Histoire sexe Un matin le portable de Dounia sonne, vêtue d’un déshabillé rose et d’un string assorti elle attend son premier client qui vient uniquement pour une passe (pénétration de sa vulve avec préservatif), sachant que celui qui appelle connait son emploi du temps et donc sait qu’elle n’est pas encore allongée sur son lit les cuisses écartées avec une verge enfoncée dans le ventre elle ne peut que répondre.
«bonjour monsieur!
– salut la putain!
– vous pouvez dire « la prostituée » monsieur! ça ne me choque pas et c’est le terme le plus approprié car c’est ce que vous avez fait de moi!
– pas moi! mais mon patron! l’homme à qui tu appartiens!
– je ne nie pas que votre employeur a fait de moi une de ses propriétés, une chose sans honneur ni fierté et surtout une bonne source de revenus mais vous et vos collègues êtes de connivence avec lui puisque participez à ma déchéance depuis que vous m’avez enlevée!
– tes jérémiades je n’en ai rien à foutre! ce que tu es devenue ne m’intéresse pas! on n’est pas là pour parler de toi mais de ton travail qui n’en est pas un puisque te faire sauter ne peut être qu’une partie de plaisir pour toi!
– si vous le dites! que puis-je pour vous monsieur?
– demain matin tu te rendras pour 8 heures à l’adresse que je vais t’envoyer sur ta messagerie!
– bien monsieur! est ce que je dois m’attendre à quelque chose de particulier?
– tu vas passer ton weekend, donc deux jours, au grand air! ton client t’expliquera!
– je m’habille comment?
– ta mise n’est pas importante! tu peux y aller nue si ça te chante! ce qui importe pour ton client c’est que tu sois bien foutue et qu’il soit satisfait après t’avoir utilisée de la façon dont il en aura envie!
– je m’y rends comment?
– prends un taxi, au prix que le client paie ce n’est pas un problème!
– bien monsieur!
– je te conseille d’amener une bonne paire de baskets si tu ne veux pas avoir les pieds en sang!
– pourquoi?
Mattéo a déjà raccroché donc pas de réponse à sa question, si le sbire a évité de lui en dire plus Dounia a compris que son weekend qui au départ devait être tranquille et sans clients ne va pas être de tout repos.
Elle n’a pas le temps de beaucoup cogiter car pendant qu’une brève sonnerie de son téléphone lui indique qu’un message vient d’arriver sur son portable son premier client du vendredi s’annonce à l’interphone.
La prostituée déverrouille la porte d’entrée de l’immeuble après avoir indiqué oralement son numéro d’appartement, un sourire commercial aux lèvres elle accueille son client.
– bonjour chéri! entres! soit le bienvenu chez moi! je m’appelle Dounia!
– bonjour! je connais ton prénom, j’ai consulté ton blog! moi c’est Laurent!
Certainement un prénom d’emprunt mais ça Dounia s’en fiche.
– suis moi! on ne va pas perdre de temps et passer directement aux choses sérieuses!
– comme tu veux!
– tu es là pour ça! non?
– oui! t’avoir vue sur ton blog m’a donné des envies! dans la réalité tu paraîs aussi jeune et belle que sur les photos et le petit film du blog.
– que mes clients ne soient pas déçus et reviennent est une satisfaction pour moi! le blog est fait pour montrer aux hommes ce qui les attend mais sans exposer totalement mon corps!
Elle précède son client dans la chambre et retire son string pendant qu’à sa demande l’homme ouvre sa braguette et extirpe son pénis du pantalon.
Elle enfile un préservatif sur le membre avant de s’allonger sur le lit.
– viens chéri!
Il ne bande pas correctement, elle le masturbe jusqu’à être satisfaite des dimensions de la verge qui ne sont pas impressionnantes mais ça elle s’en fiche.
Il se met sur elle, Dounia l’aide à introduire le pénis dans sa vulve puis pendant qu’il fait bouger son corps et que la queue va et vient dans ses parties intimes elle fait bouger son bassin en rythme avec les coups de reins du mâle.
D’habitude avec ses clients le coït ne dure pas bien longtemps avant qu’ils ne jouisse mais là l’homme résiste et il la défonce à grands coups de reins pendant un moment pendant qu’elle l’accompagne avant qu’il n’éjacule dans le préservatif.
Comme il reste planté en elle Dounia doit le repousser pour qu’il se retire, tout en lui tendant un mouchoir en papier pour qu’il s’essuie elle lui indique où se trouve la corbeille dans laquelle il doit jeter le condom et le mouchoir souillés de sperme.
La prostituée remet son string pendant que son client rajuste sa tenue puis elle le raccompagne à la porte en lui disant quelques mots gentils avant qu’il ne sorte.
Le journée de Dounia ne fait que commencer, le programme noté sur son carnet de rendez vous comprend trois relations sexuelles complètes dont deux avec des clients réguliers, plusieurs pipes et deux passes avec pénétration de sa vulve.
Soit environ mille euros de gain pour la journée sans compter les petits suppléments qu’elle va tenter de soutirer, ce qui correspond à du classique pour la prostituée qu’elle est maintenant.
Le samedi matin c’est donc en taxi que la prostituée vêtue sobrement se rend dans un quartier bourgeois de la ville.
Une fois descendue du véhicule elle se dirige vers une demeure cossue aux dimensions conséquentes entourée de murs et de grilles, située au milieu d’un parc beaucoup fleuri et un peu arborisé.
Un peu intimidée, comme à chaque fois qu’elle cotoye un ou des membres faisant partie de ce qu’elle appelle le gratin de la société, elle passe la grille qui est ouverte, marche dans l’allée pavée et sonne à la porte en bois massif de la demeure.
Un homme d’un certain âge à l’allure altière et costumé apparaît.
«bonjour monsieur! je m’appelle Dounia et je suis la femme que vous avez louée pour le weekend!
– entres!
Il la reçoit dans le couloir, l’examine longuement puis lui tend une enveloppe qui était posée sur un meuble.
– tiens! vérifies ensuite je vais t’emmener là où va se passer ton séjour et divertir mes invités!
La prostituée compte les billets et en voyant le prix payé par le client elle comprend que son rôle ne va pas se limiter à écarter les cuisses, autre chose de plus contraignant pour elle est prévu.
– qu’attendez vous de moi monsieur?
– viens! sortons! je vais t’expliquer ça une fois sur place!
– bien monsieur!
Ils sortent de l’habitation, la fille suit l’homme jusqu’à sa voiture, une limousine qu’elle trouve grande et luxueuse, elle ouvre la portière arrière et s’apprête. à s’installer à l’intérieur
– ne t’assois pas là! rejoins moi à l’arrière du véhicule!
Il a ouvert le coffre.
– la place d’une fille comme toi n’est pas dans la voiture, comme pour toute marchandise le coffre est plus indiqué! il vaut mieux que tu sois invisible car je ne veux pas salir ma réputation en étant vu en compagnie d’une chose insignifiante et que chacun peut voir sur des sites de prostitution!
– vous ne risquez rien! personne ne me connait dans votre quartier!
– je sais mais tu dois comprendre que tu fais partie de la lie de la société et que tu n’es pas du genre fréquentable pour une personne de mon rang donc je ne peux pas être vu en ta compagnie!
Encore un qui a une idée préconçue de la société et se prend pour un être supérieur. Bien que vexée la fille ne peut que faire profil bas devant l’homme qui rémunère ses services, de plus si elle se rebellait son maître se chargerait de lui faire payer sa désobéissance par l’intermédiaire de ses sbires/gardes du corps.
– bien monsieur! je comprends! nous allons où?
– tu es payée pour un travail bien précis et tu n’as pas besoin de savoir où nous allons! montes là dedans!
Dounia fait ce que son client lui a demandé et se recroqueville dans le coffre qu’il referme la laissant dans le noir.
Le véhicule démarre et roule pendant un moment traversant la ville puis des bourgs, le client emprunte une route qui traverse une forêt puis s’engage dans un chemin avant de stopper.
L’homme descend et ouvre le coffre.
– tu peux sortir! nous sommes arrivés!
La fille est ankylosée à cause de sa position inconfortable et après avoir été secouée quand la voiture roulait sur un chemein parsemé d’ornières pendant le voyage.
– déshabilles toi! j’espère que tu as amené des chaussures plus confortables que tes talons hauts?
Dounia obéit, elle sort les tennis qu’elle a amené dans son sac puis sans gêne se met nue. Il prend ses vêtements et les met dans le coffre de sa limousine.
– bon physiquement tu vas plaire! je vais t’expliquer ton rôle!
– je vous écoute monsieur!
– des amis qui comme moi aiment la chasse vont bientôt arriver! pendant 48 heures tu deviens le gibier! la forêt est à toi pour te cacher! quand un chasseur te trouvera il fera de toi ce qu’il veut!
– vous pouvez préciser?
– d’abord s’il en a envie disposer de ton corps sexuellement ce qui sera la récompense de tous ceux qui te débusqueront!
– pas de problème car c’est mon métier de soulager sexuellement les hommes!
– ce n’est pas tout! ils devront aussi faire preuve d’imagination en te faisant subir certaines choses tout en respectant ton intégrité physique même s’ils te font souffrir! surtout ils devront t’immobiliser pour que tu restes sur place et aussi laisser une preuve avant de t’abandonner pour prouver qu’ils t’ont trouvée et éventuellement utilisée pour se soulager!
– j’espère ne pas trop souffrir! si je comprends bien je vais jouer le rôle d’un animal traqué et rester pendant deux jours sans boire et sans manger?
– tu as compris mais il y a des huttes faites de branches d’arbres disposées en plusieurs endroits! à l’intérieur il y a de l’eau et de la nourriture! à toi de les trouver si tu ne veux pas souffrir de déshydratation et de faim!
– je ne connais pas cette forêt et je ne sais pas si je vais savoir m’orienter!
– c’est ton problème! fais appel à ton instinct de survie! saches que où que tu sois l’un de nous te trouvera!
Elle se demande pourquoi il est si sur de la trouver dans cette forêt qui lui paraît immense, elle ne sait pas qu’elle va trimballer un traceur GPS qui sera activé en permanence et leur permettra éventuellement de la localiser si le besoin s’en fait sentir.
Elle sera aussi équipée d’un émetteur courte distance activé en permanence et les chasseurs seront équipés de récepteurs qui leur permettront de la repérer quand ils seront à moins de 100 mètres d’elle.
– je vais t’équiper puis tu auras tout intérêt à mettre le maximum de distance entre nous car dans une demi heure la chasse commence!
Avant de la laisser partir le client lui enserre les chevilles et les poignets dans des bracelets en cuir munis d’anneaux métalliques, elle ne voit pas à quoi ils vont servir mais ne pose pas de question.
Il lui met également un large et gros collier clouté autour du cou, c’est dans celui-ci que le traceur GPS et l’émetteur sont cachés.
– tu es harnachée pour la suite! tu peux partir! allez files et va le plus loin possible!
Dounia, condamnée à la nudité avec seulement des tennis aux pieds, tourne le dos à l’homme qui repart vers sa voiture, elle se met à courir s’enfonçant dans la forêt.
Peu entraînée aux efforts physiques elle est rapidement hors d’haleine avec un point de côté, appuyée à un tronc d’arbre elle respire bruyamment tentant de reprendre son souffle et attendant que le point de côté qui la handicape disparaîsse.
Elle reprend sa course mais se déplace de plus en plus lentement en s’arrêtant souvent la respiration rapide et saccadée. Elle est en sueur et celle-ci perle à grosses gouttes sur son front et coule sur son dos.
Quand elle voit un endroit où des rejets d’arbres assez denses ont poussé elle va s’y cacher et reste accroupie.
Après un moment elle entend parler des hommes qui lui paraîssent être assez loin de sa position, ensuite les bruits de voix s’éloignent.
Elle reste un moment ainsi tapie évitant de bouger jusqu’à ce que des bruits de branches mortes qui craquent deviennent de plus en plus distincts.
C’est à cause du bruit de pas qui écrasent des branches et des feuilles mortes et des feuilles qu’elle se retourne et voit un chasseur qui arrivait dans son dos, elle le regarde sans bouger pendant qu’il s’approche d’elle un sourire triomphant aux lèvres.
«je suis le premier à t’avoir trouvée! allonges toi! je vais prendre ma récompense!
Dounia ne répond pas, elle se contente de faire ce qu’il lui demande et écarte les jambes pendant qu’il déboutonne la braguette de son pantalon et extrait sa verge du caleçon.
– fais moi une pipe! ensuite quand tu m’auras bien fait bander je vais te sauter!
Il se met à genoux au dessus de sa tête et pose son pénis contre le visage de la prostituée, il est de bonne taille mais pas encore dans une forme convenable, elle ouvre bouche et le fait pénétrer dans sa cavité buccale puis le suce avec des aller retour tout de suite rapides de ses lèvres, le membre grossit vite.
Jugeant que son érection est satisfaisante il s’allonge sur elle et sans éprouver de difficultés enfonce son membre dans la vulve, il se met tout de suite à donner des coups de reins pour le faire aller et venir à l’intérieur pendant que coopérative elle l’accompagne en faisant bouger son bassin.
– salope! tu aimes trop la bite ou bien tu es pressée d’en finir et de me voir partir?
– je fais ce que pourquoi je suis ici monsieur! puisque vous m’avez trouvée et que je suis votre récompense mon devoir est de vous procurer du plaisir!
Les va et vient de la verge dans la vulve de Dounia durent peu de temps pendant qu’animée de sentiments neutres vis à vis de son assaillant elle subit en se montrant indifférente et presque absente.
– pour ce qui est de me donner du plaisir tu as réussi! salooopppeee…!
Il ne s’est pas retenu ou n’a pas pu et a éjaculé dans le vagin de la prostituée y déversant son sperme. Il est vexé d’avoir joui aussi vite ce qui a enlevé une partie de son plaisir et surtout affecté sa fierté de mâle.
– salope! tu m’as eu! ça été trop rapide mais la prochaine fois je vais te défoncer le cul pendant un bon moment!
Il se lève et remet son pénis dans le pantalon.
Dounia comprend pourquoi l’homme avait une corde avec lui, alors qu’elle s’assoit sur le sol laissant le sperme sortir de son vagin et couler entre ses cuisses, il lui donne l’ordre de s’allonger et de ne pas bouger.
Ensuite il lui soulève les jambes en les repliant puis les bras et rassemble les quatre membres ensemble et ensuite passe une extrémité de la corde dans les anneaux des bracelets en cuir fixés à ses chevilles et ses poignets.
Il lance en l’air l’autre extrémité de la corde la faisant passer au dessus d’une branche d’un chêne puis tire dessus, la prostituée décolle et se retrouve à plus d’un mêtre au dessus du sol, la corde reste tendue pendant qu’il en noue l’extrémité entre les chevilles et les poignets.
Après avoir posé une balise sur le sol et l’avoir mise en marche il s’en va sans plus se soucier d’elle.
Dounia reste ainsi pendue pendant un moment avec les membres étirés et douloureux supportant le poids de son corps (surtout les articulations des bras) avant que deux hommes vêtus de treillis ne fassent leur apparition.
Eux ne sont pas là pour profiter de la situation, ce sont deux larbins qui obéissent aux ordres donnés par leur employeur et ils sont astreints au secret concernant ses dérives sexuelles.
Ils la prennent en photo, écoutant leur conversation elle comprend qu’il y a un concours entre les chasseurs: quitte à la faire souffrir c’est à qui aura l’idée la plus originale en l’attachant ou la martyrisant après l’avoir sautée.
Ils la dépendent, récupèrent la corde et la balise avant de s’éloigner après lui avoir dit de courir et d’aller se cacher car la partie de chasse continue.
Elle reste d’abord sur place en faisant jouer ses bras et ses jambes endoloris puis, bien que n’en ayant pas envie mais ne voulant pas contrarier le client et ses amis, elle se met à courir mais dans une direction différente de celle qu’elle avait prise pour arriver sur les lieux.
Essouflée elle respire bruyamment en essayant de ne pas s’arrêter de courir voulant mettre le plus possible de distance entre les chasseurs et elle.
En passant entre deux gros arbres rapprochés l’un de l’autre elle trébuche et s’étale sur le sol, sa chute est amortie par le feuillage épais qui recouvre celui-ci.
Elle pense avoir buté sur une racine ou une branche mais quand elle lève la tête elle voit un homme qui s’approche et la toise d’un regard narquois et triomphant, il était caché derrière un tronc d’arbre. Dounia comprend qu’il lui a fait un croc en jambe.
– je t’ai eue connasse et sans courir!
Que répondre à ça? de toutes façons considérée comme un être sans importance de par son statut de prostituée elle est traîtée comme le serait tout gibier pourchassé et est payée pour subir quelque soit la situation.
– à genoux pouffiasse et présentes bien ton cul!
Obéissante elle se met dans la position demandée la tête posée sur ses bras repliés et en creusant bien les reins.
Le chasseur n’est pas satisfait, il lui attrape les bras et lui attache les poignets ensemble côté dos avec un serflex en plastique.
Pendant que la tête de la fille qui en appui sur le sol a tendance à s’enfoncer dans les feuilles mortes qui le tapissent il introduit son pénis dans l’anus et donne tout de suite des coups de reins brutaux pour le faire aller et venir dans le fourreau qui l’a accueilli, si la pénétration sans préparation est douloureuse elle a surtout mal au cou car son corps est secoué par les coups de boutoir de l’homme.
Heureusement pour elle il ne tarde pas à jouir déversant son sperme dans les intestins. Après s’être soulagé il fait encore aller et venir sa verge avant de se retirer puis se lève et remet la verge dans son pantalon.
Il s’en va sans un regard pour elle ni dire un mot après avoir posé une balise près de la fille qui reste dans la position où il l’a mise, en plus des poignets déjà entravés il lui a simplement attaché les chevilles ensemble avec un serflex.
Elle ne peut qu’attendre que les deux larbins chargés de la libérer arrivent.
Elle n’a pas besoin de patienter longtemps avant de les entendre s’approcher et après une nouvelle séance photos prises dans sa position humiliante les serflex sont coupés, libérée elle recommence à courir sans avoir choisi la direction qu’elle prend car elle ne sait pas où elle est dans cette forêt.
Le chasseur qui la trouve ensuite préfère une pipe et l’oblige à avaler le sperme avant de sortir un filet à grandes mailles du sac à dos qu’il porte, il étale l’objet sur le sol.
Le fille doit se coucher sur le filet avant qu’il ne le referme sur elle puis le chasseur y fixe une corde qu’il lance et fait passer par dessus une branche avant de tirer dessus de toutes ses forces.
Elle se retrouve emprisonnée dans le filet qui l’enserre, les mailles ont tendance à s’incruster dans sa peau à cause du poids de son corps.
Elle reste suspendue dans les airs jusqu’à ce que les deux larbins s’orientant sur les signaux émis par la balise ne viennent la photographier et la délivrer. De nouveau et sans demander son reste elle s’éloigne rapidement.
C’est vraiment le hasard quand elle découvre un genre de hutte faite de branchages, à l’intérieur il y a de l’eau, des fruits et plusieurs sortes de gâteaux et biscuits.
Elle ne sait pas l’heure qu’il est mais cela fait longtemps qu’elle erre dans la forêt et son estomac crie famine, elle dévore jusqu’à être repue puis reprend sa course.
Malheureusement pour elle les chasseurs connaissent l’endroit et supposant qu’elle viendrait s’y restaurer si elle tombait dessus, c’est un groupe de cinq hommes qui lui barre le chemin. Elle s’immobilise et attend de voir ce qu’ils vont faire d’elle.
Les mâles l’entourent, la pelotent partout sans douceur et enfoncent des doigts dans sa vulve et son anus humides de sperme puis ils la couchent brutalement sur le sol et la positionnent de façon à ce que trois hommes puissent l’utiliser sexuellement ensemble.
Ses seins sont pétris tels de la pâte à pain et ses mamelons triturés, étirés ou tordus pendant qu’en même temps que sa vulve, son anus et sa bouche sont pénétrés par des verges de dimensions bien différentes allant de la petite à la très grosse.
La prostituée qui ne peut que se laisser faire subit pendant un bon moment car dés qu’un homme a éjaculé dans l’orifice que sa queue occupait un autre quidam le remplace.
Soulagés ils en ont fini avec elle, à l’aide de cordes ils la saucissonnent des pieds à la tête, lui enserrant le cou à l’étrangler et lui écrasant les seins en les enroulant serrés avec une corde.
Ils laissent une balise allumée à côté d’elle et s’éloignent en parlant et riant bruyamment.
Dés que les deux larbins l’ont photographiée puis délivrée Dounia se met à courir jusqu’à n’en plus pouvoir avant d’attendre accroupie dans des taillis en espérant ne pas être trouvée.
Mais certains chasseurs énervés de ne pas la trouver (ou paresseux) trichent et se servent de leur téléphone portable pour repérer le traceur GPS qui se trouve dans le gros collier pour chien que celui qui l’a louée a mis autour de son cou.
Donc plus ou moins régulièrement la prostituée est repérée et doit subir la loi des mâles qui se soulagent dans son corps avant de la neutraliser en l’attachant de différentes façons: pendue à une branche d’arbre par les chevilles ou les poignets ou les deux ensemble, ligotée debout ou assise contre un tronc d’arbre, allongée sur le sol à plat ventre ou sur le dos les chevilles et les poignets liés ensemble.
Un groupe de trois chasseurs trouve Dounia qui à genoux leur suce la queue passant d’abord de l’un à l’autre sans les faire jouir puis leur fait chacun leur tour une fellation vigoureuse juqu’à ce qu’il éjaculent arrosant sa gorge de sperme et comme ils l’exigent elle avale le liquide.
Une corde est passée à l’anneau du bracelet fixé à chaque poignet et à chaque cheville puis elle est soulevée pendant que l’autre extremité des quatre cordes est attachée à un tronc d’arbre.
Ils règlent la hauteur pour qu’elle reste le ventre dirigé vers le sol, que les jambes et les bras restent écartés et son corps soit au niveau d’un sexe d’homme de taille moyenne.
Les mâles excités par la situation de la prostituée et insuffisamment soulagés par la pipe qu’elle leur a fait sont encore, ou de nouveau, en érection.
Chacun leur tour ils se positionnent entre ses jambes, la pénètrent et lui défoncent la chatte ou le cul suivant leur préférence pendant que son corps se balance d’avant en arrière au bout des cordes.
Ils doivent cramponner leurs mains à ses hanches pour éviter qu’elle ne bouge trop, elle n’a qu’une hâte: qu’ils en finissent le plus rapidement possible.
Enfin chacun d’eux a joui, ils s’en vont laissant leur proie suspendue le corps presque à l’horizontale avec les quatre membres bien écartés et étirés. Elle ne peut que patienter et attendre l’arrivée des larbins avant d’être photographiée puis libérée, le sperme s’échappe de son vagin ainsi que de son anus et coule sur le sol.
Louloute
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