Souvenez-vous je suis Julien, je vais vous raconter la suite de mon histoire avec ma belle-mère. Comme je vous avais informer dans mon premier récit, ma femme est une femme volage. Aussi moi je suis devenu un peu homo, j’ai un copain Romain avec ce meilleur ami nous sommes en couple depuis environ 4 ans. Ma femme et ma belle-mère étaient au courant de cette situation.
Depuis quelque temps notre couple (homo) est tombé dans une sexualité plutôt monotone et une lassitude à en mourir. Depuis que nous avions rencontré la mère de mon épouse, nous étions tombés d’un commun accord que cette femme était en quelque sorte l’objet de nos fantasmes et de nos conversations la plupart du temps où Romain et moi étions ensemble.
Et il y a de quoi, cette femme et une femme charmante, ayant des caractéristiques féminines qui ne laissent pas un homme indifférent, en d’autres termes une assez forte poitrine et de belles fesses bien rondelettes. Outre ses qualités physiques ma belle-mère est une femme assez conviviale, affichant un large sourire à chaque instant qu’il fasse beau ou mauvais.
Cela faisait maintenant plus de six ans qu’elle avait divorcé de son mari, et aucun homme officiel n’était intervenu dans sa vie. À chaque fois, pour rendre une petite visite à ma belle-mère (toujours sans ma femme) Romain et moi nous nous faisions un plaisir ne serait-ce que pour apercevoir la femme de nos convoitises qui éveillait en nous des pulsions sexuelles, que peut-être la plupart d’entre vous qualifieront d’immorales.
Immoraux ou pas, Romain et moi avions convenu que nous devions tenter le coup car le désir devenait trop intense, nous étions décidés de passer à l’attaque, mais nous attendions le moment opportun.
Un jour ma femme avait gagné un voyage à deux pour les Baléare grâce à un jeu télé, au lieu d’y amener son homme elle décida de partir pour une semaine en vacances accompagnée d’une copine, ce qui nous laissait l’occasion de mener à bien notre plan.
Samedi soir alors que mon épouse était probablement en train de siroter un cocktail au bord de la plage, Romain et moi étions en train de nous rendre en direction de la résidence de ma belle-mère, accompagnée de 3 douzaines d’huîtres bien fraîches, un grand plateau de fruit de mer, et de 3 bouteilles de vins blancs et du champagne. Nous ne l’avions pas du tout prévenue de notre passage. Lorsqu’elle vint ouvrir la porte elle fut tout étonnée de nous voir.
– Bonsoir belle maman ! Votre fille est aux Baléare, on vient vous faire une petite surprise et vous tenir compagnie pour que vous vous sentiez moins seule ce soir .
Elle était visiblement ravie de nous voir et nous fit rentrer sans aucune hésitation, elle n’était vêtue que d’une nuisette blanche et alla à son placard se recouvrir une robe de chambre pour notre plus grande déception. Nous discutions de ci et de rien pendant toute la durée du repas lui servant le plus souvent possible des verres de vins pour la rendre plus gaie, ce qui visiblement marchait, et dès que son regard allait en direction de son assiette nos yeux plongeait profondément dans son large décolleté qui laissait entrevoir ses deux belles mamelles.
À la fin du repas alors que nous avions bien bu et manger nous nous assîmes chacun dans un fauteuil et ma belle-mère s’assit dans le canapé, nous abordions alors différents sujets, elle essayait de parler des relations que nous avions chacun, avec sa fille, et aussi moi avec Romain, mais nous essayions de changer la conversation sûre d’autre chose, jusqu’à ce nous abordions le sujet de son divorce.
Nous lui demandions si depuis son divorce, elle avait eu d’autres hommes en vue, etc. elle nous répondit par la négative, nous dit aussi que cela ne nous regardait pas, nous prîmes alors un air désolé pour sa situation de femme seule et essayions d’aller un peu plus profondément dans le vif du sujet.
Je pris mon verre, le posai sur la table basse, et vins m’asseoir dans le canapé sur la droite de ma belle-mère, enlaçai mon bras autour de ses épaules et lui dis d’un ton admiratif :
– Vous êtes vraiment courageuses belle maman, J’ai énormément de respect pour vous.
Elle tourna timidement la tête dans ma direction et me répondit par un sourire. Puis Romain vint à son tour s’asseoir à sa gauche et mit sa main sur son autre épaule, puis lui demanda :
– Mais ça ne vous manque pas de ne pas avoir un homme .
Embarrassée, elle répondit :
– Oui bien sûr !!!
– Donc si je n’en crois ce que vous dites cela doit faire bientôt plus de sept ans que vous n’avez pas fait l’amour.
– Oui ! Sept ans avec un homme attitré, sept ans à peu près.
À ce moment ma main droite alla se poser sur la cuisse dénudée de ma belle-mère la parcourant d’une longue caresse sur sa peau satinée, tandis que Romain léchait le cou de cette femme qui nous faisait tant bander.
– Arrêtez ! qu’est-ce que vous faites !!!
– Nous vous voulons du bien, c’est tout.
Ma main remonta sa cuisse poussant au passage le bas de sa nuisette et essayant de se faufiler un passage jusqu’à son sexe, mais sa main bloqua mon poignet.
– Stop, je vous rappelle Julien que vous vivez avec ma fille tout de même !!!
– Mais votre fille a besoin de sa mère, et sa mère a certains besoins, et nous, nous sommes là pour les combler, laissez-vous faire, il n’est pas bon de retenir ses pulsions physiques.
Ma belle-mère lâcha alors ma main qui vint frotter directement sa toison pubienne, tandis que mes doigts se promenaient sur les lèvres enflées de son vagin. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, Romain continuait à lui lécher le cou, alors que ma langue, elle, glissait le long de son épaule droite, elle paraissait à la fois remplie d’extase et de remords.
– Oh mon Dieu, mais qu’est-ce que je fais s’écriait-elle.
N’ayez aucuns soucis, votre fille ne saura jamais rien de ceci, nous voulons juste prendre soin de vos besoins sexuels, et vous pourrez toujours compter sur votre gendre pour cela , Romain prit alors des deux côtés la nuisette et la retira laissant à notre admiration ses deux gros seins devant nos yeux.
Je caressais sa chatte et son sein droit en même temps d’une manière presque religieuse la complimentant de » Vous êtes, si belle, je ne comprends pas comment une beauté comme vous peut-elle, passer sept ans de sexe.
Belle maman était maintenant assise complètement nue entre nous deux, dont chacune des mains pétrissait avec passion et avidité le corps charnel de la mère de ma femme. Nos bouches étaient en train de téter passionnément sa grosse poitrine qui était petit à petit empreinte de notre salive, tandis que nos mains pétrissaient, caressaient, et chatouillaient cette vulve qui commençait à reluire tant ses sécrétions étaient abondantes.
Ma belle-mère s’abandonnait peu à peu dans une pose des plus obscènes, écartant pour faciliter notre masturbation ses cuisses, et poussant de doux râlements :
– Oh, c’est vraiment mal ce que nous faisons, oh ! Oh mais c’est si bon !!!
Au bout de cinq minutes nous la fîmes se lever et lui demandions de bien vouloir reposer sur un pied, tandis que l’autre reposerait sur le canapé, ce qu’elle fit, puis Romain et moi nous abaissâmes, moi devant et lui derrière afin de lui lécher la chatte à deux. Romain lui fourrait son visage dans son cul afin que sa langue puisse atteindre la fente que nous vénérions, tandis que moi j’avais le nez qui frottait dans ses poils, et que ma langue titillait le haut de ses lèvres vaginales et son clitoris.
Je crois que c’était la première fois que belle maman se retrouvait dans une telle position entre deux hommes qui s’occupent aussi bien de son gros minou, elle semblait dans un état second, dans une condition de nirvana. Chacune de ses mains était placée sur nos têtes, glissant ses doigts entre nos cheveux, comme pour caresser un bon toutou suite à une bonne action.
– Oh mon Dieu !!! C’est divin disait-elle en haletant.
Au bout de quelque instant cette situation tout à fait malsaine nous avait excités au plus haut point, nous nous relevâmes enlevant nos vêtements jusqu’à être complètement nus, nos deux verges gonflées au maximum en sa direction.
– Regardez ! Deux bonnes queues rien que pour vous, lui dit Romain avec un regard pervers.
Face à nos deux bites en rut, elle commença à paniquer, et à devenir plus lucide qu’il y a deux minutes :
– Attendez, nous devrions réfléchir avant de faire une chose pareille.
– Non ! Répondis-je. Il ait désormais impossible de faire marche arrière, nous sommes désormais vos deux amants, et nous le resterons pour longtemps, à moins que vous ne vouliez que votre fille ne soit mise au courant.
– Non-surtout pas !!!
– Alors laissez-nous nous occuper de vous, vous verrez, tout va très bien se passer.
Romain l’agrippa par les hanches et lui dit :
– Cambrez-vous sur le coin du fauteuil que je vous prenne en levrette, voilà comme ça, relevez bien le cul pour que je puisse avoir plus de facilité à la rentrer. Voilà, super !!!
Belle maman reposait sur ses deux genoux sur l’accoudoir du fauteuil, tandis que Romain prit sa verge dans ses mains la dirigeant à l’intérieur du con de ma belle-mère.
– Oh … Julien, si tu savais comme c’est bon à l’intérieur, c’est tout chaud et humecté de sa mouille, ça glisse aussi bien qu’un surf sur une vague !!!
Visiblement mon pote était en train de prendre son pied en limant par des va-et-vient la fente par laquelle était venue au monde ma propre femme, alors que belle maman recommençait à prendre goût à nos jeux malsains. Je pris alors mon phallus et l’approchai du visage de ma belle-mère, mais elle n’ouvrait pas la bouche, j’entrepris donc de caresser sa face avec mon gland, le laissant glisser sur ses lèvres, sur son menton, sur ses joues, et même sur son nez, ses deux bras étant occupés à tenir lavant de son corps en équilibre elle n’avait pas la possibilité d’empoigner ma bite, je lui demandais de bien vouloir déposer sur mon gland de sa salive, ce qu’elle fit. Je recommençais à caresser mon gland sur son visage, laissant une traînée de sa propre salive sur sa peau.
– Vas-y Romain , baise la plus vite !!!
Il redoubla alors d’énergie et Ma belle-mère se mit alors à crier :
– Ooohh.
Je saisis alors l’opportunité que sa bouche soit grande ouverte pour y engouffrer ma bite à l’intérieur, tenant sa tête entre mes deux mains, puis je fis coulisser par des allers-retours ma verge entre ses lèvres buccales, j’étais au summum, la meilleure sensation que j’ai pu vivre de toute mon existence, moi Julien j’étais en train de pénétrer de mon sexe la bouche de ma belle-mère qui avait presque deux fois mon âge, tandis que mon meilleur ami était en train de la culbuter par-derrière, c’était la chose la plus perverse, la plus vicieuse que je faisais dans ma vie, mais aussi de loin la plus excitante et la plus exquise que mon corps et mon esprit ressentaient.
Cette vision de ma belle-mère dont le corps, les fesses, et les seins ondulaient par la force de nos coups de reins me donnait bientôt l’envie de jouir, mais je désirais garder ce moment pour plus tard. Je sortis donc mon membre enflé et raide de sa bouche, un fil de salive reliant le bout de mon gland de ses lèvres se fendit et vint se coller à son menton qu’elle essuya en passant la langue.
J’attendais deux minutes, pour que mes pieux perde de sa vigueur et observais pendant ce temps Romain faisant de rapides va et viens dans la moule de ma belle-mère, créant un bruit régulier de clapets comme deux mains qui applaudissent, alors que ma belle-mère était à son comble et fermait les yeux comme pour se concentrer sur son plaisir charnel. Après un certain moment d’attente je décidais d’y retourner.
Romain ! Laisse-moi venir à ta place.
– Belle maman, sil vous plaît, venez plutôt vous étendre sur la moquette.
En se retirant je vis du sperme, il me semble, recouvrant la queue de Romain, et quelques gouttelettes ruisselaient autour de la magnifique chatte de ma belle-mère, mon pote avait apparemment éjaculé dans les entrailles de ma belle-mère, mais son pénis était toujours en vigueur, mon pote est un dur à satisfaire.
Belle maman s’allongea donc sur le dos, les cuisses écartées comme pour me souhaiter la bienvenue dans son sanctuaire humidifié par de la sève blanche masculine mélangée à ses sécrétions féminines. Romain avait raison, ce sexe était d’une chaleur accueillante exceptionnelle.
– Oh belle maman, si vous saviez ! Ça fait tellement longtemps que j’attends ce moment, vous êtes tellement bandantes et bonnes !
Me regardant droit dans les yeux elle me répondit :
– Promettez-moi que jamais personne ne sera au courant de cela.
Continuant mes étreintes entre ses cuisses suaves je répondis :
– Nous vous le jurons, nous voulons votre bonheur, et bien évidemment celui de votre fille. Mais vous devez nous promettre quelque chose en retour dit Romain.
– Quoi ?
– Eh bien que nous restions vos fidèles amants jusqu’à ce que vous vous remettiez avec un autre homme.
– Dans ces conditions j’accepte dit-elle.
Je continuais à ramoner de ma bite sa pépette avec une régularité qui n’aurait rien eu à envier à un puits à pétrole, tandis que Romain sirotait un verre de champagne la queue en l’air. Belle maman était en sueur totale, déjà qu’il s’agissait d’une chaude nuit d’été, nos corps actifs créaient dans la pièce une chaleur supplémentaire.
Je n’étais pas loin de l’explosion, je suis même à deux doigts de jouir. Je retirais d’un coup sec mon manche de ce trou que j’avais travaillé durant une dizaine de minutes et branlais ma bite au-dessus de sa chatte. Un cri de jouissance m’envahit et il sortit de mon urètre une grande quantité de sperme chaud et gluant qui vint se coller dans sa toison pubienne, c’était sans aucun doute la meilleure baise de ma vie.
Je me ressaisis et allais vers la table me servir une coupe de champagne, tandis que belle maman restait allongée, et étalait de sa main droite le sperme entremêlé dans ses poils pubiens.
– Ah ! C’était vraiment bon disait-elle.
– Parce que vous croyez que c’est déjà fini ? Rétorqua Romain.
Il alla se coucher sur le dos sur le canapé. Allez vener me chevaucher belle-maman !
– Encore !!! Dit-elle.
– Eh bien oui ! Il faut bien rattraper ces sept ans d’abstinence.
Elle but un verre de champagne et se positionna au-dessus de la verge de Romain et s’empala d’un coup sec jusqu’à ses testicules, la machine sexuelle s’était remise en marche. Regardant le spectacle torride qui s’offrait à mes yeux une idée me vint. Je sortais du living-room pour aller dans la salle de bains chercher un produit qui soit assez lubrifiant, j’avais d’abord trouvé de la crème, puis de l’huile pour peau de bébé. Je pris donc le flacon et retournais dans le salon où les deux amants continuaient à copuler d’une façon presque bestiale.
J’enduis ma belle queue d’huile et demandais à Romain de bien vouloir positionner ses fesses sur l’accoudoir du canapé, il la souleva pour rester à l’intérieur d’elle, et fit comme je lui avais demandé. Je vins alors derrière cette chère belle-maman et lui écartais les fesses pour apercevoir sa petite rondelle qui apparemment n’avait jamais été travaillée.
– Que faites-vous Julien ? Non ! Je n’aime pas cela !
Je persistais mais elle continuait :
– J’ai déjà essayé et ça ne m’a pas plu, arrêtez !!!
– Si vous n’avez pas aimé c’est que la personne avec qui vous l’avez fait ne s’y connaissait pas, laissez-moi faire, vous aurez d’autres sensations.
Au fur et à mesure que mon phallus s’enfonçait dans son anus elle poussait des Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu !. Ça y est, malgré son rectum étroit j’avais poussé ma bite au plus profond de son cul et j’enclenchais mon mécanisme. D’un côté ma queue retrait dans son trou de balle et de l’autre celle de Romain s’occupait de son vagin. Elle était prise en sandwich entre deux jeunes hommes. Bien qu’elle semblât ne pas apprécier au début, elle se lâcha telle une chienne en chaleur au bout de quelques minutes :
– Oh ! Oh ! Je ne savais pas que de telles choses peuvent être aussi bonnes, je pourrais rester là à me faire prendre pour l’éternité tellement c’est bon !!!
Ensuite nous fîmes tous les trois l’amour pendant toute la nuit, je pourrais vous raconter nos petits jeux pervers comme masturber sa chatte avec le goulot de la bouteille de champagne, etc., mais cela risquerait d’être trop long. Elle nous avoua le lendemain matin quelle avait dû avoir une bonne vingtaine d’orgasmes durant la nuit, et que coucher avec deux jeunes hommes l’avait rendue plus heureuse qu’elle ne l’était même si je suis son gendre.
Cela fait maintenant presque un an que cela a commencé, et nous continuons toujours avec mon copain Romain à faire l’amour à ma belle-mère même si ma femme ne le sait pas, et quand mon épouse est de nouveau absente on se retrouve chez belle-maman pour des parties à trois, il est vrai que cette aventure est peut-être malsaine, mais notre plaisir sexuel est chaque fois au summum!
Fin
Véronique
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