Le châtelain/businesmann qui a asservi Elisabeth (appelée communément Babeth) ainsi que sa sœur Aline et les prostitue sous des identités différentes (Anya et Dounia) voyage souvent à l’étranger pour ses affaires et parfois en compagnie d’autres dirigeants d’entreprises importantes.
Cette fois là c’est à Madrid qu’il se retrouve pour plusieurs jours accompagné de ses conseillers techniques et financiers, ses trois gardes du corps sont également du voyage.
Surprise! lors d’un colloque réunissant d’importantes personnalités venant de différents pays Paolo remarque un homme et le reconnait car son visage il l’a gravé dans sa mémoire vu qu’il l’a longtemps recherché.
Il s’agit de Frédéric dit « Fred l’arnaqueur » l’ex. amant d’Aline et donc l’homme qui a délesté son patron d’une très grosse somme d’argent, Le sbire comprend que si l’homme est sorti de l’ombre c’est qu’il prépare un mauvais coup au détriment d’une personnalité friquée ou d’une société disposant de gros moyens financiers.
Aussitôt il informe son employeur qui n’ayant pas digéré de s’être fait plumer lui laisse toute latitude pour s’occuper de l’individu discrètement mais efficacement.
Evitant d’utiliser la limousine louée à l’aéroport avec laquelle ils sont venus au colloque les trois sbires louent plusieurs voitures plus discrètes et s’arrangent pour suivre Fred sans perdre sa trace lors de ses déplacements dans la ville.
Après l’avoir espionné pendant deux jours 24 heures sur 24 en se relayant ils estiment qu’il est le plus vulnérable au moment où il gare sa voiture dans un parking situé dans le grand sous-sol de l’immeuble où il loue un appartement.
Eux peuvent y pénétrer facilement grace à un gadget qu’ils se sont procuré et qui peut ouvrir n’importe quelle porte à mécanisme électronique à code.
Paolo loue rapidement et pour une durée d’un mois une habitation un peu retirée à la périphérie de la ville et y apporte du matériel qu’il est allé acheter dans des magasins de bricolage.
Un matin Frédéric est surpris quand après avoir déverrouillé les portières de sa voiture il se retrouve encerclé par les trois gardes du corps du châtelain/businessman qu’il avait escroqué.
Il récrimine leur demandant ce qu’ils lui veulent puis il a beau se défendre il ne fait pas le poids face aux trois armoires à glace, des sportifs bien entrainés au combat.
Voulant agir vite et le plus discrètement possible Marco lui fait une prise qui le neutralise rapidement, une fois inconscient l’escroc se retrouve bâillonné, les poignets et les chevilles attachés à l’aide de colliers de serrage.
Ils l’emmènent caché et recroquevillé dans le coffre de sa propre voiture jusque dans la maison louée par Paolo, arrivés sur place celui-ci s’empresse de garer l’auto de leur prisonnier à l’abri des regards dans le garage, pendant ce temps l’homme est traîné, descendu, enfermé et abandonné dans la cave par Marco et Mattéo.
Quand Fred reprend conscience couché sur le sol fait de terre battue, s’il est attaché et bâillonné, il constate qu’il est aussi nu qu’un ver.
Il remue beaucoup en tentant de se libérer des liens et cela sans succès.
Il se déplace en rampant et se tortillant comme il peut afin d’examiner les lieux profitant de la maigre clarté apportée par une petite lucarne à la vitre crasseuse, ce qu’il voit de l’état lamentable de l’endroit où il est détenu est loin d’apaiser son inquiétude car il ne sait pas ce qu’on lui veut n’ayant pas reconnu ses agresseurs.
Comme ils l’ont fait avec les filles qu’ils avaient enlevées et pendant qu’ils escortent leur employeur lors de son retour vers son château les gardes du corps laissent le prisonnier mariner pendant trois jours sans nourriture ni eau.
Après ce laps de temps les trois sbires de retour en Espagne se rendent dans la cave, déverrouillent la porte en bois qu’ils ouvrent en faisant grincer les gonds rouillés, ils entrent dans la pièce et retirent le bâillon de leur prisonnier qui évidemment ne sent pas la rose.
Ils libèrent ses chevilles et le mettent debout sans se soucier de sa faiblesse ou du fait que ses membres soient ankylosés.
«qui êtes vous? Qu’est ce que je fais ici? libérez moi?
– ordure! fermes ta grande gueule! tu te rappelles de monsieur xxxxxxx et de la société xxxxxx!
– je ne ne sais pas qui est cet individu dont vous me parlez et je ne connais pas cette société!
Des coups de poings atteignent son visage et l’envoient valser contre un mur en pierres couvert de salpêtre puis il tombe sur le sol. Il saigne, ses lèvres et son nez ont éclaté.
– vous êtes cinglés! je vais porter plainte!
– connard il faudrait déjà que tu sortes d’ici ce qui ne sera possible qu’après nous avoir dit ce qu’on veut savoir!
– je ne vois pas ce que je pourrais vous dire! je ne sais pas de quoi vous m’accusez!
– d’avoir escroqué notre patron en soutirant à la société xxxxxx une grosse somme d’argent!
Marco et Mattéo le relèvent et le tiennent pendant qu’en rage devant sa résistance Paolo le frappe violemment, les coups dans le ventre et sur les côtes font hurler l’homme qui chute sur le sol plié en deux, les sbires le remettent aussitôt debout.
– une arnaque de xxxxxxx euros et des poussières ça ne te dit rien? réfléchis bien! on n’en a pas fini avec toi!
La conversation, un dialogue de sourds, se poursuit sans résultat car l’homme persiste à dire qu’il est innocent de ce qu’ils l’accusent.
Il est de nouveau roué de coups puis couché sur le sol, ses chevilles sont attachées ensemble et malgré qu’il se défende victime d’un étranglement qui lui fait ouvrir la bouche il se retrouve de nouveau bâillonné.
Les trois gardes du corps le laissent nu et en sang, ils sortent de la cave et verrouillent la porte après lui avoir dit:
– nous allons te laisser réfléchir puis nous reprendrons cette conversation demain en espérant que tu auras retrouvé la mémoire!
Les jours suivants cela commence par le lavage de l’homme à l’aide d’un tuyau d’arrosage afin qu’il soit un peu moins sale et surtout moins puant ce qui incommode les trois hommes.
Ensuite il est questionné et frappé là où ça fait mal car il nie toujours connaître le châtelain ou la société qu’il a escroqué.
Ils s’en prennent aussi à ses testicules qu’avec leurs mains ils compriment à les broyer le faisant se tordre et hurler de douleur.
Il hurle aussi beaucoup, sursaute et tremble quand avec une ceinture ses tortionnaires frappent violemment son sexe et ses bourses.
Quand les sbires sortent de la cave Fred bien attaché reste allongé à même le sol ruisselant d’eau, résultat du lavage du prisonnier au jet, car celle-ci ne s’évacue pas facilement par le sol en terre argileuse bien tassée.
La situation se complique pour le captif quand un matin il voit ses bourreaux arriver avec des piquets métalliques, un gros marteau, des cordelettes, une batterie et des câbles électriques dont certains sont munis de pinces.
Il est de nouveau harcelé de questions mais ne se montre toujours pas coopératif.
– on va voir si tu résistes à ça!
Frédéric les regarde planter les piquets dans le sol en les espaçant puis ils l’empoignent et viennent le placer entre les piquets, bien qu’il résiste ses poignets et ses chevilles se retrouvent écartelés et attachés à ceux-ci.
Mattéo approche la batterie et y branche deux câbles et un rhéostat, là Fred a compris il blémit et est mort de trouille.
– pas ça! vous allez me tuer!
Il se retrouve bâillonné à l’aide d’un morceau de tissu crasseux puis des extrémités de cable sont posées et maintenus par du ruban adhésif sur la paume d’une de ses mains et sur la plante d’un de ses pieds
Mattéo tourne la manette du rhéostat, un courant électrique de plus en plus fort passe dans le corps du supplicié qui s’agite et tremble de plus en plus, la douleur qu’il ressent est de plus en plus vive jusqu’à devenir insupportable.
Fred hurle mais les sons sont bien atténués par le bâillon.
Tout en observant son visage les sbires le font souffrir pendant un bon moment en faisant varier l’intensité du courant avant de le couper puis de lui poser la question:
– alors connard! tu es prêt à nous dire où est l’argent que tu as volé!
L’homme secoue la tête de droite à gauche pour dire non.
Les câbles sont scotchés sur la verge et les testicules, dés que le courant passe et déjà sans d’abord être d’une grande intensité la douleur est insoutenable et le corps de l’homme s’agite énormément, là comme l’enfroit est très sensible il déguste salement.
Dans les rares moments où il peut se concentrer il pense qu’ils sont en train de lui cramer les testicules et la queue tellement ça lui fait mal et ça le brûle.
L’intensité du courant électrique devient trop forte, la douleur atroce, le supplicié s’évanouit.
Les sbires coupent le courant, retirent les cables et quittent la pièce laissant l’homme dans l’état où ils l’ont mis.
Le lendemain matin Paolo pénètre dans la cave accompagné d’un groupe d’hommes qu’il a recrutés dans un bar louche, les gus fixent le prisonniers avec des regards pleins d’intérêt.
– messieurs voici votre jouet! vous pouvez lui défoncer le cul à votre guise mais laissez lui les mains attachées!
Il quitte la cave pendant que les quidams qui sont cinq libèrent les chevilles de leur future victime et le mettent à genoux penché en avant et une joue contre le sol.
Il sortent leurs verges des pantalons, se masturbent pour parfaire leur érection pour certains déjà excités en pensant au plaisir qui leur est offert ou pour les autres afin de se mettre à bander.
Comme il se débat et cherche à se dérober plusieurs des hommes le maintiennent pendant qu’un premier quidam se met à genoux derrière le prisonnier, placé entre ses jambes qu’il écarte de force, il tente d’introduire son pénis dans l’anus ce qui n’est pas aisé car le corps de Fred est crispé et rétif il bouge beaucoup.
– relâches toi connard et arrêtes de gigoter! que tu le veuilles ou non nous avons été payés pour te défoncer le cul et tu vas y passer!
En ayant assez de voir leur proie se débattre le groupe d’hommes couche Fred sur le dos et utilisant les cordelettes trouvées abandonnées sur le sol ils attachent ensemble sa cheville et son poignet gauche puis en font de même pour la cheville et le poignet droit.
Une cordelette est passée autour de son cou.
– si tu bouges encore on tire sur la corde et on t’étrangle! tant pis si on serre trop fort et que tu y laisses ta vie!
Ensuite ils le mettent à genoux penché en avant le visage contre le sol, ils lui écartent les jambes et un premier mâle se place à genoux derrière lui la verge en érection pointée vers l’anus de la victime.
Il faut à l’assaillant s’y reprendre à plusieurs fois, tout en agrippant les cuisses avec ses mains et s’aidant du poids de son corps, pour réussir à enfoncer entièrement sa verge dans le cul de la proie qui crispée se laisse faire.
Si d’abord le pénis, qui repousse les chairs, coulisse difficilement lors de la pénétration puis également pendant les aller retour, les muscles finissent par se détendre un peu ce qui permet à l’homme d’augmenter la cadence jusqu’à ce qu’il éjacule envoyant son sperme dans les intestins.
Pour le prisonnier ce qui vient de se passer c’est l’humiliation suprême, se faire enculer et surtout être violé lui le tombeur de filles souvent très jeunes il n’aurait jamais cru que ça lui arriverait.
Après cette première sodomie les chairs de l’anus de Fred sont déchirés et en sang ce qui n’empêche pas le groupe d’homosexuels de continuer à profiter de son corps.
Pour le deuxième quidam qui se place derrière Fred la pénétration du cul est plus facile et les va et vient du pénis durent plus longtemps avant qu’il n’éjacule.
Pour les trois autres leurs queues nagent dans le sperme de leurs prédécesseurs et s’enfoncent aisément dans l’anus bien ouvert.
Chacun des cinq quidams le sodomise entre deux et trois fois, pendant qu’ils défoncent le cul de leur victime ils s’excitent ensemble tout en regrettant de ne pas pouvoir se faire sucer la verge mais ils ne veulent pas prendre ce risque avec une proie rétive.
Pour Fred après ce qui vient de se passer tout se brouille dans son cerveau et il n’arrive plus à penser correctement, pour lui c’est la honte, l’humiliation et le deshonneur.
Les agresseurs en ont terminé, ils sortent de la cave laissant Fred dans la position où ils l’ont mis pour l’enculer, peu de temps après Paolo et Mattéo arrivent et retirent le bâillon avant de s’en prendre verbalement à leur prisonnier.
L’arnaqueur subit encore pendant un bon moment le supplice du courant électrique sur les parties génitales et les souffrances atroces avant qu’une fois encore la question concernant l’argent détourné ne lui soit posée.
– alors pourriture! ça t’a fait du bien cette petite séance? ou tu parles ou chaque jour tu auras droit au courant électrique et aux homos qui seront heureux de pouvoir encore te défoncer le cul!
L’arnaqueur n’a plus la force ni l’envie de lutter, il pense qu’après les tortures qu’ils ont subi ses organes génitaux qui le font énormément souffrir ne sont plus en état et a compris qu’il ne cesseront pas de le torturer tant qu’il se taira et que sa seule chance de s’en tirer est de coopérer.
– non! ça suffit! je n’en peux plus! arrêtez de me torturer! je vais vous dire ce que vous voulez savoir!
Anéanti et ne voulant pas revivre cette humiliation ni continuer à souffrir Frédéric a fini par céder et il avoue qu’il a bien escroqué le châtelain/businessman mais qu’il a dépensé pas mal d’argent pour vivre et surtout préparer une nouvelle arnaque.
Ayant fouillé dans l’ordinateur portable de leur prisonnier après qu’il leur ait révélé le code d’accès les sbires découvrent qu’il possède des comptes dans des banques de plusieurs états.
Le prisonnier finit par accéder à toutes les exigences de ses ravisseurs, il leur donne ses identifiants ce qui permet aux trois hommes de consulter ses avoirs et placements et de constater qu’il peuvent récupérer un peu plus de 620 000 euros.
En dernier lieu ils lui amènent son ordinateur et lui ordonnent de virer ce qu’il possède, ils suivent les transactions après s’être connectés avec un autre portable pendant qu’il transfère tout ce qu’il détient via un compte dont ils lui ont donné le code et qui est situé dans un pays étranger peu regardant.
Ruiné et en mauvais état physique Fred qui est toujours enfermé et solidement attaché peut profiter d’un repas que Mattéo lui fait ingurgiter en utilisant une fourchette et il peut également boire de l’eau à volonté ce qui le change des quelques gorgées de liquide auxquelles il avait parfois droit.
Il pensait être enfin libéré mais il déchante vite quand le lendemain les sbires pénètrent dans la cave accompagnés de deux hommes qu’il n’a jamais vus dont la couleur de peau et leur accent montrent qu’ils viennent d’un pays étranger situé en Amérique du sud probablement.
– messieurs comme convenu dans la transaction que nous venons de conclure cet homme est à vous! vous pouvez constater qu’il n’est pas en trop mauvais état à part ses couilles que l’on a plus ou moins cramées vu qu’il n’était pas coopérratif!
L’arnaqueur qui ne s’attendait pas à ça accuse le coup pendant que les deux hommes l’examinent.
– ça va! il n’est pas trop abimé, rien d’irréparable et il ne faudra que peu de temps avant qu’il soit de nouveau présentable et utilisable! pour son appareil génital ce n’est pas important s’il ne fonctionne plus car vu ce que nous allons faire de lui il ne lui sera plus utile!
– si ses couilles et sa bite risquent d’être hors service, son cul lui a été un peu rodé et est en état d’être utilisé immédiatement!
– il va d’abord être conditionné avant de faire ses vingt à trente passes journalières!
Frédéric comprend qu’ils l’ont cédé à des proxénètes agissant au sein d’un réseau de prostitution international et faisant travailler des femmes mais aussi des hommes, il proteste mais ses paroles sont inintelligibles à cause de son bâillon.
C’est une mauvaise surprise pour lui, avec les relations qu’ils s’est faites dans le monde des affaires il avait bien constaté qu’un bon nombre de personnes influentes et très connues cotoyaient certains milieux peu recommandables pour favoriser leur business mais il n’aurait jamais pensé qu’un jour il en ferait les frais.
Les gardes du corps du châtelain/businessman qu’il a eu la mauvaise idée d’arnaquer sont pressés de se débarrasser de lui.
– nous allons l’amener jusqu’à votre véhicule! faites bon usage de cette chiffe molle!
– il ne va pas s’ennuyer! il est bien physiquement et va plaire! dans le bordel pour homosexuels d’une des grandes villes de notre pays les clients vont bien profiter de lui et de son cul!
Fred est abattu et terrorisé, après être resté un moment tétanisé il s’agite beaucoup pendant que les sbires le mettent debout et l’entraînent vers l’extérieur.
– il n’a pas l’air d’accord!
– ce n’est pas grave! nous avons l’habitude! après un bon dressage il deviendra très coopératif car nous avons des méthodes très efficaces!
– vous avez tout prévu pour le transport?
– oui nous allons décoller d’un aéroport secondaire où attendent déjà un groupe de femmes et d’hommes appâtés par la promesse d’un bel avenir professionnel, pour elles et eux ce sera aussi le tapin!
– vous n’avez pas peur d’un contrôle des douanes ou autres services de police?
– non! immunité diplomatique! nous sommes couverts par des personnalités influentes que nous avons corrompues ce qui est une pratique normale dans notre pays!
C’est un fourgon qui les portes arrières ouvertes attend l’arnaqueur, il est saucissonné et bien bâillonné à l’aide de ruban adhésif avant qu’une piqure ne l’endorme.
Une fois qu’il se trouve allongé dans une caisse en bois préparée à son intention, les deux hommes clouent un couvercle sur lequel sont collées des étiquettes qui indiquent la destination du colis.
Les deux hommes possèdent des vrais/faux documents d’exportation en règle à présenter en cas de contrôle bien que peu probable, le prisonnier est devenu « matériel agricole » pour la durée de son voyage.
Avant de quitter eux aussi les lieux les trois gardes du corps regardent le véhicule partir vers un aéroport secondaire.
La caisse sera d’abord chargée dans un petit avion qui attend sur la piste d’envol d’un petit aérodrome et décollera puis traversera la mer Méditerranée pour être ensuite transférée dans un avion cargo qui l’acheminera jusqu’à sa destination finale dans un pays trop lointain pour que Frédéric puisse en revenir s’il en avait la possibilité.
Leur mission en Espagne est terminée, il ne reste plus aux sbires qu’à regagner la France et aller rendre compte à leur employeur.
Le châtelain/businessman peut jubiler car il tient sa vengeance.
Il a récupéré une bonne partie de son argent et a aussi revendu à un bon prix la voiture luxueuse de l’arnaqueur qui vient d’être chargée dans la cale d’un bateau en partance pour l’Algérie.
En prime il fait travailler deux belles jeunes filles qu’il a asservies sans avoir l’intention de les remettre en liberté avant très longtemps.
Financièrement Anya et Dounia (ex. Babeth et Aline) sont très rentables car en plus de ce qu’il a récupéré en vidant les comptes de Fred l’arnaqueur et ce que ses esclaves sexuelles lui ont déjà rapporté en vendant leur corps il s’est déjà plus que remboursé du préjudice subi.
Mais cela ne suffit pas au châtelain avide de gains, d’autres idées ont germées dans son crâne.
Louloute
Ajouter un commentaire