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Histoires taboues Inceste

Histoire sexe Les gros tétons de ma mère Brigitte Chapitre 4 Final

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Cette nuit-là, j’ai eu des difficultés à m’endormir. J’avais des idées plein la tête, je pensais au lendemain et bien sûr à Véronique.

La journée au boulot me semblait encore plus longue que d’habitude.

Une fois rentré, je retrouve maman dans la cuisine, elle prépare le souper.

Moi : “Tu as prévu quoi pour l’apéro ?”

Maman : “Je pensais à un verre de vin rosé.”

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Moi : “Et si je nous préparais une sangria ?”

Maman : “C’est comme tu veux mais ne mets pas trop d’alcool dedans, tu sais que j’ai vite la tête qui tourne.”

Quelle bonne idée de ma mère, je vais ajouter un peu plus de Gin que d’habitude. Avec ça, on va bien commencer la soirée…

Il est 18 h 30, on sonne à la porte…

Je vais ouvrir.

Moi : “Bonsoir Véronique, je suis très content de vous revoir. Je vous en prie, entrez.”

Je la laisse passer devant moi. Elle porte une blouse avec un décolleté, une jupe noire qui lui moule carrément les fesses. Ça lui fait un cul d’enfer !

Mon cœur bat la chamade car à notre première rencontre au magasin, je n’avais pas remarqué ses autres attributs.

Une fois les femmes installées au salon, j’apporte l’apéritif…

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Moi : “Véronique, j’espère que vous aimez la sangria ?”

Véronique : “Oui, ne vous en faites pas, j’aime tout.”

Le décor était planté : Ma petite maman adorée assise dans un des fauteuils. Dans le canapé, Véronique, le verre de sangria à la main. Et moi, dans l’autre fauteuil, buvant un verre de vin rosé.

Il faut que je reste plus sombre qu’elles. Cette soirée commençait bien.

Moi : “Santé Mesdames !”

Véronique et maman : “Santé !”

Après quelques minutes de discussions sans intérêt sur la météo et sur le jardinage, je me rends à la cuisine afin d’aller rechercher des chips et de la sangria. Maman me rejoint.

Maman me chuchote : “Tu as exagéré sur le gin, c’est super fort ! J’ai déjà la tête qui tourne.”

Moi : “J’en ai juste ajouté un peu…”

Je reviens dans le salon avec l’apéro

Moi : “Véronique, votre verre est vide, je vous ressers un verre.”

Véronique : “Oui, volontiers. D’habitude, je ne bois qu’aux occasions mais c’est très bon.”

Quelle bonne nouvelle ! Véronique n’a pas l’habitude de boire de l’alcool.

J’en profite pour me rincer l’œil discrètement dans son décolleté. Ses seins sont serrés l’un contre l’autre, ça forme une ligne bien verticale entre eux deux. J’ai juste envie d’y mettre la main.

Véronique est très agréable à regarder et reste très attirante pour son âge.

Après trois apéritifs, nous passons à table. Je m’installe en face d’elle afin d’avoir une vue plongeante sur son décolleté.

Je décide aussi de faire le service afin d’être en mouvement et de pouvoir l’observer de plus près.

Maman, assise sur le côté de la table, termine péniblement son apéro. Je suis sûr qu’elle est déjà presque saoule, elle ne supporte vraiment pas la boisson.

J’ai déjà servi un verre de vin rouge à Véronique qui n’a pas refusé. Et moi de l’eau…

Nous discutons de tout et de rien en mangeant. J’avais déjà remarqué à la grande surface que Véronique aimait parler mais lors du repas, elle n’arrêtait pas, un vrai moulin à paroles.

Et plus je la réservais en vin et plus sa langue se dénouait. On a eu droit à toute sa vie, les bons et les mauvais moments…

Après le repas, Véronique demanda où se trouvent les toilettes. Maman profita de son absence pour me parler discrètement.

Maman : “Tu exagères, arrête de nous servir à boire comme ça. Je n’ose pas me lever. Je vais sûrement marcher de travers.”

Moi : “OK, mais je ne peux pas empêcher Véronique de boire, c’est notre invitée.”

Maman : “Tais-toi, elle revient des toilettes.”

De toute façon, le verre de Véronique se vidait de plus en plus difficilement, je pense qu’elle aussi était ivre. Je l’avais déjà remarqué quand elle est partie aux toilettes, sa jolie démarche mettant ses formes en valeur était moins sûre qu’en arrivant.

Tout allait pour le mieux pour moi et j’étais presque totalement sobre.

Malgré tout, je n’avais fait aucun plan à part de les faire boire, je m’étais dit qu’on verrait comment la soirée avancerait…

Il était encore tôt et nous venions de terminer le dessert.

Moi : “Véronique, voulez-vous un café ? J’en fais du très bon.”

Véronique : “Oui, c’est avec plaisir.”

Moi : “Maman ? Un café ?”

Maman : “Oui ; moi aussi.”

Me revoilà en cuisine, je prépare nos trois cafés. Un normal et deux spéciaux. Une nouvelle idée m’avait traversée la tête, j’allais ajouter un fond de whisky et de la crème fraîche pour faire comme deux irish-coffees, maquillés en cappuccino.

Après cinq bonnes minutes, me revoilà au salon. Elles étaient encore à table en train de discuter.

Moi : “Mesdames, si vous veniez prendre le café au salon.”

Maman : “Tu en as mis du temps pour faire trois cafés ?”

Moi : “J’ai soigné la présentation, j’ai fait du cappuccino. Véronique, vous aimez les cappuccinos ?”

Véronique : “Oui, j’adore ça.”

Les voilà qui arrivent au salon. Je sais qu’elles ne sont plus toutes jeunes mais elles n’avançaient pas vite du tout. Maman est saoule j’en suis sûr et Véronique n’en mène pas large.

Mes deux cappuccinos ne vont pas arranger ça.

L’alcool aidant, aucune des deux ne m’a fait de remarques sur une quelconque odeur ou sur un goût de whisky. Je pense qu’elles sont tellement saoules qu’elles ne sentent plus rien.

Après le café, je décide de remplacer la musique de fond par une compilation de slows, j’ai quelques idées qui me traversent l’esprit…

Moi : “Maman, c’est toi que j’ai choisie pour ouvrir le bal, veux-tu m’accorder cette danse ?”

Sûr de sa réponse négative vu son état, j’allais inviter Véronique à danser mais au lieu de ça changement de programme, ma mère accepte de danser ce slow.

Maman se colle à moi, sans doute aussi pour éviter de tomber.

Nous voilà dans le salon, en train de danser un slow devant Véronique.

J’évite bien sûr les gestes déplacés envers ma mère afin de ne pas choquer Véronique. Ce premier slow me semble long mais je profite quand même pour bien sentir le corps de ma mère.

Elle est tellement collée à moi que je sens ses gros bouts à travers ma chemise. Une érection commence, j’espère que Véronique ne va se rendre compte de rien.

Le slow se termine. J’invite Véronique à danser.

Véronique : “Continuez de danser avec votre maman, je passe mon tour, en plus je pense que j’ai trop bu.”

Moi : “Pas de problème Véronique mais je compte sur vous tout à l’heure ?”

Véronique : “Oui. En plus, ça fait des années que je n’ai plus dansé et j’aimais tellement ça quand j’étais jeune.”

Moi : “Mais vous êtes encore jeunes. Tout à l’heure, je vous ferai danser.”

Véronique : “C’est gentil.”

En attendant Véronique, me voilà toujours accouplé à maman sur la piste improvisée.

Véronique se lève et part aux toilettes. Une fois la porte fermée, j’en profite pour embrasser en vitesse maman avec la langue avant de lui chuchoter :

Moi : “Maman, même saoule, tu me fais bander, tu sens ma queue à travers mon pantalon ?”

Maman : “Je ne sens que ça depuis qu’on danse.”

Voilà Véronique qui revient des toilettes.

Véronique : “Que vous êtes beaux ! C’est parce que je sais que vous êtes mère et fils sinon j’aurais juré que vous êtes un vrai couple.”

Moi : “Merci Véronique, on s’aime tendrement maman et moi, je sais qu’elle sera toujours là pour moi.”

Véronique : “J’aurais tellement aimé vous dire la même chose de mon fils et de moi mais il n’a jamais été proche de moi comme vous l’êtes de votre maman.”

Moi : “Je suis sûr qu’il vous aime et qu’il pense à vous souvent.”

Véronique : “Il ne vient pratiquement plus me voir et il ne me téléphone que très rarement. J’ai toujours su qu’il préférait son père. Lui, il va le voir.”

Moi : “Il n’est jamais trop tard pour changer, il reviendra peut être par la suite.”

Véronique : “J’aurais voulu partager tant de choses avec lui et rien ne s’est jamais passé comme je l’aurais voulu.”

Moi : “Écoutez Véronique, je ne suis pas votre fils mais si jamais vous avez besoin de moi pour n’importe quoi, je serai là pour vous.”

Véronique : “Merci beaucoup. Jamais mon fils ne m’aurait dit ce genre de choses gentilles envers moi.”

Véronique à Maman : “Vous avez beaucoup de chance d’avoir un fils aussi gentil et aussi serviable.”

Maman : “Oui, je sais. Je l’aime très fort. Merci Véronique.”

Moi : “Véronique, avez-vous déjà dansé avec votre fils ?”

Véronique : “Non, jamais.”

Moi : “Venez danser avec moi, je suis sûr que votre fils à rater quelque chose de bien.”

Maman part s’asseoir dans le canapé et Véronique vient me rejoindre.

Véronique fait comme maman et s’accroche à moi.

Moi : “Je n’aurais pas dû vous servir autant de verres, je m’en excuse. N’ayez pas peur de vous accrocher à moi.”

Me voilà en contact direct avec Véronique qui a collé sa poitrine contre moi.

En dansant, je n’arrête pas de lui faire des compliments de toutes sortes

De temps en temps, je regarde le canapé, Maman nous regarde. Je sens un mélange d’alcool et de jalousie dans son regard.

Véronique la regarde aussi et me dit : “Votre maman n’a pas l’air heureuse de nous voir danser ensemble on dirait ?”

Moi : “Ne vous en faites pas avec elle, je pense qu’elle a trop bu.”

Après trois slows, nous retournons nous asseoir.

Moi : “Ça va maman ? Tu avais l’air jalouse que je danse avec Véronique ?”

Maman : “Non, pas du tout. Tu sais bien que je ne suis pas jalouse.”

Moi : “Même pas un petit peu jalouse alors ?”

Maman : “Non.”

Véronique : “Ce n’est pas de la jalousie, quand je vous regardais danser tout à l’heure, je vous ai trouvé très fusionnel, ça se voit qu’il y a beaucoup d’amour entre vous.”

Voilà Véronique qui reparle de maman et moi. C’est peut-être le moment pour tenter quelque chose.

Moi : “Oui, comme vous dites, nous sommes très fusionnels. Surtout depuis que je suis revenu vivre près d’elle. Nous nous aimons très fort avec maman. Hein maman ?”

Maman : “Oui, c’est vrai, j’ai de la chance de t’avoir.”

Véronique : “Oh, c’est beau. Je vous envie, je n’ai malheureusement pas connu ça avec mon fils.”

Moi : “Vous savez Véronique, on partage énormément de choses ensemble, des bonnes et des mauvaises. On partage nos joies, nos peines. Maman est ma complice, ma confidente. On peut tout se dire.”

Véronique : “Vous êtes un vrai petit couple.”

Moi : “Après le décès de mon père, j’avais pourtant dit à Maman de se retrouver quelqu’un mais elle n’a jamais voulu.”

Véronique : “Je comprends mais vous êtes là pour elle.”

Moi : “Oui, quand je ne suis pas au travail, je suis auprès d’elle. On passe de bons moments.”

Moi : “Par exemple, ce soir, si vous n’étiez pas ici avec nous, nous serions sans doute en train de regarder la télé maman et moi sur ce canapé, blottis l’un contre l’autre. Hein maman ?”

Maman : “Oui, sans doute mais je pense que nos soirées n’intéressent pas Véronique.”

Véronique : “Mais si, c’est tellement beau toute cette affection entre vous surtout que je n’ai rien connu de tout ça.”

Je sens que maman n’est pas à l’aise quand je parle d’elle et moi mais je continue malgré tout surtout que ça a l’air d’intéressé Véronique vu qu’elle n’a pas connu l’affection de son fils.

Moi : “Donc, je disais que nous nous faisons de gros câlins en regardant la télé. Maman met souvent la tête sur mes genoux et je lui caresse les cheveux, elle adore ça.”

Véronique : “Un vrai couple d’amoureux, c’est beau.”

Moi : “On aime bien se câliner maman et moi. Certaines personnes pourraient trouver ça choquant.”

Véronique : “Pas moi, que du contraire. Vous vous portez beaucoup d’amour et d’affection, je ne trouve pas ça choquant.”

Moi : “Maman me donne beaucoup d’amour. De mon côté, j’essaye de combler d’une certaine manière l’absence de mon père.”

Moi : “Vous comprenez Véronique ? Vous aussi, vous vivez seule et ce ne doit pas être facile tous les jours ?”

Véronique : “Oui, c’est vrai.”

Moi : “Véronique, je vais vous confier un petit secret.”

Je sentais maman inquiète.

Moi : “Maman, toi tu le sais bien, depuis mon adolescence, j’ai toujours été attiré par les femmes plus âgées que moi. C’est peut-être pour cette raison que je suis aussi proche de toi.”

Moi : “Je parle bien d’attirance morale mais aussi d’attirance physique. C’est peut-être pour ça que nous nous faisons autant de câlins.”

Véronique : “Sans doute, il n’y a rien d’anormal à ça je trouve. Dans tous les cas, ça ne me choque pas. C’est un amour fort.”

C’est à ce moment précis que j’ai pris mon courage à deux mains.

Moi : “Véronique, je pense que vous ne comprenez pas.”

Véronique : “Comment ça ?”

Maman : “Tais-toi maintenant.”

Véronique avait l’air de ne plus rien comprendre et maman avait peur que j’en dise trop. C’est ce qu’il allait pourtant arriver.

Moi : “Je vais essayer de vous expliquer.”

Moi : “Voilà, une fois que nous sommes ici, maman et moi, dans notre maison familiale, notre relation dépasse quelque peu une relation entre une mère et son fils, vous comprenez ?”

Véronique : “Vous avez un amour très fort entre vous, ça, j’avais compris.”

Véronique ne comprenait toujours pas, alors une autre idée m’est venue.

Moi : “Véronique, Maman et moi, on s’est dit qu’on allait vous inviter ce soir pour vous faire sortir un peu de votre solitude et partager ensemble de bons moments”

Moi : “Comme j’ai pu comprendre, vous vivez toute seule, vous n’avez plus d’attaches ou presque plus. On sait que ça ne doit pas être facile tous les jours.”

Moi : “Alors, nous aimerions partager notre amour avec vous. Un peu comme si j’étais votre second fils.”

Maman : “Véronique, je pense qu’il a trop bu lui aussi, il dit n’importe quoi.”

Véronique : “Je dois avouer que je ne comprends pas tout.”

Moi : “C’est pourtant simple Véronique. Tout à l’heure, vous nous compariez à une coupe d’amoureux et maintenant je vous propose de faire partie de notre couple, de notre trio.”

Moi : “Et si on remettait quelques slows, on pourrait danser ?”

Véronique : “Si vous voulez. Je vais aux toilettes. J’arrive.”

Pendant l’absence de Véronique, maman me dit : “Tu es fou, qu’est-ce qu’il te prend ?”

Moi : “Tu l’as bien regardée, tu as vu sa paire de nichons, j’en ai trop envie.”

Moi : “Tu n’as pas envie d’une femme ? Tu ne te souviens pas de Charlène ?”

Moi : “Je suis sûr qu’elle a une grosse touffe, on va se régaler.”

Maman : “Tu deviens vraiment dingue, et si quelqu’un l’apprenait ?”

Moi : “J’arriverai à la convaincre de ne rien dire. Aide-moi s’il te plaît. J’ai trop envie de vous deux !”

Voilà Véronique qui revient des toilettes. Maman et moi dansons déjà.

Moi : “Véronique, ne restez pas seule sur le canapé, venez danser avec maman ? Je m’absente un instant.”

La soirée s’accélère, je pars fermer les volets partout dans la maison. La musique de la chaîne hi-fi couvre le bruit des volets, je ne voudrais pas que Véronique voie que je nous enferme et se sente prise au piège.

À mon retour, j’espérais les voir collées un peu plus. Elles dansaient avec un certain recul.

Moi : “Bonsoir Mesdames, c’est ici la piste de danse ? Je peux danser avec vous ?”

Elles rigolaient toutes les deux, on aurait dit deux gamines. Je me suis glissé et nous voici en train de faire un slow à trois.

Moi : “Voilà un bon premier pas pour partager de l’amour. Vous savez Véronique, maman et moi, nous dansons souvent tous les deux. Mais à fois, c’est encore mieux je trouve.”

D’un côté, je passe mon bras au-dessus de l’épaule de Véronique et de l’autre j’enlace maman par la taille.

Je me sens heureux mais tout n’est pas encore gagne…

Moi : “Allons jeunes filles, serons-nous un peu.”

Nous voilà collés tous les trois.

Moi : “On dirait trois amoureux et les amoureux en général, ils se font des bisous.”

Je me retourne vers maman et l’embrasse furtivement sur les lèvres, Véronique n’a pas l’air de réagir.

Moi : “Allez Véronique, c’est à nous, un petit bisou.”

Je m’approche du visage de Véronique et l’embrasse sur les lèvres elle aussi. Ce contact fut électrique et elle n’a pas refusé. Jusqu’ici, tout va bien.

Moi : “Merci Mesdames mais les vrais amoureux, ils se font de vrais bisous.”

Je recommence donc mon tour avec maman. Je l’embrasse à pleine bouche, nos langues se mélangent devant les yeux de Véronique qui s’écarquillent d’étonnement.

Je me retourne maintenant vers elle, je pose mes lèvres sur les siennes, mais elle n’ouvre pas sa bouche.

Moi (rassurant) : “Véronique, laissez-vous aller, qu’est-ce que vous voulez qu’il vous arrive ici ? Nous sommes entre nous, dans notre cercle d’amour.”

Je repose mes lèvres sur les siennes et enfin, elle ouvre sa bouche et me donne sa langue.

Moi (rassurant) : “Vous voyez, ce n’était pas si difficile et il ne vous est rien arrivé.”

Moi : “Allez maman, donne un petit bisou à Véronique. Nous sommes trois dans notre cercle, donc les trois doivent participer.”

Maman et Véronique se retrouvent lèvres contre lèvres.

Moi : “Ce n’est qu’un tout petit bisou ça. Vous pouvez faire mieux.”

À ce moment, je vois maman qui passe ses deux bras autour du visage de Véronique en le caressant.

Ensuite, elle s’avance et embrasse Véronique à pleine bouche, je vois leurs langues en train de jouer à se chercher.

Mon érection commence à me faire mal.

Ce vrai baiser dure et dure encore, j’en profite pour me mêler à elles. Nos trois langues se touchent et se mélangent.

Véronique gémit et à l’air d’apprécier nos petits jeux.

Je me retire et les laisse s’embrasser. Me voilà en train de déboutonner le chemisier de maman avant de retirer son soutien-gorge.

Voilà maman seins nus en train d’embrasser Véronique.

Moi : “L’amoureux se caresse aussi.”

Je montre l’exemple en caressant les seins de maman avant de lui sucer les gros bouts devant Véronique à qui j’attrape la main et lui faisant comprendre de me rejoindre.

Moi : “Venez Véronique, vous allez découvrir ce qui m’attire depuis toujours chez ma maman chérie.”

Moi : “Goûtez-les, je vous en prie et surtout laissez-vous aller.”

Véronique a commencé par lécher timidement les seins de maman.

Moi : “Allez-y Véronique, sucez-lui, elle adore ça.”

Maman gémissait à mort quand Véronique a commencé à lui sucer les gros bouts, elle les mordillait aussi.

J’ai profité de cette scène de gouines pour dévêtir Véronique qui se laissa faire et qui m’aidait même à la déshabiller complètement enlevant elle-même son soutien-gorge et sa petite culotte.

Les seins de Véronique étaient magnifiques, ils pendaient assez fort et se terminaient par de beaux mamelons surplombés de belles et grosses tétines marron.

Sa chatte était bien fournie en poils un peu comme celle de maman. Je ne m’étais pas trompé en invitant Véronique. Elle me faisait trop envie.

J’ai continué le déshabillage en retirant le reste de vêtements de maman ainsi que l’ensemble de mes vêtements.

Nous étions tous les trois nus et Véronique qui continuait à sucer les tétons de maman. Quelle affamée !

Moi : “Et si nous allions achever la soirée à l’étage ?”

Nous voilà dans la chambre familiale, là où d’habitude, maman et moi partageons le lit.

Je couche Véronique au centre du lit.

Moi : “Maman, tu as vu cette chatte, je suis sûr que tu vas l’aimer, vas-y.”

Maman s’exécute en se couchant entre les jambes de Véronique qui les écarte.

D’abord, elle commence par son doigt.

Maman : “Véronique, vous êtes déjà trempée.”

Moi : “Vas-y maman, tu adores le jus de chatte. Lèche-la, suce lui le clito”

Ce que maman fit. Véronique poussait de petits cris très existants.

De mon côté, j’allais enfin pouvoir goûter aux seins de Véronique. Ils avaient le même parfum qu’elle.

Moi : “Véronique, vos seins sont succulents. Maman, arrête un peu et remonte ici lui sucer.”

Maman s’occupait du sein droit et moi du gauche. Ensuite, je suis descendu lui lécher la chatte à mon tour, un délice !

Moi : “Maman, couche-toi à côté d’elle, je vais vous lécher les chattes à tour de rôle.”

Ce que je fis, je passais de l’une à l’autre plusieurs fois.

Le lendemain matin, Véronique est malheureusement rentrée chez elle.

Nous nous sommes retrouvés à la cuisine maman et moi.

Moi : “Quelle nuit !”

Maman : “Je ne sais pas si c’était une bonne chose d’avoir invité Véronique.”

Moi : “Ne t’inquiète pas, je suis sûr qu’elle n’en parlera à personne, je pense qu’on peut avoir confiance en elle.”

Maman : “J’espère.”

Moi : “Je suis sûr que sa chatte t’a plu.”

Maman : “Arrête de parler comme ça !”

Moi : “Si tu dis ça, c’est qu’elle te plaît, je te connais.”

J’ai donc continué à titiller ma mère.

Moi : “Moi, je me suis régalé ! Quelle paire de nichons ! Quelle suceuse ! Et quelle mangeuse de chatte !”

Maman : “Arrête de dire tout ça !”

Je voulais vraiment savoir si maman avait apprécié cette soirée et cette nuit avec Véronique.

Moi : “OK, je veux bien arrêter à une seule condition.”

Maman : “Laquelle ?”

Moi : “Que tu me dises sincèrement si Véronique t’a plu.”

Maman : “Oui.”

Moi : “C’est tout ce que je voulais entendre. Merci.”

La réponse de ma mère fut franche et directe. J’étais vraiment content. Je pensais déjà à nos futures soirées et nuits avec Véronique.

La journée me paru toute différente et si calme par rapport à la veille. Je me sentais fatigué, vidé.

Je pense que maman, elle aussi, éprouvait une certaine fatigue.

À part quelques bisous et caresses, nous n’avons rien fait maman et moi, ce qui est très très rare.

Lundi soir, une fois rentré du travail, comme à mon habitude, je questionnai maman sur sa journée.

Maman : “Je suis allée faire les courses.”

Vu sa manière de me le dire, je sentais bien qu’elle ne me disait pas tout.

Moi : “Toute la journée ? Le frigo doit être bien rempli ?”

Maman : “En revenant, j’ai rencontré Véronique.”

Moi : “Comment va-t-elle ?”

Maman : “Bien.”

Moi : “C’est tout ?”

Elle continuait à me cacher des choses, je le sentais bien alors j’ai continué à la questionner…

Moi : “Tu l’as rencontrée par hasard je suppose ? Où était-elle ?”

Maman : “En face de chez elle.”

Moi : “Et je suppose que tu n’as fait que la saluer ?”

Maman : “Oui, d’ailleurs, elle te remet le bonjour.”

Moi : “Donc, elle va bien, elle me remet le bonjour et c’est tout.”

J’ai donc continué à insister.

Moi : “Et tu n’as rien d’autre à me dire ? Tu ne serais pas rentrée chez elle ?”

Je voyais bien que maman hésitait pour me répondre.

Moi : “Je ne serai pas fâché, ne t’inquiète pas, je ne suis pas jaloux, surtout d’une femme, tu le sais bien.”

Maman : “Tu as raison, Véronique m’a invitée à prendre un café et je suis rentrée chez elle.”

Moi : “Vas-y, raconte-moi tout, je t’en supplie.”

Maman : “Tu ne seras pas fâché ?”

Moi : “Non, promis, raconte-moi.”

Maman : “Véronique m’a montré sa maison et arrivées dans sa chambre, nous nous sommes embrassées.”

Moi : “Et ?”

Maman : “Tu te doutes de la suite.”

Moi : “Je veux savoir, s’il te plaît maman, raconte-moi tout, je peux tout entendre.”

Maman : “Tu sais que je n’aime pas raconter ce genre de choses.”

Moi : “Je sais, je te connais, les seuls moments où tu te lâches, c’est quand on fait l’amour. Viens.”

Nous nous sommes donc déshabillés, ensuite on s’est mis au lit, je bandais déjà tellement j’avais hâte de connaître la suite de ce qui s’était passé.

Pour lui laisser la bouche libre de m’expliquer, j’ai entrepris une minette dont j’ai le secret.

Maman adore quand j’écarte ses lèvres en alternant des suçons et lèches de son clitoris. De temps en temps, je glisse deux doigts dans sa chatte en même temps.

Maman commençait à gémir.

Moi : “Vas-y maintenant, Vous vous êtes embrassés et après… Raconte !”

Maman : “On s’est embrassées et puis on s’est déshabillées.”

Maman : “Véronique s’est mise sur moi, elle m’a sucé les seins.”

Moi : “Continue !”

Maman : “Elle s’est occupée de mon minou, comme toi maintenant.”

Moi : “Et toi, qu’est-ce que tu as fait ensuite ?”

Maman : “La même chose qu’elle.”

Je continuais ma minette et maman gémissait de plus en plus, ses propos étaient de plus en plus cochons.

Moi : “Je suis sûr que tu ne me dis pas tout.”

Maman : “Tu as raison, je t’ai menti, c’est moi qui ai commencé.”

Moi : “Et c’était bon ?”

Maman : “Mieux encore que quand elle est venue. Sauf qu’il manquait ta bite pour nous défoncer le cul et la chatte.”

Maman : “Ensuite, on a fait un 69, puis on est allés prendre une douche ensemble.”

Moi : “Donc, c’est toi qui as commencé ?”

Maman : “Tu n’étais pas là et j’avais vraiment envie d’elle, j’éprouve d’autres sensations avec elle.”

Moi : “Quoi comme sensations ?”

Maman : “En fait, vous vous complétez.”

C’est à ce moment que j’ai arrêté cette minette endiablée, je sentais bien que maman n’était pas loin de jouir.

Moi : “Retourne-toi, je vais te prendre en levrette.”

Maman : “Vas-y, ta queue m’a manqué cet après-midi.”

Je n’ai même pas eu besoin que maman me suce, ma bite était bandée au maximum tellement son récit m’excitait.

Maman était donc à quatre pattes, je me suis glissé en elle en m’agrippant à ses seins tout en jouant avec ses gros bouts.

Maman criait de plus en plus.

Maman : “Défonce-moi !”

Ses fesses claquaient de plus en plus fort.

Moi : “Véronique ne sait pas te bourrer comme moi. Pourquoi es-tu allée la voir alors ?”

Maman : “J’aime ses gros seins, sa chatte et quand sa langue joue avec ma langue.”

Moi : “Tu aimes toutes les choses immorales en fait, tu te fais défoncer par ton propre fils et tu te gouines en y prenant du plaisir.”

Maman : “Oui, j’adore ça.”

Rien que ces mots m’ont excité encore plus, ce qui a déclenché chez moi une éjaculation instantanée dans la chatte de maman.

Mes mains étaient encore agrippées à ses seins alors que je me déversais abondamment en elle.

Nous sommes restés collés comme ça un bon moment avant de nous étendre.

J’étais vidé.

Moi : “Tu vois, ce n’était pas si difficile de tout me dire.”

Maman continue à passer régulièrement la voir et Véronique vient souvent chez nous-même quand je ne suis pas là.

Fin.

Damien

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