Suite aux punitions qu’elle a subi et après avoir été donnée en pâture à des chiens et même des chevaux Aline a compris que l’homme qui la séquestre fera d’elle ce qu’il veut, mâtée elle accepte le sort qu’il lui réserve et d’abord d’être officiellement la putain du château bien qu’elle ne sache pas exactement où elle vit ne pouvant sortir sans avoir les yeux bandés et ne pouvant accéder aux parties principales du château.
Chaque jour les employés qui travaillent dans le château ou à l’extérieur ne se privent pas utilisant Aline comme vide-couilles soit un à la fois ou en groupe, même les trois garde du corps de l’homme à qui elle appartient ne se privent pas et s’en servent pour assouvir leurs besoins sexuels.
Comme cela a été le cas pour sa sœur Babeth, Aline doit elle aussi accepter les rapports lesbiens si des employées le souhaitent.
Si c’est le cas pour Jade une pure lesbienne et Myriam qui est bisexuelle, Nadine elle aussi bisexuelle et également zoophyle n’est pas autorisée à approcher la putain suite aux problèmes qu’elle a crées avec Babeth dans le passé.
La première fois quand l’une des deux, Myriam en l’occurence, vient la solliciter la putain ne la repousse malgré qu’elle soit hétéro, elle force son tempérament et accepte sans se rebeller de faire l’amour avec elle.
L’employée regrette qu’Aline soit nue à son arrivée disant qu’elle adore déshabiller sa ou son partenaire car ça lui fait de l’effet et ça participe à son échauffement.
Mais un effeuillage aurait été trop rapide et décevant car en dehors de ses séjours dans la chambre “Margot” Aline ne porte qu’une très mini jupe (on voit un peu son sexe et ses fesses quand elle est debout et pire quand elle s’assoit) et un maillot à bretelles très échancré (une partie de ses seins est toujours visible).
Debout la femme enserre Aline dans ses bras et lui roule des pelles, la putain d’abord étonnée participe en mêlant sa langue à celle vorace de Myriam qui l’enfonce profondément dans la bouche de la putain et se conduit plus en meneuse qu’en partenaire.
Toujours à l’instigation de l’employée elles font onduler leurs corps tels des reptiles et se frottent longuement l’une contre l’autre, le contact d’une poitrine contre la sienne ou d’un pubis contre le sien fait bizarre à Aline qui n’avait eu jusqu’à lors que des contacts avec la peau de mâles.
Elle se caressent partout sans se focaliser sur une partie du corps avant que la putain ne commence à déhabiller l’employée.
Ecoutant les conseils de la femme, en même temps qu’elle la met nue elle l’embrasse sur le visage, dans le cou puis lèche et embrasse la poitrine, suce et mordille un peu les tétons avant s’accroupir afin de mettre sa bouche et sa langue en contact avec le ventre, les cuisses et le pubis.
Aline trouve bizarre l’odeur du sexe féminin qu’elle embrasse et lèche.
Myriam décide qu’elles seront mieux sur le lit, une fois installées sur celui-ci elle s’agenouille entre les jambes d’Aline et c’est avec fougue qu’elle s’en prend à elle.
D’abord en se penchant elle la caresse, la lèche et l’embrasse sur tout le corps en n’oubliant pas de martyriser les tétons pendant qu’elle s’occupe de la poitrine.
Elle s’active pendant un moment avant de laisser la putain lui infliger le même traitement, bien que novice c’est ce qu’Aline fait essayant de ne pas décevoir son amante du jour.
Aline à genoux entre les cuisses de Myriam s’applique, elle commence par le visage puis le cou qu’elle embrasse avant d’arriver sur la poitrine qu’elle lèche, embrasse et caresse puis elle suce, aspire et mordille les mamelons qu’ensuite elle torture en les faisant rouler entre ses doigts.
Myriam reprend l’initiative, elle se met à genoux tête bêche sur Aline et approche son visage de l’entre jambes de la fille, elle embrasse les cuisses puis le sexe avant d’utiliser sa langue en essayant de la faire pénètrer dans la vulve.
Sa langue s’agite aussi sur le clitoris d’Aline qui ressent des sensations agréables encore accentuées quand l’employée utilise ses dents en mordillant ou ses lèvres en aspirant le bouton qui devient plus proéminent.
La putain ne peut que suivre le rythme soutenu qu’impose Myriam qui se comporte telle une affamée, elle copie la façon de faire de la femme en essayant de se montrer à la hauteur.
Elles se lèchent la vulve et le clitoris de concert tout en agitant un doigt que chacune a introduit dans l’anus de l’autre.
Elles s’activent pendant un bon moment ressentant et donnant du plaisir pendant que la mouillure et la bave humidifie bien visage ainsi que leurs sexes et coule aussi entre leurs fesses.
C’est encore Myriam qui la première change de registre voulant en même temps amener celle qu’elle considère être une partenaire à s’activer différemment pour augmenter les sensations qu’elle ressent jusqu’à parvenir à la faire jouir pendant qu’elle lui donnera à elle aussi beaucoup plus plus de plaisir.
Elle enfonce en même temps des doigts d’une main dans la vulve et dans l’anus et les fait aller et venir dans les orifices pendant que des doigts de l’autre main s’agitent faisant des mouvements souvent circulaires ou parfois désordonnés sur le clitoris.
Là débute un concours entre les deux femmes. Quand l’une doigte les orifices plus vite et masturbe le clitoris plus intensément, les doigts de l’autre stimulée par le plaisir qui monte dans son ventre s’activent plus vite et vigoureusement.
Chacune joue sa partition en se basant aussi sur les mouvements désordonnés du corps de sa partenaire et ses gémissements ou râles car les sensations deviennent intenses et elles ont du mal à contrôler leurs réactions.
Si plus sensible Jade jouit la première, Aline ne tarde pas à ètre emportée par un orgasme, ensuite c’est à qui prendra le dessus sur l’autre. Chacune est satisfaite quand la vulve de la partenaire s’ouvre et se ferme plusieurs fois telle une huître et que des jets de liquide s’en échappent.
Souhaitant passer à autre chose Myriam stoppe les ébats.
Comme les fois où elle faisait l’amour avec Babeth, Myriam est venue dans la chambre avec son attirail d’objets sexuels, notamment des plugs et godemichets vibrants ainsi que des vibromasseurs.
Tout est en double, l’employée veut qu’en toutes circonstances le couple soit en phase et que chacune puisse donner en même temps le même plaisir à l’autre.
Cela commence par une séance avec les vibromasseurs qui chacune promène sur le corps de l’autre, plus légèrement sur le sexe et sur les seins, mais en insistant sur les mamelons jusqu’à bien les ériger puis plus longtemps sur le clitoris provoquant des montées de plaisir dans le ventre des femmes.
C’est ensuite au tour des objets vibrants de servir, elles se retrouvent avec chacune un plug dans le cul et un godemichet dans la vulve qu’elles s’amusent à les faire aller et venir en même temps dans les orifices de l’autre et cela de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Déjà bien échauffées et les sens acerbés il est facile à chacune d’amener l’autre à l’orgasme et cela devient un concours entre les deux femmes, c’est à qui fera jouir le plus rapidement et le plus souvent l’autre.
Les gémissements, râles et même cris accompagnent leurs ébats qui se poursuivent jusqu’à ce que les deux femmes n’en puissent plus et restent un moment allongées et enlacées sur le lit.
Finalement Myriam se lève la première et va se laver avant de se rhabiller, elle revient vers le lit et caresse les joues d’Aline puis l’embrasse avant de partir en lui disant qu’elle reviendra bientôt.
Quelques jours plus tard Jade demande à la putain si elle veut bien faire l’amour avec elle ce qui surprend celle-ci car on ne lui demande jamais son avis son rôle étant d’accepter tout ce qu’on peut exiger d’elle, évidemment elle ne refuse pas.
Elle applique ce qu’elle a appris en faisant l’amour avec Myriam il lui faut faire jouir l’employée sans utiliser d’instruments car étant lesbienne elle n’accepte pas d’être pénétrée par un objet ou une verge.
Pendant leurs ébats sexuels Aline doit plus embrasser, lécher et caresser plus longuement le corps de Jade.
Elle fait durer les cunilingus en utilisant sa langue sur le clitoris et en essayant de la faire pénétrer le plus profongément qu’elle le peut dans la vulve sans sa soucier de la mouillure qui associée à sa propre salive devient conséquente, elle est encouragée quand le corps de Jade se trémousse de plus en plus.
Aidée par la petite expérience acquise auparavant avec l’employée bisexuelle elle prend des initiatives et s’active beaucoup quand elles en arrivent à la masturbation du clitoris et la pénétration de doigts dans l’anus et la vulve.
Si Aline prend elle aussi beaucoup de plaisir car Jade n’hésite pas à la faire jouir plusieurs fois, ce n’est pas le but fixé par son maître, son rôle à elle est d’en donner.
Elle s’acharne sur le sexe de l’employée afin de l’amener à l’orgasme estimant qu’étant un être supérieur Jade doit prendre du plaisir alors qu’elle, comme l’a décrété celui à qui elle appartient, est d’une race très inférieure et ne devrait donc pas prendre son pied.
C’est en masturbant vigoureusement le clitoris et fouillant avec des aller retour rapides d’un puis deux doigts la vulve et l’anus que la putain prend le dessus, débordée par le plaisir intense qu’elle ressent Jade devient de plus en plus bruyante et se laisse aller facilitant le travail d’Aline qui l’amène plus facilement et plus souvent à l’orgasme sans se soucier des jets de cyprine qui à chaque fois s’échappent du vagin de Jade et arrosent ses mains et les draps du lit.
La femme geint en permanence, son corps n’arrête plus de se tremousser, ses fesses se soulevent de plus en plus souvent, ce n’est que quand Aline voit l’aspect des yeux de Jade devenus vitreux lorsqu’elle les ouvre ce qui est devenu rare qu’elle s’inquiète et cesse de la supplicier.
Si Aline se sent fatiguée c’est pire pour l’employée qui met du temps avant d’émerger et de s’assoir sur le lit, en voyant son visage défait la putain constate qu’elle est bien épuisée et a du mal à se remettre des multiples orgasmes.
Jade se lève péniblement et se tenant au mur se dirige vers la salle de bain, elle se douche longtemps avant de revenir s’habiller.
Avant de quitter la chambre elle embrasse Aline sur les lèvres et lui dit:
«tu es une sacrée salope! tu m’as tuée cette fois ci mais la prochaine fois je ferais en sorte de te »
Elle abandonne Aline qui va se laver à son tour, elle sait que maintenant que la place est libre elle va encore devoir faire l’amour à un ou des hommes même si elle n’en a pas envie se sentant passablement fatiguée.
Après avoir été punie Aline est redevenue la putain du château, les tensions à son encontre se sont apaisées, en entendant des conversations et bien qu’on évite de lui en parler elle a compris qu’avant elle sa sœur Babeth a subi le même sort, cela a affecté son moral pendant un moment et s’en veut pensant que c’est de sa faute si une innocente a souffert et a été le jouet sexuel des employés du château.
Elle se comporte comme il est demandé à l’esclave qu’elle est devenue en se soumettant à toutes les demandes du personnel qu’il soit masculin et féminin.
Il a été reconnu que les grosses punitions qu’elle a subi faisaient suite à la malveillance de Nadine une employée du château mais cela n’a rien changé à ce qui s’est passé.
Cependant son maître n’affiche pas de regrets concernant ce qu’elle a du subir: quand Aline a tapinè sur un parking puis a eu des relations sexuelles avec des animaux, il considère que cela fait partie de son dressage.
Une nouvelle phase commence dans sa mise en condition pendant laquelle elle doit travailler sa condition physique et retrouver des couleurs vu qu’elle n’a pas pris l’air depuis son enlèvement.
Dorénavant trois fois par semaine elle doit se lever plus tôt, accompagné par Mattéo ou un des deux autres gardes du corps et les yeux bandés, elle est emmenée à travers des couloirs interminables jusque dans une salle remplie d’agrès.
Nue et obéissant aux directives dictées par les hommes elle sue beaucoup en utilisant le rameur, le vélo, le tapis de course ou avec moins d’intensité un des appareils de musculation.
Ensuite c’est douche, petit déjeuner et ensuite même fatiguée elle remplit son rôle de vide-couilles soit dans la chambre “Margot” soit dans une chambre minable située au dessus des écuries.
Un après midi le régisseur vient chercher Aline, lui bande les yeux avant de l’emmener à l’extérieur, il la fait monter dans le véhicule 4X4 qu’il utilise quotidiennement.
Pendant que le véhicule roule la putain se demande où il l’emmène mais ne lui pose pas la question, une fois arrivés à destination elle retrouve la vue et constate qu’ils sont dans une allée au milieu d’une forêt.
«déshabilles toi!
Elle obéit, il pose les vêtements sur le siège passager puis sort une corde, il en attache une extrémité sur la boule qui se trouve à l’arrière du 4X4 puis l’autre extrémité aux poignets de la fille.
– maintenant et pratiquement tous les jours tu vas prendre l’air et te promener!
– je veux bien monsieur mais vous m’avez attachée!
– oui car tu vas devoir suivre le véhicule quelque soit la vitesse! moi je n’ai pas envie de marcher!
– d’accord monsieur mais n’allez pas trop vite!
– il faut bien que tu sues et souffres un peu! mais avant ça le fait de m’occuper de toi en plus de mes fonctions habituelles mérite une compensation! poses tes mains sur la capot, écartes les jambes et penches toi bien en avant!
Elle a compris ce qu’il veut et fait ce qu’il demande (ou plutôt ce qu’il exige étant pour elle un être supérieur).
Elle appuie ses mains sur le véhicule, se penche comme demandé en creusant bien les reins pour qu’il ait un bon accès à ses fesses.
Positionné debout derrière elle, il plie un peu ses jambes pour être à la bonne hauteur car la fille est plus petite que lui, il enfonce sa verge dans la vulve et la fait aller et venir à l’intérieur pendant quelques minutes avant de la laisser sortir et de l’introduire dans l’anus qu’il se met à défoncer avec des coups de reins rapides.
Il ne tarde pas à se soulager de son sperme dans les intestins, il se retire et essuie son pénis avant de le remettre dans son caleçon sans s’occuper de la putain. Elle se relève et reste les jambes écartées pendant que le sperme coule sur le sol.
– c’est décevant pour moi! même le trou de ton cul est trop ouvert pour que ma bite s’y sente bien!
– je n’y peux rien monsieur! depuis ce matin un bon nombre d’employés m’ont utilisée pour se soulager de leurs envies, ma chatte et mon cul n’ont pas été ménagés surtout après les pénétrations de l’énorme pénis de Paolo!
– je sais! c’est le sort des putains mais cela ne m’encourage pas à te sauter»
L’homme se met au volant et démarre, Aline ne peut que suivre les poignets entravés et attachés à l’extrémité de la corde fixée sur le véhicule.
Pendant que le véhicule roule et si la plupart du temps elle marche plus ou moins vite, elle doit aussi courir car le régisseur appuie parfois sur la pédale de l’accélérateur.
Peu habituée à ce genre d’exercice elle se retrouve vite en sueur et hors d’haleine avec un point de côté et trébuche.
L’homme s’arrête, la libère de la corde et la laisse s’assoir puis marcher un peu à sa guise pendant un moment.
Une fois le temps imparti pour la promenade écoulé c’est de nouveau rhabillée mais les yeux bandés qu’il la ramène au château et l’envoie se doucher.
Comme par hasard quelques jours après, lors de la promenade presque devenue quotidienne quelque soit le temps, le garde chasse qui des mois auparavant avait profité du corps de sa sœur Babeth, fait son apparition.
La discussion avec le régisseur est brève, celui-ci s’éloigne laissant la putain seule avec l’intrus n’étantt plus intéressé par le corps d’Aline car il l’a enculée en arrivant sur les lieux avant qu’elle ne soit en sueur.
Elle a compris et sans se poser de questions ni se rebeller, toujours nue, elle se met à genoux devant l’homme et après avoir baissé le zip et fouillé dans le caleçon elle sort sa verge du pantalon.
L’érection du membre laisse à désirer, elle le caresse et surtout le masturbe puis, après l’avoir un peu léché, elle le prend dans sa bouche.
Si elle est la propriété du châtelain qui en a fait la putain de son personnel en revanche elle ne se sent pas liée au garde chasse même si le régisseur le laisse se soulager dans son corps.
Vis à vis de cet homme elle ne pense pas lui être inférieure mais ne peut pas refuser de se soumettre à ses envies de sexe car le régisseur, qui est le représentant de son maître et à tous les droits sur elle, accepte de la donner en pâture.
Aline décide de n’assurer que l’essentiel pendant les ébats et cela sans faire durer les choses, pendant la pipe les va et vient de ses lèvres sur le pénis sont tout de suite rapides et il ne lui faut pas sucer bien longtemps avant que la verge ne tressaute dans sa bouche et y envoie des giclées de sperme.
Elle recrache le liquide puis fait ce que l’homme lui demande en se mettant à genoux, le garde chasse qui bande toujours se positionne derrière elle à genoux lui aussi et enfonce sa verge dans la vulve.
La tête appuyée sur ses bras posés sur le sol et sans bouger elle laisse le prédateur lui défoncer l’orifice vaginal à grands coups de reins.
Patiemment elle attend de ressentir les tressauts du pénis dans son ventre avant que l’homme ne se retire et se relève après s’être soulagé de son sperme dans le vagin.
Elle reste à genoux pendant que le liquide s’échapper de son orifice et coule sur le sol, ensuite elle se relève mais ne s’essuie pas.
Le garde chasse qui a remis dans son pantalon son pénis souillé de sperme hèle le régisseur qui se tenait à bonne distance, ils échangent quelques mots concernant le cul accueillant de la putain puis satisfait il monte dans son véhicule et s’en va.
Le temps de promenade d’Aline se trouve donc raccourci avant le retour dans son lieu de détention les yeux de nouveau bandés.
Nouveau hasard (?) quelques jours plus tard le garde chasse réapparaît mais surprise il n’est pas seul, c’est soi-disant son cousin qui venu lui rendre visite l’accompagne.
Aline voit à son air que le régisseur est contrarié mais ne voulant pas de problèmes il accepte que les deux intrus utilisent sexuellement la putain du château comme ils le veulent: ensemble ou séparément.
L’homme s’éloigne et va se promener dans la forêt abandonnant la putain aux mains des deux intrus.
Sans attendre les deux hommes sortent leurs pénis des pantalons et s’en prennent à la putain après lui avoir dit de se mettre à genoux et de se pencher en avant.
L’un enfonce sa verge dans la bouche d’Aline, l’autre pénètre sa chatte. Les deux mâles la défoncent.
Ils échangent leur place, un membre s’enfonce dans la bouche de la fille et l’autre préfère s’aventurer dans l’orifice rectal.
De nouveau les hommes s’activent mais plus longtemps, la fille habituée à être prise de différentes façons patiente l’esprit ailleurs pendant que les verges vont et viennent dans son cul et sa bouche avant que ses orifices soient arrosés de sperme.
Soulagés les deux prédateurs remettent leurs pénis dans leurs pantalons et sans attendre le retour du régisseur ils remontent dans leur véhicule et partent après avoir dit à la putain “à bientôt”.
Elle a recraché le liquide qui avait envahi sa bouche et s’est lèveé, tout en attendant l’employé de son maître elle laisse couler sur le sol ce qui sort de son anus.
Quand il réapparaît, sans attendre elle se rhabille et s’assoit dans le véhicule 4X4, il lui bande les yeux et la ramène dans son lieu de détention. A sa façon de conduire elle constate qu’il est bien énervé par l’attitude du garde chasse.
Par la suite c’est plusieurs fois dans la même semaine que le garde chasse, souvent accompagné de son”cousin”, vient sauter la putain puis un jour c’est accompagné de deux hommes qu’il arrive, le troisième larron est un de ses collègues.
Aline trouve les hommes bien (trop) excités, elle en déduit qu’ils ont abusé de boissons alcoolisées et sont éméchés.
Après discussion, pour éviter les problèmes, car s’il refuse de les laisser profiter de la putain le trio sera mécontent et des rumeurs risquent de se propager dans les bars du village proche où ils résident, le régisseur qui est dépassé par la situation les laisse utiliser le corps d’Aline pour passer leurs envies de sexe, donc elle passera le temps prévu pour sa promenade à se faire sauter.
Tout de suite les trois mâles mettent leurs queues à l’air et se comportent comme-ci la putain était un objet qui leur appartenait.
Avec des gestes brutaux ils la couchent sur le sol, se comportent comme des soudards ne lui montrant pas de respect pendant qu’ils disposent de son corps.
Une verge pénètre sa bouche et une autre sa vulve, elle ne peut pas dire qu’elle fait une pipe car comme pour son orifice génital le buccal se fait lui aussi défoncer, les prédateurs s’activent en donnant des coups de reins allant jusqu’à jouir dans l’orifice qu’ils ont investi.
Sans laisser à leur victime le temps de respirer ils se remplacent, si Aline a toujours une verge dans la bouche elle se retrouve ensuite à genoux avec une queue dans l’orifice anal qui se fait arroser lui aussi plusieurs fois de sperme.
Pendant qu’ils la sautent les hommes parlent, Aline trouve écœurantes les phrases qu’ils emploient la concernant, ce ne serait pas pire s’ils parlaient d’une bouche d’égoût.
Le calvaire de la fille se termine quand un dernier homme, comme l’ont fait les deux autres, lui laisse en souvenir sa semence dans les intestins.
Ils remballent leurs sexe souillés de sperme sans les essuyer, parlent en termes crus d’Aline au régisseur qui attend assis dans son véhicule après s’être promené pendant que la putain se faisait sauter puis toujours euphoriques remontent dans leur Jeep et retournent picoler.
Pendant le parcours de retour au château le régisseur fulmine et exprime sa colère à voix haute.
«il me fait chier ce con de garde chasse! il devrait arrêter de boire! à chaque fois qu’il est aviné il ne peut pas tenir sa langue! il va finir par venir avec tous ses copains de beuverie! je n’ai pas envie que la putain se fasse démolir par une dizaine de pochards et que je la ramène dans un état lamentable! le patron le saura inévitablement et s’il se fâche je risque de perdre mon emploi!
Il finit par redevenir silencieux après ces derniers mots:
– tant pis pour ce con de garde chasse! je n’irai plus promener la putain dans un endroit qui est sous sa garde! il pourra dorénavant faire sa lessive à la main si ses couilles frisent le trop plein»
Le lendemain le régisseur fait ce qu’il a dit, il change d’endroit et emmène la fille prendre l’air et se promener, toujours dans la forêt mais à plusieurs kilomètres de l’endroit habituel là où le garde chasse n’a logiquement pas accès puisque cette partie boisée appartient au châtelain.
Arrivés sur place, une fois retiré le bandeau qui la prive de la vue, à cause de la hauteur et de la densité des arbres elle ne peut pas apercevoir le château qui ne se trouve qu’à quelques centaines de mêtres.
Tout en attachant les poignets d’Aline (qui sans attendre s’était dénudée) à une corde qu’il fixe ensuite à l’arrière du véhicule il s’adresse à elle.
«ici à part moi personne ne viendra te sauter!
– je vous dois une totale obéissance! si vous décidez de m’offrir à un ou plusieurs hommes je ne peux que vous obéir!
– ici tu ne verras passer que des chevaux de mon patron, les lads qui les montent te regarderont mais ne chercheront pas à profiter de toi car ils ne peuvent pas interrompre les exercices pendant qu’ils font travailler les montures.
Effectivement chaque jour Aline voit passer des chevaux qui vont au pas, au trot ou au galop suivant le programme prévu et appliqué à la lettre par les grooms.
Parfois après s’être soulagé de son sperme soit dans sa gorge, son vagin ou ses intestins suivant son inspiration du jour, le régisseur laisse Aline se promener seule ou s’assoir au pied d’un arbre pendant un moment tout en lisant et la surveille de loin tout en lisant une revue.
Les jours et les semaines passent, pour Aline c’est sport en tout début de matinée (pas tous les jours) puis sexe avec les employés (ées) dans la chambre “Margot” ou dans une chambre miteuse située au desus des écuries et pour finir promenade en forêt quelque soit le temps.
La putain n’a pas conscience que son séjour au château est sur le point de se terminer.
Louloute
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