule sur le sol.
Avec le dernier chien, encore un Dogue Allemand, elle fait la même chose sauf que c’est dans son anus qu’elle introduit le pénis et de nouveau c’est une longue attente dans une position inconfortable une fois qu’il a éjaculé dans son cul avant que l’animal ne parvienne à dégager son pénis du fourreau qui l’a accueilli et dans lequel il s’est soulagé.
C’est toujours dans le chenil que Aline reçoit l’ordre de se laver à l’eau froide en utilisant des éponges et en se servant du jet qui sert à nettoyer les cages.
Son repas du midi est servi dans une écuelle et consiste en des restes, la même chose qui est servi aux chiens. Elle préfère faire l’impasse du repas mais comme cela amuse les hommes de la voir manger ce type d’aliments elle est contrainte d’en passer par où ils veulent et elle doit se forcer jusqu’à ce que l’écuelle soit vide.
En début d’après-midi Mattéo amène Aline dans une écurie, là elle voit qu’une dizaine de chevaux occupent des box.
Un lad emmène la fille jusqu’au bout de l’allée où un cheval de selle bai attend, il hennit et sa verge est totalement sortie du scrotum.
Vu la longueur et le diamètre du pénis elle ne se voit pas avec ça dans la vulve et encore moins dans le cul.
La courte longe fixée à un anneau de la mangeoire et à son licou ainsi que les sangles de cuir qui entravent ses paturons font qu’il ne peut pas beaucoup bouger, Aline comprend que les lads ont fait le nécessaire pour éviter un accident si l’animal se montre rétif.
S’il est nerveux c’est que dans la stalle voisine, simplement séparée de celle du mâle par une poutre, est enfermée une jument en chaleur. Excité par cette présence il est en rut.
Deux seaux, des éponges et des linges sont amenés, un groom explique à la putain ce qu’elle doit faire: laver le scrotum et le pénis avec le contenu du premier seau puis rincer avec l’eau du deuxième avant d’esuyer délicatement.
Tout en craignant les réactions du cheval elle fait ce qu’on lui a demandé en se penchant ou s’accroupissant sous l’animal qui cherche à se rebeller bien que l’employé resté près de lui le caresse et lui parle.
Ensuite elle obéit aux ordres qu’on lui donne. D’abord maladroitement puis en y mettant plus de conviction elle embrasse, lèche et caresse sur toute sa longueur et sa surface le pénis avant de le masturber en utilisant ses deux mains.
Elle alterne en s’occupant du gland qu’elle embrasse, lèche, suçote ou aspire.
Poussée à le faire elle ouvre sa bouche au maximum tentant d’y faire entrer l’extrémité du pénis tout en faisant jouer sa langue.
C’est ensuite pendant qu’elle frotte la verge entre ses seins après l’avoir fait contre son ventre, que le groom qui était présent à côté d’elle n’a que le temps d’enfiler sur le pénis le fourreau qu’il tenait dans ses mains.
Une fois le cheval soulagé d’une bonne quantité de semence la putain doit, à contre-cœur, lécher l’extrémité du pénis et donc profiter du sperme elle-aussi pendant que le contenu du fourreau est versé dans un récipient qui est ensuite hermétiquement fermé.
Quand la fille voit la quantité de liquide elle est contente d’avoir échappé à la douche lors de l’éjaculation.
En suivant le groom Aline quitte le box qui se trouve à gauche de celui où se trouve la jument en chaleur et pénètre dans celui se trouvant à droite de celui de la femelle, à l’intérieur un étalon alezan lui aussi en érection est entravé.
Elle refait la même chose et comme l’animal est encore plus excité que le premier elle le fait jouir plus vite, le groom qui n’a pas observé assez attentivement le comportement du cheval ne s’est pas aperçu qu’il allait éjaculer, il n’a pas le temps d’enfiler le fourreau que le cheval commence à se vider de sa semence.
Non seulement Aline a été éclaboussée mais elle est jugée fautive de ce qui est arrivé, elle doit nettoyer le gland avec sa bouche et sa langue et ensuite elle doit aussi lécher longuement l’extérieur du fourreau substitut de vagin pour le nettoyer du sperme qui a coulé à l’extérieur.
Aline est emmenée dans un box où elle se retrouve enfermée avec un poney pie.
Elle reste immobile le plus loin possible de l’animal ne sachant pas quoi faire ni ce qu’on attend d’elle cette fois.
« il s’appelle Annibal! c’est le poney de mademoiselle Ariane, une des filles de notre employeur!
Le groom qui vient de prononcer ces paroles se rend compte tout de suite qu’il a proncé un prénom qu’il aurait du taire car comme les autres employés il a reçu l’ordre de ne rien dire, la putain doit ignorer où et chez qui elle.
– d’accord! qu’est ce que je dois faire avec lui?
– d’abord le caresser et l’embrasser partout en commençant par la tête! ensuite tu caresseras son dos, ses flancs puis son poitrail avant d’en faire autant sur son sexe!
Aline se conforme à ce qu’on lui demande, sa bouche se promène sur le front, les joues et la gueule de l’animal. Le poney semble ravi après qu’elle ait longuement caressé son dos, ses flancs puis son poitrail mais quand une main de la fille éffleure le sexe il sursaute et s’agite.
Effrayée Aline recule jusqu’à la porte du box et reste sans bouger.
Deux palefreniers viennent à la rescousse pour le calmer et le faire se tenir tranquille.
Pas rassurée la putain recommence à caresser le ventre de l’animal puis le sexe en s’y reprenant à plusieurs fois à cause des réactions de l’animal, elle est sidérée quand la verge commence à sortir de son fourreau, grandit et grossit.
C’est avec les deux mains qu’elle s’active pendant que le membre prend des dimensions qui l’impressionnent (vu qu’il est nettement plus petit que les chevaux qu’elle a masturbés) et surtout elle est inquiète car cette fois il n’y aura pas de récupération de sperme donc elle sait qu’on va exiger plus d’elle.
Si elle caresse partout et longuement le pénis elle doit aussi le lécher et l’embrasser sur toute sa circonférence et sa longueur avant de s’en prendre au gland qu’elle embrasse, lèche et tente de suçoter et aspirer.
Obéissant aux directives qu’elle reçoit elle se positionne sous le poney dont le corps frémit beaucoup et frotte le sexe entre ses seins et aussi contre son ventre.
Il lui est demandé d’introduire le pénis dans sa chatte, elle écarte les jambes au maximum et comme le membre est flexible il lui est facile de l’approcher de son entre jambes, mais pour ce qui est de la pénétration c’est loin d’être évident.
A part au niveau des grandes lèvres qu’elle a écartées le gland bien trop gros n’entre pas dans la vulve, elle le frotte contre son sexe et entre ses cuisses.
Les hommes ont compris qu’ils doivent faire abstraction d’une partie de leur plaisir car vu les circonstances la fille ne pourra pas se faire sauter par le poney.
– mets ta tête sous sa bite!
– pourquoi?
– pour profiter de son sperme! suces le gland et continues à le masturber mais plus fort et plus vite! gardes la bouche bien ouverte afin de boire le liquide lorsqu’il va se vider!
– c’est dégoûtant monsieur! je ne suis pas une jument!
– une jument non mais une putain si! fait ce qu’on te demande! tu es là pour ça!
Résignée Aline s’accroupit sous le poney mais sa position n’est pas satisfaisante, elle s’assoit sur le sol ainsi elle peut positionner sa figure sous le pénis.
Elle doit en passer par la fellation tout en masturbant à deux mains vigoureusement, elle le fait tout en léchant ou suçotant le gland puis elle ouvre au maximum sa bouche et introduit un peu du pénis à l’intérieur.
Patiemment, car sa bouche ne vaut pas le vagin d’une ponette et encore moins le sien, elle fait jouer sa langue et aller et venir ses lèvres comme elle peut sur le bout de pénis tout en continuant la masturbation.
A près un moment et à son grand soulagement elle perçoit un changement dans le comportement de l’animal dont le corps frémit après s’être raidi et là arrive pour elle ce qu’elle appréhendait.
Une grosse quantié de sperme s’échappe du pénis, elle suffoque à cause de tout ce qui se déverse d’un coup dans sa bouche, une bonne partie du liquide qui sort en jet puissant coule sur son visage, dans ses narines puis sur son corps.
Ne pouvant pas faire autrement elle avale une partie du liquide puis tousse et crache pendant que les spectateurs rient satisfaits et amusés.
Escortée d’un lad Aline est autorisée à aller jusqu’à un robinet, là elle se rince un peu la bouche, se sert d’une éponge qu’elle passe sur son visage et son corps avant d’être autorisée à remettre ses vêtements.
Prévenu que la punition est terminée Mattéo fait son apparition, il bande les yeux d’Aline puis la ramène dans le château en la tenant par un bras, il passe par la porte de service et une fois arrivés à l’office il la libère du linge qui la cachait la vue.
– ton corps c’est une infection! tu vas faire fuir tout le personnel! vas te laver dans la salle de bain de la chambre où tu sers de serpillère à tout le personnel!
– bien monsieur!
Pendant qu’elle emprunte les couloirs elle entend des pas derrière elle, une personne court pour la rattraper, elle se retourne et voit que c’est Nadine.
– vous voulez quelque chose madame!
– juste te dire quelques mots!
– je ne peux pas vous empêcher de parler! je vous écoute!
– je suis contente de ce qu’ils t’ont fait! j’espère que la honte et l’humiliation ont été difficilement supportables pour toi!
– oui madame! cette situation m’a beaucoup affectée surtout que je n’avais pas mérité ce traitement humiliant!
– je n’ai pas réussi à ce que ce soit mon chien qui te saute ce qui est dommage pour lui mais là c’était encore mieux: cinq chiens à la suite puis branleuse de cheval! quel plaisir cela aurait été pour moi de voir ça!
– j’ai vu que des employés ont filmé, vous pourrez certainement visionner et vous réjouir de ce que j’ai subi!
– cela me permettra de jouir du spectacle en voyant ce que tu as du faire! mon plan a quand même marché! me plaindre de ton comportement à servi à quelque chose!
– vous me haïssez! pourtant je ne vous ai rien fait!
– je ne supporte pas que mon mari te saute et me néglige!
– je n’y peux rien madame! parlez en à votre époux et à l’homme à qui j’appartiens!
– n’étant pas dans les bonnes grâces du patron depuis un bon moment je ne préfère pas! cependant cela ne m’empêche et ne m’empêchera pas de te pourrir la vie à l’avenir comme tu l’as déjà constaté!
– faites comme bon vous semble madame! excusez moi si je mets fin à cette conversation mais je pense être attendue!
– tu as raison! débines toi et va te faire sauter! tu n’es bonne qu’à ça!
Sans répondre Aline se rend dans la chambre « Margot » et passe un long moment dans la salle de bain. Elle se lave les dents et se rince la bouche plusieurs fois après s’être lavé les cheveux et avoir pris un long bain en abusant des produits qu’elle a jugé utiles pour faire disparaître toute trace et odeur d’animal.
Ensuite nue assise ou allongée sur le lit elle attend en vain que des employés viennent la solliciter sexuellement, elle comprend que sachant par où elle vient de passer cela ne leur donne pas envie de la sauter.
Elle se rhabille et se rend dans les cuisines et là aussi on l’ignore et on se passe de ses services même pour les corvées.
Pendant le dîner les convives la fixent souvent, certains avec un air et un sourire goguenard mais pour d’autres, surtout quelques femmes, leur expression exprime de la pitié.
Comme les trois gardes du corps sont présents et sont craints personne n’ose faire d’allusion ou se moquer de la putain, même Nadine la sournoise qui arbore tantôt un air de sainte nitouche ou tantôt un air narquois.
Mattéo ramène Nadine dans le petit appartement où elle passe ses nuits en passant en empruntant les couloirs en pierres du sous-sol, pendant le trajet il voit qu’elle ne va pas bien.
– c’est d’avoir baisé avec des chiens et des chevaux qui te met dans cet état?
– non monsieur! bien que j’aie eu la honte de ma vie c’est quelque chose qui s’est passé avant mais aussi après qui me contrarie!
– ah bon!
Tout en marchant et consciente qu’elle devrait s’abstenir elle lui raconte ce qu’elle a sur le cœur.
– monsieur pour éviter d’autres punitions injustifiées je préfère vous dire certaines choses même si vous ne me croyez pas!
– allez! déballes! je me ferais une idée de ce dont tu meurs d’envie de me parler!
– la rumeur de ma soi-disant indiscipline a été une invention propagée par une personne jalouse pour me nuire!
– ah bon! par qui et pourquoi!
La fille relate ses discussions avec Nadine et sa jalousie provoquée par l’infidélité de son mari qui la délaisse préférant les relations sexuelles avec celle qui est la putain de la maison.
– je veux bien te croire! elle a déjà fait des ennuis à la putain qui t’a précédée, elle aussi avait pâti des agissements de Nadine qui a un fond mauvais!
– merci de bien vouloir me croire! sachez qu’elle m’a menacée et que dans le but que je sois de nouveau punie d’autres rumeurs tout aussi fausses concernant mon comportement ne vont pas tarder à circuler!
– je vais m’occuper du problème! tu peux dormir tranquille! entres dans ta piaule que je puisse verrouiller la porte.
Le lendemain Nadine est convoquée et reçue par le châtelain son employeur, il la menace de renvoi et surtout elle est interdite de séjour dans les communs en dehors de ses heures service, elle est aussi interdite de réfectoire et doit dorénavant prendre ses repas chez elle.
A partir de ce jour, même si Nadine n’ouvre plus la bouche pour déverser son fiel, Aline constate que les regards que l’employée pose sur elle transpirent la haine. Elle a peur craignant son pouvoir de nuisance qu’avec son esprit tordu elle peut exercer par intermédiaire.
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