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Histoire sexe Marie Claude une prof de Français très chaude Chapitre 1

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Je m’appelle Marie Claude, j’ai 46 ans, les yeux verts, je suis blonde et, paraît-il, je suis encore bien conservée pour mon âge. Je suis mariée avec Henri, qui est commercial dans une grande firme de construction d’engins de travaux publics. Il a toujours été très gentil avec moi et je l’aime mais il a un défaut que je ne supporte plus : il joue au poker assez régulièrement et il perd de plus en plus d’argent. Cette manie est souvent le point de départ pour nos disputes qui se répètent de plus en plus souvent.

Je suis professeur de français dans un lycée professionnel de la région qui accueille notamment des jeunes en difficulté issus des cités voisines.

Nous étions dimanche soir et je revenais d’une visite chez ma fille, Muriel, qui habite dans une ville de la région Grand Est que je ne nommerais pas par souci de discrétion. Depuis mon départ de chez elle, ma voiture faisait un drôle de bruit et je commençais à m’en inquiéter. Il me restait encore quelques kilomètres à faire pour arriver dans notre pavillon qui se situe dans une ville huppée, également dans la région Grand Est. Je priais en silence pour qu’elle ne me lâche pas avant que je sois arrivée chez moi, ne m’imaginant pas en panne dans cette ville que j’avais décidé de traverser pour gagner du temps.

Soudain, ce fut la catastrophe ! Ma voiture cala et impossible de la redémarrer. Je sors de la voiture et soulève le capot tout en sachant par avance que de toute façon je n’y connais rien. Je prends mon portable pour appeler mon mari et lui demander de venir me chercher… Le téléphone sonne dans le vide et je tombe sur sa messagerie. Furieuse, je lui laisse un message de détresse lui expliquant où je suis.

Je suis sûr qu’il est encore parti jouer au poker avec ses copains. Je jette un coup d’œil à ma montre : 21 h 00. La nuit commence à tomber… Et je ne suis pas rassurée, je dois bien le reconnaître.

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Pas très loin, j’aperçois un bistrot ouvert. Peut-être pourront-ils m’aider ? Je laisse ma voiture et m’avance vers le bistrot. Je dois traverser un espace assez boueux et je lève les pieds faisant attention pour ne pas salir mes escarpins. Mes talons aiguilles s’enfoncent dans la boue. Je rentre dans le bar en murmurant un « Bonsoir » pas très rassuré. Un silence de plomb accueille mon arrivée. Il faut dire que je détonne dans cet endroit, glauque à souhait, avec mon chignon et mon tailleur noir très BCBG. Le patron, un homme gros avec une barbe de 3 jours, fait le tour de son comptoir et se dirige vers moi.

– Qu’est-ce que je peux faire pour vous ma petite dame ?

Je lui explique que je suis en panne et je demande si un de ses clients par hasard ne pourrait me dépanner.

– Alors la ! On peut dire que vous avez de la chance. S’exclame le Patron en se tournant vers une des 5 personnes, tous des hommes, qui se trouvent dans le bar.

– Benoît ! Tu ne veux pas rendre service à la jolie madame qui est en panne ?

Je me sens rougir sous le compliment et le fameux Benoît se lève en marmonnant quand même qu’il n’a pas fini sa bière. Je lui indique où se trouve ma voiture et il sort.

Immédiatement, le Patron me propose une bière ou autre chose. J’hésite, ne voulant vraiment pas m’éterniser, mais ils ont été si gentils et après tout la réparation va peut-être prendre du temps.

Finalement, j’accepte une bière. Je m’assieds et le patron m’apporte ma bière tout en m’expliquant que benoît est garagiste et que ma voiture sera vite réparée. Il me fait les présentations rapidement.

– Je m’appelle Gaston, je suis le patron et voici Manuel, mon fils. Il travaille à la Mairie, aux services balayages.

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Le dénommé Manuel me fait un signe de la main avec un drôle de sourire béat aux lèvres. Je remarque qu’il n’arrête pas de mater mes jambes gainées de nylon noir que j’ai croisées machinalement en m’asseyant.

Je suis soudain étonnée de reconnaître deux de mes élèves dans le fond de la salle qui ne disaient rien mais qui eux aussi n’arrêtent pas de me mater. Ils sont assis devant une bière et discutent à voix basse tout en me regardant. Je suis soudain mal à l’aise. Ce n’est vraiment pas de chance de tomber sur deux de mes élèves, parmi les plus mal notés en plus, parmi ses clients.

Je commence à siroter ma bière et à discuter un peu avec tout le monde, y compris mes élèves qui très vite s’assoient à ma table. Les autres se rapprochent également. La tête me tourne un peu. Je n’ai pas l’habitude de l’alcool. Mes élèves, Mohamed, un français d’origine maghrébine ayant déjà eu des démêlés avec la justice et Hervé, un grand black, guadeloupéen je crois, commence à me questionner sur les dernières notes que je leur ai données lors d’un contrôle et qui étaient largement en dessous de la moyenne.

– Ce n’est pas juste, Madame, on avait vachement bossé pour avoir une bonne note.

– C’est que tu n’avais pas assez travaillé Hervé…

Benoît revient en me signalant que ma voiture est réparée et que je peux partir. Il est aussitôt emmené à l’écart par le patron qui lui murmure quelque chose à l’oreille. Je paie ma bière et me lève rapidement pour pouvoir partir. Hervé me saisit le poignet.

– Allez Madame, restez encore un peu.

Tous les hommes dans le bar me crient en chœur de rester mais je refuse gentiment. Manuel s’est levé et s’est mis derrière moi sans que je ne m’en aperçoive. Soudain ses mains se faufilent dans l’échancrure de mon tailleur et me saisissent un sein. Je pousse un cri et Hervé se lève aussi en se mettant devant moi l’air soudain menaçant.

– Ta gueule salope ! Tu n’attends que ça depuis tout à l’heure. Tu crois vraiment qu’on a cru à ton histoire de panne. Ce que tu cherches c’est de te faire troncher. Toutes les mêmes les bourgeoises dans ton genre !

Je veux protester que c’est faux mais Hervé colle ses lèvres sur les miennes ce qui étouffe mes protestations. Je sens sa langue tenter de forcer le barrage de mes lèvres serrées. Pendant ce temps-là, Manuel, toujours derrière moi, a déboutonné ma veste de tailleur dévoilant mon soutien-gorge pigeonnant qui retient à peine mes deux gros seins.

– – Ouah mate un peu les deux mamelles de la prof. S’écrie Mohamed tout en baissant mon soutien-gorge.

Il se met à malaxer mes seins pendant que Manuel s’occupe de ma jupe qu’il retrousse dévoilant mes bas et mon porte-jarretelles. J’ai toujours aimé la lingerie fine et affriolante pour plaire à mon mari.

On me contraint à me mettre à genoux sur le carrelage froid. Je proteste que je ne veux pas mais personne ne m’écoute bien sûr. Gaston, le patron va fermer le bar, pour être tranquille dit-il en ricanant. Il me lance un regard bien pervers.

Une queue se matérialise soudain devant moi, je ne sais même pas à qui elle appartient. Elle se pose sur mes lèvres pulpeuses et je ne sais pas pourquoi j’ouvre la bouche. Je sens un plaisir sale s’emparer de moi. Que m’arrive-t-il ? Je suis en train de me faire violer dans ce bar sordide et j’en éprouve un plaisir intense. Je suce cette bite avec application entendant les encouragements obscènes que l’on me lance.

– Vas-y salope, sale bourge, suce bien !

J’émets un son étouffé par la bite que je suis en train de sucer. Je sens qu’une main se faufile sous ma culotte et caresse ma fente déjà humide.

– Elle mouille cette salope !

Je reconnais la voix. C’est Manuel qui n’a jamais dû toucher la fente d’une femme, du moins pas d’une bourgeoise friquée, bonne épouse et bonne mère de famille respectable et respectée.

Car je ne me fais pas d’illusion, c’est le fait qu’ils soient en train d’humilier une bourgeoise qui les excite, rien d’autre. Une autre queue a remplacé celle que je suçai et elle s’active dans ma bouche comme si on me baisait. Je ne sais plus où je suis… Je suis mise à quatre pattes et l’on finit de retrousser ma jupe. Je sens que l’on écarte mon slip et un doigt s’empare de ma fente, puis deux. Mes gros seins ballottent par le tailleur ouvert et ils sont tripotés par plusieurs mains. Le sexe d’un des hommes me pénètre et je pousse un hurlement étouffé. Des mains s’emparent de mes hanches et l’on commence à me pistonner à grands coups de reins. Mes seins sont secoués dans tous les sens par les coups de boutoirs de mon assaillant.

Pendant ce temps-là, des bites se présentent devant moi et je les accepte toutes sans rechigner. Deux à la fois même… Je ne suis plus qu’un trou que l’on remplit de sperme.

Je me rends soudain compte que Mohamed prend des photos avec son téléphone portable et que Gaston fait de même. Benoît s’approche de moi, tenant son sexe dans la main et me l’enfourne dans la bouche en me disant qu’il mérite bien une récompense après avoir réparé ma voiture.

Je sens que celui qui me prend par-derrière, éjacule et lâche un torrent de sperme dans mes entrailles. Benoît lâche son sperme également sur ma figure. Je suis remplie de sperme. J’en ai partout sur mes cheveux, mon chignon respectable de bourgeoise est d’ailleurs totalement défait et mes cheveux tombent dans mes yeux. Je halète comme une folle cherchant à reprendre ma respiration. Mon tailleur noir est également souillé par les traces de spermes. Un filament coule de ma bouche pour aller s’écraser sur mes seins.

Mon calvaire ne s’arrête pas là. Je suis leur jouet et ils en abusent. Après avoir taillé des pipes à tous ces obsédés et avoir été prise de toutes les façons et plusieurs fois, ils s’arrêtent soudain épuisés, repus. J’ai honte de le reconnaître, mais plusieurs fois, j’ai eu des orgasmes foudroyants. On joue encore avec moi quelque temps. On me force à marcher à quatre pattes avec le talon aiguille d’un de mes escarpins enfoncé dans mon anus. On prend des photos, beaucoup de photos. Puis, on me relève et je suis reconduit dehors à ma voiture, la veste du tailleur encore ouverte, les seins à l’air et la jupe tire-bouchonnée autour de ma taille. Mes bas sont déchirés. Et je titube sur mes talons aiguilles, ivre de plaisir. Les hommes font tous cercle autour de moi. Gaston me lance :

– Voilà ma salope, tu vas pouvoir rentrer chez toi. Mais pas un mot hein ? N’oublie pas qu’on a les photos et que surtout tu as pris ton pied. Si tu ne veux pas que ton mari l’apprenne, je te conseille de rester discrète. Et reviens nous voir quand tu veux !

Tout le monde éclate de rire. Mohamed et Hervé, mes élèves, me regardent avec un air salace :

– À demain Madame, nous avons cours.

Leurs regards sont lourds de sous-entendus.

Je remonte dans ma voiture qui effectivement démarre au quart de tour et je prends la direction de mon pavillon, ne désirant qu’une seule chose, oublier ce qui vient de se passer.

À suivre…

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