Je me réveille ce lundi matin avec l’impression de ne pas m’être couchée du tout. Après avoir été prise de toutes les façons la veille au soir par cette bande de dépravés dans ce bar sordide de la banlieue parisienne je ressens un étrange sentiment de honte et de culpabilité. Comment ais je pus, moi, une femme si droite, me vautrer dans cette débauche ? Bien sûr, j’y ai été contrainte… Au début du moins. Mais je dois bien me l’avouer, j’y ai pris du plaisir. Et cela me trouble et me rend perplexe.
Je n’ai, bien entendu, absolument rien dit à mon mari qui de toute façon est rentré tellement tard de sa partie de poker que je dormais déjà depuis longtemps. Je me lève et commence à me préparer pour me rendre au lycée professionnel où j’enseigne le français. Un peu angoissée, j’appréhende le moment où j’aurais cours avec la classe où se trouvent Mohamed et Hervé, les deux élèves qui ont été les témoins et les acteurs de mon agression d’hier soir. Je n’oublie pas non plus qu’ils ont pris des photos avec leur téléphone portable. J’hésite sur la manière de m’habiller. Hors de question de remettre le tailleur d’hier soir, qui de toute façon est souillé par les nombreuses traces de sperme de mes tourmenteurs. Je décide de m’habiller sage, pas de jupe courte. Je choisis un chemisier blanc, une jupe longue blanche, des collants couleur chair et des ballerines blanches, très virginale comme tenue. Je sors de mon pavillon et monte dans ma voiture, direction le lycée.
Les cours du matin se passent lentement tellement j’angoisse à l’idée de me retrouver devant Mohamed et Hervé. Je jette continuellement un œil à ma montre et j’ai du mal à me concentrer. La dernière classe avant le déjeuner est justement celle de Mohamed et Hervé. En arrivant dans le couloir, j’entends déjà des exclamations et des rires. Je rentre dans la classe mais le brouhaha continue jusqu’à ce que je me mette derrière mon bureau.
Je réclame le silence d’une voix autoritaire. Tout le monde se tait mais j’aperçois immédiatement Mohamed et Hervé qui me regarde d’un air goguenard et je me sens rougir. Je commence mon cours en leur donnant une dictée à faire. Je leur dicte le texte tout en me promenant dans les allées de la classe. Je sens plusieurs fois le regard de mes élèves posé sur moi notamment sur mes fesses, qui ne sont pourtant pas tellement visibles puisque j’ai mis une jupe ample et longue.
Je termine la dictée juste quand résonne la sonnerie annonçant la fin des cours pour l’heure de midi. Je demande à mes élèves de poser leurs copies sur mon bureau en sortant. Ce qu’ils font tout sauf Mohamed et Hervé qui restent assis à leur table. Tout le monde est sorti et je me retrouve seule avec eux dans la salle de classe. Ils se lèvent et se dirigent vers mon bureau leurs copies à la main. Je lève les yeux pour les regarder et d’une voix que j’essaie de ne pas faire trembler, je leur demande de me donner leurs copies.
– On aura une bonne note ? Me demande Mohamed.
– Je ne sais pas Mohamed, cela dépendra de votre travail.
Mohamed et Hervé me regardent en souriant, un sourire pas très rassurant…
– Non Madame, vous n’avez pas compris. Ce n’était pas une question, on veut une bonne note. Sinon…
Je me sens blêmir… On y était ! Ce que je redoutais depuis le début de la matinée se produisait. Mohamed et Hervé sortent leurs téléphones portables.
– N’oubliez qu’on a des photos compromettantes. Je ne suis pas sûr que Madame la Directrice serait ravie de voir qu’un de ses professeurs s’est tapé deux de ses élèves hier soir.
Je ne réponds pas, anéantie par ce que je viens d’entendre. Ils me tiennent, ils peuvent me faire chanter et j’ai le sentiment qu’ils ne vont pas s’en priver. Hervé s’approche de moi en demandant à Mohamed.
– On devrait refaire des photos et les mettre sur Internet, créer un site avec des photos cochonnes. La prof perverse… Qu’en dis-tu, ça marcherait du tonnerre !
Je les supplie de ne pas mettre les photos sur le Net. Hervé me regarde avec un regard vraiment lubrique qui me fait froid dans le dos.
– Je n’aime pas comme tu es habillée aujourd’hui, je préférais hier soir…
– Hervé a raison, renchérit Mohamed, dorénavant, tu ne mettras que des jupes courtes, c’est compris ? Et des chaussures à talons…
Hervé me regarde dans les yeux et me lance :
– Soulève ta jupe, que l’on voit si tu es sapée comme hier en dessous !
Je suis tétanisée. Je tente de les raisonner :
– Écoutez, ce qui s’est passé hier est un accident, vous devez oublier, cela ne se reproduira plus.
Reprenant de l’assurance, je les menace :
– D’ailleurs, je pourrais porter plainte contre vous, je n’étais pas consentante hier soir !
Hervé éclate de rire et me montre le téléphone portable.
– Vous savez que ça fait caméra aussi ? Vous voulez que je vous passe l’extrait où vous prenez votre pied pendant qu’on vous défonçait ?
Hervé saisit alors ma jupe et commence à la remonter dévoilant mes jambes. Il s’arrête quand elle est en haut et me demande de la tenir. Ce que je fais, soumise.
Il siffle en me caressant les cuisses moulées dans mon collant puis il remonte me caressant la culotte à travers le collant. Il me demande d’écarter les jambes et je m’exécute.
– On préférait hier soir avec tes bas. Lâche quand même Mohamed en s’accroupissant devant moi. À partir de maintenant, tu ne mettras plus que ton attirail de pute sous ta jupe, plus de collant !
– Sauf si on te le demande. Souligne Hervé.
Je ne réponds pas, à quoi bon ? Hervé me retourne soudain et me plaque sur mon bureau. Il relève ma jupe et commence à donner des claques sur mes fesses. Malgré la protection du collant, j’ai très vite mal et je le supplie d’arrêter. Mohamed prend des photos avec son téléphone portable. Hervé continue de me donner la fessée pendant une bonne minute tout en m’insultant. Puis, il s’empare de mon collant et le déchire violemment ! Je proteste :
– Non, ne faites pas ça !
Il baisse mon slip blanc et il enfonce un doigt dans mon vagin. Il s’empare de mon clitoris et commence à le titiller sans douceur. Il me masturbe ainsi pendant plusieurs minutes et je supplie les cheveux dans mon visage.
– Non, non, je vous en supplie, ne faites pas ça, je vais…
Impitoyable, Hervé continue sans relâche. Il me branle, il veut m’obliger à jouir, contre mon gré ! Ma respiration s’accélère et je pousse un gémissement. Ses attouchements et surtout cette humiliation ont raison de mes scrupules, je me laisse soudain aller et je jouis en criant.
Hervé retire sa main pleine de mouille et me relève en me prenant par les cheveux. Il me force à lui nettoyer les doigts en les suçant. Ce que je fais avec un plaisir sale. Hors d’haleine, je suis prise en main par Mohamed qui veut aussi m’humilier. Il m’ordonne de me mettre à genoux sur le sol. Je me retrouve donc à quatre pattes, jupe troussée, collant déchiré, culotte baissée, le cul à l’air devant mes élèves qui ont l’âge d’être mes fils !
Je sens que Mohamed pose son doigt sur mon anus et j’implore de nouveau. Je le sens qui fait pression et je tente de me relever mais Hervé vient lui prêter main-forte et m’immobilise. Je pousse un cri quand Mohamed parvient à ses fins et m’enfonce complètement son doigt dans mon anus. Malgré la douleur, je dois supporter une nouvelle humiliation puisque Hervé me prend en photo avec un doigt vissé dans le cul. Mohamed fait un peu coulisser son doigt et le retire brutalement me faisant crier de nouveau.
Ils me demandent de rester à genoux devant eux. Ils sortent leurs sexes gonflés à bloc et j’avance la tête, docile. J’empoigne des deux mains les verges et commence à les secouer, les masturber.
Mohamed me prend la nuque et m’oblige à avaler son gland, je faillis vomir tant il était imposant. Je commence à le pomper tout en alternant avec celle de Hervé qui est encore plus grosse. Je manque de m’étouffer à plusieurs reprises. Hervé et Mohamed soufflent comme des bœufs en m’encourageant.
– Vas-y salope, sale bourge, pompe bien, tu es une bonne suceuse ma chienne de prof.
Je m’active avec des bruits de succions écœurants. Heureusement, ils furent rapides à jouir et lorsqu’ils éjaculèrent, je reçus des giclées de foutre sur mon visage qui coulèrent sur mes lèvres. Je me relève et me dirige vers mon bureau pour y prendre un mouchoir afin de me nettoyer avant la reprise des cours. Chancelante, je dois m’appuyer à mon bureau. Ma dernière humiliation est d’enlever les restes de mon collant déchiré et mon slip et de les donner comme trophées à Mohamed et Hervé.
– Comme tu es une salope, tu n’as pas besoin de culotte pour donner tes cours. Lâche Hervé en ricanant.
Ils me laissent seule dans la salle de classe non sans me donner rendez-vous pour le lendemain.
À suivre…
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