Histoires taboues Inceste

Histoire sexe Les gros tétons de ma mère Brigitte Chapitre 3

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Le retour à la maison familiale

La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille… Cela faisait un bon mois que ma femme et moi, nous nous disputions presque tous les jours, le plus souvent pour des bêtises, mais surtout pour nos horaires de travail qui nous bouffaient littéralement, c’était devenu intenable, engueulades sur engueulades, bref, nous avons donc décidé de nous séparer un peu, nous manquions d’air. C’est vrai que la situation des dernières semaines ne pouvait plus continuer, le plus dur, c’était pour nos enfants, une rupture n’est jamais facile à vivre…

Alors, comme bon père de famille, j’ai laissé ma femme, mes deux enfants dans notre maison et je suis retourné vivre quelque temps chez ma mère.

Ça n’a pas été facile de me réhabituer à vivre chez elle… Au début, je me sentais comme un étranger, j’avais même le sentiment de la déranger.

Le premier jour, ça allait, c’était comme si j’arrivais pour passer des vacances (valise, sacs), j’avais retrouvé ma chambre de jeune homme.

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Nous avons vécu une première semaine très calme, maman ne m’adressait presque pas la parole, ses rares mots étaient : « On mange ! » ou « Bonne nuit ! ». C’était comme ça jusqu’à ce fameux soir où, dans mon lit, j’ai fondu en larmes en pensant à ma situation : ne plus voir mes enfants tous les jours, c’était dramatique !

M’entendant pleurer, ma mère est venue à l’entrée de ma chambre, elle restait là sans bouger près de la porte comme si elle n’osait pas entrer, elle portait une chemise de nuit avec un gilet par-dessus.

« Je n’en peux plus de cette situation, mes enfants me manquent !

— Je comprends, mais si tu trouves qu’il n’y avait pas d’autres possibilités que de revenir ici ? Tu aurais pu encore t’accrocher et rester chez toi ! Tu vas voir, ce n’est qu’un passage, ça va passer et tu vas pouvoir les retrouver !

— Tu crois… ? Moi non, au contraire, je crois que ça va finir par un divorce !

— Arrête, ne dis pas ça !

— Il faut voir la vérité en face ! Et en plus, j’ai l’impression de te gêner ici, je me trompe ?

— Tu ne me gênes pas, c’est juste que je n’ai plus l’habitude d’avoir quelqu’un ici… !

. Depuis que tu es marié, ce n’est plus la même chose !

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— Peut-être que je ne le serai plus pour longtemps, marié ! Et je ne sais pas ce qui va se passer et où je vais vivre les prochaines semaines, voir les prochains mois ou années… !

— Moi, tu ne me déranges pas, c’est aussi ta maison, ici !

— Merci, mais comme tu as l’air si distante de moi depuis mon retour ici, je pensais que tu ne voulais plus de moi près de toi ! »

Ma mère était toujours debout à l’entrée de ma chambre.

« Loin de là, tu es mon fils et j’ai le devoir de t’aider quand ça ne va pas !

— Merci maman pour tout ce que tu fais pour moi… ! »

Je me suis alors levé du lit pour aller près d’elle. Je l’ai prise dans mes bras en lui déposant de petits bisous, d’abord sur la joue, puis au coin des lèvres pour terminer, bouche contre bouche. Ma mère ne disait rien et acceptait mes petits baisers, puis ma langue. Nos bouches étaient en fusion, exactement comme avant. Maman me suçait la langue, puis ce fut à mon tour de la lui sucer. C’était terriblement excitant, mon sexe a gonflé d’un coup, mon érection était déjà maximum.

En l’embrassant, je descendis mes mains jusqu’à ses fesses, remontant ainsi sa chemise de nuit. Quelle stupéfaction, ma mère ne portait pas de culotte pour dormir ?

« Tu as changé depuis que j’ai quitté la maison !

— Je sais, j’ai vieilli !

— Non, ce n’est pas ce que je voulais dire !

— Quoi alors, qu’est-ce qui a changé chez moi ?

— Maman, tu ne portes plus de petite culotte !

— D’habitude oui, mais aujourd’hui, non !

— Comment ça se fait ?

— Comment dire, je me doutais que…

— Que quoi… ?

— Comme tu étais triste, je me suis dit que tu allais avoir besoin de tendresse ce soir alors… !

— Alors quoi… ?

— Alors, je l’ai enlevée ! »

Plus rien ne me retenait, ma mère était là, dans mes bras, toujours aussi consentante et toujours aussi désirable, avec ses larges fesses et sa bonne grosse chatte qui ne demandaient qu’à être câlinées.

Nous étions debout, enlacés, nous n’arrêtions pas de nous embrasser comme si nous avions du temps à rattraper.

« Maman, tu m’as manqué !

— Toi aussi, très fort… ! Au fond de moi, je n’attendais que ton retour ! »

Tout était clair, ma mère comme moi, étions en manque de sexe, en manque de cette relation incestueuse maternelle.

Une fois assise sur mon lit, ma mère enleva cet affreux gilet. Je pus alors admirer les déformations de tissu formées par ses gros tétons. Quelle chance d’avoir toujours une mère qui a les seins qui pointent en permanence.

Il ne restait plus qu’à retirer sa chemise de nuit, je m’en suis chargé sans peine, ses tétines étaient enfin visibles.

Maman s’est couchée sur le lit avec un petit « Viens ! ». C’est ce que je fis après m’être déshabillé complètement.

Allongées à côté de ma mère, mes mains parcouraient son corps quelque peu vieilli, mais toujours aussi excitant. Il ne me fallut que quelques secondes pour enfin sucer ses gros bouts que j’aime tant. Je pouvais les lécher et les mordre légèrement. Ma mère avait les yeux au ciel et émettait de petits râles de plaisir.

« Oh, ça fait tellement longtemps, tes seins m’ont manqué !

— Tu leur as manqué, aussi ! »

Après près de 5 minutes à m’occuper de ses seins, je descendis ma bouche sur son sexe. La chatte de maman était déjà très humide. Je la léchai de bas en haut jusqu’à son gros clito et à chaque passage, maman se trémoussait en émettant des petits cris.

Ce petit jeu n’a duré que très peu de temps car ma mère me demanda d’arrêter, tellement l’intensité était forte.

J’ai donc stoppé, j’avais peur qu’elle jouisse trop vite et j’avais tellement envie de profiter, pleinement, de nos retrouvailles incestueuses.

Elle était toujours allongée sur le dos, alors je me suis mis à genoux à côté d’elle. Elle prit d’abord mon sexe en main avant de se retourner et de le prendre en bouche. Maman était à quatre pattes en train de me sucer. J’avais une main qui encourageait sa tête et l’autre qui pelotait ses petits seins tombants. Je roulais ses grosses tétines entre mes doigts. Ce spectacle valait vraiment le détour.

Pendant au moins dix minutes, maman a alterné suce, lèche et passage de ses gros tétons sur mon gland. Mon sexe était bandé à son maximum, je pensais que j’allais défaillir tellement l’excitation était grande.

J’ai dû lui dire d’arrêter car je ne voulais pas jouir tout de suite mais profiter d’elle un maximum. Nous nous sommes donc un peu calmés, nos jeux ne se limitaient plus qu’à des tendres caresses et à beaucoup de baisers passionnés entre une mère incestueuse et son grand fils.

Ce n’est qu’un peu plus tard et le sexe nettement moins bandé que nous avons repris nos ébats par une merveilleuse fellation dont maman a le secret.

À chaque coup de langue, mon sexe se redressait, elle partait toujours de la base et remontait jusqu’au gland puis le mettait en bouche pour une dizaine de va-et-vient puis recommençait.

Et puis arriva ce qui arriva, l’excitation était bien trop forte pour moi.

J’ai dû déverser ma semence dans sa bouche. Maman gardait les lèvres serrées sur mon sexe, elle ne voulait pas en perdre une seule goutte.

J’avais enfin retrouvé cette mère incestueuse que j’avais quittée quelques années auparavant.

Plus tard cette nuit-là et le sexe ayant retrouvé sa vigueur, nous avons passé une belle nuit d’amour entre mère et fils.

Et comme elle dit toujours : « Avec maman, tout est permis ! ».

Ça fait maintenant un mois que je suis revenu vivre chez ma mère et je crois que je ne vais plus jamais en repartir.

Le lendemain de notre nuit de retrouvailles incestueuses, je me suis réveillé et ma tendre maman n’était plus dans mon lit, quel dommage !

J’entendais des bruits de pas en bas, ça ne pouvait être qu’elle, toujours levée de bonne heure.

J’enfilai un caleçon avant de descendre.

Arrivée dans la cuisine, maman était de dos, face à l’évier et ne portait, apparemment, que sa chemise de nuit, une véritable invitation à l’amour… La journée commençait bien !

Quand elle m’a entendu, elle s’est retournée avec un grand sourire.

Plus aucun doute, elle était bien nue en dessous, ses gros tétons ne me trahissaient pas et déformaient très nettement le tissu.

« Bonjour, bien dormi ?

— Très bien, et toi ?

— Oui, j’ai un peu mal partout, mais ça va !

— Ça ne t’a pas fait du bien de faire un peu de gym ?

— Coquin ! »

Ma mère avait l’air si heureuse, j’étais content de l’avoir retrouvée.

« Tu sais que tu ne m’as même pas fait un petit bisou pour me dire bonjour !

— C’est à toi de le faire, c’est toi qui viens me rejoindre et en plus, j’étais ici la première !

— OK ! »

Je l’ai prise dans mes bras avant de lui donner un tout petit bisou sur les lèvres. Tout de suite, j’ai senti la langue de maman qui cherchait la mienne. Ma mère était beaucoup plus entreprenante qu’avant. C’était parti pour un long baiser.

« Bonjour maman !

— Bonjour mon fils !

— Bien dormi, alors ?

— Oui, c’est la meilleure nuit que j’ai passée depuis bien longtemps !

— Que vas-tu faire de beau, aujourd’hui ?

— Je ne sais pas encore, et toi ? »

Moi, lui passant les mains sous sa chemise de nuit :

« Je pense que je vais rester ici et m’occuper de ma maman chérie !

— Tu es sûr que tu n’as rien d’autre de mieux à faire que de t’occuper de ta vieille mère ?

— Vieille, d’accord… !

— Dis donc, tu es méchant avec moi !

— Tu ne m’as même pas laissé le temps de terminer ma phrase, vieille d’accord, mais encore tellement excitante ! »

Je caressais d’abord ses bonnes fesses avant de lui sucer les gros bouts à travers sa chemise de nuit.

À en croire mes doigts glissés dans sa chatte, maman mouillait déjà.

Je ne pouvais pas laisser ce bon jus couler sans rien faire, c’est pourquoi je l’ai emmenée dans le salon pour pouvoir m’occuper d’elle.

« Attends, je vais fermer les volets partout !

— Bonne idée, on sera mieux ! »

Une fois revenue, maman a enlevé sa chemise de nuit, j’en ai aussi profité pour me mettre à l’aise et balancer mon caleçon.

Ma mère était allongée sur le divan. Je ne savais pas par où commencer, tellement j’étais excité. À mon avis, sans le vouloir, maman écarta les jambes, mon invitation était là. En moins de deux secondes, ma langue était dans sa fente. J’alternais les coups de langue et les succions de clito, ces dernières faisaient gémir maman, elle émettait des « oui, oui, c’est bon ! », mais jamais de grossièretés ou de mots cochons.

Ma mère m’excitait à mort. J’ai fini par arrêter cette intense minette pour m’allonger à mon tour et la prendre sur moi.

Maman était empalée et se faisait aller sur ma queue juste au-dessus de moi, je sentais ses poils qui me touchaient le sexe. En même temps, elle s’abaissait sur moi et je pouvais de temps en temps lui lécher les tétons.

Il ne nous a pas fallu longtemps avant de jouir, presque ensemble. D’abord maman, puis moi, j’ai déchargé ma semence en elle.

Ensuite, nous avons pris une position plus confortable pour un dernier petit câlin.

« Oh, je n’en peux plus, tu vas me faire mourir !

— Tant que c’est de plaisir… !

— Oh que oui, je t’aime très fort !

— Moi aussi, je t’aime, tu es…

— Je suis quoi… ?

— Non, rien… !

— Allez, vas-y… !

— Tu es vraiment la seule femme qui m’excite aussi fort, mes plus belles jouissances, c’est à toi que je les dois !

— Tu le penses vraiment ?

— Oui, je te jure !

— Si je te dis que moi aussi, tu me crois ?

— Oui… ! »

Voilà comment bien commencer sa journée.

Après ce très bon début de matinée, nous avons passé la journée à la maison, tous les deux, volets fermés. Maman a gardé sa robe de nuit et moi, mon caleçon.

Mes yeux ne quittaient pas ma mère durant ses déplacements, ses petits seins légèrement tombants se balançaient quand elle marchait et ses larges hanches étaient à peine cachées par sa courte robe de nuit. Et quand elle s’abaissait, que je sois devant ou derrière elle, j’avais toujours une vue imprenable de ses tétons ou de sa grosse touffe.

Inutile de vous dire que j’étais constamment en semi-érection.

Je ne pouvais pas rester une heure sans la toucher, c’était des petites tapes sur les fesses ou des caresses et, à chaque fois, elle me répondait par un sourire. Et puis, je devenais plus entreprenant, j’arrivais derrière elle et je passais mes mains par-dessous sa chemise de nuit, jusqu’à atteindre ses gros bouts en lui glissant des bisous dans le cou, puis je la retournais pour l’embrasser à pleine bouche, avant de descendre prendre en bouche ses gros tétons, quel délice !

Nos petits jeux ont duré toute la journée et c’était toujours moi qui prenais les initiatives, sauf une fois.

En fin d’après-midi, je regardais la télé, assis tranquillement dans le canapé, quand maman est venue s’installer près de moi.

« J’ai assez travaillé pour aujourd’hui, ça te dérange si je m’allonge un peu, je suis un peu fatiguée !

— Non, repose-toi, tu veux regarder quoi, à la télé ?

— Regarde ce que tu veux, moi je me repose ! »

Maman s’est alors allongée sur le canapé, couchée sur le ventre, sa tête était posée sur ma cuisse.

Je lui caressais les cheveux, sans aucune arrière-pensée, sa tête était tournée vers la télé, je ne voyais que la moitié de son visage, mais j’entendais des petits râles de bien-être.

« Ça va… ?

— Oh que oui, ça me fait du bien ! »

J’ai donc continué, puis maman a tourné son visage vers moi pour que je puisse lui caresser les cheveux de l’autre côté.

« Oh, j’aime bien, continue ! »

Maman avait les yeux fermés, elle émettait toujours de petits râles en se remuant un peu.

Je ne portais pas plus attention que ça à maman, elle semblait presque endormie, mes yeux étaient rivés sur la télé, jusqu’à ce que je sente quelque chose se frayer un passage sous l’élastique de mon caleçon, c’était la main de ma mère !

Maman me masturbait, les yeux fermés, j’étais aux anges, j’ai même éteint la télé pour savourer ce bon moment. Ensuite, elle m’a libéré de ce maudit caleçon avant de prendre mon sexe en bouche. Cette savoureuse fellation dura assez longtemps, elle s’appliquait sur ma bite en gardant un maximum de temps mon gland dans sa bouche. De mon

Côté, j’avais stoppé totalement la caresse de ses cheveux pour lui enlever sa chemise de nuit et jouer avec ses gros bouts. Quelle fellation maternelle ! Maman avait, en plus, pris l’initiative et a été jusqu’au bout. Elle m’a sucé, léché et, bien sûr, m’a fait jouir dans sa bouche.

Quelques instants après, maman m’a avoué qu’elle voulait me garder auprès d’elle et qu’elle était prête à tout faire pour !

Elle était vraiment prête à tout pour me garder près d’elle. Et moi, je n’aurais pas quitté sa maison pour rien au monde.

Dans la maison familiale, nous vivions dans notre petit monde…

Je ne la quittais que pour aller travailler et voir mes enfants quand mon ex-femme me le permettait.

Les journées de boulot me semblaient longues, je n’avais qu’une hâte : rentrer et la retrouver !

Quand j’arrivais, elle était, elle aussi, heureuse de me retrouver.

Une fois dans la maison, nous vivions comme un vrai petit couple.

Tout changeait quand nous sortions, nous redevenions une bonne mère et un fils dévoué.

Justement, ce soir-là, nous faisons les courses dans une grande surface non loin de chez ma mère.

Dans une allée du magasin, j’ai pu faire la connaissance d’une dame que maman rencontrait souvent dans le village, une certaine « Véronique ».

Au premier regard, j’ai tout de suite remarqué sa longue chevelure et une poitrine généreuse, le reste de sa morphologie m’a échappé tellement j’étais en admiration devant ses seins.

Maman avait l’air de la connaître assez bien, Véronique lui avait déjà apporté plusieurs fois des légumes de son jardin.

Après les courses, nous étions dans la voiture mais je ne pouvais m’empêcher de penser à cette Véronique. J’ai questionné maman afin d’en savoir un peu plus sur cette femme et sur sa situation familiale.

Véronique avait la fin de cinquantaine, elle était divorcée, elle vivait seule dans une petite maison située dans le village (Maman me la montra en passant devant en voiture), son fils avait quitté la maison il y a déjà plusieurs années.

J’aurais eu une mère comme elle, je pense que je serais resté auprès d’elle…

Une fois rentré chez ma mère, j’ai continué à lui poser des questions sur Véronique.

Maman : « Qu’est-ce qu’il t’arrive avec Véronique ? Tu en poses des questions. »

Moi : « C’est juste de la curiosité. »

Maman : « Je te connais, ce n’est pas de la curiosité, je suis sûr que tu as quelque chose derrière la tête. »

Moi : « Mais non, je t’assure que non. C’est juste que je m’intéresse à tes amies, c’est tout. »

Maman : « Arrête, tu ne m’as jamais posé autant de questions sur mes connaissances avant. »

Je sentais une certaine jalousie de la part de ma mère.

Moi : « On dirait que tu es jalouse. »

Maman : « Moi jalouse, oh que non. »

Moi : « Si, allez viens me faire un câlin. »

Alors j’ai pris maman dans mes bras. Elle se laissa faire. J’ai passé les mains dans son dos sous sa blouse pour défaire les agrafes de son soutien afin de libérer sa poitrine.

Ensuite, j’ai soulevé sa blouse pour sucer délicatement ses deux gros tétons à tour de rôle.

Moi : « Je me demande si Véronique a des seins aussi bons que les tiens. »

Maman : « Tu m’énerves, tu vois bien que tu avais des idées derrière la tête en me posant toutes ses questions sur elle. »

Moi : « Juste quelques idées, c’est une jolie dame, encore désirable, avec de beaux atouts et plus jeune que toi » lui dis-je en rigolant.

Maman : « Je sais, je suis vieille. »

Moi : « Mais non, et je suis sûr que Véronique n’a pas ton expérience et ton savoir-faire. »

Maman : « Qu’est-ce que tu en sais, tu ne la connais pas. »

Moi : « Je ne demanderais pas mieux que de la connaître… »

Maman : « J’en étais sûr, tu n’arrêtes pas avec elle. »

Moi : « Ce n’est pas à elle que je pense en ce moment »

J’ai retiré complètement la blouse de maman et je l’ai couchée dans le canapé du salon.

Debout, j’ai sorti mon sexe afin que maman me lèche et me suce. Ce qu’elle fit goulûment pendant quelques minutes.

Ensuite, elle s’est relevée et j’ai pu, à mon tour, m’allonger.

Maman avançait sur mon corps de bas en haut. Le contact de ses gros bouts sur mon sexe était électrique. Elle le massait carrément avec ses seins, c’était divin.

Elle savait y faire avec ma queue. Je regardais ses gros tétons qui touchaient mon gland.

Moi : « Maman, arrête, je t’en prie, je vais défaillir. »

Mais elle n’arrêtait pas.

Moi : « Arrête ! Tu vas me faire jouir. »

C’est à ce moment que ma chère maman m’acheva en prenant mon sexe en bouche.

Elle me suça goulûment jusqu’à ce que je jouisse.

Comme à son habitude, elle garda ma bite en bouche avant de tout avaler.

J’ai l’impression que mon sperme était devenu sa boisson favorite.

Il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mes esprits.

Moi : « Merci maman, c’était divin. »

Moi : « Tant que j’y pense, tu ne l’inviterais pas ici à souper un soir de cette semaine afin qu’on puisse faire un peu plus connaissance. »

Maman : « Qui ça ? »

Moi : « Véronique. »

Maman : « Tu vois, tu ne penses qu’à elle. C’est hors de question de l’inviter ! Je ne la connais qu’un peu. »

Moi : « Tu vois, tu es jalouse. » lui dis-je en rigolant.

Maman : « Mais non, il n’y a pas de jalousie. J’ai juste peur que tu ne te tiennes pas correctement avec elle. Imagine si elle allait raconter des choses au village. Je n’oserais plus jamais regarder les gens en face. »

Moi : « Je te promets que je vais me tenir correctement. » lui dis-je en pensant tout le contraire.

À force d’insister, maman lui téléphona et Véronique accepta de venir le lendemain souper à la maison.

A suivre

Damien

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