Adolescent, je fantasmais sur ma mère mais rien de plus. Puis il y a eu le décès de mon père. Nous ne vivions plus que tous les deux et ça se passait bien. Je ne voyais jamais ma mère nue. Une vie tout ce qu’il y a de plus normale.
Et puis un jour, elle me demande de lui raser les poils sous les bras car elle n’y arrivait pas bien toute seule. J’arrive donc dans la salle de bains et ma mère m’attend avec une serviette autour de sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Je lui rase donc les poils sous les bras mais j’essayais toujours de voir ses petits seins. J’essayais de la faire bouger pour que cette maudite serviette bouge un peu. Et puis bingo, le nœud de la serviette lâche et ma mère n’a pas su la retenir… Vision d’enfer, les petits seins de ma mère enfin visibles. Je ne connais pas son tour de poitrine mais à mon avis elle devait faire 90 pas plus. De petites aréoles mais avec des tétons larges et longs. Vision merveilleuse et puis elle remet sa serviette en place. Et puis plus rien. L’image des seins de ma mère est restée gravée dans ma tête à vie.
Et puis le temps a passé mais j’avais toujours ce fantasme et la vision de ses seins en tête.
Tout a basculé un soir de saint valentin. J’avais invité ma copine de l’époque au resto et on s’est disputé en allant la reconduire chez elle ce soir-là et on s’est quittés. J’étais effondré tellement je l’aimais cette nana.
Et puis, je suis rentré chez moi, j’étais mal dans ma peau. Je suis monté dans ma chambre, ma mère dormait dans la sienne. Je me suis mis au lit et j’ai commencé à chialer. Mes pleurs ont réveillé ma mère qui est venue voir ce que j’avais.
Elle s’est assise sur mon lit et on a commencé à parler de ce qui s’était passé. Je lui ai dit que j’étais en manque d’amour, que je n’avais pas de chance avec les filles.
Et puis, en voyant sa chemise de nuit qui n’était pas complètement fermée sur le haut, j’ai repensé à ses fabuleux seins et surtout à ses énormes tétons. Alors, je me suis dit que c’était peut-être le moment de tenter quelque chose. J’ai continué à lui parler de mon manque d’amour de plus en plus. Et elle, elle me serrait fort contre elle. J’ai tourné ma tête et je lui ai fait un petit bisou sur les lèvres. Juste un petit bisou. Et elle n’a rien dit. Donc j’ai continué, que des petits bisous câlins. Et puis j’ai essayé un peu plus. Je l’ai couché un peu et toujours des petits bisous. Elle ne disait rien, c’était génial. Je lui ai dit qu’elle était très gentille avec moi et que j’avais envie de la caresser. Elle me laissa faire, j’ai glissé ma main dans sa chemise de nuit et bingo, j’étais en train de caresser les petits seins de ma mère, enfin ! Et puis je lui ai déboutonné et ouvert sa chemise de nuit. Je pouvais voir ses seins et sa culotte. Je continuais à lui faire des petits bisous sur les lèvres. Et puis j’ai voulu lui descendre la culotte mais elle me dit vouloir d’abord aller aux toilettes et se leva de mon lit pour aller à la salle de bains. En l’attendant, j’étais dans un état d’excitation extrême. L’attente était interminable. Et puis elle revint. J’étais juste en caleçon sous les couvertures et elle debout, seins nus et descendant d’elle-même sa culotte, c’était génial de la voir complètement nue s’introduisant dans mon lit. À peine couchée près de moi, je l’ai embrassée, mais cette fois-ci, elle m’offrait sa langue. Et puis je suis descendu enfin lui lécher et sucer les seins, c’était trop bon ! Pendant que je m’occupais de ces gros bouts, ma main descendit à sa chatte et là surprise : ma mère avait une de ces grosses touffes tout humide. Quand j’ai essayé de lui mettre un doigt, elle remonta ma main. Tant pis, j’avais quand même réalisé mon fantasme, m’occuper des seins de ma mère.
Puis j’ai enlevé mon caleçon et ai pris la main de ma mère pour la mettre en contact avec mon sexe, elle a tout de suite commencé à me branler magnifiquement. Et puis j’ai même fait descendre la bouche de ma mère sur mon sexe. Elle m’a sucé et léché un peu mais à vite arrêter car elle m’a dit qu’elle n’avait jamais aimé sucer. Tant pis. Par contre en remontant, elle a mis un téton sur mon gland et m’a branlé, c’était la plus belle chose qu’il me soit arrivé !
Ensuite, je me suis mis sur elle et c’est elle qui a guidé ma bite en elle. C’était trop bon, j’ai très vite joui en elle tellement j’étais excité.
À peine quelques minutes après avoir éjaculé, j’étais toujours en elle mais je culpabilisais un max d’avoir commis l’inceste avec ma propre mère.
Nos ébats se sont reproduits peut-être une dizaine de fois par après. (Je compte bien vous envoyer les suites…
Ça fait des années que notre aventure sexuelle est terminée. Je n’habite plus chez elle et je suis marié et j’ai des enfants.
Les lendemains de notre première relation se passèrent comme si de rien n’était sauf que j’étais quelque part honteux de ce que j’avais fait vis-à-vis de la morale. Nous continuions après une relation normale mère/fils. Ça pouvait durer des semaines où rien du tout ne se passait. Nous n’en parlions jamais et nous vivions normalement. Ma mère travaillait toute la semaine et moi j’étais à l’université. Je n’étais à la maison que le week-end.
Et puis de temps en temps, il se passait un truc dans ma tête, une sorte de déclic. C’était souvent suite à quelque chose que faisait ma mère, même des choses qu’elle faisait sans s’en rendre compte comme cette fois où elle me demande de l’aider à faire son lit. Qui n’a jamais aidé sa mère à faire le lit ? Ce n’est pas vraiment « bandant » de faire le lit me direz-vous. Mais cette fois-ci, c’était différent, j’étais debout de l’autre côté du lit, nous glissions les draps sous le matelas et là, je vois ma mère s’abaisser, la simple vision de son soutien-gorge m’envoie un électrochoc ! Je repense à ses seins, à ses énormes tétons. Mon sang n’a fait qu’un tour. Je ne pouvais quand même pas lui sauter dessus comme ça. Alors, je continue à l’aider à faire son lit. Une fois finie, elle me dit merci, il ne lui restait qu’à mettre la housse sur son oreiller. Alors, je lui dis, comme un bon fils que je suis : « Laisse, je vais le faire » et là je fais le tour de son lit et la rejoins de l’autre côté, j’arrive doucement derrière elle, je passe mes mains devant ses bras et je lui attrape la poitrine. Elle me dit : « Tu recommences ». Sa voix était posée, j’en ai déduit que ça n’avait pas l’air de la déranger plus que ça. J’ai fermé le volet et ensuite j’ai enlevé le chemisier de ma mère. Puis elle me dit l’attendre, qu’elle en avait pour une minute à la salle de bains.
Je me déshabillais donc en vitesse et je l’attendais nu. Elle revint complètement nue elle aussi. Nous nous sommes couchés dans son lit cette fois-ci. Nous avons commencé comme la dernière fois par une série de bisous où ma mère m’offrait à chaque fois sa langue. C’était très câlin, j’étais sur elle, je lui suçais ses grosses tétines. Puis j’ai ressayé d’amenée sa bouche sur mon sexe pour qu’elle me suce mais comme pour la première fois elle a encore refusé. Pas grave me dis-je intérieurement on réessayera… Par contre lécher, ça ne lui dérangeait pas, elle avait même l’air d’aimer, sa langue descendait de ma bouche jusqu’à mon sexe en s’attardant sur mon torse et mes tétons. Elle n’arrêtait pas de monter et descendre et le truc magique qu’elle faisait, comme à notre première fois, c’était mettre un de ses gros tétons sur mon gland tout en me branlant. J’étais encore une fois aux anges, rien de mieux que de faire de la chose avec sa propre mère, jamais je n’ai connu mieux !
Après ce formidable départ, nous avons fait l’amour, d’abord normalement, position classique, elle sur le dos. Mon sexe entrait en elle très facilement, elle mouillait très fort. Après quelques va-et-vient, je lui ai demandé de se retourner, elle l’a fait et s’est mise à quatre pattes avec ses larges fesses en face de moi, j’ai vécu la plus belle levrette de ma vie. Venir buter sur le cul de sa mère tout en lui agrippant les seins et surtout sentir ses gros bouts entre les doigts tout en jouissant en elle.
Une merveille malgré cette jouissance que je n’ai pas pu faire durer tellement mon état d’excitation était immense ! J’avoue sans en avoir honte n’avoir jamais eu de rapports sexuels très longs avec ma mère. L’excitation est trop forte pour moi pour durer.
Après avoir fait l’amour dans son lit (voir récit précédent), nous sommes restés couchés longtemps l’un contre l’autre. Nous étions bien tous les deux à se câliner et s’embrasser. Une fois debout, nous allions nous laver chacun à notre tour, même pas ensemble, comme si une pudeur s’était installée tout d’un coup. Une fois rhabillés, nous étions redevenus comme avant, c’était irréel. C’était comme si on avait chacun une double personnalité, mère amante et fils amant.
Et puis plus rien pendant des semaines, le train-train quotidien s’était réinstallé jusqu’à un beau jour d’été, il faisait très chaud chez nous. J’étais au jardin, je tondais la pelouse comme d’habitude. Ma mère venait voir de temps en temps si ça allait, si je n’avais pas soif. Une après-midi d’été normale jusqu’à un moment où je ramassais l’herbe. Ma mère arrive avec une boisson rafraîchissante et s’abaisse pour me la donner. Je prends le verre et en regardant plus haut, quelque chose m’a attiré d’un coup. Je voyais les tétons de ma mère pointés à travers son tee-shirt. La voir comme ça, ce n’était pas normal du tout, ma mère ne porte habituellement que des soutiens-gorge assez classiques rembourrés qui ne laissent jamais rien transparaître. Avais-je une insolation ou était-ce ma mère qui avait changé de soutien-gorge ?
Une fois la pelouse tondue, je pars me laver en passant par la cuisine où se trouvait ma mère, elle était de dos. Je regarde en vitesse, aucune trace de bretelles ou d’attaches de soutien dans son dos. Je vais prendre une douche tout en pensant à ça. Rien qu’à penser que ma mère ne portait pas de soutien-gorge, ça m’électrisa. L’envie de ma mère était à nouveau présente.
Après m’être habillé, je la rejoins dans la cuisine. Elle est debout face à l’évier, j’arrive derrière elle et je lui fais des petits bisous dans le cou. Elle se laisse faire, j’en déduis que je pouvais encore une fois aller plus loin avec elle. Je pose mes mains sur ses hanches, toujours pas de réaction, je continue. J’ai de la chance, son tee-shirt flotte en dehors de son pantalon, je remonte mes mains par-dessous, toujours pas de réaction et toujours pas de soutien-gorge, je remonte et j’arrive enfin à ses tétons, je joue avec ses deux gros bouts, je continue à l’embrasser dans le cou et puis je lui dis : « pas de soutien-gorge aujourd’hui », elle me répond : « il fait trop chaud pour en mettre ». Je l’ai prise par la main direction le canapé, nous nous sommes embrassés tendrement. Je me suis déshabillé et comme d’habitude ma mère devait aller aux toilettes avant de me rejoindre, c’était une vraie manie ! J’étais donc nu et je l’attendais allongé sur le canapé, je prenais toute la place. Là voilà, elle est nue et toujours aussi excitante. Elle essaye de s’asseoir à côté de moi mais je la prends sur moi, son corps colle au mien, je sens bien ses tétines sur moi. Nous commençons par nous embrasser, puis d’elle-même elle descend pour me lécher.
Je lui dis : « Tu ne veux toujours pas me sucer ». Sa réponse fut rapide : « J’ai une trop petite bouche » (pourtant, je n’ai pas un membre exceptionnel en largeur ? Encore une fois tant pis pour la fellation. Pour mieux me lécher, ma mère avait mis les genoux par terre et moi j’étais couché comme un pacha sur le canapé. Ça durait et ça durait, ma mère s’appliquait avec sa langue sur mon sexe. Soudain, elle me dit : « J’arrête, j’ai mal aux genoux ». Elle se releva, je lui dis qu’on pourrait se mettre autrement tout en se faisant plaisir, l’heure du 69 avait sonné. Ma mère se glissa sur moi, c’est la première fois que sa chatte était aussi près de moi, j’ai pu la lécher à mon tour. Quelle touffe, elle n’a jamais du la raser tellement il y avait des poils. J’ai pu introduire ma langue dans sa fente et lui sucer les grandes lèvres, ma mère haletait, c’était aussi la première fois que j’entendais des sons de plaisir sortir si fort de la bouche de ma mère. Elle aimait donc ça. C’était un nouveau bon point pour moi. Après le soixante neuf, elle est venue d’elle-même se positionner sur moi. Elle a guidé mon sexe en elle. Elle se demandait si elle allait pouvoir tenir longtemps dans cette position tellement les vas et vient étaient endiablés. La vision de ma mère qui se faisait aller sur mon bâton, ça vaut de l’or. Elle poussait des petits cris. C’était merveilleux de la voir comme ça. Elle m’a fait vite jouir, comme d’habitude.
Puis sont arrivées les vacances d’été. Qu’allais-je bien pouvoir faire pendant deux mois ? M’occuper de ma mère me semblait un bon plan.
De retour chez moi, j’avais envie d’aller plus loin avec elle. J’étais sûr que c’était possible. On avait déjà tellement été si loin dans notre amour. La journée, ma mère rentrait vers 16 heures et nos premières soirées se passèrent normalement, bon fils, bonne mère. Un après-midi, je me décidais d’aller à la vidéo club louer « Tabou », je l’avais déjà vu seul à la maison mais cette fois, j’avais envie de le regarder avec ma mère.
Une fois rentrée, elle s’occupait du ménage. Tout était normal à l’exception que cette fameuse cassette était dans le magnétoscope. J’avais hâte d’être à ce soir. Comment allait-elle réagir ? Je n’étais pas à l’abri qu’elle se refuse à mes avances. Bon, on va voir, advienne que pourra. Jusque-là, j’avais quand même réussi à assouvir mes fantasmes.
La soirée venue, je suis déjà en pyjama dans le salon, je regarde des conneries à la télé. Après sa douche, ma mère arrive enfin ! Elle prend le magazine télé et me demande ce que je veux regarder. Je lui dis : « Je suis allé louer un film cet aprèm ». Elle ne me demande même pas le titre, elle me dit : »C’est quel genre ? ». Qu’allais-je bien lui répondre ? Faut que je me décide, alors je lui dis : « C’est un bon film, même très bon, je l’ai déjà vu ». « Pourquoi tu veux le revoir si tu l’as déjà vu » me répond-elle. Qu’est-ce que je pouvais encore lui dire ? Je lui dis : « J’aime le revoir tellement l’histoire me plaît, c’est mon film préféré ».
Bon, je me lance, j’appuie sur play et à l’écran, les avertissements sur la copie illégale des K7 défilent. Ma mère regarde la télé. Comment va-t-elle régir ?
J’étais dans un état de nervosité énorme. Ça commence direct par une scène X où l’actrice Kay Parker et son mari font l’amour, on voit tout et le titre apparaît « TABOU ». Je n’osais pas regarder ma mère, c’était atroce. Ma mère me dit « ah d’accord, c’est ça ton film préféré, je suppose qu’il n’y a que des coucheries là-dedans ». Je lui dis : « Y en a pas mal mais il y a aussi une histoire » Ma réponse était je dois dire assez philosophe.
Je pensais qu’elle allait partir ou me demander de couper mais non, elle reste. Ma mère et moi, en train de regarder ensemble un film X sur l’inceste. C’était magique. Au fur et à mesure du film, elle n’arrêtait pas de faire des petits commentaires, elle était vraiment plongée dans le film. Elle a d’ailleurs vite compris l’histoire et ce qui allait arriver. Elle me disait des trucs du genre : « C’est la mère celle-là, son mari l’a quitté et lui, c’est son fils ». Les images et les scènes X continuaient à défiler. Je n’osais pas trop la regarder, je me sentais si j’étais gêné vis-à-vis d’elle.
De plus elle enchaînait les remarques du genre : « Deux femmes qui font ça » ou « Son fils la regardent quand elle se change, c’est du voyeurisme » et puis quand la mère entre dans la chambre de son fils qui dort nu, c’était du genre : « Je suppose qu’ils vont faire des choses », je n’osais pas répondre. Cette scène était merveilleuse et ma mère a tout regardé. Une fois le film fini et après une bonne dizaine voir vingtaine de remarques de ma mère, elle me dit : « C’est ça que tu voulais me faire voir, en tout cas elle a une forte poitrine la mère, ce n’est pas comme moi ».
Alors je lui réponds : « Oui, mais je préfère la tienne, elle est moins grosse mais elle n’a pas tes… » je n’osais pas lui dire ce mot. Alors elle me demande : « Elle n’a pas mes… Mes quoi ? ». J’ai pris mon courage à deux mains : « Elle n’a pas de tétons aussi gros et bons ». « Je me doutais que c’était ce mot que tu allais me dire, tu les aimes à ce point ? « .
Alors, je l’ai embrassé, elle me donnait tout de suite sa langue. Nous nous amusions à se sucer les langues, c’était excitant. Puis elle me dit à l’oreille « Si tu les aimes tellement, viens me les sucer », j’étais abattu, c’était la première fois que ma mère me demandait de lui faire quelque chose. Alors, j’ai enlevé sa robe de nuit et sa petite culotte. Pour une fois, elle n’a pas été à la salle de bains se rafraîchir. Sa chatte était trempée alors je lui dis « Tu es toute mouillée », elle me répond : « Ce film m’a mis dans tous mes états, une mère et son fils en pleins ébats à l’écran, c’est scandaleux mais j’y ai pris du plaisir ». Ensuite, je me suis occupé de ses gros bouts qui n’attendaient que moi pour être sucés.
Puis c’est elle qui m’a léché le sexe comme une folle, sa langue montait et descendait de mon gland aux testicules. Comme à son habitude, elle a mis un gros téton sur mon gland en me branlant. Je n’en pouvais plus, j’ai dû luire demander d’arrêter sinon j’allais jouir. J’ai profité de cette pause pour m’occuper d’elle. Je l’ai assise et j’ai plongé ma tête entre ses cuisses. Elle était trempée, ça m’excitait de voir à quel point elle était humide. J’ai littéralement bu son jus, ma langue jouait avec son clito. Je m’appliquais, elle haletait de plus en plus. J’avais envie de la faire jouir avec ma langue.
À un moment, elle se crispa très fort en criant, j’avais réussi, elle jouissait fortement et bruyamment. Une fois calmée, je suis venu sur elle pour un gros câlin. Après quelques baisers, elle me dit « A mon tour de t’en faire voir ». Elle se remit à me lécher la queue et à me branler avec ses tétons. Je lui ai dit que j’allai jouir tellement elle m’excitait. Elle arrêta de me lécher pour me masturber avec sa main en approchant sa bouche de mon sexe. Que faisait-elle ? J’ai vite compris car au moment de jouir elle a mis sa bouche sur mon gland. J’ai envoyé mon sperme dans sa bouche. C’était la perfection ! Ma mère en avait partout mais surtout sur les contours de ses lèvres et sur le menton.
Une fois remise de mes émotions, ma mère n’a pas voulu m’embrasser, elle voulait d’abord se rincer la bouche et prendre une douche.
La journée s’est terminée comme elle avait commencé, calmement, entre un bon fils et une bonne mère, une très bonne mère.
Après cette fameuse soirée vidéo tout était redevenu normal.
Ma mère dormait dans sa chambre et moi dans la mienne.
Le lendemain tôt, je retrouve ma mère dans la cuisine pour le petit-déjeuner.
Un petit bisou sur la joue et je me mets à table, elle me demande si j’ai bien dormi. Tout était normal ! Comment est-ce possible de ne rien laisser transparaître. Ni elle, ni moi n’abordions ce sujet. Je commençais à croire que nous avions réellement une double personnalité. Était-ce possible ?
Quelques jours passèrent, le jour de mon anniversaire arrivait à grands pas. Qu’allait-elle m’offrir ? Un CD, une chemise. ? Elle ne m’avait posé aucunes questions à ce sujet. Pourtant nous nous parlions comme avant le début de notre relation, rien n’avait changé.
Et la veille de mon anniversaire, elle me dit plusieurs fois sur la journée : « Demain, c’est ton anniversaire, je t’ai préparé une surprise ». Je lui ai demandé ce que c’était mais elle ne voulait pas me répondre. Je me demandais ce qu’elle avait bien pu me préparer, ça avait l’air si secret. C’est au soir que j’ai découvert ce que c’était, je l’ai surprise en train de cacher dans le frigo, derrière des canettes, un petit gâteau fait maison.
Le lendemain matin, avant de partir, elle est venue dans ma chambre me souhaiter un joyeux anniversaire et me dire : « Tu auras ton cadeau tantôt ». La journée me parut interminable, je me demandais bien quel genre de cadeau j’allais avoir. J’avais plein d’images en tête, repensant à nos ébats.
Ma mère est enfin là. Elle était rentrée avec un paquet pour moi. « Bon anniversaire » me dit-elle en me le donnant. Je l’ai vite ouvert, c’était une chemise. J’étais content et déçu à la fois, je m’attendais à autre chose, quelque chose de plus osé. Tant pis ! Puis arrive le souper et pour finir en beauté la fameuse surprise : le gâteau.
Après ce bon repas, s’annonçait une soirée télé comme d’habitude.
Après ma douche, je descends. Ma mère part se laver à son tour.
Je m’installe sur le canapé. Ma mère arrive, en peignoir cette fois.
C’est bien la première fois que ma mère porte un peignoir, d’habitude elle est en robe ou en chemise de nuit ou avec un long tee-shirt.
Bizarre ce peignoir.
Bref, elle s’installe près de moi et nous regardons la télé.
Après le film, elle me dit : « Je vais me coucher, mais avant j’avais encore deux petites surprises pour ton anniversaire ». Étonné, je lui dis : « Deux surprises ? C’est quoi ? ». Et là, je vois ma mère défaire le nœud de son peignoir et l’ouvrir, elle était nue ! « Je sais que tu les aimes, viens » me dit elle en me montrant ses seins, et nous sommes montés dans sa chambre. J’ai enlevé mon pyjama et nous nous sommes couchés dans son lit, j’ai commencé par m’occuper de ses tétines, je les léchais et suçais, ses pointes étaient toujours aussi délicieuses.
Je lui dis : « Merci pour ces deux surprises », elle me répond que j’en étais qu’à la première. « Quelle est la deuxième ? » lui dis-je et là elle me dit « C’est une surprise ». Alors je continue à m’occuper d’elle, je lui suce la langue et on se caresse comme des fous. Je me décide à la remercier par une minette intense. Je lui titille le clito avec ma langue et la doigte en même temps, elle crie. Je vais encore une fois réussir à la faire jouir, je le sens. Elle n’en peut plus, elle se crispe et jouit enfin. « Tu es un petit saligaud mais j’adore ce que tu m’as fait, tu mérites bien ta surprise » me dit-elle.
Là voilà qui vient sur moi, son corps est collé au mien, je sens encore ses gros bouts sur mon torse. Elle se met à descendre, relève la tête et me dit : « Tu sais que ma bouche est trop petite et que je n’aime pas fort faire ça mais c’est mon autre cadeau ». Je regarde ma mère, je suis en transe, je la vois me lécher le sexe puis le mettre en bouche, sa bouche n’est pas trop petite, au contraire. Elle me suce vite et de temps en temps elle s’arrête pour me lécher. Je n’en peux plus, je décharge dans sa bouche. Elle garde mon sexe en bouche, elle boit mon jus. Une fois remise de mes émotions, elle revient près de moi et me dit : « Bon anniversaire ».
Quelle soirée ! Nous n’avons pas fait l’amour mais avons joui tous les deux. Cette nuit-là, j’ai dormi avec elle, nous n’avons plus rien fait. C’était le meilleur cadeau d’anniversaire que je pouvais recevoir de ma mère.
À suivre
Damien
Excellent, bandant, merci pour la suite.
Merci d’apprécier nos récits, cela nous encourage à continuer.
merci pour ce récit très excitant !